Voilà le premier tome de ce qui pourrait bien s'avérer une série culte!
J'apprécie énormément le dessin, très particulier, limite un peu brouillon, mais très dynamique. Et les couleurs polluées, sales, qui contribuent vraiment à l'atmosphère du récit. Quand a ce dernier, il est tout simplement excellentissime, peu de scénarios de SF en BD ont eu le don d'autant m'intéresser; c'est bourré d'originalité, complexe, tout en gardant un rythme soutenu qui fait que jamais l'on ne s'ennuie.
Franchement, pour moi, quoi qu'on en dise (et même si le personnage est, paraît-il, assez imbuvable) Bilal est vraiment un grand maître de la bédé. Evidemment, la suite se fait attendre, trop, beaucoup trop...mais bon, la qualité de cette bédé me pousse à l'indulgence.
Contrairement à l'avis du posteur, je suis bien rentrée dans cette petite BD. Elle fait appel à nos peurs d'enfants : j'ai fait une bétise, il faut que je m'enfuis sinon ma maman va crier ... ect... La cruauté des frères et/ou soeurs qui ont un rôle souvent ambigue, à la fois mechant et protecteur ...
L'illustration, plutot bien réussie. Pourquoi une tete de pastille ? je me pose encore la question mais bon ...
Une petite BD pour enfant qui peut se lire par des adultes sans problème, même si on aura pas le même regard.
Voilà vraiment un genre nouveau: le bédé-reportage. En effet, cette bédé se lit comme on regarde un documentaire, et un bon documentaire qui plus est.
Bon, je ne vous cacherai pas que le thème m'intéressait bien à la base, et que cela explique peut-être pourquoi cette bédé m'a bien plu. On apprend pas mal de choses, et on a vraiment l’impression de se plonger dans le quotidien de ce coin perdu, aux côtés du dessinateur...
Moins aride qu’un article de fond, moins voyeur qu’une émission télé, c’est donc un témoignage illustré avec beaucoup de finesse, d’humour et de sensibilité.
Bref, une jolie réussite.
un 3/5 qui frise le 4/5. Les dessins sont très beaux. Pour le prix (5 euros), c'est une lecture agréable, très divertissant, sans non plus tirer du génie.
Ce premier tome est pas mal et nous met l'eau à la bouche pour les suivants, qui connaissant les autres productions de Swolfs, devraient valoir le coup d'oeil. A espérer que la série ne s'éternise pas non plus
Vraiment très, très bien...
Pour ceux qui n'aime pas les dessin touffus, et sombres je la déconseille, mais pour tous les autre ...
l'histoire ne m'a pas passioné, mais les dessins, ... !
L'histoire est malheureusement trop connue, rivalité entre les plus puissants, où le héros, par le biais de l'épée noire va aider le peuple.
A voir au moins une fois.
Bon allez soyons honnête, j'ai passé du bon temps avec cette histoire policière somme toute assez bien ficelée. Le scénar tient la route même si la première histoire basée sur le psychopathe semble avoir été bouclée de manière un peu surprenante. Sans doute que le problème qui s'est posé au scénariste aprés le premier album, a été de relancer un suspense que la mort de tueur en série avait un peu fait retomber. A la lecture des quatre tomes, on n'est toutefois pas décu. Les ficelles de l'histoire policière sont bien mobilisées et les personnages hyper stéréotypés sont distrayants.
Quant au dessin, son évolution au cours des différents tomes se fait en douceur. Le changement de dessinnateurs s'est fait en douceur et dans la cohérence. On peut toutefois remarquer qu'entre le gill de début et celui de la fin, il y a un gros écart. La physionomie du personnage s'est aseptisée, standardisée mais sans que cela soit vraiment génant. Le seul bémol que je mettrais concerne finalement le vocabulaire des personnages... à force de se vouloir trés proche de la réalité, il sonne faux parfois. Mais là encore, ce genre de chipottage n'engage que moi.
Ma foi, bien sympathique cette BD là !
Bien sûr, comme le souligne Pat, difficile de lire cette série sans penser à Lapinot et consors. Même style d'humour tout en finesse, de dialogues très travaillés, et de dessin dans le courant "nouvelle BD", que l'on retrouve chez Sfar ou Blain, par exemple.
Bon, rien de révolutionnaire non plus, mais un premier tome qui se lit d'une traite avec beaucoup de plaisir, et c'est l'essentiel !
Les différents textes sont vraiment très bons, et font à eux seuls tout le charme de cette bande dessinée. Les échanges entre dieux et Lincoln sont vraiment très forts, bien pensés, jamais vulgaires... c'est plutot bon !
Le personnage principal (Lincoln, donc, pour ceux du fond) est l'anti-héros par difinition. Le pauvre type, Louzeur, qu'on a plus envie de haïr que d'apprécier, c'est sûr ! Mais sa relation avec Dieu est tout simplement bluffante... Pour le Créateur, c'est pas gagné d'avance :)
Le dessin de Jérôme Jouvray est quant à lui assez sympa, comme je l'ai déjà dis bien dans le mouv' "Nouvelle BD". Formes simples, style un peu brouillon, et mise en couleur (par la soeurette :)) vraiment sympa, en couleurs pleines.
Un album familial, donc, qui lance surement le début d'une série vraiment sympa !
Moi aussi, j'ai enfin lu du Florence Magnin. Et c'est très "mignon" : j'aime la finesse de son dessin et ses perspectives tronquées, j'aime ses couleurs pastels et ses effets verdâtres. C'est tout simplement beau et original.
Le scénario de Rodolphe, qui reste cependant très classique, est attachant et bien mené. Certains passages (je pense à ceux qui se déroulent sur l'île) sont passionnants, d'autres un peu moins, il y a certaines longueurs un peu inutiles dans le premier tome. Mais je chipote. J'étais vraiment ravi de relire une histoire de ce genre, de "l'aventure" à l'état brut avec des pirates et des fantômes! Un rêve de gosse!
La série toute entière est rythmée par ces phrases pleine de sens qui s'imposent comme des vérités. Car c'est bien cela que recherche le Scorpion : la vérité. Et puis il y a le dessin de Marini : élégant, fin, dynamique. Le souci du détail est partout : les combats à l'épée respectent les règles propres à l'escrimeur, les costumes ressemblent parfaitement à ceux de l'époque, les décors resplendissent. Rome toute entière brille sous les traits et les couleurs flamboyantes de Marini. Car les couleurs aussi sont incroyablement belles, et cela dans chacun des trois tomes déjà parus. Il n'y a qu'à regarder les couvertures pour s'en apercevoir. Après L'étoile du Désert chez le même éditeur, le duo Desberg/Marini continue de nous faire rêver
Un bouquin étrange, aux limites de la bande dessinée. Jean-Luc Coudray fait de la philosophie sauvage, sous forme de petites histoires absurdes. Moebius illustre chacune d'entre elle d'une image.
Un exemple :
« Il est impossible de croire à la fois à Adam et Eve et aux hommes préhistoriques, dit un savant.
- Moi, je crois aux deux, dit Monsieur Mouche
-Dans ce cas, il y aurait deux origines aux hommes, dit le savant.
-Il y a bien deux sortes d’hommes, répondit Monsieur Mouche : les croyants et les non-croyants. »
Voilà, ce n’est pas beau ça ? Et des histoires comme celle-là, il y en a 22 ! Evidement, elles ne sont pas toutes aussi bonne, mais la barre reste haute!
Evidement, ça se lit vite, mais la plupart d’entre elles laissent rêveur. Un bien bel ouvrage.
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Le Sommeil du Monstre
Voilà le premier tome de ce qui pourrait bien s'avérer une série culte! J'apprécie énormément le dessin, très particulier, limite un peu brouillon, mais très dynamique. Et les couleurs polluées, sales, qui contribuent vraiment à l'atmosphère du récit. Quand a ce dernier, il est tout simplement excellentissime, peu de scénarios de SF en BD ont eu le don d'autant m'intéresser; c'est bourré d'originalité, complexe, tout en gardant un rythme soutenu qui fait que jamais l'on ne s'ennuie. Franchement, pour moi, quoi qu'on en dise (et même si le personnage est, paraît-il, assez imbuvable) Bilal est vraiment un grand maître de la bédé. Evidemment, la suite se fait attendre, trop, beaucoup trop...mais bon, la qualité de cette bédé me pousse à l'indulgence.
Pastille
Contrairement à l'avis du posteur, je suis bien rentrée dans cette petite BD. Elle fait appel à nos peurs d'enfants : j'ai fait une bétise, il faut que je m'enfuis sinon ma maman va crier ... ect... La cruauté des frères et/ou soeurs qui ont un rôle souvent ambigue, à la fois mechant et protecteur ... L'illustration, plutot bien réussie. Pourquoi une tete de pastille ? je me pose encore la question mais bon ... Une petite BD pour enfant qui peut se lire par des adultes sans problème, même si on aura pas le même regard.
Rural !
Voilà vraiment un genre nouveau: le bédé-reportage. En effet, cette bédé se lit comme on regarde un documentaire, et un bon documentaire qui plus est. Bon, je ne vous cacherai pas que le thème m'intéressait bien à la base, et que cela explique peut-être pourquoi cette bédé m'a bien plu. On apprend pas mal de choses, et on a vraiment l’impression de se plonger dans le quotidien de ce coin perdu, aux côtés du dessinateur... Moins aride qu’un article de fond, moins voyeur qu’une émission télé, c’est donc un témoignage illustré avec beaucoup de finesse, d’humour et de sensibilité. Bref, une jolie réussite.
James Healer
un 3/5 qui frise le 4/5. Les dessins sont très beaux. Pour le prix (5 euros), c'est une lecture agréable, très divertissant, sans non plus tirer du génie. Ce premier tome est pas mal et nous met l'eau à la bouche pour les suivants, qui connaissant les autres productions de Swolfs, devraient valoir le coup d'oeil. A espérer que la série ne s'éternise pas non plus
L'Epée Noire du Pentaskel
Vraiment très, très bien... Pour ceux qui n'aime pas les dessin touffus, et sombres je la déconseille, mais pour tous les autre ... l'histoire ne m'a pas passioné, mais les dessins, ... ! L'histoire est malheureusement trop connue, rivalité entre les plus puissants, où le héros, par le biais de l'épée noire va aider le peuple. A voir au moins une fois.
Gil St André
Bon allez soyons honnête, j'ai passé du bon temps avec cette histoire policière somme toute assez bien ficelée. Le scénar tient la route même si la première histoire basée sur le psychopathe semble avoir été bouclée de manière un peu surprenante. Sans doute que le problème qui s'est posé au scénariste aprés le premier album, a été de relancer un suspense que la mort de tueur en série avait un peu fait retomber. A la lecture des quatre tomes, on n'est toutefois pas décu. Les ficelles de l'histoire policière sont bien mobilisées et les personnages hyper stéréotypés sont distrayants. Quant au dessin, son évolution au cours des différents tomes se fait en douceur. Le changement de dessinnateurs s'est fait en douceur et dans la cohérence. On peut toutefois remarquer qu'entre le gill de début et celui de la fin, il y a un gros écart. La physionomie du personnage s'est aseptisée, standardisée mais sans que cela soit vraiment génant. Le seul bémol que je mettrais concerne finalement le vocabulaire des personnages... à force de se vouloir trés proche de la réalité, il sonne faux parfois. Mais là encore, ce genre de chipottage n'engage que moi.
Lincoln
Ma foi, bien sympathique cette BD là ! Bien sûr, comme le souligne Pat, difficile de lire cette série sans penser à Lapinot et consors. Même style d'humour tout en finesse, de dialogues très travaillés, et de dessin dans le courant "nouvelle BD", que l'on retrouve chez Sfar ou Blain, par exemple. Bon, rien de révolutionnaire non plus, mais un premier tome qui se lit d'une traite avec beaucoup de plaisir, et c'est l'essentiel ! Les différents textes sont vraiment très bons, et font à eux seuls tout le charme de cette bande dessinée. Les échanges entre dieux et Lincoln sont vraiment très forts, bien pensés, jamais vulgaires... c'est plutot bon ! Le personnage principal (Lincoln, donc, pour ceux du fond) est l'anti-héros par difinition. Le pauvre type, Louzeur, qu'on a plus envie de haïr que d'apprécier, c'est sûr ! Mais sa relation avec Dieu est tout simplement bluffante... Pour le Créateur, c'est pas gagné d'avance :) Le dessin de Jérôme Jouvray est quant à lui assez sympa, comme je l'ai déjà dis bien dans le mouv' "Nouvelle BD". Formes simples, style un peu brouillon, et mise en couleur (par la soeurette :)) vraiment sympa, en couleurs pleines. Un album familial, donc, qui lance surement le début d'une série vraiment sympa !
Mary la Noire
Moi aussi, j'ai enfin lu du Florence Magnin. Et c'est très "mignon" : j'aime la finesse de son dessin et ses perspectives tronquées, j'aime ses couleurs pastels et ses effets verdâtres. C'est tout simplement beau et original. Le scénario de Rodolphe, qui reste cependant très classique, est attachant et bien mené. Certains passages (je pense à ceux qui se déroulent sur l'île) sont passionnants, d'autres un peu moins, il y a certaines longueurs un peu inutiles dans le premier tome. Mais je chipote. J'étais vraiment ravi de relire une histoire de ce genre, de "l'aventure" à l'état brut avec des pirates et des fantômes! Un rêve de gosse!
Le Scorpion
La série toute entière est rythmée par ces phrases pleine de sens qui s'imposent comme des vérités. Car c'est bien cela que recherche le Scorpion : la vérité. Et puis il y a le dessin de Marini : élégant, fin, dynamique. Le souci du détail est partout : les combats à l'épée respectent les règles propres à l'escrimeur, les costumes ressemblent parfaitement à ceux de l'époque, les décors resplendissent. Rome toute entière brille sous les traits et les couleurs flamboyantes de Marini. Car les couleurs aussi sont incroyablement belles, et cela dans chacun des trois tomes déjà parus. Il n'y a qu'à regarder les couvertures pour s'en apercevoir. Après L'étoile du Désert chez le même éditeur, le duo Desberg/Marini continue de nous faire rêver
Les Histoires de Monsieur Mouche
Un bouquin étrange, aux limites de la bande dessinée. Jean-Luc Coudray fait de la philosophie sauvage, sous forme de petites histoires absurdes. Moebius illustre chacune d'entre elle d'une image. Un exemple : « Il est impossible de croire à la fois à Adam et Eve et aux hommes préhistoriques, dit un savant. - Moi, je crois aux deux, dit Monsieur Mouche -Dans ce cas, il y aurait deux origines aux hommes, dit le savant. -Il y a bien deux sortes d’hommes, répondit Monsieur Mouche : les croyants et les non-croyants. » Voilà, ce n’est pas beau ça ? Et des histoires comme celle-là, il y en a 22 ! Evidement, elles ne sont pas toutes aussi bonne, mais la barre reste haute! Evidement, ça se lit vite, mais la plupart d’entre elles laissent rêveur. Un bien bel ouvrage.