Comme Koblenz une tres bonne serie melant histoire d'amour, legendes chinoises, fantastique.
Le scenar est agreable, les perso attachants, la fin tres inattendu, pour les dessins j'aime bien le style de Robin, les couleurs sont agreables.
Une bonne BD, a lire.
Y a pas photo ! Je suis né dedans et j'ai grandi dedans. Un pilier de la bd, au même titre que Gaston et Astérix. Mes moments de solitude, je les ai partagés avec Tintin. Une grande émotion !
Merci Hergé !!!
Quelle merveille !
Loisel a su transformer ce classique de la litterature de James Matthew Barry en une oeuvre d'une grande poésie, au même titre que la quête de l'oiseau du temps ! Les dialogues, très travaillés, nous emportent dans un monde où la pauvreté est partout, ou les adultes sont mauvais, moqueurs et sans avenirs... Autant de bonnes raisons pour Peter de les détester et de quitter ce monde pour celui du capitaine Crochet !
Les illustrations de Loisel sont superbes. Les couleurs instaurent en effet une ambiance très particulière ! Dans le premier tome, on peut d'ailleurs retrouver cette ambiance dans des films tels que Sleepy Hollow ou encore From Hell. Une ville de Londres étouffée par le brouillard et la misère...
De tomes en tomes, la qualité de l'ensemble ne fait que grandir. L'auteur nous étonne, nous surprend ! Il a vraiment su prendre assez de liberté afin de trasnformer une histoire classique car connue de tous en quelquechose de merveilleux. C'est fort !
Le trait de Loisel est égal à celui de ses précédentes réalisations : efficace, il colle parfaitement avec le récit, et s'améliore lui aussi au fil des albums.
A lire d'urgence !!
Cette étrange série qu'est "La caste des méta-barons" ne manque pas de qualité. En effet, l'esthétique de la bande dessinée est ici poussé à son extrème, Jodorowsky et Gimenez offrant ici un véritable plaisir à leurs lecteurs.
On profite une fois de plus de la part de Jodorowsky d’une série particulièrement travaillée, autant du point de vue scénaristique que du point de vue esthétique, et ce pour notre plus grand plaisir !
Le scénario, assez riche en rebondissement, nous dévoile ici l'histoire de la caste des grands méta-barons, mercenaires à la solde du plus offrant, ayant maintes fois été la clé du destin de l'humanité. On découvre de plus l'étrange groupe composé des prétresses Shaba-Oud, puissantes sorcières... Effrayant ! Petit à petit, on apprend les fondements de la caste, et assiste à l'élaboration des traditions et des atouts de ces super guerriers...
Les illustrations, quant à elles, sont vraiment merveilleuses ! Un aperçu du cétacyborg, en pleine page au début du tome 3, suffit à noux convaincre du réel talent de Gimenez ! Les couleurs sont assez froides, et communiquent ainsi l'infini et l'immensité de l'univers dans lequel évoluent les différents méta-barons. Les combats spatiaux sont très dynamiques, et les personnages assez détaillés dans leurs attitudes. Du tout bon !
Ce série, d'un très grande qualité, est donc à conseiller à tous fan de Jodorowsky (et aux autres !), qui découvriront ici un univers hors du commun !
Gaston Lagaffe est un employé de bureau comme on n'en rêve pas : gaffeur invétéré, dormeur impénitent (il va jusqu'à installer un coussin sur son propre bureau), il ne sait produire que du courrier en retard qu'il accumule au-delà de toute proportion !
Bref, le stérotype du glandeur ingénieux dans toute sa splendeur ! Franquin réalise ici une série qui a réellement bercé mon enfance (j'ai appris à lire dans un recueil d'histoires de Gaston !). Et donc... attachement sentimental !
Mais tout de même, il faut dire que l'auteur a de l'idée !! Pouvoir en autant d'album inventer autant de situations délirantes sans jamais rentrer dans le domaine de la vulgarité ni de la platitude est vraiment fort, très fort ! A noter aussi le côté comique des petites signatures de Franquin en bas de chaque gag, souvent amusante et toujours en relation avec l'épisode (enfin, presque toujours !), qui par leur présence rendent la relecture des différents tome vraiment sympatique !
Les illustrations de Gastion, moins brouillons que celles de "Idées noires" (dont le style est d'ailleur voulu, et qui convient parfaitement à l'humour noir), sont très amusantes et très caricaturales des sociétés modernes (du moins à l'époque de la rédactions des différents tomes !!). Formes rondes, couleurs vives et assez plates... Avoir un nez comme celui de Gaston, quelle horreur ! :)
En bref, une série qu'il faut lire et relire ! Pour ma part, j'y retourne :).
Comme quoi, elle ne vieilli pas...
Superbe dyptique de Cosey, dans les silencieuses Alpes, avec pour héros un écrivain en quête d'inspiration. L'intrigue est, comme d'habitude chez ce merveilleux auteur, menée comme une chronique, un journal de voyage. C'est tranquille et fascinant, la rencontre avec la baigneuse est presque magique. Les décors montagnards sont somptueux... Le tout entre la poésie du réel et l'aventure romancée.
Cailleteau nous propose ici deux tomes très différents de sa série phare, Aquablue ! Sorte de "Resident Evil" de la BD, l'auteur nous fait découvrir un scénario de "Survival Horror" des plus réussis !
L'histoire, qui pourtant à lieu dans un vaisseau titanesque, nous fait très bien sentir l'aspect infini de l'univers dans lequel il évolue, rendant les différentes scènes écrasantes pour les différents protagonistes. Que l'on est petit dans un univers aussi gigantesque !
La narration, bien temporisée par des scènes d'action et de réflexion amène un début d'énigme assez prenant, que je vous laisse découvrir ! En bref, tout se tiens très bien et c'est la le principal !
Les illustrations réalisées par Bajram sont de grande qualité. L'illustrateur est un perfectionniste, nous avons pu nous en rendre compte en contemplant les différents tomes d'Universal War One (ma série SF culte !). La colorisation de Florence Breton est d'assez bonne qualité elle aussi, même si celle à laquel Bajram nous a habitué dans Universal War 1 nous manque un peu !
En bref, une série à découvrir au travers de deux tomes de grande qualité !
ces histoires en 1 planche sans parole sont hilarantes, ça me fait penser à bip-bip et le coyote, c'est toujours la même chose, mais ça se renouvelle à chaque fois. C'est sur que les dessins ne sont pas très beaux , mais ils sont agréables, ce qui compte ici c'est la fluidité, pour un rendu de dessin animé.
Cette BD est vraiment extrèmement drôle dans un univers à la Tim Burton. Les personnages secondaires sont hilarants comme le bourreau dépréssif, ou Talbakaze, le gardien maitre de la baston.
Les couleurs sont originales et superbes, les graphismes accrocheurs. L'histoire se déroule à 100 à l'heure, seul regret le tome 1 se termine en plein suspens, alors vite la suite.
A lire d'urgence.
Malheureusement pour ce second Opus j'ai été très déçu, mais alors très déçu :( . Non seulement on met près de 10 pages à faire le lien avec le précédent album (dans lequel on laisse Spoogue en pleine chute de la muraille d'un chateau dans le but de s'echapper). En fait il faut comprendre que l'action se passe quelques temps après, alors quel est l'interet de faire une fin d'album qui met en attente si c'est pour esquiver la résolution de cette scène. Bon passe encore, c'est moi qui suis lent à la détente, mais je trouve que les personnages ont moins d'humour, moins de charactère (le bourreau n'est plus dépressif, on ne sait pas trop pourquoi?).
Mais alors le ponpon c'est la mise en couleur (pourtant faite apparemment par le meme auteur) absolument CRADOTISSIME, des couleurs choisies dans les ocres moches, les visages qui étaient très lumineux dans le tome 1 avec une nuance dans l'eclairage sont Catastrophiquement réalisés avec un feutre rose d'une trousse d'ecolier. En fait on sent l'auteur pressé d'en finir (même les dessins sont moins nets. Je trouve qu'il y a quand même foutage de gueule (surtout que je l'ai acheté sans regardé faisant confiance à la qualité du tome 1).
Pour preuve de la difference de qualité entre le tome 1 et le tome 2:
-vignette 1 p 20 : c'est vraiment pas beau du tout.
-vignette 5 p 23 : il y a un probleme avec les armes qui sont colorier sur le bras, oups.
- Comparaison des couleurs de Albrecht p47 du tome 1 et de Albrecht p 20 du tome 2.
- Comparaison entre Glénouille p 46 du tome 1 et celle du tome 2 p 16
- etc, j'en passe et des meilleurs, ce qui était beau, lumineux, net, travaillé est maintenant moche (pour beaucoup de planches en tout cas), sombre, griboulli et baclé.
Beurk, Monsieur Milhiet, il faut faire un effort pour le prochain sinon ce sera sans moi.
Bon je suis sympa je n'enlève qu'une étoile.
C'est une merveille d'humour, mélant habilement philosophie et judaïsme. C'est un conte pour adulte et une discussion intelligente et drôle du judaïsme.Les dessins sont magnifiques, et ont une grande force expressive. On sort de la lecture de cet album apaisé. Il serait dommage de passer à coté d'un album d'une telle finesse, d'une telle intelligence.
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Rouge de Chine
Comme Koblenz une tres bonne serie melant histoire d'amour, legendes chinoises, fantastique. Le scenar est agreable, les perso attachants, la fin tres inattendu, pour les dessins j'aime bien le style de Robin, les couleurs sont agreables. Une bonne BD, a lire.
Les Aventures de Tintin
Y a pas photo ! Je suis né dedans et j'ai grandi dedans. Un pilier de la bd, au même titre que Gaston et Astérix. Mes moments de solitude, je les ai partagés avec Tintin. Une grande émotion ! Merci Hergé !!!
Peter Pan
Quelle merveille ! Loisel a su transformer ce classique de la litterature de James Matthew Barry en une oeuvre d'une grande poésie, au même titre que la quête de l'oiseau du temps ! Les dialogues, très travaillés, nous emportent dans un monde où la pauvreté est partout, ou les adultes sont mauvais, moqueurs et sans avenirs... Autant de bonnes raisons pour Peter de les détester et de quitter ce monde pour celui du capitaine Crochet ! Les illustrations de Loisel sont superbes. Les couleurs instaurent en effet une ambiance très particulière ! Dans le premier tome, on peut d'ailleurs retrouver cette ambiance dans des films tels que Sleepy Hollow ou encore From Hell. Une ville de Londres étouffée par le brouillard et la misère... De tomes en tomes, la qualité de l'ensemble ne fait que grandir. L'auteur nous étonne, nous surprend ! Il a vraiment su prendre assez de liberté afin de trasnformer une histoire classique car connue de tous en quelquechose de merveilleux. C'est fort ! Le trait de Loisel est égal à celui de ses précédentes réalisations : efficace, il colle parfaitement avec le récit, et s'améliore lui aussi au fil des albums. A lire d'urgence !!
La Caste des Méta-barons
Cette étrange série qu'est "La caste des méta-barons" ne manque pas de qualité. En effet, l'esthétique de la bande dessinée est ici poussé à son extrème, Jodorowsky et Gimenez offrant ici un véritable plaisir à leurs lecteurs. On profite une fois de plus de la part de Jodorowsky d’une série particulièrement travaillée, autant du point de vue scénaristique que du point de vue esthétique, et ce pour notre plus grand plaisir ! Le scénario, assez riche en rebondissement, nous dévoile ici l'histoire de la caste des grands méta-barons, mercenaires à la solde du plus offrant, ayant maintes fois été la clé du destin de l'humanité. On découvre de plus l'étrange groupe composé des prétresses Shaba-Oud, puissantes sorcières... Effrayant ! Petit à petit, on apprend les fondements de la caste, et assiste à l'élaboration des traditions et des atouts de ces super guerriers... Les illustrations, quant à elles, sont vraiment merveilleuses ! Un aperçu du cétacyborg, en pleine page au début du tome 3, suffit à noux convaincre du réel talent de Gimenez ! Les couleurs sont assez froides, et communiquent ainsi l'infini et l'immensité de l'univers dans lequel évoluent les différents méta-barons. Les combats spatiaux sont très dynamiques, et les personnages assez détaillés dans leurs attitudes. Du tout bon ! Ce série, d'un très grande qualité, est donc à conseiller à tous fan de Jodorowsky (et aux autres !), qui découvriront ici un univers hors du commun !
Gaston Lagaffe
Gaston Lagaffe est un employé de bureau comme on n'en rêve pas : gaffeur invétéré, dormeur impénitent (il va jusqu'à installer un coussin sur son propre bureau), il ne sait produire que du courrier en retard qu'il accumule au-delà de toute proportion ! Bref, le stérotype du glandeur ingénieux dans toute sa splendeur ! Franquin réalise ici une série qui a réellement bercé mon enfance (j'ai appris à lire dans un recueil d'histoires de Gaston !). Et donc... attachement sentimental ! Mais tout de même, il faut dire que l'auteur a de l'idée !! Pouvoir en autant d'album inventer autant de situations délirantes sans jamais rentrer dans le domaine de la vulgarité ni de la platitude est vraiment fort, très fort ! A noter aussi le côté comique des petites signatures de Franquin en bas de chaque gag, souvent amusante et toujours en relation avec l'épisode (enfin, presque toujours !), qui par leur présence rendent la relecture des différents tome vraiment sympatique ! Les illustrations de Gastion, moins brouillons que celles de "Idées noires" (dont le style est d'ailleur voulu, et qui convient parfaitement à l'humour noir), sont très amusantes et très caricaturales des sociétés modernes (du moins à l'époque de la rédactions des différents tomes !!). Formes rondes, couleurs vives et assez plates... Avoir un nez comme celui de Gaston, quelle horreur ! :) En bref, une série qu'il faut lire et relire ! Pour ma part, j'y retourne :). Comme quoi, elle ne vieilli pas...
A la recherche de Peter Pan
Superbe dyptique de Cosey, dans les silencieuses Alpes, avec pour héros un écrivain en quête d'inspiration. L'intrigue est, comme d'habitude chez ce merveilleux auteur, menée comme une chronique, un journal de voyage. C'est tranquille et fascinant, la rencontre avec la baigneuse est presque magique. Les décors montagnards sont somptueux... Le tout entre la poésie du réel et l'aventure romancée.
Cryozone
Cailleteau nous propose ici deux tomes très différents de sa série phare, Aquablue ! Sorte de "Resident Evil" de la BD, l'auteur nous fait découvrir un scénario de "Survival Horror" des plus réussis ! L'histoire, qui pourtant à lieu dans un vaisseau titanesque, nous fait très bien sentir l'aspect infini de l'univers dans lequel il évolue, rendant les différentes scènes écrasantes pour les différents protagonistes. Que l'on est petit dans un univers aussi gigantesque ! La narration, bien temporisée par des scènes d'action et de réflexion amène un début d'énigme assez prenant, que je vous laisse découvrir ! En bref, tout se tiens très bien et c'est la le principal ! Les illustrations réalisées par Bajram sont de grande qualité. L'illustrateur est un perfectionniste, nous avons pu nous en rendre compte en contemplant les différents tomes d'Universal War One (ma série SF culte !). La colorisation de Florence Breton est d'assez bonne qualité elle aussi, même si celle à laquel Bajram nous a habitué dans Universal War 1 nous manque un peu ! En bref, une série à découvrir au travers de deux tomes de grande qualité !
Mister O
ces histoires en 1 planche sans parole sont hilarantes, ça me fait penser à bip-bip et le coyote, c'est toujours la même chose, mais ça se renouvelle à chaque fois. C'est sur que les dessins ne sont pas très beaux , mais ils sont agréables, ce qui compte ici c'est la fluidité, pour un rendu de dessin animé.
Spoogue
Cette BD est vraiment extrèmement drôle dans un univers à la Tim Burton. Les personnages secondaires sont hilarants comme le bourreau dépréssif, ou Talbakaze, le gardien maitre de la baston. Les couleurs sont originales et superbes, les graphismes accrocheurs. L'histoire se déroule à 100 à l'heure, seul regret le tome 1 se termine en plein suspens, alors vite la suite. A lire d'urgence. Malheureusement pour ce second Opus j'ai été très déçu, mais alors très déçu :( . Non seulement on met près de 10 pages à faire le lien avec le précédent album (dans lequel on laisse Spoogue en pleine chute de la muraille d'un chateau dans le but de s'echapper). En fait il faut comprendre que l'action se passe quelques temps après, alors quel est l'interet de faire une fin d'album qui met en attente si c'est pour esquiver la résolution de cette scène. Bon passe encore, c'est moi qui suis lent à la détente, mais je trouve que les personnages ont moins d'humour, moins de charactère (le bourreau n'est plus dépressif, on ne sait pas trop pourquoi?). Mais alors le ponpon c'est la mise en couleur (pourtant faite apparemment par le meme auteur) absolument CRADOTISSIME, des couleurs choisies dans les ocres moches, les visages qui étaient très lumineux dans le tome 1 avec une nuance dans l'eclairage sont Catastrophiquement réalisés avec un feutre rose d'une trousse d'ecolier. En fait on sent l'auteur pressé d'en finir (même les dessins sont moins nets. Je trouve qu'il y a quand même foutage de gueule (surtout que je l'ai acheté sans regardé faisant confiance à la qualité du tome 1). Pour preuve de la difference de qualité entre le tome 1 et le tome 2: -vignette 1 p 20 : c'est vraiment pas beau du tout. -vignette 5 p 23 : il y a un probleme avec les armes qui sont colorier sur le bras, oups. - Comparaison des couleurs de Albrecht p47 du tome 1 et de Albrecht p 20 du tome 2. - Comparaison entre Glénouille p 46 du tome 1 et celle du tome 2 p 16 - etc, j'en passe et des meilleurs, ce qui était beau, lumineux, net, travaillé est maintenant moche (pour beaucoup de planches en tout cas), sombre, griboulli et baclé. Beurk, Monsieur Milhiet, il faut faire un effort pour le prochain sinon ce sera sans moi. Bon je suis sympa je n'enlève qu'une étoile.
Le Chat du Rabbin
C'est une merveille d'humour, mélant habilement philosophie et judaïsme. C'est un conte pour adulte et une discussion intelligente et drôle du judaïsme.Les dessins sont magnifiques, et ont une grande force expressive. On sort de la lecture de cet album apaisé. Il serait dommage de passer à coté d'un album d'une telle finesse, d'une telle intelligence.