Cet album m'a bien plu dans l'ensemble, plus au niveau de l'histoire que du dessin d'ailleurs même si ce dernier correspond au sujet par sa simplicité et son humour.
Chaque case est un gag à elle seule et pleine de cynisme ou empreinte de bonheur, malaise ou tristesse. On s'attache à tous les personnages, de Marco au vieux monsieur en passant par Adolf, le p'tit diable de chat. Ils sont si justes, si vrais, qu'on ne peut que prendre plaisir à les découvrir et à pardonner leurs faiblesses ou erreurs. Le psy est criant de vérité mais pas dénué d'utilité pour autant. Quant à la mère de Marco, elle est délicieusement exaspérante! :)
Cette histoire c'est simplement une tranche de vie, plus ou moins intime (à ces moments, le style graphique change) à savourer et à s'identifier...:)
Je suis un peu déçu par les avis qui me précèdent, car tout le monde (a peu près) s'accorde à dire que le premier cycle mérite au moins 4/5. Je trouve que la note globale ne fait pas suffisament ressortir ce sentiment. (Il serait peut être plus juste de séparer les cycles)
Mon avis :
Malgré l'attente du dernier opus de la première série, cette BD m'a transformé en passionné.
Le scénario bien contruit et les dessins précis font que l'on dévore et redévore cette 1ère série.
Scénario bien ficelé avec de nombreux rebondissements.
Planches simples accompagnés de couleurs superbes. Quelques une sont impressionantes, on dirait de véritable tableaux (New York, la jungle,...).
Je trouve que l'on entre facilement dans la peau de ce personnage auquel on s'attache au fil de l'histoire...On ne lui souhaite qu'une chose : trouver la paix intérieure!
Parmi les raisons qui font que l’humour de Reiser ne fait pas marrer tout le monde, il y a le fait que pas mal de ses gags étaient liés à l’actualité de l’époque ; or l’époque en question remonte à 25-30 ans, donc forcément, aujourd’hui, ça peut paraître daté. Mais Mon Papa, contrairement aux Années Reiser, est un album qu’on peut considérer « intemporel » de par les sujets qu’il aborde, l’alcoolisme et le chômage en tête. Le trait rappelle un Sempé en plus simplet et un petit peu plus crado (mais pas tant que ça, on n’est pas dans Gros Dégueulasse non plus), ce qui fait que Mon Papa a parfois de faux airs de Petit Nicolas version trash. C’est très, très noir et ceux qui estiment qu’on ne peut pas rire de tout risquent d’être choqués face à cet humour corrosif et sans tabou dans lequel Reiser excellait, avec lequel il montrait l’horreur banale et quotidienne dans toute son absurdité (putain, j’en sors de beaux clichés, moi, quand je m’y mets).
Pour ceux que les gags disons « limites » ne rebutent pas, en revanche, Mon Papa contient de petits chef-d’œuvres d’humour noir à ne pas manquer (je crois que mon préféré est l’affreux « On joue au cheval ? », vous m’en direz des nouvelles).
J'ai passé un excellent moment en lisant cette BD.
On suit l'histoire du petit Jean, dont le cauchemar débute à son entrée au phalanstère, qu'il va petit a petit explorer, perçant ainsi les mystères de son univers froid, lugubre et sombre.
J'ai adoré le dessin de Bouillez (en noir et blanc), qui correspond parfaitement au scénario de Corbeyran, les décors me rappellent ceux de "L'Etrange Noël de Monsieur Jack" de Tim Burton et le personnage principal, "Vincent", toujours de Tim Burton.
Une histoire noire, dure, pleine de touille ;) et sans happy end, mais qu'est-ce que c'est bon!
J'ai eu du mal à accrocher à ce cycle du Donjon dès le début. Le dessin ne me plaît que moyennement, et l'intrigue me semblait bateau. Je me suis bien vite rendu compte de mon erreur. Le ton sérieux de la série est très différent du sérieux de Crépuscule. Crépuscule s'intéresse à l'évolution de son univers, pour le moins dramatique. Ici, les auteurs nous mettent face à des problèmes réalistes en dénonçant divers comportements de notre société (cf. le tome 3, excellent). Mais l'humour à côté de ça et très très présent, et ce jeune gardien qui devait incarner le classique personnage du naïf bouseux trop gentil s'installant en ville, je le trouve finalement original. Il a un je-ne-sais-quoi d'attachant, et ses questionnements constants en font le seul héros du Donjon à qui il est possible de s'identifier.
L'évolution du château en Donjon, déjà avancée à la fin du tome 3, est passionnante à suivre.
Du tout bon !
Le meilleur cycle du Donjon. En tous points. Le seul défaut, comme l'ont déjà fait remarquer certains, est l'évolution du dessin de Sfar vers son style personnel, que je n'apprécie guère... On ne peut pas vraiment lui en vouloir, c'est même louable.
Découvrir ce Marvin sage et aveugle, ce Herbert démoniaque, ce monde en équilibre bancal (d'ailleurs plus que bancal dans le tome 3), donne non seulement tout son intérêt à la série, mais insinue en nous un arrière-goût nostalgique (accentué par le ton sérieux) de la bonne vieille époque du Zénith. Cela doit être magnifique de pouvoir dessiner la nostalgie sans ses inconvénients, puisque les bons moment de la série principale sont encore devant pour la plupart. Je ne voudrais pas trop vous en dire pour vous laisser une part de mystère.
PS : Evidemment cette série n'acquiert les 5 étoiles que si l'on connaît l'univers global du Donjon, ce que je conseille fortement.
PS2 : J'inclue dans cet avis les tomes de Donjon Monsters de l'époque Crépuscule, les tomes 3 et 4 notamment).
Je suis rentré dans les Donjon et pas près d'en ressortir!
"Donjon Zénith", la série principale, est déjantée juste ce qu'il faut, sérieuse juste ce qu'il faut (donc vraiment pas beaucoup, mais juste assez pour impressionner, comme dans le magnifique tome 2), dessinée juste comme il faut (simple sans être désagréable, efficace donc). L'humour omniprésent de la série est spécial : on aime beaucoup ou on aime un peu moins. Personnellement j'accroche assez méchamment (Herbert se déguisant en pieuvre et adoptant leur rire démoniaque, Marvin chez les lapins annonçant qu'il détruira leur village, Marvin chez les lapins encore plus tard quand on se rend compte dans Crépuscule qu'il a vraiment détruit le village...), bref quasiment rien à redire. Si je ne mets pas 5, c'est que je lui préfère un chouïa Crépuscule.
DEVOREZ CA IMMEDIATEMENT NOM D'UN CHIEN !
Ajout : je viens de relire le tome 2 "Le roi de la bagarre", et je voudrais juste dire que c'est un chef-d'oeuvre. Rarement je n'ai lu une bd qui combine l'humour et la réflexion avec une maitrise aussi parfaite. Un seul mot : bravo messieurs trondheim et sfar.
Publié à L'association dans le cadre de l'Oubapo (Ouvroir de Bande dessinée Potentielle, équivalent BD de l'Oulipo), "Cercle Vicieux" est un excellent cru, avec la mise en place d'une idée surprenante, ingénieuse comme tout, et qui a dû demander un travail considérable. C'est par Lécroart, dont j'apprécie assez les graphismes, dont se dégage beaucoup d'humour, et ça coûte 6 petits euros.
Je vous le conseille. :)
Excellent. Ah, je me suis fait un vrai plaisir en lisant cette série d'un bloc. Le dessin n'est pas mauvais du tout (surtout sur certaines cases "choc", quand Holiday a signé ses crimes). Mais surtout le scénario est excellent. Les personnages sont bons (notamment Harvey Dent, Jim Gordon et leurs femmes respectives). Le personnage de Batman y est très sympa, ainsi que celui de Catwoman (Mrrrrow...).
L'enquête, tout le côté thriller et mystère de cette série, est excellente. On suit le tout avec bonheur, et toute l'histoire coule à la perfection. Et surtout, chose que j'adore dans une BD, la fin est vraiment bonne. Il y a, à la toute fin, le retournement de situation, le petit truc en plus qui rend toute la série encore meilleure.
Le petit défaut que je peux reprocher au scénario, c'est une utilisation un peu trop abusive des ennemis extraordinaires de Batman : l'apparition de l'Epouvantail, du Chapelier Fou et de Poison Ivy sont à mon avis dispensables. Mais bon, cela ne gène pas vraiment le déroulement de l'histoire.
Franchement, j'ai vraiment eu une bonne surprise avec cette série qu'est le "Long Halloween", et je suis déçu qu'elle ne soit pas sortie en format plus solide, ou en intégrale cartonnée, en France.
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Le combat ordinaire
Cet album m'a bien plu dans l'ensemble, plus au niveau de l'histoire que du dessin d'ailleurs même si ce dernier correspond au sujet par sa simplicité et son humour. Chaque case est un gag à elle seule et pleine de cynisme ou empreinte de bonheur, malaise ou tristesse. On s'attache à tous les personnages, de Marco au vieux monsieur en passant par Adolf, le p'tit diable de chat. Ils sont si justes, si vrais, qu'on ne peut que prendre plaisir à les découvrir et à pardonner leurs faiblesses ou erreurs. Le psy est criant de vérité mais pas dénué d'utilité pour autant. Quant à la mère de Marco, elle est délicieusement exaspérante! :) Cette histoire c'est simplement une tranche de vie, plus ou moins intime (à ces moments, le style graphique change) à savourer et à s'identifier...:)
Aquablue
Je suis un peu déçu par les avis qui me précèdent, car tout le monde (a peu près) s'accorde à dire que le premier cycle mérite au moins 4/5. Je trouve que la note globale ne fait pas suffisament ressortir ce sentiment. (Il serait peut être plus juste de séparer les cycles) Mon avis : Malgré l'attente du dernier opus de la première série, cette BD m'a transformé en passionné. Le scénario bien contruit et les dessins précis font que l'on dévore et redévore cette 1ère série.
Le Tueur
Scénario bien ficelé avec de nombreux rebondissements. Planches simples accompagnés de couleurs superbes. Quelques une sont impressionantes, on dirait de véritable tableaux (New York, la jungle,...). Je trouve que l'on entre facilement dans la peau de ce personnage auquel on s'attache au fil de l'histoire...On ne lui souhaite qu'une chose : trouver la paix intérieure!
Mon Papa
Parmi les raisons qui font que l’humour de Reiser ne fait pas marrer tout le monde, il y a le fait que pas mal de ses gags étaient liés à l’actualité de l’époque ; or l’époque en question remonte à 25-30 ans, donc forcément, aujourd’hui, ça peut paraître daté. Mais Mon Papa, contrairement aux Années Reiser, est un album qu’on peut considérer « intemporel » de par les sujets qu’il aborde, l’alcoolisme et le chômage en tête. Le trait rappelle un Sempé en plus simplet et un petit peu plus crado (mais pas tant que ça, on n’est pas dans Gros Dégueulasse non plus), ce qui fait que Mon Papa a parfois de faux airs de Petit Nicolas version trash. C’est très, très noir et ceux qui estiment qu’on ne peut pas rire de tout risquent d’être choqués face à cet humour corrosif et sans tabou dans lequel Reiser excellait, avec lequel il montrait l’horreur banale et quotidienne dans toute son absurdité (putain, j’en sors de beaux clichés, moi, quand je m’y mets). Pour ceux que les gags disons « limites » ne rebutent pas, en revanche, Mon Papa contient de petits chef-d’œuvres d’humour noir à ne pas manquer (je crois que mon préféré est l’affreux « On joue au cheval ? », vous m’en direz des nouvelles).
Le phalanstère du bout du monde
J'ai passé un excellent moment en lisant cette BD. On suit l'histoire du petit Jean, dont le cauchemar débute à son entrée au phalanstère, qu'il va petit a petit explorer, perçant ainsi les mystères de son univers froid, lugubre et sombre. J'ai adoré le dessin de Bouillez (en noir et blanc), qui correspond parfaitement au scénario de Corbeyran, les décors me rappellent ceux de "L'Etrange Noël de Monsieur Jack" de Tim Burton et le personnage principal, "Vincent", toujours de Tim Burton. Une histoire noire, dure, pleine de touille ;) et sans happy end, mais qu'est-ce que c'est bon!
Donjon Potron-minet
J'ai eu du mal à accrocher à ce cycle du Donjon dès le début. Le dessin ne me plaît que moyennement, et l'intrigue me semblait bateau. Je me suis bien vite rendu compte de mon erreur. Le ton sérieux de la série est très différent du sérieux de Crépuscule. Crépuscule s'intéresse à l'évolution de son univers, pour le moins dramatique. Ici, les auteurs nous mettent face à des problèmes réalistes en dénonçant divers comportements de notre société (cf. le tome 3, excellent). Mais l'humour à côté de ça et très très présent, et ce jeune gardien qui devait incarner le classique personnage du naïf bouseux trop gentil s'installant en ville, je le trouve finalement original. Il a un je-ne-sais-quoi d'attachant, et ses questionnements constants en font le seul héros du Donjon à qui il est possible de s'identifier. L'évolution du château en Donjon, déjà avancée à la fin du tome 3, est passionnante à suivre. Du tout bon !
Donjon Crépuscule
Le meilleur cycle du Donjon. En tous points. Le seul défaut, comme l'ont déjà fait remarquer certains, est l'évolution du dessin de Sfar vers son style personnel, que je n'apprécie guère... On ne peut pas vraiment lui en vouloir, c'est même louable. Découvrir ce Marvin sage et aveugle, ce Herbert démoniaque, ce monde en équilibre bancal (d'ailleurs plus que bancal dans le tome 3), donne non seulement tout son intérêt à la série, mais insinue en nous un arrière-goût nostalgique (accentué par le ton sérieux) de la bonne vieille époque du Zénith. Cela doit être magnifique de pouvoir dessiner la nostalgie sans ses inconvénients, puisque les bons moment de la série principale sont encore devant pour la plupart. Je ne voudrais pas trop vous en dire pour vous laisser une part de mystère. PS : Evidemment cette série n'acquiert les 5 étoiles que si l'on connaît l'univers global du Donjon, ce que je conseille fortement. PS2 : J'inclue dans cet avis les tomes de Donjon Monsters de l'époque Crépuscule, les tomes 3 et 4 notamment).
Donjon Zenith
Je suis rentré dans les Donjon et pas près d'en ressortir! "Donjon Zénith", la série principale, est déjantée juste ce qu'il faut, sérieuse juste ce qu'il faut (donc vraiment pas beaucoup, mais juste assez pour impressionner, comme dans le magnifique tome 2), dessinée juste comme il faut (simple sans être désagréable, efficace donc). L'humour omniprésent de la série est spécial : on aime beaucoup ou on aime un peu moins. Personnellement j'accroche assez méchamment (Herbert se déguisant en pieuvre et adoptant leur rire démoniaque, Marvin chez les lapins annonçant qu'il détruira leur village, Marvin chez les lapins encore plus tard quand on se rend compte dans Crépuscule qu'il a vraiment détruit le village...), bref quasiment rien à redire. Si je ne mets pas 5, c'est que je lui préfère un chouïa Crépuscule. DEVOREZ CA IMMEDIATEMENT NOM D'UN CHIEN ! Ajout : je viens de relire le tome 2 "Le roi de la bagarre", et je voudrais juste dire que c'est un chef-d'oeuvre. Rarement je n'ai lu une bd qui combine l'humour et la réflexion avec une maitrise aussi parfaite. Un seul mot : bravo messieurs trondheim et sfar.
Cercle vicieux
Publié à L'association dans le cadre de l'Oubapo (Ouvroir de Bande dessinée Potentielle, équivalent BD de l'Oulipo), "Cercle Vicieux" est un excellent cru, avec la mise en place d'une idée surprenante, ingénieuse comme tout, et qui a dû demander un travail considérable. C'est par Lécroart, dont j'apprécie assez les graphismes, dont se dégage beaucoup d'humour, et ça coûte 6 petits euros. Je vous le conseille. :)
Batman - Un long Halloween
Excellent. Ah, je me suis fait un vrai plaisir en lisant cette série d'un bloc. Le dessin n'est pas mauvais du tout (surtout sur certaines cases "choc", quand Holiday a signé ses crimes). Mais surtout le scénario est excellent. Les personnages sont bons (notamment Harvey Dent, Jim Gordon et leurs femmes respectives). Le personnage de Batman y est très sympa, ainsi que celui de Catwoman (Mrrrrow...). L'enquête, tout le côté thriller et mystère de cette série, est excellente. On suit le tout avec bonheur, et toute l'histoire coule à la perfection. Et surtout, chose que j'adore dans une BD, la fin est vraiment bonne. Il y a, à la toute fin, le retournement de situation, le petit truc en plus qui rend toute la série encore meilleure. Le petit défaut que je peux reprocher au scénario, c'est une utilisation un peu trop abusive des ennemis extraordinaires de Batman : l'apparition de l'Epouvantail, du Chapelier Fou et de Poison Ivy sont à mon avis dispensables. Mais bon, cela ne gène pas vraiment le déroulement de l'histoire. Franchement, j'ai vraiment eu une bonne surprise avec cette série qu'est le "Long Halloween", et je suis déçu qu'elle ne soit pas sortie en format plus solide, ou en intégrale cartonnée, en France.