Je me suis intéressé à Chabouté avec la réédition récente de Quelques jours d’été aux éditions Paquet ... et suis tombé aussitôt sous le charme du trait et de la maîtrise du N&B par cet auteur ... Graphiquement, ce One Shot est superbe.
Quant à l’histoire, on pourrait lui reprocher de tenir sur une feuille de papier à cigarettes. Toutefois, rien n’est laissé au hasard et si le récit pêche par son manque originalité, en revanche, il est très prenant de par l’ambiance qu’il s’en dégage. Le découpage du récit entretient la tension que procure ce remake de la bête du Guévaudan. D’ailleurs, pendant la lecture, j’ai un peu eu l’impression de partager les peurs de ces villageois, tellement les planches sont prenantes. Ceci dit, la fin est un peu prévisible mais clôture de façon honnête cet album.
Une bd vite lue effectivement, surtout si on ne prend pas le temps de regarder tout le travail qu’il y a derrière chaque planche.
Dire que Brunschwig est fort serait un euphémisme. Son scénar est génial, tant sur le fond que dans la forme. Son histoire mêle brillament réflexions sur l'auto-défense, le fascisme, la corruption, la folie, le don de soi, pour poser une question finalement pas si éloignée de celle de "Watchmen": la fin justifie t-elle tout? Son scénar est prenant et intelligent, rehaussé de plus par un auteur qui maîtrise sa narration comme personne. Mélangeant les personnages et les sous-histoires, les flash back (parfois très long) à la réalité, il donne tellement de substance à ses personnages qu'on progresse dans notre compréhension de ceux-ci à mesure que l'on progresse dans la compréhension de l'intrigue. Brunschwig est arrivé à pondre un polar psychologique et social comme je n'en ai jamais vu.
Chacun des 5 tomes apporte sa pierre à l'édifice: si le premier, par sa violence crue et le dernier, par sa fin sans compromis, sortent du lot, les autres, énormément centrés sur Providence, sont également d'une qualité évidente, laissant le temps au temps et plongeant dans le passé des personnages.
Je suis beaucoup moins convaincu par les dessins même si c'est la mise en couleur qui me gène le plus et qui finalement, empèche d'apprécier vraiment ces derniers. Un détail par rapport à l'excellence de cette série.
Toute la collection est captivante. Ce sont d'excellentes histoires de western.
C'est le hasard qui a mis blueberry sur ma route.
J'avais 12 ans lorsque j'ai gagné Fort Navajo lors d'une course pédestre gagnée.
J'ai accroché à l'histoire, j'ai adoré la serie principale puis la jeunesse.
L'album que je préfère est "Ballade pour un cercueil" qui finit le cycle du trésor des confédères en apothéose.
La série retrace très bien l'histoire des états-unis et celle du Mexique, plus particulièrement dans la jeunesse.
L'histoire est époustouflante jusqu'à "le bout de la piste". Par la suite, les épisodes sont excellents mais dans le personnage de Blueberry on sent une sorte de cassure. En effet, après avoir été emprisonné et mis hors-la loi, "l'enthousiasme" du personnage est tombé. De plus il n'est plus militaire depuis "Chihuahua Pearl"? L'armée était toute sa vie (voir la jeunesse).
Enfin, les personnages sont particulièrement réussis. Les traits sont bruts mais adaptes a un western. Seul bémol, les couleurs sont parfois pas adequates.
Vivement la suite il me tarde "dust" et le règlement de comptes a ok corral ainsi que ses conséquences. il me tarde aussi "le boucher de cincinatti".
Bd incontournables. Coucou toulousain.
"Encore de la Fantasy !" me direz-vous... Oui, de la Fantasy, mais de la bonne Fantasy, ouf !
Mario Alberti m'avait impressionné avec Morgana, et il confirme avec Redhand. Son dessin est tout à fait extraordinaire, et les couleurs ne gâchent rien, au contraire (alors arrêtons de râler après les couleurs à l'info, ça peut être sublime. Suffit de se sortir un peu les doigts...)
Le scénario est loin d'être réellement original, mais tout ce 1er tome est bien mené, l'aventure décolle bien, sans se poser trop de question. Très efficace.
Attention cependant... Ce 1er tome est certes bon, mais je reste toujours très méfiant face à ces histoires de prophétie et de grands guerriers super forts qui vont se battre contre les Dieux. Ca pourrait tourner à du gros bill... ce que je n'espère pas bien-sûr aux vues des qualités de ce 1er tome.
Parasite Kiseiju est un manga qui sort de l'ordinaire. C'est une série courte, rythmée et qui évolue néanmoins au fil des tomes.
Ce manga raconte l'histoire d'un ado japonais qui se fait parasiter la main par une forme de vie venue de l'espace. On pourrait penser qu'il est malchanceux, mais en fait si tout s'était passé comme prévu il serait mort et le parasite aurait pris le contrôle de son corps.
Au scénario fort bien ficelé (nombreux personnages interviennent dans l'histoire et des rebondissements) Parasite Kiseiju se lit avec une facilité et un plaisir que l'on ne peut que recommander.
J'ai découvert cette série un peu sur le tard, les 4 premiers tomes étaient sortis, mais en même temps, ça m'a permis de les lire tous quasiment d'un coup, et je les ai dévorés.
Le scénario nous tient en haleine tout au long de la série, avec parfois de légers ralentissements, mais c'est à mon avis pour mieux percevoir la vision cynique du monde du personnage principale.
Je trouve très forte le développement de la dualité des personnages, le tueur à gage besogneux et froid, désabusé de la race humaine, et capable d'un dévouement et de sacrifices pour ces gens qui commencent à le toucher de près. Le flic se liant au tueur, avec ce que ça entraîne pour lui et sa conscience,...
Le dessin est riche et simple à la fois je trouve, avec des grandes pages éclatées, très fortes.
Bref, une excellente BD, que je vous conseille fortement, si l'introspection fascinante d'un tueur à gage vous attire.
C'est un manga ENORME !
J'ai été très étonné en l'ouvrant, j'imaginais que je n'aimerais pas du tout (surtout à cause du titre, "Monster", je croyais que ce serait une histoire de monstres, une histoire remplie d'horreur, en d'autres termes, je croyais que ce n'était pas pour mon age), mais je me suis bien trompé, c'est vraiment génial (mais je préfère Quartier lointain).
On rentre dans l'histoire dès les premières pages et ensuite il est impossible d'en décrocher. Un super scénario pas banal rempli de suspens accompagné d'un très bon dessin.
A lire absolument, c'est un manga indispensable.
Voila un peu plus de 10 ans que je possède cette bd, je la relis à chaque fois avec le même plaisir et en même temps un petit quelque chose de différent, qui fait que je l'apprécie un peu plus.
Je ne me lasse pas de l'histoire de ces super héros sur le retour, torturés par leurs passés et leurs présent, et autour desquels la mort rode.
Je ne me lasse pas de savoir comment Dr Manhattan est devenu Dr Manhattan.
J’adore ces dessins un peu vieillots et ces couleurs un peu passées. Et le scénario est un régal, on les suit tous à la trace dans cet univers géopolitique enclin à la folie d’une guerre atomique.
C’est long, parfois dense, et souvent pas d’un dynamisme débordant, mais c’est génial.
Excellent...Fantastique...
Quand on lit ce manga, on pense très rapidement à DragonBall et à Shaman King, surtout à Shaman King, ces histoire d'aventures où on possède une force cachée (dans Shaman King, c'est le Furyoku je crois).
C'est un livre où il y a un grand récit d'aventure, dans un monde à la fois moyennageux et futuriste avec des dessins très sympas et attachants, un peu d'humour et beaucoup d'actions (c'est donc génial, j'adore).
De plus, il n'y a aucune répitition, il y a toujours des idées nouvelles. Sur 18 livres, l'auteur n'est toujours pas arrivé à court d'idée à en arriver a répéter ne serait-ce qu'une petite partie d'un tome antérieur.
C'est donc vraiment trop cool, on a toujours du nouveau à chaque tomes.
Vraiment excellent, indispensable pour les fans d'aventures (et de manga)
Taniguchi adapte huit nouvelles d’un écrivain inconnu chez nous. Huit portraits de personnages à un moment essentiel de leur vie. C’est plein de bons sentiments mais jamais réellement neu-neu. Le trait fin de Taniguchi et ses trames si subtiles apportent aux récits la délicatesse nécessaire pour donner à ces instants de vie immobiles une vraie identité visuelle. Car mettre en scène en bd des êtres immobiles en proie au doute, c’est toujours une gageure.
Il ne s’agit pas d’une œuvre aussi magistrale que « Quartier lointain » mais il y a de la grâce dans ces pages.
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La Bête
Je me suis intéressé à Chabouté avec la réédition récente de Quelques jours d’été aux éditions Paquet ... et suis tombé aussitôt sous le charme du trait et de la maîtrise du N&B par cet auteur ... Graphiquement, ce One Shot est superbe. Quant à l’histoire, on pourrait lui reprocher de tenir sur une feuille de papier à cigarettes. Toutefois, rien n’est laissé au hasard et si le récit pêche par son manque originalité, en revanche, il est très prenant de par l’ambiance qu’il s’en dégage. Le découpage du récit entretient la tension que procure ce remake de la bête du Guévaudan. D’ailleurs, pendant la lecture, j’ai un peu eu l’impression de partager les peurs de ces villageois, tellement les planches sont prenantes. Ceci dit, la fin est un peu prévisible mais clôture de façon honnête cet album. Une bd vite lue effectivement, surtout si on ne prend pas le temps de regarder tout le travail qu’il y a derrière chaque planche.
Le Pouvoir des innocents
Dire que Brunschwig est fort serait un euphémisme. Son scénar est génial, tant sur le fond que dans la forme. Son histoire mêle brillament réflexions sur l'auto-défense, le fascisme, la corruption, la folie, le don de soi, pour poser une question finalement pas si éloignée de celle de "Watchmen": la fin justifie t-elle tout? Son scénar est prenant et intelligent, rehaussé de plus par un auteur qui maîtrise sa narration comme personne. Mélangeant les personnages et les sous-histoires, les flash back (parfois très long) à la réalité, il donne tellement de substance à ses personnages qu'on progresse dans notre compréhension de ceux-ci à mesure que l'on progresse dans la compréhension de l'intrigue. Brunschwig est arrivé à pondre un polar psychologique et social comme je n'en ai jamais vu. Chacun des 5 tomes apporte sa pierre à l'édifice: si le premier, par sa violence crue et le dernier, par sa fin sans compromis, sortent du lot, les autres, énormément centrés sur Providence, sont également d'une qualité évidente, laissant le temps au temps et plongeant dans le passé des personnages. Je suis beaucoup moins convaincu par les dessins même si c'est la mise en couleur qui me gène le plus et qui finalement, empèche d'apprécier vraiment ces derniers. Un détail par rapport à l'excellence de cette série.
Blueberry
Toute la collection est captivante. Ce sont d'excellentes histoires de western. C'est le hasard qui a mis blueberry sur ma route. J'avais 12 ans lorsque j'ai gagné Fort Navajo lors d'une course pédestre gagnée. J'ai accroché à l'histoire, j'ai adoré la serie principale puis la jeunesse. L'album que je préfère est "Ballade pour un cercueil" qui finit le cycle du trésor des confédères en apothéose. La série retrace très bien l'histoire des états-unis et celle du Mexique, plus particulièrement dans la jeunesse. L'histoire est époustouflante jusqu'à "le bout de la piste". Par la suite, les épisodes sont excellents mais dans le personnage de Blueberry on sent une sorte de cassure. En effet, après avoir été emprisonné et mis hors-la loi, "l'enthousiasme" du personnage est tombé. De plus il n'est plus militaire depuis "Chihuahua Pearl"? L'armée était toute sa vie (voir la jeunesse). Enfin, les personnages sont particulièrement réussis. Les traits sont bruts mais adaptes a un western. Seul bémol, les couleurs sont parfois pas adequates. Vivement la suite il me tarde "dust" et le règlement de comptes a ok corral ainsi que ses conséquences. il me tarde aussi "le boucher de cincinatti". Bd incontournables. Coucou toulousain.
Redhand
"Encore de la Fantasy !" me direz-vous... Oui, de la Fantasy, mais de la bonne Fantasy, ouf ! Mario Alberti m'avait impressionné avec Morgana, et il confirme avec Redhand. Son dessin est tout à fait extraordinaire, et les couleurs ne gâchent rien, au contraire (alors arrêtons de râler après les couleurs à l'info, ça peut être sublime. Suffit de se sortir un peu les doigts...) Le scénario est loin d'être réellement original, mais tout ce 1er tome est bien mené, l'aventure décolle bien, sans se poser trop de question. Très efficace. Attention cependant... Ce 1er tome est certes bon, mais je reste toujours très méfiant face à ces histoires de prophétie et de grands guerriers super forts qui vont se battre contre les Dieux. Ca pourrait tourner à du gros bill... ce que je n'espère pas bien-sûr aux vues des qualités de ce 1er tome.
Parasite
Parasite Kiseiju est un manga qui sort de l'ordinaire. C'est une série courte, rythmée et qui évolue néanmoins au fil des tomes. Ce manga raconte l'histoire d'un ado japonais qui se fait parasiter la main par une forme de vie venue de l'espace. On pourrait penser qu'il est malchanceux, mais en fait si tout s'était passé comme prévu il serait mort et le parasite aurait pris le contrôle de son corps. Au scénario fort bien ficelé (nombreux personnages interviennent dans l'histoire et des rebondissements) Parasite Kiseiju se lit avec une facilité et un plaisir que l'on ne peut que recommander.
Le Tueur
J'ai découvert cette série un peu sur le tard, les 4 premiers tomes étaient sortis, mais en même temps, ça m'a permis de les lire tous quasiment d'un coup, et je les ai dévorés. Le scénario nous tient en haleine tout au long de la série, avec parfois de légers ralentissements, mais c'est à mon avis pour mieux percevoir la vision cynique du monde du personnage principale. Je trouve très forte le développement de la dualité des personnages, le tueur à gage besogneux et froid, désabusé de la race humaine, et capable d'un dévouement et de sacrifices pour ces gens qui commencent à le toucher de près. Le flic se liant au tueur, avec ce que ça entraîne pour lui et sa conscience,... Le dessin est riche et simple à la fois je trouve, avec des grandes pages éclatées, très fortes. Bref, une excellente BD, que je vous conseille fortement, si l'introspection fascinante d'un tueur à gage vous attire.
Monster
C'est un manga ENORME ! J'ai été très étonné en l'ouvrant, j'imaginais que je n'aimerais pas du tout (surtout à cause du titre, "Monster", je croyais que ce serait une histoire de monstres, une histoire remplie d'horreur, en d'autres termes, je croyais que ce n'était pas pour mon age), mais je me suis bien trompé, c'est vraiment génial (mais je préfère Quartier lointain). On rentre dans l'histoire dès les premières pages et ensuite il est impossible d'en décrocher. Un super scénario pas banal rempli de suspens accompagné d'un très bon dessin. A lire absolument, c'est un manga indispensable.
Watchmen
Voila un peu plus de 10 ans que je possède cette bd, je la relis à chaque fois avec le même plaisir et en même temps un petit quelque chose de différent, qui fait que je l'apprécie un peu plus. Je ne me lasse pas de l'histoire de ces super héros sur le retour, torturés par leurs passés et leurs présent, et autour desquels la mort rode. Je ne me lasse pas de savoir comment Dr Manhattan est devenu Dr Manhattan. J’adore ces dessins un peu vieillots et ces couleurs un peu passées. Et le scénario est un régal, on les suit tous à la trace dans cet univers géopolitique enclin à la folie d’une guerre atomique. C’est long, parfois dense, et souvent pas d’un dynamisme débordant, mais c’est génial.
Hunter X Hunter
Excellent...Fantastique... Quand on lit ce manga, on pense très rapidement à DragonBall et à Shaman King, surtout à Shaman King, ces histoire d'aventures où on possède une force cachée (dans Shaman King, c'est le Furyoku je crois). C'est un livre où il y a un grand récit d'aventure, dans un monde à la fois moyennageux et futuriste avec des dessins très sympas et attachants, un peu d'humour et beaucoup d'actions (c'est donc génial, j'adore). De plus, il n'y a aucune répitition, il y a toujours des idées nouvelles. Sur 18 livres, l'auteur n'est toujours pas arrivé à court d'idée à en arriver a répéter ne serait-ce qu'une petite partie d'un tome antérieur. C'est donc vraiment trop cool, on a toujours du nouveau à chaque tomes. Vraiment excellent, indispensable pour les fans d'aventures (et de manga)
L'Orme du Caucase
Taniguchi adapte huit nouvelles d’un écrivain inconnu chez nous. Huit portraits de personnages à un moment essentiel de leur vie. C’est plein de bons sentiments mais jamais réellement neu-neu. Le trait fin de Taniguchi et ses trames si subtiles apportent aux récits la délicatesse nécessaire pour donner à ces instants de vie immobiles une vraie identité visuelle. Car mettre en scène en bd des êtres immobiles en proie au doute, c’est toujours une gageure. Il ne s’agit pas d’une œuvre aussi magistrale que « Quartier lointain » mais il y a de la grâce dans ces pages.