Avis personnel, mais j'ai vraiment adoré le surréalisme délirant des histoires.
Si quelques unes sont un peu tirées (sans mauvais jeu de mots), d'autres sont magnifiques (John Lennon, au paradis comme sur terre, à lire !) ou assez excentriques ("couch prop'!").
Mais peut être pas si absurdes, du moins pas toutes.
A découvrir au moins !
J'ai trouvé cet album vraiment très bon. Tout comme pour "Blues 46", les dessins sont superbes. C'est un style assez réaliste, soigné et détaillé, c'est vraiment beau.
L'histoire est en un tome (c'est toujours bon à prendre), et est très bien faite ! On s'attache beaucoup à Ange-Marie, qu'on prend vraiment en amitié, on a de la peine pour lui, c'est un personnage assez complexe et donc, intéressant. L'après guerre est une période lourde, dans le sens où tout était à reconstruire. Et Ange-Marie est un peu "fini" moralement. C'est passionnant de le voir évoluer, changer petit à petit... Cela dit les autres personnages ne sont pas en reste, particulièrement Grégoire, que j'ai trouvé vraiment émouvant comme personnage...
Franchement c'est un très bon album, rien à jeter là-dedans !
Alors là, je suis bluffé ! Cet album a l'air de pas grand-chose, et nous avons là un petit bijou. Une fable sociale, comme dit ArzaK, ou mieux, une légende urbaine, au croisement entre les croyances nées de la première guerre mondiale, et une certaine philosophie de la vie, voulant que celle-ci soit un éternel recommencement. Car La Vigie est un récit profondément pessimiste, où l'espoir est banni, où le malheur guette chacun d'entre nous. On ne sait pas trop quoi en penser, mais il faut dire que c'est assez surprenant.
Le graphisme de Chauzy est vraiment magnifique. Coloré, généreux, il sert à merveille ce récit sans concession, y apportant une touche de légèreté par la vivacité de ses couleurs.
Alire, à regarder, ne serait-ce que par curiosité.
C'est une belle BD par son dessin, ses couleurs, son scénario et ses personnages ! Pensez, une jeune fille anglaise qui oblige la momie d'Amenhotep IV (Akhenaton) a passer le costume de son père afin qu'elle puisse sortir avec un chaperon !
Entre parenthèses, la momie n'a jamais été retrouvée, c'est le seule bémol ;)
L'intervention du père est drôle aussi, on ne voit que ses dents, mais rien que ça suffit à ne pouvoir en être amoureuse ;)
C'est aussi une critique des archéologues : la fille fait un peu partie des collections d'antiquités du père, et celui-ci ne pense qu'à ses antiquités.
Le seul truc qui me dérange dans l'histoire, c'est cette histoire d'amour, c'est trop sirupeux à mon goût : " je n'aime que vous" ! on s'en fout, désolée de le dire ainsi, mais c'est ce que je pense :)
Jonni Future est construit dans l'esprit d'un feuilleton d'aventures avec tout les poncifs accompagnant le genre, le côté kitsch, le suspense, l'héroïne plantureuse et belle en diable, l'acolyte naïf, les méchants effrayants... tout ce qu'il faut pour rendre les épisodes attrayants.
Steve Moore est un vieux routard, et son regard sur le genre n'est pas dépourvu de subtilités ni d'ironie.
Les scénarios de ces petites histoires paraissent souvent légers mais qu'importe, le but est de mettre en scène et en valeur la jolie aventurière du futur. Le récit est d'ailleurs teinté d'un érotisme léger et fort subtil qui ne manque pas d'effet.
A ce titre voir Jonni au début de l'épisode "The garden of the Sklin", manger des fruits qui ressemblent à s'y méprendre à des seins, reste une image marquante.
Pour mettre en image Jonni, Arthur Adams est l'artiste idéal, quel talent pour dessiner les femmes et leurs formes avantageuses (les crayonnés à la fin de l'album sont magnifiques !). Et que dire de l'imagination du bonhomme pour l'univers, que ce soit au niveau des personnages divers et variés, de leurs costumes, de la représentation des vaisseaux ou des mondes visités c'est toujours très réussi et très original.
Pour les couleurs c'est dans le genre assez vif, c'est très bien fait. (Les allergiques et détracteurs de comics diront sans doute "sans âme et flashy".)
Pour résumer, la partie graphique de Jonni Future est très réussie et vu que la mise en scène et le découpage sont à la hauteur, c'est un vrai plaisir visuel.
Ce comic qui sort des sentiers battus est une vraie bonne surprise, l'album se dévore très (trop) vite, c'est légèrement frustrant...
A priori il n'y a pas de suite prévue et c'est bien dommage.
A lire, pour moi ce n'est pas bien loin du culte !
C'est un album qu'on lit avec beaucoup de plaisir, mais qui je pense ne sera pas lu et relu.
L'histoire est vraiment sympa : je trouve que les 4 "petites" histoires s'articulent très bien avec l'histoire en général. Il s'en dégage un peu de nostalgie et de mélancolie à voir ces tranches de vie défiler. J'apprécie réellement la simplicité de l'histoire et le côté très véridique et poétique des choses.
Le dessin est sympa... C'est assez particulier car il m'a amené à me détacher de l'histoire et à regarder ce qu'on me racontait avec recul et détachement. Je ne saurais expliquer pourquoi.
En temps que jeune papa, je dis :
Oui, oui et oui.
Les couleurs sont agréables, les personnages sont attachants, l'histoire originale... enfin une BD apaisante : les papas peuvent l'utiliser comme support pour l'histoire du soir destinée aux bout'choux ou... même aux mamans.
Si vous êtes fan, dans le même genre il y a aussi Santa Claus.
Enfin une série que j'arrive à terminer
- parce que le dessin est plaisant, les personnages originaux, les mondes aussi...
- parce que le scénar' est un mélange médiévalo-fantastico-magico-sensuello-mélodramatico-existencialistico-épique !
Par contre, il faut relire plusieurs fois pour comprendre le pourquoi de la quête (Aneth, relation héroïne-Néant, intérêts des différents personnages ...)
Dommage qu'à la fin on reste sur sa faim... c'est un des rares points qui a été bâclé : un quitte ou double qui m'a déçu.
Les 5 tomes méritent largement d'être ressortis de temps en temps de l'étagère à BD.
Il manque un tout petit truc pour figurer dans la catégorie "CULTE".
(en passant : Pour une fois un dérivé de BD est réussi : Lorette et Harpy !)
La nouvelle série : le dessin semble moins précis, la bascule vers le nouveau monde est brutal ET CA PUE TROP LE COMMERCIAL, genre LANFEUST DES ETOILES ou L'ETOILE BLANCHE ... pourquoi s'obstiner à aller dans l'espace ? Pour l'instant c'est un coup moyen.
Je suis surpris du peu d'avis pour cette BD, je m'attendais à voir encore une BD sur laquelle je me dis, je vais pas aviser après tant d'avis surtout que tout a été dit, sur tous les tons, sous toutes les formes... Remarquez je ne vais pas faire preuve de beaucoup de nouveautés avec mon prédécesseur...
Lipstick est effectivement quelque chose de classique et ne paraît pas comme l'idée scénaristique du siècle, mais le scénario marche drôlement bien surtout avec le tandem de la fugitive et du petit génie relou... Ca donne beaucoup de charme à la série et je trouve que ce tandem donne vraiment du relier à l'histoire, en apportant tour à tour humour, aventure, voire romantisme (hum, hum je m'emballe)...
Le dessin est aussi classique mais efficace. J'apprécie clairement la variété des ambiances choisies et le traitement des couleurs, même si on peut le qualifier de quelconque voire de commercial.
Reste que tout simple et "commercial" que c'est on passe vraiment un bon moment de lecture, on rigole et on accroche bien. C'est parti pour le bon moment pas prise de tête...
Un dessin superbe et une très bonne ambiance qui reprend une idée classique (bloqué par la neige avec un loup tueur) avec force...
Je trouve que les personnages sont très bien rendus et que le dessin donne un côté glauque et lugubre à souhait qui colle très bien avec les vieilles trombines des villageois.
Quant à la fin, je reste également un peu sur ma faim, mais je trouve que tout de même c'est pas mal et que ça donne un peu plus de relief au tout... J'ai vraiment passé un bon moment à la lecture de cette BD.
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Courts métrages (Projection privée/Trompeuse apparence)
Avis personnel, mais j'ai vraiment adoré le surréalisme délirant des histoires. Si quelques unes sont un peu tirées (sans mauvais jeu de mots), d'autres sont magnifiques (John Lennon, au paradis comme sur terre, à lire !) ou assez excentriques ("couch prop'!"). Mais peut être pas si absurdes, du moins pas toutes. A découvrir au moins !
Ange-Marie
J'ai trouvé cet album vraiment très bon. Tout comme pour "Blues 46", les dessins sont superbes. C'est un style assez réaliste, soigné et détaillé, c'est vraiment beau. L'histoire est en un tome (c'est toujours bon à prendre), et est très bien faite ! On s'attache beaucoup à Ange-Marie, qu'on prend vraiment en amitié, on a de la peine pour lui, c'est un personnage assez complexe et donc, intéressant. L'après guerre est une période lourde, dans le sens où tout était à reconstruire. Et Ange-Marie est un peu "fini" moralement. C'est passionnant de le voir évoluer, changer petit à petit... Cela dit les autres personnages ne sont pas en reste, particulièrement Grégoire, que j'ai trouvé vraiment émouvant comme personnage... Franchement c'est un très bon album, rien à jeter là-dedans !
La Vigie
Alors là, je suis bluffé ! Cet album a l'air de pas grand-chose, et nous avons là un petit bijou. Une fable sociale, comme dit ArzaK, ou mieux, une légende urbaine, au croisement entre les croyances nées de la première guerre mondiale, et une certaine philosophie de la vie, voulant que celle-ci soit un éternel recommencement. Car La Vigie est un récit profondément pessimiste, où l'espoir est banni, où le malheur guette chacun d'entre nous. On ne sait pas trop quoi en penser, mais il faut dire que c'est assez surprenant. Le graphisme de Chauzy est vraiment magnifique. Coloré, généreux, il sert à merveille ce récit sans concession, y apportant une touche de légèreté par la vivacité de ses couleurs. Alire, à regarder, ne serait-ce que par curiosité.
La fille du professeur
C'est une belle BD par son dessin, ses couleurs, son scénario et ses personnages ! Pensez, une jeune fille anglaise qui oblige la momie d'Amenhotep IV (Akhenaton) a passer le costume de son père afin qu'elle puisse sortir avec un chaperon ! Entre parenthèses, la momie n'a jamais été retrouvée, c'est le seule bémol ;) L'intervention du père est drôle aussi, on ne voit que ses dents, mais rien que ça suffit à ne pouvoir en être amoureuse ;) C'est aussi une critique des archéologues : la fille fait un peu partie des collections d'antiquités du père, et celui-ci ne pense qu'à ses antiquités. Le seul truc qui me dérange dans l'histoire, c'est cette histoire d'amour, c'est trop sirupeux à mon goût : " je n'aime que vous" ! on s'en fout, désolée de le dire ainsi, mais c'est ce que je pense :)
Jonni Future
Jonni Future est construit dans l'esprit d'un feuilleton d'aventures avec tout les poncifs accompagnant le genre, le côté kitsch, le suspense, l'héroïne plantureuse et belle en diable, l'acolyte naïf, les méchants effrayants... tout ce qu'il faut pour rendre les épisodes attrayants. Steve Moore est un vieux routard, et son regard sur le genre n'est pas dépourvu de subtilités ni d'ironie. Les scénarios de ces petites histoires paraissent souvent légers mais qu'importe, le but est de mettre en scène et en valeur la jolie aventurière du futur. Le récit est d'ailleurs teinté d'un érotisme léger et fort subtil qui ne manque pas d'effet. A ce titre voir Jonni au début de l'épisode "The garden of the Sklin", manger des fruits qui ressemblent à s'y méprendre à des seins, reste une image marquante. Pour mettre en image Jonni, Arthur Adams est l'artiste idéal, quel talent pour dessiner les femmes et leurs formes avantageuses (les crayonnés à la fin de l'album sont magnifiques !). Et que dire de l'imagination du bonhomme pour l'univers, que ce soit au niveau des personnages divers et variés, de leurs costumes, de la représentation des vaisseaux ou des mondes visités c'est toujours très réussi et très original. Pour les couleurs c'est dans le genre assez vif, c'est très bien fait. (Les allergiques et détracteurs de comics diront sans doute "sans âme et flashy".) Pour résumer, la partie graphique de Jonni Future est très réussie et vu que la mise en scène et le découpage sont à la hauteur, c'est un vrai plaisir visuel. Ce comic qui sort des sentiers battus est une vraie bonne surprise, l'album se dévore très (trop) vite, c'est légèrement frustrant... A priori il n'y a pas de suite prévue et c'est bien dommage. A lire, pour moi ce n'est pas bien loin du culte !
New York Trilogie (L'Immeuble) (Le Building)
C'est un album qu'on lit avec beaucoup de plaisir, mais qui je pense ne sera pas lu et relu. L'histoire est vraiment sympa : je trouve que les 4 "petites" histoires s'articulent très bien avec l'histoire en général. Il s'en dégage un peu de nostalgie et de mélancolie à voir ces tranches de vie défiler. J'apprécie réellement la simplicité de l'histoire et le côté très véridique et poétique des choses. Le dessin est sympa... C'est assez particulier car il m'a amené à me détacher de l'histoire et à regarder ce qu'on me racontait avec recul et détachement. Je ne saurais expliquer pourquoi.
Orull - Le Souffleur de nuages
En temps que jeune papa, je dis : Oui, oui et oui. Les couleurs sont agréables, les personnages sont attachants, l'histoire originale... enfin une BD apaisante : les papas peuvent l'utiliser comme support pour l'histoire du soir destinée aux bout'choux ou... même aux mamans. Si vous êtes fan, dans le même genre il y a aussi Santa Claus.
L'Epée de Cristal
Enfin une série que j'arrive à terminer - parce que le dessin est plaisant, les personnages originaux, les mondes aussi... - parce que le scénar' est un mélange médiévalo-fantastico-magico-sensuello-mélodramatico-existencialistico-épique ! Par contre, il faut relire plusieurs fois pour comprendre le pourquoi de la quête (Aneth, relation héroïne-Néant, intérêts des différents personnages ...) Dommage qu'à la fin on reste sur sa faim... c'est un des rares points qui a été bâclé : un quitte ou double qui m'a déçu. Les 5 tomes méritent largement d'être ressortis de temps en temps de l'étagère à BD. Il manque un tout petit truc pour figurer dans la catégorie "CULTE". (en passant : Pour une fois un dérivé de BD est réussi : Lorette et Harpy !) La nouvelle série : le dessin semble moins précis, la bascule vers le nouveau monde est brutal ET CA PUE TROP LE COMMERCIAL, genre LANFEUST DES ETOILES ou L'ETOILE BLANCHE ... pourquoi s'obstiner à aller dans l'espace ? Pour l'instant c'est un coup moyen.
Lipstick
Je suis surpris du peu d'avis pour cette BD, je m'attendais à voir encore une BD sur laquelle je me dis, je vais pas aviser après tant d'avis surtout que tout a été dit, sur tous les tons, sous toutes les formes... Remarquez je ne vais pas faire preuve de beaucoup de nouveautés avec mon prédécesseur... Lipstick est effectivement quelque chose de classique et ne paraît pas comme l'idée scénaristique du siècle, mais le scénario marche drôlement bien surtout avec le tandem de la fugitive et du petit génie relou... Ca donne beaucoup de charme à la série et je trouve que ce tandem donne vraiment du relier à l'histoire, en apportant tour à tour humour, aventure, voire romantisme (hum, hum je m'emballe)... Le dessin est aussi classique mais efficace. J'apprécie clairement la variété des ambiances choisies et le traitement des couleurs, même si on peut le qualifier de quelconque voire de commercial. Reste que tout simple et "commercial" que c'est on passe vraiment un bon moment de lecture, on rigole et on accroche bien. C'est parti pour le bon moment pas prise de tête...
La Bête
Un dessin superbe et une très bonne ambiance qui reprend une idée classique (bloqué par la neige avec un loup tueur) avec force... Je trouve que les personnages sont très bien rendus et que le dessin donne un côté glauque et lugubre à souhait qui colle très bien avec les vieilles trombines des villageois. Quant à la fin, je reste également un peu sur ma faim, mais je trouve que tout de même c'est pas mal et que ça donne un peu plus de relief au tout... J'ai vraiment passé un bon moment à la lecture de cette BD.