Les derniers avis (9367 avis)

Par Loicrodez
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série DMZ
DMZ

Je ne vais pas refaire le pitch (lire les critiques précédentes). La série mérite vraiment le détour. - Les personnages : On ne peut pas vraiment dire qu'ils ont du relief à proprement dire... background assez bateau, un fils de riche qui se rebelle contre papa, une étudiante qui décide de se donner corps et âme à la société pour lutter contre les atrocités de la guerre... blablabla... Par contre ils ont un sacré charisme, le dessin y est pour beaucoup, mais aussi les dialogues et l'ambiance. Ils sont super vivants et malgré ce manichéisme hyper crédibles. - Le dessin : C'est très beau, très fouillé j'ai envie d'afficher toutes les couv' sur les murs de mon salon... (43 parues ma femme gueule déjà). - Les préfaces : Elles sont rédigées par des personnes extérieures au monde du comics mais en rapport avec le sujet (journalistes, militaires, etc.). Elles sont pertinentes voire même dérangeantes. Ne surtout pas passer à côté. - Le scenario, l'univers, l'ambiance : J'ai vraiment pris mon pied à découvrir ce Manhattan qui s'organise pour (sur)vivre (ensemble). Une analyse fine de communautarisme ainsi que des priorités pour la survie d'un groupe. -Le découpage de l'histoire : Les histoires se "terminent" régulièrement (entre 1 et 5 comics par histoire) ce qui permet de ne pas avoir une intrigue alambiqué et surtout d'avoir des réponses aux interrogations sans attendre le 250ème tome ! J'ai lu en version française les 4 premiers tomes (22 comics). Je viens de recevoir les 43 premiers comics, je vous dis d'ici une semaine ce que vaut la traduction et si la suite est bien !

15/06/2009 (modifier)
Par Platy
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Blacksad
Blacksad

Cette oeuvre est absolument sublime! Voici mon avis sur chaque tome sorti : - Tome I, Quelque part entre les ombres Pour un coup d'essai, voilà un coup de maître ! Les dessins sont accrocheurs, le monde sombre sans excès est prenant. Ca bouge, c'est magnifiquement mis en page, la colorisation est minutieuse... Petit bémol cependant : le scénario, bien que prenant, n'a rien de fondamentalement original et colle de près aux clichés du genre. -Tome II: Artic Nation Le dessin s'affine encore dans ce tome, les personnages perdent peu à peu de leur animalité sans cependant être trop humains. Mais l'évolution la plus importante est bien évidemment scénaristique; ici il n'est plus question d'un thriller classique comme on en a tant vus ou lus, l'action est bien menée et le scénario est réfléchi et présente de nombreux niveaux de lecture. -Tome III: Ame rouge Ce tome est encore excellent. Les personnages sont beaucoup plus délirants et le héros plus étudié sur le plan physique et mental. Certaines planches sont de vrais chefs d'oeuvre. La vie sentimentale de Blacksad est bien plus étudiée que dans les tomes précédents et les personnages sont bien plus attachants. En bref, cette série est un vrai chef d'oeuvre. Si vous appréciez la BD, vous ne pourrez certainement pas vous en passer très longtemps.

15/06/2009 (modifier)
Par Miranda
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Le Landais volant
Le Landais volant

L'absurde, Dumontheuil en est un joueur invétéré, le dosant toujours au plus juste. Il nous place ici Jean-Dextre Pandar de Cadillac en Afrique, alors que celui-ci est tiraillé par ses pensées racistes. Mais cet illustre personnage ne sait pas lui-même s'il l'est vraiment, là est toute la question. Il part dans une analyse de lui-même et des autres pour en avoir le cœur net et ce avec beaucoup d'humour. La narration est fabuleuse et recherchée, chaque phrase est un régal, chaque case une petite trouvaille. Dumontheuil y va de bon cœur et sans arrière-pensées, il nous parle de racisme sans tabous et sans offenser personne. Jean-Dextre Pandar de Cadillac - je ne me lasserai jamais de son nom - est attendrissant et attachant. Son physique si particulier ajoute à ce sentiment, un homme, un vrai, mais tout en finesse et délicatesse, au nez immense et aux yeux de biche, quel délice ! Exubérant et simple, peureux et courageux, poli et vulgaire, généreux mais pas trop, chez lui tout est contradiction, tout est remise en question permanente. Un personnage haut en couleurs qu'on ne peut absolument pas oublier. Le scénario est accompagné d'un joli graphisme, comme d'habitude avec cet auteur, qui nous donne envie d'aller sur ce continent. Les couleurs sont assez belles mais un peu sombres dans l'ensemble, ça manque légèrement de luminosité.

15/06/2009 (modifier)
Par Miranda
Note: 3/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Jusepe en Amérique
Jusepe en Amérique

Cette petite bd de la collection Bayou était noyée dans la masse des autres bds de ma librairie. Qu'est-ce qui m'a guidée vers elle ? Certainement mon flair lorsqu'il s'agit de bd argentine… Un nouveau Trillo dont je n'étais pas informée de la sortie ! Avec un petit nouveau dans le monde de la bd, Pablo Tunica, Trillo et lui nous offrent une histoire, peut-être pas surprenante, mais tout au moins très attachante, en relation directe de leur pays d'origine et de sa capitale Buenos Aires. Avec comme petite anecdote la date de naissance du dessinateur le 3 février 1984, date anniversaire de la fondation de Buenos Aires par Mendoza. Don Pedro de Mendoza qui part ici conquérir l'Amérique du Sud, accompagné d'autres personnages ayant réellement existés que vous découvrirez en lisant la bd. Jusepe lui est sorti de l'imagination des auteurs. Petit homme au corps difforme qui nous rappelle tendrement Alejandrina Yolanda Jalisco de Chicanos. Même caractère, même répartie et même attachement pour ce personnage hors du commun. C'est peut-être bien les quolibets et l'indifférence qu'il inspire qui le mettent dans des situations cocasses, pour notre plus grand bonheur. Graphiquement c'est excellent pour une première bd, dans un style plutôt humoristique, avec des visages expressifs et des corps pleins de mouvement, ce qui contraste fortement avec le côté tragique et très noir de l'histoire. Les couleurs sont plutôt sombres et l'océan est dans des tons marrons très angoissants. La folie de Mendoza, provoquée par sa syphilis est incroyablement bien dessinée. Il apparaît tel un démon dans ces moments de folies qui sont les plus nombreux, et en bel homme dans ces rares moments de lucidités. Ce qui manque à ce récit pour être excellent : l'humour, bien qu'il y en ait il reste trop léger et passe le plus souvent par le dessin.

15/06/2009 (modifier)
Couverture de la série Histoire des plus fameux pirates
Histoire des plus fameux pirates

Voilà une série qui démarre sur les chapeaux de roue, via cette première biographie piratesque rondement menée. Le lecteur se retrouve propulsé au temps de la flibuste, au cœur des salves de canons, des abordages, des trésors cachés et autre poursuite avec la marine. Les auteurs ont ici choisi d'adapter librement un ouvrage de Defoe (l'auteur bien connu de Robinson Crusoé) : l'histoire générale des plus fameux pirates. L'ouvrage en question ne retraçant que de manière succincte les biographies des pirates, les auteurs ont ainsi dû effectuer un certain nombre de recherches de manière à creuser l'histoire de William Kidd. Sans pour autant tomber dans la lourdeur historique d'un Alix ou d'un Vasco, ils ont su tirer profit des péripéties les plus savoureuses et marquantes survenues au héros, péripéties qui pour le coup semblent vraiment liées à la poisse qui semble coller le pirate. Il ne s'agit donc pas d'une réécriture à la ligne près de la vie de Kidd, les auteurs avouant avoir pris certaines libertés. Le résultat n'en est pas moins vraiment prenant, l'ensemble se lisant d'une traite et ne comportant pas de temps mort. Il est surtout appréciable que les auteurs aient donné de multiples tons à leur histoire, voguant au gré du récit (et des vagues) entre la comédie et le tragique, le tout saupoudré de touches d'humour pour le moins sympathique (même si bien souvent au détriment du personnage principal). Le dessin de Lematou est également un des points forts de l'album, son trait fin et dynamique faisant des merveilles aussi bien quand il s'agit de croquer des personnages haut en couleur que quand il s'agit de mettre en scène un abordage. Son coup de crayon m'a tout d'abord rappelé celui d'un Matthieu Bonhomme, mais Lematou impose son style graphique au fil des pages, se délestant de cette impression. La couleur de Marie Galopin remplit son office, même si certains contrastes ou choix de couleurs peuvent sembler étranges de-ci de-là. Au final, voilà une série qui démarre très fort, dressant le portrait d'un pirate légendaire qui semble plus devoir son parcours à la poisse qu'à une vocation réelle. Les amateurs de récit comme l'île au trésor et autres romans de flibustes apprécieront.

15/06/2009 (modifier)
Par Seb94
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Des lendemains sans nuage
Des lendemains sans nuage

Je me suis laissé tenter par la récente réédition de cet album et je ne le regrette pas. Surtout, ne pas se fier à cette horrible couverture, qui ne rend pas justice à la qualité et au plaisir de lecture procuré par ce one shot. On suit le voyage dans le temps de Nolan, scientifique qui va retourner dans le passé afin de tenter de changer la destiné de Wilson, dictateur omnipotent dans le futur, qui a asservi la population grâce à la technologie. Plus jeune, Wilson rêvait pourtant d’être écrivain, mais le vol de son premier manuscrit le découragera de poursuivre dans cette voix et il se fera embaucher dans une jeune entreprise de haute technologie, dont il gravira un à un tous les échelons… Afin d’encourager la fibre littéraire de Wilson, Nolan va donc devenir son « nègre », en écrivant des nouvelles de S.F, directement inspiré de ses connaissances du futur. L’originalité du récit réside dans l’évolution des rapports entre les deux personnages, entrecoupés de ses fameuses nouvelles qui vont connaître un succès grandissant. Ces diverses nouvelles ne manquent pas d’atouts, amusantes ou intelligentes, elle font également pour certaines échos à l’évolution et aux dérives de notre propre société. La nouvelle sur la prison du futur est vraiment excellente et à de loin ma préférence. L’ensemble est cohérent et le plaisir de lecture ne se dément jamais jusqu’à la dernière page. Les différents scénarios et les idées véhiculées sont vraiment réussis et auraient mérité pour la majorité d’entre eux, d’être plus longuement développés. J’aime beaucoup le style du dessin, à la fois simple mais avec un trait bien particulier. Par contre, les couleurs peuvent paraître un peu fades. Très bon niveau graphique dans l’ensemble, sauf je le répète, cette couverture vraiment moche et pas du tout vendeuse, qui n’est pas au niveau du contenu de cette B.D.

13/06/2009 (modifier)
Par Ems
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Sol Carrelus
Sol Carrelus

Dernière BD du duo Ruppert et Mulot. La grande nouveauté se situe au niveau du dessin. On a toujours les mêmes personnages avec leurs visages si particuliers. Pourtant on dirait qu'il est fondamentalement différent. En fait, l'on a le droit à une colorisation en nuances de gris. Les productions précédentes étaient épurées et claires, "Sol Carrelus" est dense est sombre. Le rendu est superbe et colle à merveille au thème de ce one shot : une soirée d'Halloween dans un château. Diverses personnes sont invitées et sont déguisées en monstres. Quelques villageois s'invitent également à la fête. La suite est vraiment à découvrir. L'humour est omniprésent. Certes il est noir et cynique, mais quel régal. Pour ceux qui souhaitent découvrir ce duo d'auteurs, je conseille de commencer par cette BD qui est de loin la plus accessible et aussi la plus aboutie graphiquement.

12/06/2009 (modifier)
Par Jetjet
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Freaks' Squeele
Freaks' Squeele

Voici une oeuvre qui ne paye pas de mine mais qui attire assez vite l'attention, il faut dire qu'une histoire d'apprentis héros losers dans une école spécialisée sent bon le recyclage papier d'une autre série peu connue : Harry Potter ! :) On remplace donc les apprentis sorciers (2 garçons et 1 fille) par des apprentis super héros (2 filles et 1 garçon) disposés au dur apprentissage de la bravoure et des sorts aléatoires ! Rien ne manque : les rivalités, l'école concurrente, les passages dérobés dans l'université et les professeurs mystérieux... Si on ajoute à cela un trait typiquement inspiré des mangas pour une oeuvre nationale, on peut à juste titre se demander quel peut être l'intérêt de lire Freaks' Squeele dans un marché de plus en plus saturé de copies et de bouquins de seconde zone... Et on aura surement tort ! :( Car en dépit de cette introduction fort peu élogieuse se cache une oeuvre qui entraine son lecteur dans un récit aux abords téléphonés mais qui ne manque pas de qualités... D'abord le trait de l'auteur est tout à fait maitrisé et original. Si tous les personnages sont parfaitement dessinés et reconnaissables, alors que penser des décors aux crayonnés troubles et précis qui plantent un environnement à la fois poétique et familier ! Bref on y croit et le dépaysement est total ! Secundo le noir et blanc est parfaitement employé et cède parfois sa place à des couleurs cassant le rythme du récit ainsi que sa rupture comme s'y emploie également si bien Run et ses Mutafukaz ! La trame graphique est un véritable régal et nous change des mangas papier se faisant l'économie de décors au profit d'une productivité imposée, l'auteur impose de surcroit un découpage fluide et compréhensible lors des nombreuses scènes d'action comme des passages d'exposition, tous excellents ! Mais c'est justement dans le traitement de son histoire que Freaks' Squeele excèle car c'est très drôle sans être balourd ! Ce n'est jamais vulgaire, juste coquin et taquin ! Les bonnes idées succèdent aux bonnes idées et en soufflant de telle manière le chaud et le froid, on dévore les pages l'une après l'autre. De la présentation des personnages aux différentes épreuves (le chapitre sur le vol de serviettes ou des fameux guerriers qui font "ni" vaut son pesant de cacahouètes en terme d'humour et de scènes d'action). Florent Maudoux n'hésite pas de surcroit à empiler les références par de subtils hommages tels que les films de Tsui Hark (The Blade avec le professeur sabreur manchot) ou même Carpenter (et un fantôme chinois par là). On sent l'amour des oeuvres bis, ces fameux films de série B ou Z n'ayant aucun autre but que de nous divertir et c'est ce que cet auteur s'est évertué à faire avec talent. Freaks' Squeele mérite donc bien plus d'attentions que son postulat ne le laisse croire car il donne de jolis atouts à une bande dessinée se réclamant à la fois de la fantasy, du comics ou du manga sans oublier d'offrir le fun sans le toc. Très fort.. A emprunter, à voler ou à se faire offrir mais à lire sans prétentions. Freaks' Squeele est inclassable comme son grand cousin Mutafukaz mais peut être plus accessible car moins référencé. Pour ma part j'ai choisi de les acquérir et attends avec impatience le prochain opus en espérant que l'auteur gardera les pieds sur terre afin de poursuivre et de conclure dignement son oeuvre ! PS : à noter une édition de grande qualité et des pages de l'auteur plutôt poilantes qu'il faudra lire pour comprendre la ruse du mot "SQUEELE" :)

11/06/2009 (modifier)
Par Altaïr
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Candy Candy
Candy Candy

Candy Candy… Voilà un manga qui peut souffrir de nombreux a priori négatifs, déjà parce que l’édition française est affreuse (cœurs rose fluos, mauvais papier, lettrage et traduction atroces, encre qui bave…), et, surtout, parce qu’on pourrait l’assimiler trop rapidement au dessin animé qui en a été tiré. Et pourtant, quand on compare l’anime et le manga (exercice auquel je me suis amusée récemment), il n’y a pas photo : bien qu’ils racontent à peu près la même histoire, on en retire des impressions radicalement différentes, voire opposées : le manga est passionnant d’un bout à l’autre tandis que l’anime traîne lamentablement en longueur… il faut dire que tirer 115 épisodes d’une BD qui compte tout juste 9 tomes, c’est l’art du délayage élevé à son sommet ! Bon, je ne vais pas mentir non plus. Candy version manga EST, à l’instar de sa version animée, un vrai bon mélo à l’eau de rose bien kitsch, un shôjo-manga type avec ce qu’il faut de grands yeux brillants et de petites fleurs à chaque page pour entraîner le lecteur dans l’élan passionné des aventures de l’héroïne. Oui mais, malgré cela ou pour cette raison, les 9 tomes se dévorent littéralement ! J’ai pu tester sur de nombreux cobayes, filles comme garçons (qui généralement accrochent eux aussi même si leur orgueil viril les empêche de le crier sur tous les toits :) ), cette BD rend littéralement accro. Le rythme de Candy version manga est un de ses grands points forts : il se passe sans arrêt quelque chose dans cette BD, et à peine on a fini une page qu’on meurt d’envie de connaître la suite. Comme le dit si bien le générique, quand on lit Candy, on pleure, on rit, on se laisse littéralement emporter dans ce mélodrame bouleversant. (Je n’ai jamais autant pleuré à la lecture d’une BD qu’en lisant le dernier tome de Candy, et ça me refait le même coup à chaque fois que je retente l’expérience !). Mais, surtout, les personnages principaux sont pour la plupart très réussis : Candy est une jeune fille extrêmement attachante, qui veut prendre son destin en main et réussir seule sa vie, alors même que très tôt dans l’histoire elle pourrait choisir de mener une vie de petite fille riche et se la couler douce. C’est finalement une héroïne féministe, vive, drôle et volontaire, ce qui est finalement extrêmement rare dans les mangas (j’ai même l’impression à la lecture de shôjo mangas récents que la cause féminine a bien régressé au Japon). Si son premier amour, Anthony, n’est guère passionnant, il en va fort différemment du deuxième, le très (TRES) charismatique Terrence Grandchester : beau, mystérieux, torturé, un peu voyou mais pas trop, passionné et romantique, il a tout ce qu’il faut pour faire rêver des générations et des générations d’adolescentes (et leurs mères :) ). Et Albert, enfin, le "grand frère" de Candy, l'épaule compatissante qui est toujours là pour l'aider et la guider, est très attachant lui aussi. Bref, si jamais vous avez l’occasion de lire le manga de Candy, oubliez vos a priori et tentez l’expérience, cela en vaut vraiment la peine. Malheureusement cette BD est devenue difficile à trouver, et ne sera pas rééditée tant que le conflit entre les auteurs pour les droits de cette série ne seront pas résolus, hélas…

09/02/2004 (MAJ le 10/06/2009) (modifier)
Par ArzaK
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Blaise
Blaise

J’aime bien l’humour de Planchon. Il met (gentiment) mal à l’aise. Ses personnages sont cons, sans aucuns repères idéologiques ou politiques valables et ils vivent dans un monde médiatique rempli d’icones de papier-mâché au discours indigent (Dabi Doubane, la personnalité préférée des Français). Satire de notre époque morose ? C’est peut-être aller trop loin. Album rigolo ? Certainement.

10/06/2009 (modifier)