C'est clair, ce manga est génial !! On se marre des mimiques d'Onizuka du début à la fin et les gags, sans être fins, n'en demeurent pas moins hilarants (ptêt des fois répétitifs, mais l'incrédulité d'Onizuka arrange tout).
Voilà, ouf, après 3 semaines de lecture, j’ai fini From Hell. Bon. Impression très positive quand même. Parce qu’il faut dire que j’étais parti sur un a priori négatif ! Un gros pavé pareil, avec des dessins aussi moches, j’étais vraiment pas chaud du tout.
Et bien non. Je me range. Je m’aligne sur les avis ci-dessous. On a ici une œuvre vraiment marquante ! L’histoire est super bien foutue. L’intrigue est très intéressante, et la narration est parfaite, d’une maturité incroyable.
On sent vraiment que c’est le même auteur qui a écrit V pour Vendetta. Même atmosphère oppressant. Même paranoïa. Même sensation de machination, de « les hommes au pouvoir se jouent bien de nous ». Un œuvre qui attaque directement la police anglaise et la famille royale de l’époque. Incroyable.
La psychologie du tueur est superbement décrite, analysée, racontée, montrée, bref, on le comprend presque ! Mais les autres personnages ne sont pas laissés en reste, et on peut affirmer que la psycho des persos est sans doute LE point fort de cette BD.
Londres de l’époque est superbement décrite. On sent vraiment une documentation et des recherches poussées. Combien de temps ont mis les deux auteurs pour écrire ce comic ? Des années sans doute…
Bon reste quand même deux "problèmes" qui pourront en décourager plus d’un :
Déjà, le dessin est atroce. Je ne parle pas des paysages et surtout des bâtiments de l’époque, superbement reproduits. Mais des personnages ! Quelle misère ! Qu’ils soient moches, c’est déjà bof, mais alors qu’on arrive à peine à les reconnaître d’une page à l’autre, c’est vraiment très dommage, et complique inutilement une histoire déjà très riche ! Bref, quitte à faire des dessins pareil, autant écrire carrément un roman non ?
Et accessoirement, il y a aussi des passages longs et ennuyeux… L’histoire met notamment une bonne 60aine de page à démarrer. 60 pages pendant lesquelles on ne comprend pas grand chose, et on regrette amèrement son achat. Heureusement, dés que les meurtres commencent, tout devient plus clair et intéressant…
Alors faut-il acheter cette BD ? Ben oui, si vous êtes prêt à vous prendre la tête sur une BD moche, sur une histoire très sombre, dénuée de tout humour ou optimisme… et là, vous ne le regrettez pas ! From Hell marque… From Hell fait réfléchir… From Hell vous fait regarder vos dirigeants de manière différente… Une BD culte selon moi.
Voilà le genre d’ouvrages qui font que la Bande Dessinées est un domaine qui fusionne avec l’art. Les dessins tout en lavis noir et blanc donnent à cette BD une dimension artistique rare. Le scénario est riche en évènements. Il est vrai qu’adapter le roman d’Alexis Tolstoï ne peut déboucher que sur une histoire riche et structurée. Toutefois l’adaptation est une vraie réussite et les dessins font passer de réelles émotions.
Le seul petit défaut reste le prix de la série pour les quatre volumes : il faut compter environ 72 Euros. Quand on y réfléchit, c’est en gros le prix d’un livre d’art. Moi, j’encourage l’acquisition d’Ibicus car pour le même prix on a finalement une superbe série BD et quatre ouvrages d’Art.
Gaston y a le telefon qui son et y a jamais person qui y repond...ahlalala que de souvenir..toute ma jeunesse et c est pas des mots en l air. Franchement, je connais pas bd plus drole..je veux dire que des que je lis un des tomes, pfiouu c est parti on m arrete plus..Les ags sont delires, indemodables, et puis le dessin..ouhlala.moi j adore, c est vraiment le style que j affectionne le plus...y a des details partout dans chaque case, des petits truc qui vont font sourire et vous rendent la vie moins dure (chienne de vie....)
Achetez le , savourez le, aimez le, et achetez la b.o de Linno Ferrer...lol
Absolument indispensable.
On se marre du début à la fin. Entre son stage d'enseignement, ses entretiens d'embauche, ses débuts au lycée, le voyage scolaire, Onizuka enchaine connerie sur connerie. Les situations se renouvellent, on rigole du début à la fin.
Les dessins ne sont pas extraordinaires, mais ont le mérite de nous offrir de temps en temps des tronches hilarantes.
En 14 volumes, mon enthousiasme du début ne s'est pas amoindri. J'en redemande :)
Bouffer, dormir, bouffer et encore dormir:Garfield.
Le pov'type qu'a réussi a rien dans la vie:John.
Vous ajoutez Odie, le chien aussi bête que sa langue est longue, les lundi, les surcharges pondérales, l'âge et tous les autres petits soucis de Garfield, et vous obtenez des gags cyniques en trois cases.
Attention, le style graphique ne plaira pas à tout le monde!
Le genre est spécial, on déteste ou on adore.
Pour moi c'est désopilant, en bref j'adore.
Bien que quelquefois complexe à suivre, au niveau de la "personnalité"de XIII, cette série compose habilement entre des dessins très vivants et expréssifs d'un réalisme naturel et un scénario extrèmement bien ficelé et haletant.
On ne s'ennuie jamais et on s'amuse souvent.
Une mention toute particulière aux femmes de la série
Merci de ces moments de bonheur
Oeuvres assez méconnues du génial Tronchet, "Patacrèpe et Couillalère sont de bons amis" et "Patacrèpe et Couillalère présidents du monde" sont un grand moment d'humour crétin. Une bonne grosse couillonnade qui est si délibérément débile que c'en est réjouissant. Même quand les chutes sont nulles, on se dit que c'est voulu, pour alimenter encore le côté navrant et désespérant de la connerie des personnages. Evidemment, dans ces conditions, c'est sûr qu'on adore ou on déteste, il n'y a pas vraiment de demi-mesure.
Bref, ça ne mérite pas forcément vraiment la note maximale de 5/5, mais ça mérite l'attribut de "Culte". Donc je mets "Culte".
En plus, on peut les trouver pour moins de 3 euros pièce chez les bons soldeurs de BD !
Cette BD est connue comme la meilleure histoire de Batman jamais racontée… Je vous avoue que j’ai la flemme de lire toutes les aventures de l’Homme Chauve-Souris publiées depuis les années 30 pour vérifier si c’est bien le cas, mais en tout cas, c’est sûr qu’on tient là une grande BD, l’un des monuments du comic, au même titre que Watchmen. Il y a d’ailleurs pas mal de similitudes entre ces deux séries sorties la même année, même si elles ne sautent pas aux yeux de prime abord… Dark Knight remet lui aussi, à sa façon, le personnage du super-héros en question : se substituer à la police pour arrêter les délinquants, est-ce être un justicier, ou bien un criminel tendance facho ? Quand on est un surhomme, soit par des pouvoirs surnaturels comme Superman, soit par une intelligence, une détermination, un sens de la déduction et des capacités physiques hors du commun comme Batman, pourquoi les utiliser pour s’en prendre à des braqueurs de banque et des voleurs de sacs à mains alors qu’on pourrait changer le monde ? Relisez Watchmen, relisez Dark Knight, vous verrez que les parallèles entre Batman, Rorschasch et Ozymandias, entre Superman, le Comédien et Dr. Manhattan, sont nombreux… Evidemment, c’est traité à la Frank Miller, dont le style est assez différent de celui de Moore… Entendons-nous bien, pour moi, ce type a du génie, mais la subtilité et la finesse atteintes par Moore dans Watchmen, c’est pas vraiment le genre de Miller qui donne plutôt dans le direct et efficace… Attention, hein, il vole quand même largement au-dessus de la moyenne des auteurs de comics grand public, mais vous êtes prévenus, Dark Knight n’est quand même pas du niveau de Watchmen niveau scénar et réflexion.
En ce qui concerne le dessin… Bah, oui, c’est sûr que le style de Miller est spécial, je sais que beaucoup de gens trouvent ça moche comme tout. Personnellement, je ne suis pas de cet avis, je trouve même ça assez classe dans le genre "brut", mais à vous de voir.
Au final, Dark Knight est, n’ayons pas peur des mots, un chef d’œuvre du genre.
En revanche, une suite (Dark Knight : La Relève) est sortie 15 ans plus tard, qui n’en est qu’une infâme et indigne caricature que je vous conseille d’éviter.
Bien sûr qu'il faut lire Gaston Lagaffe ! Ca fait partie du patrimoine de l'humanité (et de la Belgique...)
En fait ce qui est le plus incroyable dans cette série, c'est l'imagination de Franquin, sans limites. Cette série lui a permis d'exploiter de façon exponentielle ce talent. Un talent de conteur aussi, car il faut savoir raconter des histoires pour tenir aussi longtemps avec une série à gags, une série qui est presque l'archétype du genre. Et pour que la série soit toujours aussi populaire aujourd'hui, il faut faire partie du Panthéon de la BD...
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
GTO - Great Teacher Onizuka
C'est clair, ce manga est génial !! On se marre des mimiques d'Onizuka du début à la fin et les gags, sans être fins, n'en demeurent pas moins hilarants (ptêt des fois répétitifs, mais l'incrédulité d'Onizuka arrange tout).
From Hell
Voilà, ouf, après 3 semaines de lecture, j’ai fini From Hell. Bon. Impression très positive quand même. Parce qu’il faut dire que j’étais parti sur un a priori négatif ! Un gros pavé pareil, avec des dessins aussi moches, j’étais vraiment pas chaud du tout. Et bien non. Je me range. Je m’aligne sur les avis ci-dessous. On a ici une œuvre vraiment marquante ! L’histoire est super bien foutue. L’intrigue est très intéressante, et la narration est parfaite, d’une maturité incroyable. On sent vraiment que c’est le même auteur qui a écrit V pour Vendetta. Même atmosphère oppressant. Même paranoïa. Même sensation de machination, de « les hommes au pouvoir se jouent bien de nous ». Un œuvre qui attaque directement la police anglaise et la famille royale de l’époque. Incroyable. La psychologie du tueur est superbement décrite, analysée, racontée, montrée, bref, on le comprend presque ! Mais les autres personnages ne sont pas laissés en reste, et on peut affirmer que la psycho des persos est sans doute LE point fort de cette BD. Londres de l’époque est superbement décrite. On sent vraiment une documentation et des recherches poussées. Combien de temps ont mis les deux auteurs pour écrire ce comic ? Des années sans doute… Bon reste quand même deux "problèmes" qui pourront en décourager plus d’un : Déjà, le dessin est atroce. Je ne parle pas des paysages et surtout des bâtiments de l’époque, superbement reproduits. Mais des personnages ! Quelle misère ! Qu’ils soient moches, c’est déjà bof, mais alors qu’on arrive à peine à les reconnaître d’une page à l’autre, c’est vraiment très dommage, et complique inutilement une histoire déjà très riche ! Bref, quitte à faire des dessins pareil, autant écrire carrément un roman non ? Et accessoirement, il y a aussi des passages longs et ennuyeux… L’histoire met notamment une bonne 60aine de page à démarrer. 60 pages pendant lesquelles on ne comprend pas grand chose, et on regrette amèrement son achat. Heureusement, dés que les meurtres commencent, tout devient plus clair et intéressant… Alors faut-il acheter cette BD ? Ben oui, si vous êtes prêt à vous prendre la tête sur une BD moche, sur une histoire très sombre, dénuée de tout humour ou optimisme… et là, vous ne le regrettez pas ! From Hell marque… From Hell fait réfléchir… From Hell vous fait regarder vos dirigeants de manière différente… Une BD culte selon moi.
Ibicus
Voilà le genre d’ouvrages qui font que la Bande Dessinées est un domaine qui fusionne avec l’art. Les dessins tout en lavis noir et blanc donnent à cette BD une dimension artistique rare. Le scénario est riche en évènements. Il est vrai qu’adapter le roman d’Alexis Tolstoï ne peut déboucher que sur une histoire riche et structurée. Toutefois l’adaptation est une vraie réussite et les dessins font passer de réelles émotions. Le seul petit défaut reste le prix de la série pour les quatre volumes : il faut compter environ 72 Euros. Quand on y réfléchit, c’est en gros le prix d’un livre d’art. Moi, j’encourage l’acquisition d’Ibicus car pour le même prix on a finalement une superbe série BD et quatre ouvrages d’Art.
Gaston Lagaffe
Gaston y a le telefon qui son et y a jamais person qui y repond...ahlalala que de souvenir..toute ma jeunesse et c est pas des mots en l air. Franchement, je connais pas bd plus drole..je veux dire que des que je lis un des tomes, pfiouu c est parti on m arrete plus..Les ags sont delires, indemodables, et puis le dessin..ouhlala.moi j adore, c est vraiment le style que j affectionne le plus...y a des details partout dans chaque case, des petits truc qui vont font sourire et vous rendent la vie moins dure (chienne de vie....) Achetez le , savourez le, aimez le, et achetez la b.o de Linno Ferrer...lol
GTO - Great Teacher Onizuka
Absolument indispensable. On se marre du début à la fin. Entre son stage d'enseignement, ses entretiens d'embauche, ses débuts au lycée, le voyage scolaire, Onizuka enchaine connerie sur connerie. Les situations se renouvellent, on rigole du début à la fin. Les dessins ne sont pas extraordinaires, mais ont le mérite de nous offrir de temps en temps des tronches hilarantes. En 14 volumes, mon enthousiasme du début ne s'est pas amoindri. J'en redemande :)
Garfield
Bouffer, dormir, bouffer et encore dormir:Garfield. Le pov'type qu'a réussi a rien dans la vie:John. Vous ajoutez Odie, le chien aussi bête que sa langue est longue, les lundi, les surcharges pondérales, l'âge et tous les autres petits soucis de Garfield, et vous obtenez des gags cyniques en trois cases. Attention, le style graphique ne plaira pas à tout le monde! Le genre est spécial, on déteste ou on adore. Pour moi c'est désopilant, en bref j'adore.
XIII
Bien que quelquefois complexe à suivre, au niveau de la "personnalité"de XIII, cette série compose habilement entre des dessins très vivants et expréssifs d'un réalisme naturel et un scénario extrèmement bien ficelé et haletant. On ne s'ennuie jamais et on s'amuse souvent. Une mention toute particulière aux femmes de la série Merci de ces moments de bonheur
Patacrèpe et Couillalère
Oeuvres assez méconnues du génial Tronchet, "Patacrèpe et Couillalère sont de bons amis" et "Patacrèpe et Couillalère présidents du monde" sont un grand moment d'humour crétin. Une bonne grosse couillonnade qui est si délibérément débile que c'en est réjouissant. Même quand les chutes sont nulles, on se dit que c'est voulu, pour alimenter encore le côté navrant et désespérant de la connerie des personnages. Evidemment, dans ces conditions, c'est sûr qu'on adore ou on déteste, il n'y a pas vraiment de demi-mesure. Bref, ça ne mérite pas forcément vraiment la note maximale de 5/5, mais ça mérite l'attribut de "Culte". Donc je mets "Culte". En plus, on peut les trouver pour moins de 3 euros pièce chez les bons soldeurs de BD !
Batman - The Dark Knight returns
Cette BD est connue comme la meilleure histoire de Batman jamais racontée… Je vous avoue que j’ai la flemme de lire toutes les aventures de l’Homme Chauve-Souris publiées depuis les années 30 pour vérifier si c’est bien le cas, mais en tout cas, c’est sûr qu’on tient là une grande BD, l’un des monuments du comic, au même titre que Watchmen. Il y a d’ailleurs pas mal de similitudes entre ces deux séries sorties la même année, même si elles ne sautent pas aux yeux de prime abord… Dark Knight remet lui aussi, à sa façon, le personnage du super-héros en question : se substituer à la police pour arrêter les délinquants, est-ce être un justicier, ou bien un criminel tendance facho ? Quand on est un surhomme, soit par des pouvoirs surnaturels comme Superman, soit par une intelligence, une détermination, un sens de la déduction et des capacités physiques hors du commun comme Batman, pourquoi les utiliser pour s’en prendre à des braqueurs de banque et des voleurs de sacs à mains alors qu’on pourrait changer le monde ? Relisez Watchmen, relisez Dark Knight, vous verrez que les parallèles entre Batman, Rorschasch et Ozymandias, entre Superman, le Comédien et Dr. Manhattan, sont nombreux… Evidemment, c’est traité à la Frank Miller, dont le style est assez différent de celui de Moore… Entendons-nous bien, pour moi, ce type a du génie, mais la subtilité et la finesse atteintes par Moore dans Watchmen, c’est pas vraiment le genre de Miller qui donne plutôt dans le direct et efficace… Attention, hein, il vole quand même largement au-dessus de la moyenne des auteurs de comics grand public, mais vous êtes prévenus, Dark Knight n’est quand même pas du niveau de Watchmen niveau scénar et réflexion. En ce qui concerne le dessin… Bah, oui, c’est sûr que le style de Miller est spécial, je sais que beaucoup de gens trouvent ça moche comme tout. Personnellement, je ne suis pas de cet avis, je trouve même ça assez classe dans le genre "brut", mais à vous de voir. Au final, Dark Knight est, n’ayons pas peur des mots, un chef d’œuvre du genre. En revanche, une suite (Dark Knight : La Relève) est sortie 15 ans plus tard, qui n’en est qu’une infâme et indigne caricature que je vous conseille d’éviter.
Gaston Lagaffe
Bien sûr qu'il faut lire Gaston Lagaffe ! Ca fait partie du patrimoine de l'humanité (et de la Belgique...) En fait ce qui est le plus incroyable dans cette série, c'est l'imagination de Franquin, sans limites. Cette série lui a permis d'exploiter de façon exponentielle ce talent. Un talent de conteur aussi, car il faut savoir raconter des histoires pour tenir aussi longtemps avec une série à gags, une série qui est presque l'archétype du genre. Et pour que la série soit toujours aussi populaire aujourd'hui, il faut faire partie du Panthéon de la BD...