Cette série est trop bien, dommage que l'on revoit pas les BD des auteurs avant Franquin et je suis préssé d'avoir le numéro 47 de la série, Je conseille à tous d'acheter les hors-séries de la série. Aussi il faudrai un album de spirou qui fassent l'adieu à Suzette et la rencontre avec Fantasio et Spip. Celui qui a des renseignement sur les premiers albums de spirou avant Franquin, peuvent écrire à l'adresse suivante: 6 rue des buttes 14600 Honfleur. c'est ma série préféré avant Celle de Julie, Claire, Cécile de Bom et PAPYRUS de Gieter.Merci! Virgile Lefebvre
L'antihéros absolu, c'est Lagaffe. Ca doit être pour ça qu'il est si drôle et qu'on rit de si bon coeur : quoi qu'on fasse, on n'arrivera jamais à être plus bête, plus malchanceux, plus maladroit, plus flemmard...en un mot plus gaffeur que lui. Et ça, ça fait quand même plaisir.
Mais comme il est quand même gentil et plein de bonnes intentions, personne ne peut lui en vouloir. Ce qui fait que si jamais, par malheur, on devient aussi bête, aussi malchanceux, aussi maladroit...aussi gaffeur que lui, on peut se dire qu'on aura toujours des amis, et ça, c'est quand même rassurant !
Un p'tit gars bien sympa, ce Gaston !
La première fois que j'ai lu cette BD, j'ai trouvé ça mal dessiné, très embrouillé au niveau du scénario, un rien malsain... Et puis j'ai attendu la sortie du tome 2 pour le relire, et j'ai été pris par le rythme, les peintures gigantesques de Bajram, le récit.
Mais au final, "Universal War One" restera comme l'une des meilleures séries de SF de tous les temps. Une série qui a gagné ses paris dans tous les secteurs.
Une histoire solide, bien préparée, aux rebondissements nombreux et malins.
Une narration nerveuse, qui ne lâche pas son lecteur jusqu'à la dernière page.
Un univers ambitieux, qui se base sur des théories alléchantes sur le plan scientifique. A noter une certaine parenté avec l'univers d'Arthur C. Clarke.
Un dessin qui monte en puissance au fil du temps ("Universal War One" aura occupé Denis Bajram pendant presque 10 ans.), avec une mention spéciale pour le design technologique et les scènes se passant dans l'espace.
Toutes ces qualités sont bien évidemment présentes dans le tome ultime, qui boucle superbement la boucle narrative de l'histoire. Curieusement, j'avais vu venir "la" révélation du tome, un peu avant qu'elle ne survienne. Quant au dénouement, je me demandais comment Bajram allait faire pour justifier la couverture très "Deus ex Machina" de ce tome 6. Il y parvient superbement, sans lâcher un gramme d'incohérence dans son histoire.
REMARQUABLE.
Pour moi la meilleur BD de science-fictions. Tout y est des dessins de Crisse toujours aussi beau, et un scenar interessant, palpitant, avec de nombreux rebondissement. Une BD vraiment superbe, à avoir dans sa bdtheque.
Cette BD ma vraiment impressionne un one-shot d'une telle qualite est rare
Les dessins styles mangas sont superbe, les couleurs sont parfaite pour l'atmosphere de cette BD.
Le scénario est très intéressant, et la fin géniale.
Un tel one-shot est indispensable.
Cette série est un vrai roman fleuve – trente tomes parus à ce jour, et trente tomes qui, contrairement à d’autres séries, forment une histoire cohérente, complète et en constant développement, même si certains peuvent se lire de manière totalement indépendante (un tramway nommé délire, le solitaire, la décharge,…).
Une fleuve, mais bien un Eldorado : cette série charrie énormément de création poétique, autant d’humour, et irrigue de puissantes et profondes réflexions autant sur la nature de l’homme (quelle réalité, papa ?) que sur celle de Dieu (l’alchimiste suprême) ou, plus fréquemment, sur ses créations et motivations politiques.
Une série qui touche à tout, à travers un humour grinçant et parfois décalé, où l’horreur s’entremêle avec le grotesque pour laisser une impression de satiété et de dégoût tout à la fois ; une série aux répliques mythiques (« Descends de là… Sinon, j’éteins le soleil ! – Bon, d’accord, te fâche pas, j’arrive… »), à l’ambiance très onirique mais aux scénarios bien construits, à travers lesquels seules ses passions conduisent un homme qui faussement paraît impassible.
Godard, le scénariste, fait preuve d’une imagination foisonnante, sans faille, même si personnellement je trouve les tomes aux alentours des dix-huit-vingt un peu plus faibles…
Et quant au dessin, on peut ne pas aimer. Mais ne vous laissez pas rebuter par ça, vous passeriez vraiment à côté de quelque chose.
L’ensemble reste en effet d’une qualité rare. La richesse incroyable du monde créé, l’humour délirant confinant à la poésie, la capacité du scénariste à faire rebondir ses personnages d’une situation grotesque à une autre tragique sans pour autant se départir d’une très rafraîchissante auto-dérision hisse cette série au panthéon de la BD.
Rien que ça !
Là là là ! Spirou & Fantasio ! Comment ça t'arrache le rire ! Sur la tête de ma mère !
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : Spirou et Fantasio est une série à connaître absolument ! Suivant les époques, il faut cependant bien choisir son album ; tous ceux dessinés (et scénarisés) par Franquin sont bons, avec une mention spéciale pour La Mauvaise tête et le Gorille a bonne mine ; tous ses albums sont des joyaux d'inventivité et d'humour. Ensuite, pendant les années 70, c'est Fournier qui a repris le flambeau, avec plus ou moins de bonheur. Puis Nic et Cauvin s'y sont mis, et les 3 (ou ? je ne sais plus) tomes qu'ils ont commis sont parfaitement oubliables. Au début des années 1980 des inconnus, Tome & Janry, reprennent le bébé en perte de vitesse et, après quelques débuts hésitants, redressent la barre (surtout depuis La Frousse aux trousses) pour l'apporter très haut récemment (lire en particulier Le Rayon Noir, un formidable réquisitoire contre le racisme). Le sommet aurait-il été atteint avec le très surprenant Machine qui rêve ? en tout cas, tous les fans attendent la suite avec impatience !
Corto Maltese, ce n'est pas de la BD, c'est du Corto Maltese, c'est absolument inclassable.
Quand on entre dans le monde de Corto Maltese, on marche lentement, solitaire, sur un fil. Ce fil est la frontière ténue entre réalité et imaginaire, entre veille et sommeil, entre rêve et cauchemar, entre voyage et transe, entre passé et présent.
Si on se laisse porter, on passe d'un côté, puis de l'autre, et on recommence. Un peu comme le héros de Pratt, qui a choisi sa route mais n'en connait pas toujours les méandres.
Entrez dans ce monde et partez en voyage.
Réponse à Yodup (Décembre 2001-critique reportée)
Je suis d'accord avec Yodup sur de nombreux points: en effet, Yves Swolfs n'élabore pas une histoire originale dans les six premiers volumes dans le sens ou il ne renouvèle pas le mythe du vampire. Et selon moi, c'est aussi bien: Yves Swolfs a choisi d'honorer le mythe du vampire dans ce qu'il a de plus classique: il le fait à merveille grâce à son dessin et à un scénario dynamique reposant sur des flashback.
D'autres BD renouvellent complètement le mythe du vampire et le font très bien (je pense à Rapaces de Marini et Dufaux). Beaucoup critiquent aussi Blacksad à cause d'un scénario qui selon eux manque d'originalité...mais les auteurs (Guardino et Canales) ont simplement voulu faire un policier noir classsique et ils y excellent! C'est le même problème que pour le prince de la nuit.
Mais attention !!! Le sixième tome promet une évolution dans la série... les cendres que le serviteur du Prince de la nuit ramassent rassemblent les restes de Kergan et de Vincent. La réincarnation probable donnera naissance à une créature encore inédite... On verra bien. Il faut aussi signaler que le scénario de Swolfs est selon moi construit à partir d'une reflexion psychanalytique de sa part, ce qui ne manque pas d'originalité (pour plus de détail, allez voir les dessous du Prince de la nuit)
Cette approche psychanalytique du mythe du vampire justifie que les différents Rougemonts soient parfois fanatiques ou sombres. Chacun d'entre eux combattent Kergan mais risquent de s'y perdre s'ils ne prennent pas conscience que Kergan n'est pas un simple vampire: Kergan, c'est aussi une vieille histoire de famille et le symbole d'une conscience familiale rongée par le remord. Il ne faut donc pas simplement combattre Kergan mais aussi l'accepter. Tout cela justifie que tous les Rougemonts échouent dans leur lutte et que Vincent réussisse (cf les dessous du Prince de la nuit)
Voilà donc une série au scénario non pas original mais fidèle au mythe du vampire jusqu'à un certain point et énormément travaillé. Une série accompagnée d'un dessin magnifique qui illustre différentes époques de l'histoire avec soin et qui trouve sa splendeur en particulier dans les représentations de chateaux (voir mes fonds d'écran) et de femmes.
PS:
Je suis le webmaster du site sur le Prince de la nuit. Cette page de critique (gérée par bdthèque) apparait sur nos deux sites :
www.bdtheque.comwww.ifrance.com/leprincedelanuit/
Donc si vous la consultez à partir d'un site, allez voir l'autre !
Vous rêvez de voguer sur les mers, d'affronter des tempêtes déchaînées, de suivre une romance au XVIIIème siècle ? Alors les Passagers du vent est fait pour vous. Un dessin splendide (Bourgeon ne fera jamais mieux), un rythme trépidant, de l'aventure...
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Spirou et Fantasio
Cette série est trop bien, dommage que l'on revoit pas les BD des auteurs avant Franquin et je suis préssé d'avoir le numéro 47 de la série, Je conseille à tous d'acheter les hors-séries de la série. Aussi il faudrai un album de spirou qui fassent l'adieu à Suzette et la rencontre avec Fantasio et Spip. Celui qui a des renseignement sur les premiers albums de spirou avant Franquin, peuvent écrire à l'adresse suivante: 6 rue des buttes 14600 Honfleur. c'est ma série préféré avant Celle de Julie, Claire, Cécile de Bom et PAPYRUS de Gieter.Merci! Virgile Lefebvre
Gaston Lagaffe
L'antihéros absolu, c'est Lagaffe. Ca doit être pour ça qu'il est si drôle et qu'on rit de si bon coeur : quoi qu'on fasse, on n'arrivera jamais à être plus bête, plus malchanceux, plus maladroit, plus flemmard...en un mot plus gaffeur que lui. Et ça, ça fait quand même plaisir. Mais comme il est quand même gentil et plein de bonnes intentions, personne ne peut lui en vouloir. Ce qui fait que si jamais, par malheur, on devient aussi bête, aussi malchanceux, aussi maladroit...aussi gaffeur que lui, on peut se dire qu'on aura toujours des amis, et ça, c'est quand même rassurant ! Un p'tit gars bien sympa, ce Gaston !
Universal War One
La première fois que j'ai lu cette BD, j'ai trouvé ça mal dessiné, très embrouillé au niveau du scénario, un rien malsain... Et puis j'ai attendu la sortie du tome 2 pour le relire, et j'ai été pris par le rythme, les peintures gigantesques de Bajram, le récit. Mais au final, "Universal War One" restera comme l'une des meilleures séries de SF de tous les temps. Une série qui a gagné ses paris dans tous les secteurs. Une histoire solide, bien préparée, aux rebondissements nombreux et malins. Une narration nerveuse, qui ne lâche pas son lecteur jusqu'à la dernière page. Un univers ambitieux, qui se base sur des théories alléchantes sur le plan scientifique. A noter une certaine parenté avec l'univers d'Arthur C. Clarke. Un dessin qui monte en puissance au fil du temps ("Universal War One" aura occupé Denis Bajram pendant presque 10 ans.), avec une mention spéciale pour le design technologique et les scènes se passant dans l'espace. Toutes ces qualités sont bien évidemment présentes dans le tome ultime, qui boucle superbement la boucle narrative de l'histoire. Curieusement, j'avais vu venir "la" révélation du tome, un peu avant qu'elle ne survienne. Quant au dénouement, je me demandais comment Bajram allait faire pour justifier la couverture très "Deus ex Machina" de ce tome 6. Il y parvient superbement, sans lâcher un gramme d'incohérence dans son histoire. REMARQUABLE.
Kookaburra
Pour moi la meilleur BD de science-fictions. Tout y est des dessins de Crisse toujours aussi beau, et un scenar interessant, palpitant, avec de nombreux rebondissement. Une BD vraiment superbe, à avoir dans sa bdtheque.
Gabrielle
Cette BD ma vraiment impressionne un one-shot d'une telle qualite est rare Les dessins styles mangas sont superbe, les couleurs sont parfaite pour l'atmosphere de cette BD. Le scénario est très intéressant, et la fin géniale. Un tel one-shot est indispensable.
Le Vagabond des Limbes
Cette série est un vrai roman fleuve – trente tomes parus à ce jour, et trente tomes qui, contrairement à d’autres séries, forment une histoire cohérente, complète et en constant développement, même si certains peuvent se lire de manière totalement indépendante (un tramway nommé délire, le solitaire, la décharge,…). Une fleuve, mais bien un Eldorado : cette série charrie énormément de création poétique, autant d’humour, et irrigue de puissantes et profondes réflexions autant sur la nature de l’homme (quelle réalité, papa ?) que sur celle de Dieu (l’alchimiste suprême) ou, plus fréquemment, sur ses créations et motivations politiques. Une série qui touche à tout, à travers un humour grinçant et parfois décalé, où l’horreur s’entremêle avec le grotesque pour laisser une impression de satiété et de dégoût tout à la fois ; une série aux répliques mythiques (« Descends de là… Sinon, j’éteins le soleil ! – Bon, d’accord, te fâche pas, j’arrive… »), à l’ambiance très onirique mais aux scénarios bien construits, à travers lesquels seules ses passions conduisent un homme qui faussement paraît impassible. Godard, le scénariste, fait preuve d’une imagination foisonnante, sans faille, même si personnellement je trouve les tomes aux alentours des dix-huit-vingt un peu plus faibles… Et quant au dessin, on peut ne pas aimer. Mais ne vous laissez pas rebuter par ça, vous passeriez vraiment à côté de quelque chose. L’ensemble reste en effet d’une qualité rare. La richesse incroyable du monde créé, l’humour délirant confinant à la poésie, la capacité du scénariste à faire rebondir ses personnages d’une situation grotesque à une autre tragique sans pour autant se départir d’une très rafraîchissante auto-dérision hisse cette série au panthéon de la BD. Rien que ça !
Spirou et Fantasio
Là là là ! Spirou & Fantasio ! Comment ça t'arrache le rire ! Sur la tête de ma mère ! Je ne vais pas y aller par quatre chemins : Spirou et Fantasio est une série à connaître absolument ! Suivant les époques, il faut cependant bien choisir son album ; tous ceux dessinés (et scénarisés) par Franquin sont bons, avec une mention spéciale pour La Mauvaise tête et le Gorille a bonne mine ; tous ses albums sont des joyaux d'inventivité et d'humour. Ensuite, pendant les années 70, c'est Fournier qui a repris le flambeau, avec plus ou moins de bonheur. Puis Nic et Cauvin s'y sont mis, et les 3 (ou ? je ne sais plus) tomes qu'ils ont commis sont parfaitement oubliables. Au début des années 1980 des inconnus, Tome & Janry, reprennent le bébé en perte de vitesse et, après quelques débuts hésitants, redressent la barre (surtout depuis La Frousse aux trousses) pour l'apporter très haut récemment (lire en particulier Le Rayon Noir, un formidable réquisitoire contre le racisme). Le sommet aurait-il été atteint avec le très surprenant Machine qui rêve ? en tout cas, tous les fans attendent la suite avec impatience !
Corto Maltese
Corto Maltese, ce n'est pas de la BD, c'est du Corto Maltese, c'est absolument inclassable. Quand on entre dans le monde de Corto Maltese, on marche lentement, solitaire, sur un fil. Ce fil est la frontière ténue entre réalité et imaginaire, entre veille et sommeil, entre rêve et cauchemar, entre voyage et transe, entre passé et présent. Si on se laisse porter, on passe d'un côté, puis de l'autre, et on recommence. Un peu comme le héros de Pratt, qui a choisi sa route mais n'en connait pas toujours les méandres. Entrez dans ce monde et partez en voyage.
Le Prince de la Nuit
Réponse à Yodup (Décembre 2001-critique reportée) Je suis d'accord avec Yodup sur de nombreux points: en effet, Yves Swolfs n'élabore pas une histoire originale dans les six premiers volumes dans le sens ou il ne renouvèle pas le mythe du vampire. Et selon moi, c'est aussi bien: Yves Swolfs a choisi d'honorer le mythe du vampire dans ce qu'il a de plus classique: il le fait à merveille grâce à son dessin et à un scénario dynamique reposant sur des flashback. D'autres BD renouvellent complètement le mythe du vampire et le font très bien (je pense à Rapaces de Marini et Dufaux). Beaucoup critiquent aussi Blacksad à cause d'un scénario qui selon eux manque d'originalité...mais les auteurs (Guardino et Canales) ont simplement voulu faire un policier noir classsique et ils y excellent! C'est le même problème que pour le prince de la nuit. Mais attention !!! Le sixième tome promet une évolution dans la série... les cendres que le serviteur du Prince de la nuit ramassent rassemblent les restes de Kergan et de Vincent. La réincarnation probable donnera naissance à une créature encore inédite... On verra bien. Il faut aussi signaler que le scénario de Swolfs est selon moi construit à partir d'une reflexion psychanalytique de sa part, ce qui ne manque pas d'originalité (pour plus de détail, allez voir les dessous du Prince de la nuit) Cette approche psychanalytique du mythe du vampire justifie que les différents Rougemonts soient parfois fanatiques ou sombres. Chacun d'entre eux combattent Kergan mais risquent de s'y perdre s'ils ne prennent pas conscience que Kergan n'est pas un simple vampire: Kergan, c'est aussi une vieille histoire de famille et le symbole d'une conscience familiale rongée par le remord. Il ne faut donc pas simplement combattre Kergan mais aussi l'accepter. Tout cela justifie que tous les Rougemonts échouent dans leur lutte et que Vincent réussisse (cf les dessous du Prince de la nuit) Voilà donc une série au scénario non pas original mais fidèle au mythe du vampire jusqu'à un certain point et énormément travaillé. Une série accompagnée d'un dessin magnifique qui illustre différentes époques de l'histoire avec soin et qui trouve sa splendeur en particulier dans les représentations de chateaux (voir mes fonds d'écran) et de femmes. PS: Je suis le webmaster du site sur le Prince de la nuit. Cette page de critique (gérée par bdthèque) apparait sur nos deux sites : www.bdtheque.com www.ifrance.com/leprincedelanuit/ Donc si vous la consultez à partir d'un site, allez voir l'autre !
Les Passagers du vent
Vous rêvez de voguer sur les mers, d'affronter des tempêtes déchaînées, de suivre une romance au XVIIIème siècle ? Alors les Passagers du vent est fait pour vous. Un dessin splendide (Bourgeon ne fera jamais mieux), un rythme trépidant, de l'aventure...