J’ai découvert la Quête de la même façon qu’Alix, c-a-d que mon libraire m’avait conseillé à la fois Lanfeust et la Quête et mon choix se porta sur le premier pour les mêmes raisons. Il faut avouer que le premier tome est assez brouillon (on se répète, mais bon). Donc je découvris la série bien plus tard (à l’occasion de la sortie du coffret). Dès son acquisition je me lance dans la lecture des quatre tomes : « Ooohhhh !!! » ; « Aahhh !!! » ; « … !!! ».
« Ooohhhh » : Le scénario est dans le même ton que de nombreuses série d’Heroic-Fantasy (long périple des personnages à la recherche d’un quelconque objet) et nous permet d’aborder différents lieus tous plus riches les uns que les autres où tout y est décrit dans les moindres détails. Un scénario qui prend toute son ampleur à partir du second album où l’on commence enfin à s’attacher aux personnages (Pelisse et son fouet ardent, Bragon et sa hache, l’Inconnu et … son casque) ainsi tous possèdent une identité propre qui révèlera qualités et défauts au fur et à mesure de l’aventure. Le Tendre et Loisel nous offrent ici une aventure riche en dangers, en rebondissements, en suspens (si si) le tout ponctué par une petite touche d’humour (Ah ! les mésaventures du Bel Inconnu).
« Aahhh » : Le dessin a beaucoup évolué au cours des albums. Ainsi après un premier album brouillon (désolé j’ai pas trouver de synonyme) où la mise en page, les couleurs et le dessin laissent à désirer on constate de la part de Loisel une nette amélioration atteignant son apogée, à mon humble avis, dans l’avant dernier tome où le style graphique se rapproche de plus en plus du travail qu’il fournit actuellement (Peter Pan).
« … !!! » : La fin est assez inattendu (grosse surprise), j’en étais démoralisé (j’ai passé toute la nuit à me dire que ce n’était pas possible). Les auteurs ont ainsi réussi à transmettre sur du simple papier une véritable émotion, plus particulièrement dans la toute dernière planche du dernier tome (voir la toute dernière case) qui m’a laissé bouche bée pendant plusieurs minutes. Personnellement je n’avais jamais connu un tel sentiment après la lecture d’une bande dessinée.
Bien sur je conseille fortement l’achat de cette série à tous ceux qui ne l’aurait pas encore lu et je remercie BDtheque de m’avoir, dans un sens, pousser à acheter ce chef d’œuvre.
NOTE : Le tome 5 n’a pas grand intérêt.
La meilleure BD qu'il m'a été donné de lire ! Les dessins frisent par moment le chef d'oeuvre absolu et les scénarios sont vraiment palpitants à souhait ! Les personnages sont fouillés (par exemple, les relations de Blueberry avec les indiens sont très complexes) et les rebondissements sont légions sans être (trop) tirés par les cheveux...
Aaaaaaaah que c'est bon!! J'epère juste que notre ami Kounen ne va pas nous cochonner son film...
Ah, la quête de l'oiseau du temps...
Non contents de nous offir LA référence Heroic-Fantasy du monde de la bande dessinée, Letendre et Loisel nous offrent ici une oeuvre particulièrement poetique et travaillée. Je critique ici le premier cycle de cette merveille de la bande dessinée, n'ayant pas lu le cinquième tome...
Le scénario, très bien construit, enchaîne avec brillot scènes d'actions et d'aventures, donnant un aspect épique à la grande quête de Pelisse et Bragon. L'héroine principale n'est pas du tout stéréotypée : certes, elle ajoute une touche de sensualité non négligeable à l'ensemble de l'oeuvre, mais les auteurs l'ont avant tout doté d'un cerveau, ce qui la rend très attachante (comme tous les autres personnages de la série, d'ailleurs !).
Aucune autre série ne m'a jamais aussi ému lors de son épilogue, la fin est tellement... troublante ! Etre ému par un livre est assez simple, tant les descriptions le permettent. Mais arrivé à insufler autant de sentiments par le biais d'une bande dessinée tient du génie ! (J'ai été aussi troublé en lisant le dernier tome de Gunnm, autre chef d'oeuvre).
Les illustrations de Loisel évoluent très bien au fil des tomes. Un peu brouillon lors du premier, ils se précisent au fil de la lecture, et l'on sent que l'illustrateur tiens de mieux en mieux ses personnages en main. Les contrées décrites sont magnifiques, les couleurs utilisées toujours dans le ton, et la faune et la flore vraiment très originales !
Une mension spéciale tout de même pour le troisième tome, dont le scénario et les illustrations montrent vraiments ce que deux rois de la bande dessinée sont capable de faire ensemble.
Vous l'aurez compris, cette série représente pour moi le must-have de l'Heroic Fantasy illustrée (au même titre d'ailleurs que "Légendes des contrées oubliées"). Tentez l'expérience, vous ne serez pas déçu !
Que dire de plus ? Si vous ne la connaissez pas, lisez-la !
Incontournable, bourré d'idées, d'inventivité, de personnages cultes, drôlissime...
Si seulement on avait plus de scénaristes comme Franquin ! (peut-être en moins dépressif quand même ?)
Non mais vous vous rendez compte ? Jusqu'à il y a à peine un mois, je n'en avais jamais lu !!!
Eh ben c'est génial ! Il y a plein plein plein de bonnes idées, plus ou moins déjantées (j'adore les strips concernant la gravité !).
Les dessins sont incroyables, comment peut-on dessiner de pareilles expressions sans être mort de rire ?!
J'adore !
Une BD surprenante, tout d’abord, par son point de vue peu classique : celui de soldats allemands de la Seconde Guerre – des inféodés aux nazis, donc… Évidemment, pas la moindre idéologie nauséabonde là-dedans : il s’agit juste d’un parti-pris de l’auteur, qui manifestement désire ainsi montrer que la guerre était dure pour tout le monde, que ces marins étaient là et tâchaient d’accomplir leur devoir, même s’ils ne se trouvaient pas dans le bon camp.
Mais ça, c’est encore secondaire… Cette BD est glauque à souhait, et insiste, à travers un mode de narration qui se veut légèrement désuet mais renforce l’atmosphère, sur les atrocités, l’éprouvante oppression occasionnée par ces conditions terribles. Solidarité entre les hommes, personnage réfléchi et impassible quoique charismatique de l’officier (Kaleunt), âpreté de la vie de ces sous-mariniers, cette BD est tout ça à la fois… Des esprits un peu chagrins y pourront voir, en plus, une allégorie de la condition humaine, à mon sens digne des grandes tragédies de l’Histoire.
Sublime - même si on ne doit plus la trouver que chez les bouquinistes.
"La tour" m'a fait découvrir cette série étrange et atypique que sont "Les cités obscures", et j'ai été immédiatement conquis.
Si certains albums, comme "L'enfant penchée" ont un scénario peut-être moins élaboré que d'autres ("La tour", "Brüssel", "La fièvre d'Urbicande"), la variété est toujours au rendez-vous; on ne peut ainsi que difficilement comparer "L'archiviste" à "L'écho des cités" ou à "La frontière invisible".
A propos de ce dernier album, je vous le recommande vivement : on y trouve le même sens du mystère et de la découverte - voire de l'absurde - que dans "La tour".
Culte, sans aucun doute, mais ça ne plaira pas à tout le monde.
C'est nul !!! Seul le 1er tome de cette trilogie est disponible !!!
Et il est tellement bien (même s'il est au départ un peu difficile de rentrer dans l'intrigue) que maintenant je reste sur ma faim !
Allez, m'sieur Bilal, la suite, s'il vous plaît !!!
(N.B. : avis particulèrement débile illustrant très bien ce que je dis dans le dernier paragraphe de mon avis sur le tome 2...)
Tome 2 : 32 décembre
Après avoir relu « Le sommeil du monstre », c’est avec ardeur que je me suis jeté sur « 32 décembre ». Et je n’ai pas été déçu… Le graphisme si particulier de Bilal atteint ici des sommets, bien qu’on puisse le trouver assez peu dynamique et plutôt figé, exprimant peu le mouvement, mais le moins que l’on puisse dire est qu’il est superbe, à la fois extrêmement travaillé et donnant une impression de croquis, certainement original, et parfois très lourd de symboles (trop lourd, pense-t-on parfois).
La narration de l’album est – comme son prédécesseur – très particulière. Aux phylactères des personnages, parfois presque anecdotiques, s’ajoute une narration très dense, jamais redondante, qui fait très roman. Comme si cela ne suffisait pas, le découpage en trois points de vue (Nike, Amir et Leyla), complètement maîtrisé lui aussi, est original dans sa forme à défaut de l’être dans son principe. Saupoudrez le tout de quelques coupures de journaux, et vous aurez une narration originale, mais surtout complètement déterminée par l’auteur.
En effet, cet ouvrage est d’une complexité dans les thèmes abordés qui se révèle stupéfiante. Je prendrai pour exemple le thème de l’identité : deux doubles de Nike ont été créés, tous deux se croient être le seul et véritable Nike, et lui-même doute d’être l’original… Cette thématique (également abordée de manière plus anecdotique et poétique dans « Naciré et les machines », de Pontarolo) est traitée ici avec une telle virtuosité qu’elle m’en a laissé la gorge serrée, sans voix aucune. Mais elle est loin d’être la seule : Bilal pioche parmi ce dont il a besoin et créé un tout extrêmement riche et dense, tout en conservant une lecture très fluide et agréable.
Ce deuxième tome révèle malgré tout quelques petites… choses qui tempèrent (légèrement !) mon enthousiasme… Comme le docteur Warhole, qui de méchant sinistre, calculateur, inquiétant et mystérieux dans le précédent tome, passe ici plutôt pour un fou, un méchant un peu caricatural façon comics…Comme l’intrigue du site de l’Aigle, qui – en attendant bien sûr la suite qui confirmera ou infirmera cette impression – s’avère être très classique dans sa forme… Comme encore le côté « mémoire absolue » de Nike, qui ici disparaît alors qu’il fondait « Le sommeil du monstre »…
Enfin… Cette série d’une grande densité, d’une qualité réelle, d’un graphisme superbe, me semble pour l’instant absolument incontournable. Par contre, sa complexité et sa maîtrise même me semblent ne pas la destiner à l’amateur occasionnel qui ne pourra en apprécier qu’une petite partie. (… comme moi à la lecture du tome 1…)
Merveilleux !!!
Combien de fou rires j'ai eu à cause de ce c** de chat !!! Il me ressemble sur pleins de choses et il est super !!!
A connaitre absolument !!!
j'ai tous les tomes sortis et je ne demande qu'une chose, la suite !!!
ce prof est génial et derrière son coté de looser, on l'aime !!!
Eikichi Onizuka, 22 ans, est vraiment un great teacher !!!
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La Quête de l'Oiseau du Temps
J’ai découvert la Quête de la même façon qu’Alix, c-a-d que mon libraire m’avait conseillé à la fois Lanfeust et la Quête et mon choix se porta sur le premier pour les mêmes raisons. Il faut avouer que le premier tome est assez brouillon (on se répète, mais bon). Donc je découvris la série bien plus tard (à l’occasion de la sortie du coffret). Dès son acquisition je me lance dans la lecture des quatre tomes : « Ooohhhh !!! » ; « Aahhh !!! » ; « … !!! ». « Ooohhhh » : Le scénario est dans le même ton que de nombreuses série d’Heroic-Fantasy (long périple des personnages à la recherche d’un quelconque objet) et nous permet d’aborder différents lieus tous plus riches les uns que les autres où tout y est décrit dans les moindres détails. Un scénario qui prend toute son ampleur à partir du second album où l’on commence enfin à s’attacher aux personnages (Pelisse et son fouet ardent, Bragon et sa hache, l’Inconnu et … son casque) ainsi tous possèdent une identité propre qui révèlera qualités et défauts au fur et à mesure de l’aventure. Le Tendre et Loisel nous offrent ici une aventure riche en dangers, en rebondissements, en suspens (si si) le tout ponctué par une petite touche d’humour (Ah ! les mésaventures du Bel Inconnu). « Aahhh » : Le dessin a beaucoup évolué au cours des albums. Ainsi après un premier album brouillon (désolé j’ai pas trouver de synonyme) où la mise en page, les couleurs et le dessin laissent à désirer on constate de la part de Loisel une nette amélioration atteignant son apogée, à mon humble avis, dans l’avant dernier tome où le style graphique se rapproche de plus en plus du travail qu’il fournit actuellement (Peter Pan). « … !!! » : La fin est assez inattendu (grosse surprise), j’en étais démoralisé (j’ai passé toute la nuit à me dire que ce n’était pas possible). Les auteurs ont ainsi réussi à transmettre sur du simple papier une véritable émotion, plus particulièrement dans la toute dernière planche du dernier tome (voir la toute dernière case) qui m’a laissé bouche bée pendant plusieurs minutes. Personnellement je n’avais jamais connu un tel sentiment après la lecture d’une bande dessinée. Bien sur je conseille fortement l’achat de cette série à tous ceux qui ne l’aurait pas encore lu et je remercie BDtheque de m’avoir, dans un sens, pousser à acheter ce chef d’œuvre. NOTE : Le tome 5 n’a pas grand intérêt.
Blueberry
La meilleure BD qu'il m'a été donné de lire ! Les dessins frisent par moment le chef d'oeuvre absolu et les scénarios sont vraiment palpitants à souhait ! Les personnages sont fouillés (par exemple, les relations de Blueberry avec les indiens sont très complexes) et les rebondissements sont légions sans être (trop) tirés par les cheveux... Aaaaaaaah que c'est bon!! J'epère juste que notre ami Kounen ne va pas nous cochonner son film...
La Quête de l'Oiseau du Temps
Ah, la quête de l'oiseau du temps... Non contents de nous offir LA référence Heroic-Fantasy du monde de la bande dessinée, Letendre et Loisel nous offrent ici une oeuvre particulièrement poetique et travaillée. Je critique ici le premier cycle de cette merveille de la bande dessinée, n'ayant pas lu le cinquième tome... Le scénario, très bien construit, enchaîne avec brillot scènes d'actions et d'aventures, donnant un aspect épique à la grande quête de Pelisse et Bragon. L'héroine principale n'est pas du tout stéréotypée : certes, elle ajoute une touche de sensualité non négligeable à l'ensemble de l'oeuvre, mais les auteurs l'ont avant tout doté d'un cerveau, ce qui la rend très attachante (comme tous les autres personnages de la série, d'ailleurs !). Aucune autre série ne m'a jamais aussi ému lors de son épilogue, la fin est tellement... troublante ! Etre ému par un livre est assez simple, tant les descriptions le permettent. Mais arrivé à insufler autant de sentiments par le biais d'une bande dessinée tient du génie ! (J'ai été aussi troublé en lisant le dernier tome de Gunnm, autre chef d'oeuvre). Les illustrations de Loisel évoluent très bien au fil des tomes. Un peu brouillon lors du premier, ils se précisent au fil de la lecture, et l'on sent que l'illustrateur tiens de mieux en mieux ses personnages en main. Les contrées décrites sont magnifiques, les couleurs utilisées toujours dans le ton, et la faune et la flore vraiment très originales ! Une mension spéciale tout de même pour le troisième tome, dont le scénario et les illustrations montrent vraiments ce que deux rois de la bande dessinée sont capable de faire ensemble. Vous l'aurez compris, cette série représente pour moi le must-have de l'Heroic Fantasy illustrée (au même titre d'ailleurs que "Légendes des contrées oubliées"). Tentez l'expérience, vous ne serez pas déçu !
Gaston Lagaffe
Que dire de plus ? Si vous ne la connaissez pas, lisez-la ! Incontournable, bourré d'idées, d'inventivité, de personnages cultes, drôlissime... Si seulement on avait plus de scénaristes comme Franquin ! (peut-être en moins dépressif quand même ?)
Calvin et Hobbes
Non mais vous vous rendez compte ? Jusqu'à il y a à peine un mois, je n'en avais jamais lu !!! Eh ben c'est génial ! Il y a plein plein plein de bonnes idées, plus ou moins déjantées (j'adore les strips concernant la gravité !). Les dessins sont incroyables, comment peut-on dessiner de pareilles expressions sans être mort de rire ?! J'adore !
Kaleunt
Une BD surprenante, tout d’abord, par son point de vue peu classique : celui de soldats allemands de la Seconde Guerre – des inféodés aux nazis, donc… Évidemment, pas la moindre idéologie nauséabonde là-dedans : il s’agit juste d’un parti-pris de l’auteur, qui manifestement désire ainsi montrer que la guerre était dure pour tout le monde, que ces marins étaient là et tâchaient d’accomplir leur devoir, même s’ils ne se trouvaient pas dans le bon camp. Mais ça, c’est encore secondaire… Cette BD est glauque à souhait, et insiste, à travers un mode de narration qui se veut légèrement désuet mais renforce l’atmosphère, sur les atrocités, l’éprouvante oppression occasionnée par ces conditions terribles. Solidarité entre les hommes, personnage réfléchi et impassible quoique charismatique de l’officier (Kaleunt), âpreté de la vie de ces sous-mariniers, cette BD est tout ça à la fois… Des esprits un peu chagrins y pourront voir, en plus, une allégorie de la condition humaine, à mon sens digne des grandes tragédies de l’Histoire. Sublime - même si on ne doit plus la trouver que chez les bouquinistes.
Les Cités obscures
"La tour" m'a fait découvrir cette série étrange et atypique que sont "Les cités obscures", et j'ai été immédiatement conquis. Si certains albums, comme "L'enfant penchée" ont un scénario peut-être moins élaboré que d'autres ("La tour", "Brüssel", "La fièvre d'Urbicande"), la variété est toujours au rendez-vous; on ne peut ainsi que difficilement comparer "L'archiviste" à "L'écho des cités" ou à "La frontière invisible". A propos de ce dernier album, je vous le recommande vivement : on y trouve le même sens du mystère et de la découverte - voire de l'absurde - que dans "La tour". Culte, sans aucun doute, mais ça ne plaira pas à tout le monde.
Le Sommeil du Monstre
Garfield
Merveilleux !!! Combien de fou rires j'ai eu à cause de ce c** de chat !!! Il me ressemble sur pleins de choses et il est super !!! A connaitre absolument !!!
GTO - Great Teacher Onizuka
j'ai tous les tomes sortis et je ne demande qu'une chose, la suite !!! ce prof est génial et derrière son coté de looser, on l'aime !!! Eikichi Onizuka, 22 ans, est vraiment un great teacher !!!