La limite entre le bien et le mal vu par Alan Moore ! Un scénario comme toujours parfait et sans faille. Une histoire qui se révèle patiemment de page en page jusqu'à la conclusion, surprenante et tellement banale à la fois. Alan Moore en profite aussi pour revisiter les mythes américains du super héros avec un oeil neuf, très acerbe. Le seul bémol finalement restera quand meme le dessin, très proche des Stranges et autres Marvels, mais dans lequelle j'ai toujours beaucoup de mal à me plonger.
Une BD sans prétention qui au fil des tomes montre un regard de plus en plus désabusés sur notre futur. Les personnages sont haut en couleur et le passage à Venise est somptueux. Les dessins très proches du style "année 70" fait parfois sourire par sa superposition de marron, orange pas toujours très chatoyant, mais l'histoire est riche et bien ficelé. Le Tome 10 aurait pu (du ?) terminé cette série qui est pour moi la meilleure du duo Gine-Convard un peu devant "Finkel"
Du délire à l'état pure. Cette BD associe un dessin tout simplement magique à un scénario très riches et très drôles. En plus Turf semble nous réserver une surprise pour la conclusion qui se dessine au fil des tomes. Qui tire les ficelles ?
Quelle originalité, quel plaisir que de se plonger dans l'univers truculent de Julius ! Une bande dessinée imprévisible, au "découpage" surprenant et aux histoires loufoques et pourtant parfaitement maitrisées. On est vite pris par la "spirale" infernale de la vie en "monochrome" de cette héros "renversant".
Je pense franchement qu'Universal War One va marquer la bande dessinée. Le dessin est impec, le design impressionnant et les couleurs parfaites, retranscrivant parfaitement le vide spatial. L'histoire est complexe à souhait mais tient formidablement la route; on sent qu'il y a de la réflexion sur le paradoxe temporel, sur les personnages et sur notre avenir, avec une fin de cycle extrêmement noire et sans compromis. Mention spéciale au tome 3, petit chef d'oeuvre à lui-seul, d'une logique implacable et très accessible malgré le sujet difficile. Ce que j'apprécie vraiment c'est que Bajram fait quasiement tout; on est vraiment confronté à un auteur complet et j'ai une énorme admiration pour ça.
UW1 est une grande BD, novatrice et passionnante, comme il y en a peu. En plus le coffret est superbe. Dommage que Bajram se soit fait injustement vilipendé et aggressé sur un forum (mauvais souvenir, il en parle même sur son site), cela nous prive de la chance de parler à un auteur exceptionnel.
Je ne vois pas pourquoi une BD d'action n'aurait pas droit au titre de culte. Celle-ci jouit d'une intrigue brillament menée, l'action est omni-présente et le monde envisagé est de plus vraiment réaliste: on est presque plus dans l'anticipation que dans la fiction à la manière (toute proportion gardée) d'un Philip K. Dick. Le découpage de Quet est très efficace et les prises de vues de certaines scènes assez incoyables (je pense à l'hallucinante scène de la Tour Eiffel du tome 5 par exemple). Je me suis régalé avec le premier cycle, les sommets étant atteints aux 3ème et 4ème tomes. Je trouve la fin du 5ème un peu facile mais c'est pas suffisament grave pour gacher mon plaisir.
Le deuxième cycle est maintenant terminé et, si j'étais resté sur ma faim après le tome 6.1, le 6.2 (se passant en parallèle) et le 7 palient ce manque et éclaire d'un jour un peu nouveau la bataille de quartier du tome précédent qui faisait un peu light après le complot "stélaire" du cycle précédent. Si on doit critiquer un peu, la rédemption de Vlad apparait un peu sommaire et complète vu le passé quand même assez lourd du chenapan. Par contre la fin très noire et sans happy ending convenu est vraiment bonne. Ca reste très ouvert pour une fin de cycle par contre.
Niveau dessin, Alizon n'est malheureusement pas Quet et j'accroche beaucoup moins à son style même si la fluidité des scènes, d'action notamment, est bien assurée. J'attends avec impatience la suite !
A tout niveau une série bien meilleure que Carmen Mc Callum, où le deuxième cycle est franchement raté selon moi. Le top de la BD d'action: intelligent, haletant et efficace.
Un mystérieux personnage défend la veuve et l'orphelin masqué de rouge (conséquence: on l'appelle Masque rouge). Son histoire est intimement liée à celle de la famille de Troil dont les deux frères se sont par le passé opposés, l'ainé soupçonnant sa femme d'avoir eu une relation adultérine avec son frère. Cela déboucha sur la mort de la baronne à l'honneur entaché et sur le banissement du frère indigne.
15 ans plus tard, la baronne Ariane de Troil, au coeur de ce sombre secret familial, éprouve une véritable fascination pour cet homme masqué, à la fois inconnu et pourtant si proche. Son chemin croisera le sien ainsi que celui d'un ancien militaire, fabuleux épéiste, qui lui enseignera l'art du combat. Ce dernier se trouvera lui très lié au bon mais très libertin Roi Henri IV, qui ignore qu'une conspiration dans les plus hautes sphères de l'état, veut attenter à sa vie. Le destin est en marche, implacable, jouant des vies des 7 personnages principaux comme on le ferait de marionnettes.
Certains reprochent aux dessins de dater un peu. Du Juillard qui a un peu vieilli, ça peut certes donner une impression de froid mais ça reste nettement au dessus de la qualité moyenne de ce qu'on voit dans le reste des publications. De plus je trouve que le dessin de Julliard se fond merveilleusement dans l'univers de Cothias et dans son scénario implacable! Quelle puissance narrative! Au niveau romanesque/historique au Moyen-Age, on n'a toujours pas fait mieux.
L'histoire est géniale, sombre à souhait quoiqu'un peu manichéenne. Tout est regroupé en 7 tomes d'une homogénéité qualitative indéniable; on est happé par ces personnages au sort tragique, on voit le destin guider leur pas vers une fin que l'on pressent dramatique, et l'on ne se trompe pas. Le dernier tome livre une fin extraordinaire, sans doute la fin de cycle qui m'a le plus marquée (et je pèse mes mots): tout simplement magistrale, époustouflante. De la très grande bande dessinée, bien supérieure à tous les avatars qu'elle a générés.
A noter qu'il existe une version petit format (l'originale) et une version grand format, bien entendu plus chère, plus classe mais finalement dispensable, les planches elles-mêmes étant de la même taille.
Astérix, y a pas plus culte. Une des rares BD avec des niveaux de lecture différents. Je me rappelle avoir ri à une blague en seconde sur Astérix Légionnaire alors que j'avais cette BD depuis mes 10 ans; je venais enfin de comprendre grâce à mes cours de chimie: Astérix rentre au camp et se prépare à rencontrer un espion du nom de HCL.
- "Drôle de nom" dit-il.
- "C'est son nom de code; son vrai nom c'est acidecloridrix"
Et quelle poilade de voir des Goths en train de boire des bières en grande tablée dans l'arrière plan d'une auberge en Hispanie. Ou Detritus, dans la zizanie, arrivant dans le palais de César et provoquant l'ire des Romains sans même avoir prononcé un mot! Cette planche est grandiose.
Je trouve tout le monde vraiment dur avec Uderzo. Il n'a certe pas le talent de scénariste de Gosciny et La traviata est vraiment une belle daube mais des albums tels que L'odyssée d'Astérix ou Astérix chez Rahazade sont vraiment bons. Et il ne faudrait pas oublier quel grand dessinateur est Uderzo!
Une des BD les plus connues, et pour cause !
Les tomes scénarisés par Goscinny sont tout simplement géniaux : l'humour est présent partout et une culture très étendue est nécessaire pour en saisir toutes les subtilités (j'ai du en louper pas mal).
Chaque sortie du célèbre trio est le prétexte à des jeux de mots, des caricatures, des allusions...
Les personnages ont tous leurs particularités amusantes, le barde, le chef, la gérontophile et j'en passe.
De très bons dessins rendent cette BD culte.
J'ai dû me forcer au premier abord parce que les dessins ne sont pas très engageants. Mais après quelques pages, on finit par bien rentrer dedans. Les personnages sont certes figés et leurs visages un peu artificiels, les animaux et la planète elle-même sont par contre superbes. Finalement cette BD tire autant son originalité de son histoire que de l'environnement dans lequel cela se passe: si loin et à la fois si proche. Leo est vraiment un grand auteur (y a qu'à voir son bestiaire de monstres dans le tome 5!). Les mondes d'Aldébaran forment une série brillante et passionnante même si on aimerait en savoir un peu plus maintenant!
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Watchmen
La limite entre le bien et le mal vu par Alan Moore ! Un scénario comme toujours parfait et sans faille. Une histoire qui se révèle patiemment de page en page jusqu'à la conclusion, surprenante et tellement banale à la fois. Alan Moore en profite aussi pour revisiter les mythes américains du super héros avec un oeil neuf, très acerbe. Le seul bémol finalement restera quand meme le dessin, très proche des Stranges et autres Marvels, mais dans lequelle j'ai toujours beaucoup de mal à me plonger.
Neige
Une BD sans prétention qui au fil des tomes montre un regard de plus en plus désabusés sur notre futur. Les personnages sont haut en couleur et le passage à Venise est somptueux. Les dessins très proches du style "année 70" fait parfois sourire par sa superposition de marron, orange pas toujours très chatoyant, mais l'histoire est riche et bien ficelé. Le Tome 10 aurait pu (du ?) terminé cette série qui est pour moi la meilleure du duo Gine-Convard un peu devant "Finkel"
La Nef des fous
Du délire à l'état pure. Cette BD associe un dessin tout simplement magique à un scénario très riches et très drôles. En plus Turf semble nous réserver une surprise pour la conclusion qui se dessine au fil des tomes. Qui tire les ficelles ?
Julius Corentin Acquefacques
Quelle originalité, quel plaisir que de se plonger dans l'univers truculent de Julius ! Une bande dessinée imprévisible, au "découpage" surprenant et aux histoires loufoques et pourtant parfaitement maitrisées. On est vite pris par la "spirale" infernale de la vie en "monochrome" de cette héros "renversant".
Universal War One
Je pense franchement qu'Universal War One va marquer la bande dessinée. Le dessin est impec, le design impressionnant et les couleurs parfaites, retranscrivant parfaitement le vide spatial. L'histoire est complexe à souhait mais tient formidablement la route; on sent qu'il y a de la réflexion sur le paradoxe temporel, sur les personnages et sur notre avenir, avec une fin de cycle extrêmement noire et sans compromis. Mention spéciale au tome 3, petit chef d'oeuvre à lui-seul, d'une logique implacable et très accessible malgré le sujet difficile. Ce que j'apprécie vraiment c'est que Bajram fait quasiement tout; on est vraiment confronté à un auteur complet et j'ai une énorme admiration pour ça. UW1 est une grande BD, novatrice et passionnante, comme il y en a peu. En plus le coffret est superbe. Dommage que Bajram se soit fait injustement vilipendé et aggressé sur un forum (mauvais souvenir, il en parle même sur son site), cela nous prive de la chance de parler à un auteur exceptionnel.
Travis
Je ne vois pas pourquoi une BD d'action n'aurait pas droit au titre de culte. Celle-ci jouit d'une intrigue brillament menée, l'action est omni-présente et le monde envisagé est de plus vraiment réaliste: on est presque plus dans l'anticipation que dans la fiction à la manière (toute proportion gardée) d'un Philip K. Dick. Le découpage de Quet est très efficace et les prises de vues de certaines scènes assez incoyables (je pense à l'hallucinante scène de la Tour Eiffel du tome 5 par exemple). Je me suis régalé avec le premier cycle, les sommets étant atteints aux 3ème et 4ème tomes. Je trouve la fin du 5ème un peu facile mais c'est pas suffisament grave pour gacher mon plaisir. Le deuxième cycle est maintenant terminé et, si j'étais resté sur ma faim après le tome 6.1, le 6.2 (se passant en parallèle) et le 7 palient ce manque et éclaire d'un jour un peu nouveau la bataille de quartier du tome précédent qui faisait un peu light après le complot "stélaire" du cycle précédent. Si on doit critiquer un peu, la rédemption de Vlad apparait un peu sommaire et complète vu le passé quand même assez lourd du chenapan. Par contre la fin très noire et sans happy ending convenu est vraiment bonne. Ca reste très ouvert pour une fin de cycle par contre. Niveau dessin, Alizon n'est malheureusement pas Quet et j'accroche beaucoup moins à son style même si la fluidité des scènes, d'action notamment, est bien assurée. J'attends avec impatience la suite ! A tout niveau une série bien meilleure que Carmen Mc Callum, où le deuxième cycle est franchement raté selon moi. Le top de la BD d'action: intelligent, haletant et efficace.
Les 7 vies de l'épervier
Un mystérieux personnage défend la veuve et l'orphelin masqué de rouge (conséquence: on l'appelle Masque rouge). Son histoire est intimement liée à celle de la famille de Troil dont les deux frères se sont par le passé opposés, l'ainé soupçonnant sa femme d'avoir eu une relation adultérine avec son frère. Cela déboucha sur la mort de la baronne à l'honneur entaché et sur le banissement du frère indigne. 15 ans plus tard, la baronne Ariane de Troil, au coeur de ce sombre secret familial, éprouve une véritable fascination pour cet homme masqué, à la fois inconnu et pourtant si proche. Son chemin croisera le sien ainsi que celui d'un ancien militaire, fabuleux épéiste, qui lui enseignera l'art du combat. Ce dernier se trouvera lui très lié au bon mais très libertin Roi Henri IV, qui ignore qu'une conspiration dans les plus hautes sphères de l'état, veut attenter à sa vie. Le destin est en marche, implacable, jouant des vies des 7 personnages principaux comme on le ferait de marionnettes. Certains reprochent aux dessins de dater un peu. Du Juillard qui a un peu vieilli, ça peut certes donner une impression de froid mais ça reste nettement au dessus de la qualité moyenne de ce qu'on voit dans le reste des publications. De plus je trouve que le dessin de Julliard se fond merveilleusement dans l'univers de Cothias et dans son scénario implacable! Quelle puissance narrative! Au niveau romanesque/historique au Moyen-Age, on n'a toujours pas fait mieux. L'histoire est géniale, sombre à souhait quoiqu'un peu manichéenne. Tout est regroupé en 7 tomes d'une homogénéité qualitative indéniable; on est happé par ces personnages au sort tragique, on voit le destin guider leur pas vers une fin que l'on pressent dramatique, et l'on ne se trompe pas. Le dernier tome livre une fin extraordinaire, sans doute la fin de cycle qui m'a le plus marquée (et je pèse mes mots): tout simplement magistrale, époustouflante. De la très grande bande dessinée, bien supérieure à tous les avatars qu'elle a générés. A noter qu'il existe une version petit format (l'originale) et une version grand format, bien entendu plus chère, plus classe mais finalement dispensable, les planches elles-mêmes étant de la même taille.
Astérix
Astérix, y a pas plus culte. Une des rares BD avec des niveaux de lecture différents. Je me rappelle avoir ri à une blague en seconde sur Astérix Légionnaire alors que j'avais cette BD depuis mes 10 ans; je venais enfin de comprendre grâce à mes cours de chimie: Astérix rentre au camp et se prépare à rencontrer un espion du nom de HCL. - "Drôle de nom" dit-il. - "C'est son nom de code; son vrai nom c'est acidecloridrix" Et quelle poilade de voir des Goths en train de boire des bières en grande tablée dans l'arrière plan d'une auberge en Hispanie. Ou Detritus, dans la zizanie, arrivant dans le palais de César et provoquant l'ire des Romains sans même avoir prononcé un mot! Cette planche est grandiose. Je trouve tout le monde vraiment dur avec Uderzo. Il n'a certe pas le talent de scénariste de Gosciny et La traviata est vraiment une belle daube mais des albums tels que L'odyssée d'Astérix ou Astérix chez Rahazade sont vraiment bons. Et il ne faudrait pas oublier quel grand dessinateur est Uderzo!
Astérix
Une des BD les plus connues, et pour cause ! Les tomes scénarisés par Goscinny sont tout simplement géniaux : l'humour est présent partout et une culture très étendue est nécessaire pour en saisir toutes les subtilités (j'ai du en louper pas mal). Chaque sortie du célèbre trio est le prétexte à des jeux de mots, des caricatures, des allusions... Les personnages ont tous leurs particularités amusantes, le barde, le chef, la gérontophile et j'en passe. De très bons dessins rendent cette BD culte.
Aldébaran
J'ai dû me forcer au premier abord parce que les dessins ne sont pas très engageants. Mais après quelques pages, on finit par bien rentrer dedans. Les personnages sont certes figés et leurs visages un peu artificiels, les animaux et la planète elle-même sont par contre superbes. Finalement cette BD tire autant son originalité de son histoire que de l'environnement dans lequel cela se passe: si loin et à la fois si proche. Leo est vraiment un grand auteur (y a qu'à voir son bestiaire de monstres dans le tome 5!). Les mondes d'Aldébaran forment une série brillante et passionnante même si on aimerait en savoir un peu plus maintenant!