J'adore cette série.
C'est le premier manga que j'ai lu, et cela m'a donné envie d'en lire d'autres !
Ce manga est plein de petites pointes d'humour, mais celles-ci ne sont pas trop exagérées.
De plus, les dessins sont vraiment magnifiques (en particulier Kyo) !
C'est un très bon shojo, que je conseille à tout le monde.
Excellent, de plus la suite est de mieux en mieux !!!
Eiji Otsuka a créé un chef-d'oeuvre, les esprits gothiques s'y retrouveront... Il est difficile de ne pas continuer la lecture des autres volumes.
NB : Eiji Otsuka a été recueilli alors qu'il allait vivre dans la rue, il a connu la misère, et il sait la transmettre dans ses histoires !!
De sa plume enchanteresse, Nancy Peña nous envoûte en nous contant les déambulations de son félin fugueur.
Traversant les tableaux et les âges, nous le découvrons tour à tour chat du Cheshire (au sourire éclatant) d’une Alice au pays (pas tout à fait) des merveilles, incarnation du fantasme féminin d’un marin mélancolique, « Chat Noir » montmartrois et « décadent » de Toulouse Lautrec ferraillant avec le Chat blanc du tableau de Bonnard, ombre des peurs d’un Sherlock Holmes cocaïnomane ou compagnon d’un Watson alangui, à la reconquête de son épouse.
Sautant puis revenant d’histoire en histoire dans un chassé-croisé gracieux mêlant onirisme et monde réel, le changeant matou inquiète, amuse, intrigue ou ensorcelle, et finalement nous emporte dans un tourbillon d’émotions.
C’est beau (si beau), poétique, intelligent, parfois satirique, truffé de clins d’œil littéraires délicieux, tantôt triste, tantôt drôle… C’est tellement Tout. A la fermeture de l’album j’avais un peu la sensation de m’éveiller après un long et doux rêve.
Une des œuvres les plus merveilleuses que j’ai pu lire.
Moi j'adore ! J'ai 12 ans et je connais "Dragon Ball" depuis 7 ans ! L'histoire de Sangoku m'a vraiment touché ! Dans "Dragon Ball", Sangoku n'a rien dans le crâne, il fait n'importe quoi mais ça ne l'empêche pas de battre les plus terribles adversaires !!! Dans "Dragon ball z", il y a pour moi 4 parties :
1 : Les saiyens
2 : Freezer
3 : Cell et les cyborgs
4 : Bou
"Dragon Ball GT" ? Je n'aime pas beaucoup, car l'histoire est un peu nulle (pour moi). Le seul truc que j'ai aimé c'est de revoir les personnages qui ont vieilli !! C'est trop bien !! Tout ça pour dire que "Dragon Ball" n'est pas une simple série, c'est beaucoup plus !!!!
Cet ouvrage, véritable perle d'introspection, vous embarque à l'intérieur de l'émotif de l'auteur.
Bien loin des poncifs autobiographiques faciles et en vogue, il nous touche par les évidentes correspondances entre le vécu d'Olivier Josso et nos propres expériences. On perçoit même la très grande honnêteté et sincérité de l'auteur, d'autant qu'il ne s'épargne jamais.
Loin d'être caricaturale ou post adolescente (comme j'ai pu le lire par ailleurs), cette compile nous livre le meilleur d'un dessinateur, peut-être trop intimiste voire à vif pour certains, mais qui mérite largement que l'on s'attarde sur sa vision de l'univers et de l'humain.
On trouve également dans ce livre une particularité : deux récits réalisés à quatre mains. En effet, Olivier Josso et la dessinatrice Laure Del Pino, mêlent leurs traits harmonieusement entre symbiose et ludisme. Ce type de traité masculin-féminin semble suffisamment rare pour être signalé. Rien à voir avec le duo Crumb-Kominsky, ici les auteurs n'affichent pas leurs différences mais se jouent des imbrications.
Ce recueil est à recommander à tous ceux qui pensent que la bande dessinée peut se poser des questions et expérimenter.
Une certaine perfection dans l'arrangement des scènes sci-fi et anti-sci-fi, un univers cohérent, des lieux biens pensés, des personnages utiles et qui évoluent bien, un jeu agréable avec le thème Sherlock Holmes... un vrai petit bijou, un petit chef-d'oeuvre.
Pas étonnant que la série n'aie pas tout de suite trouvé son public ! Il y a une intrigue avec des mystères ! Un dénouement !
Oui, je sais, ça va vous paraître lourd un autre 5/5 mais je ne pouvais pas me résoudre à donner moins... Une ambiance intrigante, alléchante, un scénario béton partant sur de nouvelles idées originales, une longévité prometteuse, des dialogues intelligents et sensés, un contexte non répétitif et très variable et des dessins d'une qualité surréaliste.
Cette bande dessinée mérite vraiment que l'on la lise ; il est vrai qu'à vue d'oeil il est possible que ça n'inspire rien mais une fois plongé dedans croyez-moi c'est VOUS qui allez en redemander !!!
Sinon, les personnages sont très attachants ; on peut observer leurs états d'âme, leurs comportement et leurs actions sans perdre le fil. Il est aussi à ajouter que le suspense est omniprésent dans toute la BD !! On peut s'attendre à tout !!
En bref la meilleure série BD que j'ai jamais lu, donc un conseil : achetez-la et vous ne serez pas déçu, loin de là !!
PS : Je tiendrais juste à m'adresser aux fans de la BD : Arrêtez de penser à ce maudit vampire et concentrez-vous sur Debrah, Nivek, Jill, des personnages principaux bien plus intéressants !! C'est tout de même navrant pour les auteurs de voir leurs fans se concentrer sur des choses aussi insignifiantes... Certes il a de l'importance mais il ne faut pas non plus en faire des choux gras ; croyez-moi que si vous ne songez qu'à ça vous allez perdre beaucoup de cette bande dessinée ainsi qu'aux tomes à venir... En plus vous donnez l'impression de vous moquer du reste et je ne pense pas que ça plaise aux auteurs : les pauvres !! Vous avez une idée du travail que ça demande ??
Voilà mon point de vue.
Galaxion.
He bien, quelle avalanche de choses dénuées de sens j'ai pu voir, ça en est assez impressionnant.
Tout d'abord, pour ceux qui n'ont pas aimé, non, ce n'est pas un tome de plus qui va miraculeusement vous faire aimer cette série, le tome trois étant à mon sens assez riche pour avoir un aperçu de ce qui peut nous attendre. Encore faut-il être dans un état d'esprit assez ouvert pour comprendre cette richesse. En dehors de ça, c'est tout de même au tome 4 que l'ambiance change assez radicalement, et pour un long moment, mais bref.
Donner un avis prématurément sur une série est un droit (après tout, si elle n'accroche pas au départ, c'est un défaut en soi), dire que l'on "n'aime pas" aussi. Mais donner arbitrairement une avalanche de défauts à une histoire qui n'en a pas de tels et qui relèvent plus d'une incompréhension qu'autre chose, je trouve cela pour ma part totalement déplacé. De même, commencer une histoire en étant avant ça persuadé que l'on ne va pas aimer, fausse quelque peu le jugement, comme si l'avis était donné avant même la lecture.
Berserk est sûrement la seule histoire de dark fantasy que j'ai jamais apprécié. Certes, la violence et le sexe y sont omniprésents, mais rarement inutiles (là il faut avoir été assez loin pour comprendre, même si certains rares événements ne trouvent en effet pas d'explication dans leur mise en scène) et surtout participent à l'ambiance dérangeante et sans limite morale.
Le "concept" berserk, celui qui plante le décor et qui justifie la forme, voilà la chose pour laquelle il faut avoir été loin dans l'intrigue pour comprendre.
Quand bien même la violence omniprésente pourrait déranger, cette série a tellement de qualités indéniables qu'on ne peut décemment pas penser qu'elle ne vaut "rien" : Une histoire complexe, un background et un univers travaillés à l'extrême, une scénarisation bien pensée et présentant plusieurs ambiances, une grande originalité pour son époque (certains auraient-ils oublié quand l'histoire a commencé à être publiée ?), et enfin des réflexions intelligentes et profondes sur une multitudes de thèmes encore d'actualité.
Son statut de manga culte n'est en aucun cas volé, une oeuvre avec des défauts mais aussi de gigantesques qualités.
Bon, mon avis ne sera pas long tant il m'est difficile de transmettre ici tout ce qui m'a ému à la lecture de ces bouquins.
Il s'agit donc d'un journal, sujet déjà difficile et délicat, car profondément encré dans la réalité du narrateur. Le sujet réel du livre ne cesse de se réfléchir et reréfléchir...à la fin on touche à l'abîme. Je retiens tout de même une bonne dose de franchise de la part de l'auteur, qui ne joue d'ailleurs pas souvent le rôle le plus simple dans cette partie de sa vie qu'il décrit. Y'a des moments de déprime terribles, profondément sombres, où on aimerait tant avoir pu être là et tendre sa main (à moins que cela ne nous fasse regretter de ne pas avoir été là pour d'autres, bien plus proches de nous).
J'aime bien aussi la sincérité parfaitement iconoclaste avec laquelle Frice Neaud démolit dans l'allégresse une foule de poncifs et clichés bien débiles de notre social-démocratie bien pensante... Bien sûr, Fabrice se montre parfois très choquant... Ce côté bassement provoc' se pardonne, voire se comprend, voire se justifie, voire s'impose, si l'on tient compte de la situation dans laquelle l'auteur semblait se trouver au moment de l'écriture de son œuvre
Le journal de Fabrice Neaud est un solide travail, un entreprise un peu folle mais en tout cas, très humaine, très constructive (il s'agit pour moi d'un splendide récit de construction).
Malgré les inévitables désaccords ou désapprobations que l'on peut sans doute s'entendre formuler à la lecture de ces quatre tomes, et qui, en fait, ne viennent qu'accroître le caractère authentique de la démarche de l'auteur (pas à proprement parler "consensuelle"). Il reste juste un solide témoignage d'une vie et d'un chemin pour y trouver un sens.
C'est très beau.
Perso, c'est mon manga préféré. J'adore trop. Si j'avais pas connu l'Anime, je me serais jamais mises aux mangas. Au début, je trouvais ça nul quand je voyais la série en allemand, mais petit à petit, j'ai fini par m'attacher aux personnages.
Le début est un peu barbant c'est vrai, mais plus l'histoire avance, plus on remarque à quel point les persos sont marqués sous le poids de la souffrance et qu'ils sont plus complexes qu'on ne le pense. Aucun perso ne laisse vraiment indifférent et je trouve qu'avant de dire que ce manga est nul il faut d'abord avoir lu plusieurs parties différentes et non pas seulement le début.
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Fruits Basket
J'adore cette série. C'est le premier manga que j'ai lu, et cela m'a donné envie d'en lire d'autres ! Ce manga est plein de petites pointes d'humour, mais celles-ci ne sont pas trop exagérées. De plus, les dessins sont vraiment magnifiques (en particulier Kyo) ! C'est un très bon shojo, que je conseille à tout le monde.
Leviathan
Excellent, de plus la suite est de mieux en mieux !!! Eiji Otsuka a créé un chef-d'oeuvre, les esprits gothiques s'y retrouveront... Il est difficile de ne pas continuer la lecture des autres volumes. NB : Eiji Otsuka a été recueilli alors qu'il allait vivre dans la rue, il a connu la misère, et il sait la transmettre dans ses histoires !!
Le Chat du kimono
De sa plume enchanteresse, Nancy Peña nous envoûte en nous contant les déambulations de son félin fugueur. Traversant les tableaux et les âges, nous le découvrons tour à tour chat du Cheshire (au sourire éclatant) d’une Alice au pays (pas tout à fait) des merveilles, incarnation du fantasme féminin d’un marin mélancolique, « Chat Noir » montmartrois et « décadent » de Toulouse Lautrec ferraillant avec le Chat blanc du tableau de Bonnard, ombre des peurs d’un Sherlock Holmes cocaïnomane ou compagnon d’un Watson alangui, à la reconquête de son épouse. Sautant puis revenant d’histoire en histoire dans un chassé-croisé gracieux mêlant onirisme et monde réel, le changeant matou inquiète, amuse, intrigue ou ensorcelle, et finalement nous emporte dans un tourbillon d’émotions. C’est beau (si beau), poétique, intelligent, parfois satirique, truffé de clins d’œil littéraires délicieux, tantôt triste, tantôt drôle… C’est tellement Tout. A la fermeture de l’album j’avais un peu la sensation de m’éveiller après un long et doux rêve. Une des œuvres les plus merveilleuses que j’ai pu lire.
Dragon Ball
Moi j'adore ! J'ai 12 ans et je connais "Dragon Ball" depuis 7 ans ! L'histoire de Sangoku m'a vraiment touché ! Dans "Dragon Ball", Sangoku n'a rien dans le crâne, il fait n'importe quoi mais ça ne l'empêche pas de battre les plus terribles adversaires !!! Dans "Dragon ball z", il y a pour moi 4 parties : 1 : Les saiyens 2 : Freezer 3 : Cell et les cyborgs 4 : Bou "Dragon Ball GT" ? Je n'aime pas beaucoup, car l'histoire est un peu nulle (pour moi). Le seul truc que j'ai aimé c'est de revoir les personnages qui ont vieilli !! C'est trop bien !! Tout ça pour dire que "Dragon Ball" n'est pas une simple série, c'est beaucoup plus !!!!
Douce confusion
Cet ouvrage, véritable perle d'introspection, vous embarque à l'intérieur de l'émotif de l'auteur. Bien loin des poncifs autobiographiques faciles et en vogue, il nous touche par les évidentes correspondances entre le vécu d'Olivier Josso et nos propres expériences. On perçoit même la très grande honnêteté et sincérité de l'auteur, d'autant qu'il ne s'épargne jamais. Loin d'être caricaturale ou post adolescente (comme j'ai pu le lire par ailleurs), cette compile nous livre le meilleur d'un dessinateur, peut-être trop intimiste voire à vif pour certains, mais qui mérite largement que l'on s'attarde sur sa vision de l'univers et de l'humain. On trouve également dans ce livre une particularité : deux récits réalisés à quatre mains. En effet, Olivier Josso et la dessinatrice Laure Del Pino, mêlent leurs traits harmonieusement entre symbiose et ludisme. Ce type de traité masculin-féminin semble suffisamment rare pour être signalé. Rien à voir avec le duo Crumb-Kominsky, ici les auteurs n'affichent pas leurs différences mais se jouent des imbrications. Ce recueil est à recommander à tous ceux qui pensent que la bande dessinée peut se poser des questions et expérimenter.
Mycroft Inquisitor
Une certaine perfection dans l'arrangement des scènes sci-fi et anti-sci-fi, un univers cohérent, des lieux biens pensés, des personnages utiles et qui évoluent bien, un jeu agréable avec le thème Sherlock Holmes... un vrai petit bijou, un petit chef-d'oeuvre. Pas étonnant que la série n'aie pas tout de suite trouvé son public ! Il y a une intrigue avec des mystères ! Un dénouement !
Le Chant des Stryges
Oui, je sais, ça va vous paraître lourd un autre 5/5 mais je ne pouvais pas me résoudre à donner moins... Une ambiance intrigante, alléchante, un scénario béton partant sur de nouvelles idées originales, une longévité prometteuse, des dialogues intelligents et sensés, un contexte non répétitif et très variable et des dessins d'une qualité surréaliste. Cette bande dessinée mérite vraiment que l'on la lise ; il est vrai qu'à vue d'oeil il est possible que ça n'inspire rien mais une fois plongé dedans croyez-moi c'est VOUS qui allez en redemander !!! Sinon, les personnages sont très attachants ; on peut observer leurs états d'âme, leurs comportement et leurs actions sans perdre le fil. Il est aussi à ajouter que le suspense est omniprésent dans toute la BD !! On peut s'attendre à tout !! En bref la meilleure série BD que j'ai jamais lu, donc un conseil : achetez-la et vous ne serez pas déçu, loin de là !! PS : Je tiendrais juste à m'adresser aux fans de la BD : Arrêtez de penser à ce maudit vampire et concentrez-vous sur Debrah, Nivek, Jill, des personnages principaux bien plus intéressants !! C'est tout de même navrant pour les auteurs de voir leurs fans se concentrer sur des choses aussi insignifiantes... Certes il a de l'importance mais il ne faut pas non plus en faire des choux gras ; croyez-moi que si vous ne songez qu'à ça vous allez perdre beaucoup de cette bande dessinée ainsi qu'aux tomes à venir... En plus vous donnez l'impression de vous moquer du reste et je ne pense pas que ça plaise aux auteurs : les pauvres !! Vous avez une idée du travail que ça demande ?? Voilà mon point de vue. Galaxion.
Berserk
He bien, quelle avalanche de choses dénuées de sens j'ai pu voir, ça en est assez impressionnant. Tout d'abord, pour ceux qui n'ont pas aimé, non, ce n'est pas un tome de plus qui va miraculeusement vous faire aimer cette série, le tome trois étant à mon sens assez riche pour avoir un aperçu de ce qui peut nous attendre. Encore faut-il être dans un état d'esprit assez ouvert pour comprendre cette richesse. En dehors de ça, c'est tout de même au tome 4 que l'ambiance change assez radicalement, et pour un long moment, mais bref. Donner un avis prématurément sur une série est un droit (après tout, si elle n'accroche pas au départ, c'est un défaut en soi), dire que l'on "n'aime pas" aussi. Mais donner arbitrairement une avalanche de défauts à une histoire qui n'en a pas de tels et qui relèvent plus d'une incompréhension qu'autre chose, je trouve cela pour ma part totalement déplacé. De même, commencer une histoire en étant avant ça persuadé que l'on ne va pas aimer, fausse quelque peu le jugement, comme si l'avis était donné avant même la lecture. Berserk est sûrement la seule histoire de dark fantasy que j'ai jamais apprécié. Certes, la violence et le sexe y sont omniprésents, mais rarement inutiles (là il faut avoir été assez loin pour comprendre, même si certains rares événements ne trouvent en effet pas d'explication dans leur mise en scène) et surtout participent à l'ambiance dérangeante et sans limite morale. Le "concept" berserk, celui qui plante le décor et qui justifie la forme, voilà la chose pour laquelle il faut avoir été loin dans l'intrigue pour comprendre. Quand bien même la violence omniprésente pourrait déranger, cette série a tellement de qualités indéniables qu'on ne peut décemment pas penser qu'elle ne vaut "rien" : Une histoire complexe, un background et un univers travaillés à l'extrême, une scénarisation bien pensée et présentant plusieurs ambiances, une grande originalité pour son époque (certains auraient-ils oublié quand l'histoire a commencé à être publiée ?), et enfin des réflexions intelligentes et profondes sur une multitudes de thèmes encore d'actualité. Son statut de manga culte n'est en aucun cas volé, une oeuvre avec des défauts mais aussi de gigantesques qualités.
Journal
Bon, mon avis ne sera pas long tant il m'est difficile de transmettre ici tout ce qui m'a ému à la lecture de ces bouquins. Il s'agit donc d'un journal, sujet déjà difficile et délicat, car profondément encré dans la réalité du narrateur. Le sujet réel du livre ne cesse de se réfléchir et reréfléchir...à la fin on touche à l'abîme. Je retiens tout de même une bonne dose de franchise de la part de l'auteur, qui ne joue d'ailleurs pas souvent le rôle le plus simple dans cette partie de sa vie qu'il décrit. Y'a des moments de déprime terribles, profondément sombres, où on aimerait tant avoir pu être là et tendre sa main (à moins que cela ne nous fasse regretter de ne pas avoir été là pour d'autres, bien plus proches de nous). J'aime bien aussi la sincérité parfaitement iconoclaste avec laquelle Frice Neaud démolit dans l'allégresse une foule de poncifs et clichés bien débiles de notre social-démocratie bien pensante... Bien sûr, Fabrice se montre parfois très choquant... Ce côté bassement provoc' se pardonne, voire se comprend, voire se justifie, voire s'impose, si l'on tient compte de la situation dans laquelle l'auteur semblait se trouver au moment de l'écriture de son œuvre Le journal de Fabrice Neaud est un solide travail, un entreprise un peu folle mais en tout cas, très humaine, très constructive (il s'agit pour moi d'un splendide récit de construction). Malgré les inévitables désaccords ou désapprobations que l'on peut sans doute s'entendre formuler à la lecture de ces quatre tomes, et qui, en fait, ne viennent qu'accroître le caractère authentique de la démarche de l'auteur (pas à proprement parler "consensuelle"). Il reste juste un solide témoignage d'une vie et d'un chemin pour y trouver un sens. C'est très beau.
Inu yasha
Perso, c'est mon manga préféré. J'adore trop. Si j'avais pas connu l'Anime, je me serais jamais mises aux mangas. Au début, je trouvais ça nul quand je voyais la série en allemand, mais petit à petit, j'ai fini par m'attacher aux personnages. Le début est un peu barbant c'est vrai, mais plus l'histoire avance, plus on remarque à quel point les persos sont marqués sous le poids de la souffrance et qu'ils sont plus complexes qu'on ne le pense. Aucun perso ne laisse vraiment indifférent et je trouve qu'avant de dire que ce manga est nul il faut d'abord avoir lu plusieurs parties différentes et non pas seulement le début.