Un peu déçu, quand même... Le sujet est a priori de ceux qui me donnent envie de lire, et il y avait matière à en faire une bonne BD (comme le Troisieme Testament - au fait, quelqu'un a-t-il lu Qumrân? qu'est-ce-que àa vaut?). Mon intérêt faiblit de tome en tome (le tome 6 n'est pas encore sorti à l'heure où j'écris).
Pour ce qui est des dessins, je rejoins entièrement l'avis de la majorité: vraiment pas bon. Quant au scénar, il traine en longueur, ça tourne autour, autour, et autour du pot, et tout le cycle aurait pu tenir en maximum 5 tomes. On a tout compris ou presque dès le tome 3 ou 4, alors j'éspère que la fin du cycle saura nous surprendre par un joli contre-pied et me faire mentir.
Je conseille la lecture de ce cycle malgré toutes mes réserves car les auteurs ont fait un gros effort de documentation et on y apprend énormément de choses. Mais bon, ce n'est une BD qui figurera dans mon Top 50.
D'abord, j'ai été séduit par le dessin de Di Giorgio. Limpide, mais aussi âpre, il est très réaliste et parfaitement adapté à l'époque (le Moyen-Age) de la série. Il fait en outre de belles couvertures. Son dessin s'apparente à ceux de Marc-Rénier et de Cuvelier. Sacrées références en BD historique !
Le scénario des deux premiers tomes, même s'il n'est pas très original, me semblait plutôt bien mené. Puis dans le tome 3, à partir du moment où Shane revient chez lui, les péripéties s'enchaînent, les personnages secondaires se multiplient, et l'on est un peu perdu, jusqu'à la fin du tome 5, où l'on a l'impression que le scénariste a dû boucler son histoire un peu précipitamment.
Au long des 5 tomes, de nombreux thèmes propres à la période médiévale sont évoqués : mercenaires, tournois de chevalerie, servage, brigandage de grand chemin... Et d'autres simplement effleurés : les croisades, les saintes reliques liées au Christ...
Malheureusement, tout ceci a été mieux utilisé dans des séries qui ont eu -à raison- un plus grand succès. Dommage pour le travail graphique...
J'ai passé un moment plutot agréable à la lecture de cette BD, sans plus.
Les dessins sont dans l'ensemble réussis.
Le scénario est pas transcendant, j'ai du mal à me passionner pour les aventures du héros... L'histoire est peut-etre un poil trop "bourin" !
Un graphisme dynamique et plein de trouvailles... des gags qui démarrent au quart de tour, c'est le cocktail réussit de cette mini série.
Pour ne rien connaitre au monde des motards, il y a certainement plein de nuances que je ne pige pas (d'ou ma note relativement modeste), mais j'ai apprécié l'ensemble.
c'est vachement rafraichissant.
Dommage que tout le monde ne soit pas sensible à la poésie inhérente à Bobo. J'aime ce personnage et son but primaire : s'évader. J'aime le principe même de la répétition. J'aime ce gardien qui n'arrive pas à se libérer de sa pierre (si c'est pas de la poésie, ça!), j'aime ce complice c** qui fait toujours tout foirer au dernier moment. Je vous assure, Bobo est une série délicieuse, certes Deliège à toujours oeuvré dans l'ombre des grands (Franquin, Morris) mais il n'en est pas moins un petit maître. A y regarder de plus près, on constate que son oeuvre n'est pas aussi "simple" qu'elle en a l'air au premier abord.
Et bien, voici une parfaite introduction à une série qui, si elle continue sur sa lancée, promet d'etre passionnante !!!
Certes, on reste dans le très classique, et le bon vieux mythe du vampire est exploité ici à 100%, sans grande originalité : les vampires ne sortent que la nuit, ne se refletent pas dans les miroirs, brulent à la lumière du soleil, etc, etc...
Pourtant, l'ensemble est assez réussi ici de part la narration des évenements, qui du début à la fin est sans réelle faille. L'intrigue se tient (attention, n'allez pas vous attendre à un scénario alambiqué du style d'Universal War 1, ou à une trame d'arrière plan aussi forte que celle du chant des stryges, ou vous serez déçu !), le développement de l'histoire avance très bien, et les différents personnages trouvent leurs repaires dès les toutes premières pages de l'album.
Quel est le passé de Volunteer ? En quoi celui-ci joue-il un rôle dans les évenements présents ? Rien d'ultra original, mais de l'efficace, c'est sûr...
Le dessin de Springer est vraiment particulier, pas des plus facile d'accès peut etre... certains risquent de ne pas accrocher.
En tout cas, une chose est sûre, c'est techniquement sans faute, vraiment. Springer est très doué dans son style, et manie la perspective et les proportions à la perfection.
Le trait de Springer est super lisse et détaillé, et colle parfaitement au style imposé par le scénario. très fin, il permet des descriptions qui se passent de tout commentaire.
La mise en couleur est plutot sobre, assez originale car sombre et à la fois contrastée. Le monde de la nuit est vraiment bien représenté ici...
En bref, une introduction sympathique par le biais d'un album assez dense (72 pages, sympa !) qui promet une suite interressante...
Sincerement, les couv de m'attiraient pas, je ne sais pas pourquoi, mais un jour, j'ai quand meme feuilleté, par curiosité. Là, etonnement et interrogation.
Le dessin est assez space, mais plutot beau, le dessineux a un style tres personnel, malgré quelques influence encore mal digérées (je trouve) Le rendu interessant, j'aime beaucoup.
L'histoire est moins prometteuse par contre. OK, ça se laisse bien lire, mais ya rien de vraiment grandiose, rien de remarquable. C'est pas mauvais, c'est meme plutot agreable à lire, mais ce n'est pas LE scenar de l'année :)
Ceci dit, j'aime bien, et je lirai la suite.
Une histoire simple et émouvante comme Cosey sait en faire. Au risque, comme toujours, de tomber dans le mélo et la morale un peu guimauve.
Mais cet album passe très bien. Sa narration est pour le moins originale. La discussion téléphonique va se dérouler sur les images du documentaire sur le vietnam. Documentaire dans lequel Homer (est-ce vraiment lui ou une projection qu'il fait de lui-même en regardant le film, plusieurs interprétations sont possibles) recherche la trace de son meilleur ami, perdu au Vietnam.
On comprends alors tout ce que, par pudeur, il ne dit pas. Et c'est une autre histoire qui se joue. Petit reproche : cela se lit bien rapidement.
Et je me demande si une histoire comme celle-là n'aurait pas mieux fonctionné au cinéma et sur une durée plus longue.
J'ai lu le premier tome, c'est exactement le dessin animé, découpé et mis en planche, ça se laisse lire mais ça ne vaut pas le film qui est une vraie petite perle. Il manque le mouvement et le son, et cela se sent, ces images n'ont pas été conçues pour être une bd. Je vous conseille donc de voir d'abord le film et d'ensuite penser à acheter cette version papier du film, cet espèce de story-board après-coup, si vous êtes super-fan.
Le mieux, franchement, c'est peut-être d'acheter le DVD de ce film quand il sortira.
Une BD qui m'a fait un sacré effet lors de la première lecture. Il y rêgne une atmosphère pesante de fin du monde. L'univers construit est bien finalisé, et laisse la porte ouverte à l'immagination de ce qui a pu se passer pour en arriver là. Une tension ressort de l'album qui rend sa lecture captivante.
Par contre sa relecture m'a un peu déçu. La façon de traiter est finalement un peu trop classique et les rêves du passé sont assez flous.
Le dessin est cependant agréable, on sent que les bajram a sa part dans la coloration. Un bon produit finalement. C'est plaisant, mais cela demande une confirmation pour la suite.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Le Triangle Secret
Un peu déçu, quand même... Le sujet est a priori de ceux qui me donnent envie de lire, et il y avait matière à en faire une bonne BD (comme le Troisieme Testament - au fait, quelqu'un a-t-il lu Qumrân? qu'est-ce-que àa vaut?). Mon intérêt faiblit de tome en tome (le tome 6 n'est pas encore sorti à l'heure où j'écris). Pour ce qui est des dessins, je rejoins entièrement l'avis de la majorité: vraiment pas bon. Quant au scénar, il traine en longueur, ça tourne autour, autour, et autour du pot, et tout le cycle aurait pu tenir en maximum 5 tomes. On a tout compris ou presque dès le tome 3 ou 4, alors j'éspère que la fin du cycle saura nous surprendre par un joli contre-pied et me faire mentir. Je conseille la lecture de ce cycle malgré toutes mes réserves car les auteurs ont fait un gros effort de documentation et on y apprend énormément de choses. Mais bon, ce n'est une BD qui figurera dans mon Top 50.
Shane
D'abord, j'ai été séduit par le dessin de Di Giorgio. Limpide, mais aussi âpre, il est très réaliste et parfaitement adapté à l'époque (le Moyen-Age) de la série. Il fait en outre de belles couvertures. Son dessin s'apparente à ceux de Marc-Rénier et de Cuvelier. Sacrées références en BD historique ! Le scénario des deux premiers tomes, même s'il n'est pas très original, me semblait plutôt bien mené. Puis dans le tome 3, à partir du moment où Shane revient chez lui, les péripéties s'enchaînent, les personnages secondaires se multiplient, et l'on est un peu perdu, jusqu'à la fin du tome 5, où l'on a l'impression que le scénariste a dû boucler son histoire un peu précipitamment. Au long des 5 tomes, de nombreux thèmes propres à la période médiévale sont évoqués : mercenaires, tournois de chevalerie, servage, brigandage de grand chemin... Et d'autres simplement effleurés : les croisades, les saintes reliques liées au Christ... Malheureusement, tout ceci a été mieux utilisé dans des séries qui ont eu -à raison- un plus grand succès. Dommage pour le travail graphique...
Chroniques de la lune noire
J'ai passé un moment plutot agréable à la lecture de cette BD, sans plus. Les dessins sont dans l'ensemble réussis. Le scénario est pas transcendant, j'ai du mal à me passionner pour les aventures du héros... L'histoire est peut-etre un poil trop "bourin" !
Joe Bar Team
Un graphisme dynamique et plein de trouvailles... des gags qui démarrent au quart de tour, c'est le cocktail réussit de cette mini série. Pour ne rien connaitre au monde des motards, il y a certainement plein de nuances que je ne pige pas (d'ou ma note relativement modeste), mais j'ai apprécié l'ensemble. c'est vachement rafraichissant.
Bobo
Dommage que tout le monde ne soit pas sensible à la poésie inhérente à Bobo. J'aime ce personnage et son but primaire : s'évader. J'aime le principe même de la répétition. J'aime ce gardien qui n'arrive pas à se libérer de sa pierre (si c'est pas de la poésie, ça!), j'aime ce complice c** qui fait toujours tout foirer au dernier moment. Je vous assure, Bobo est une série délicieuse, certes Deliège à toujours oeuvré dans l'ombre des grands (Franquin, Morris) mais il n'en est pas moins un petit maître. A y regarder de plus près, on constate que son oeuvre n'est pas aussi "simple" qu'elle en a l'air au premier abord.
Volunteer
Et bien, voici une parfaite introduction à une série qui, si elle continue sur sa lancée, promet d'etre passionnante !!! Certes, on reste dans le très classique, et le bon vieux mythe du vampire est exploité ici à 100%, sans grande originalité : les vampires ne sortent que la nuit, ne se refletent pas dans les miroirs, brulent à la lumière du soleil, etc, etc... Pourtant, l'ensemble est assez réussi ici de part la narration des évenements, qui du début à la fin est sans réelle faille. L'intrigue se tient (attention, n'allez pas vous attendre à un scénario alambiqué du style d'Universal War 1, ou à une trame d'arrière plan aussi forte que celle du chant des stryges, ou vous serez déçu !), le développement de l'histoire avance très bien, et les différents personnages trouvent leurs repaires dès les toutes premières pages de l'album. Quel est le passé de Volunteer ? En quoi celui-ci joue-il un rôle dans les évenements présents ? Rien d'ultra original, mais de l'efficace, c'est sûr... Le dessin de Springer est vraiment particulier, pas des plus facile d'accès peut etre... certains risquent de ne pas accrocher. En tout cas, une chose est sûre, c'est techniquement sans faute, vraiment. Springer est très doué dans son style, et manie la perspective et les proportions à la perfection. Le trait de Springer est super lisse et détaillé, et colle parfaitement au style imposé par le scénario. très fin, il permet des descriptions qui se passent de tout commentaire. La mise en couleur est plutot sobre, assez originale car sombre et à la fois contrastée. Le monde de la nuit est vraiment bien représenté ici... En bref, une introduction sympathique par le biais d'un album assez dense (72 pages, sympa !) qui promet une suite interressante...
Les Immortels
Sincerement, les couv de m'attiraient pas, je ne sais pas pourquoi, mais un jour, j'ai quand meme feuilleté, par curiosité. Là, etonnement et interrogation. Le dessin est assez space, mais plutot beau, le dessineux a un style tres personnel, malgré quelques influence encore mal digérées (je trouve) Le rendu interessant, j'aime beaucoup. L'histoire est moins prometteuse par contre. OK, ça se laisse bien lire, mais ya rien de vraiment grandiose, rien de remarquable. C'est pas mauvais, c'est meme plutot agreable à lire, mais ce n'est pas LE scenar de l'année :) Ceci dit, j'aime bien, et je lirai la suite.
Saigon-Hanoi
Une histoire simple et émouvante comme Cosey sait en faire. Au risque, comme toujours, de tomber dans le mélo et la morale un peu guimauve. Mais cet album passe très bien. Sa narration est pour le moins originale. La discussion téléphonique va se dérouler sur les images du documentaire sur le vietnam. Documentaire dans lequel Homer (est-ce vraiment lui ou une projection qu'il fait de lui-même en regardant le film, plusieurs interprétations sont possibles) recherche la trace de son meilleur ami, perdu au Vietnam. On comprends alors tout ce que, par pudeur, il ne dit pas. Et c'est une autre histoire qui se joue. Petit reproche : cela se lit bien rapidement. Et je me demande si une histoire comme celle-là n'aurait pas mieux fonctionné au cinéma et sur une durée plus longue.
Le Voyage de Chihiro
J'ai lu le premier tome, c'est exactement le dessin animé, découpé et mis en planche, ça se laisse lire mais ça ne vaut pas le film qui est une vraie petite perle. Il manque le mouvement et le son, et cela se sent, ces images n'ont pas été conçues pour être une bd. Je vous conseille donc de voir d'abord le film et d'ensuite penser à acheter cette version papier du film, cet espèce de story-board après-coup, si vous êtes super-fan. Le mieux, franchement, c'est peut-être d'acheter le DVD de ce film quand il sortira.
les Mémoires Mortes
Une BD qui m'a fait un sacré effet lors de la première lecture. Il y rêgne une atmosphère pesante de fin du monde. L'univers construit est bien finalisé, et laisse la porte ouverte à l'immagination de ce qui a pu se passer pour en arriver là. Une tension ressort de l'album qui rend sa lecture captivante. Par contre sa relecture m'a un peu déçu. La façon de traiter est finalement un peu trop classique et les rêves du passé sont assez flous. Le dessin est cependant agréable, on sent que les bajram a sa part dans la coloration. Un bon produit finalement. C'est plaisant, mais cela demande une confirmation pour la suite.