Hoshin - L'investiture des dieux (Houshin Engi)
Ce manga est l'adaptation en bande dessinée d'une ancienne légende chinoise qui est devenue très populaire au Japon depuis quelques années, Hôshin Engi.
BDs controversées Diables et démons Shonen Shueisha
Au 11ème siècle avant Jésus Christ, dans la Chine mythologique. Zhou, l'actuel empereur, a succombé aux charmes de la vénéneuse Daji, une démone qui affame le peuple. Mais les immortels de Kunlun, exaspérés par cette situation, décident d'en finir une bonne fois pour toutes. Ils chargent Taigong-Wang, le plus jeune d'entre eux, d'une mission périlleuse: emprisonner les 365 sous-fifres de la séduisante Daji pour affaiblir son pouvoir. Bien qu'il paraît un peu stupide, le héros de ce manga va très rapidement élaborer une stratégie incroyable : foncer chez Daji, l'affronter en duel et sortir vainqueur pour impressionner tous les monstres qui étaient à la solde de Daji et réduire ainsi considérablement le nombre de monstres à capturer sur sa liste. Si en théorie son plan mérite l'oscar de la meilleure organisation, en pratique il en est tout autre car Daji se révèle être bien plus puissante que Taigong Wang. Non seulement elle est couverte d'objets magiques des pieds à la tête mais en plus son entourage est bien décidé à la protéger quoi qu'il arrive. C'est finalement, le jeune immortel qui va se faire ratatiner et son plan tombe alors à l'eau. Le voici donc parti sur les routes ayant dans l'idée de rallier à sa cause d'autres immortels afin d'augmenter sa puissance et faire mordre la poussière à ce monstre si…. Sexy. La fin est sortie en version animée mais pas encore en manga version française. Tout ce qu'on peut dire, c'est que les complots et les retournements de situation sont au programme.
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| Date de parution | Octobre 2001 |
| Statut histoire | Série terminée 23 tomes parus |
Les avis
Coups de coeur (0)
On va faire simple: je comprends que dalle à cette série. Y a l’air d’avoir une intrigue principale avec un vague héros qui n’est pas ce qu’on appelle l’archétype du type doué, même s’il semble être fin stratège et accessoirement le bouffon de service… le dessin est correct, d’accord, mais bon... voilà, quoi! Contrairement aux mangas habituelles, l’histoire est tirée des légendes chinoises, ça pourra en réjouir certains, mais moi j’accroche pas. Sûrement pas une mauvaise série, mais elle n’est pas pour moi.:(
Une série qui démarre en Novembre 1996 dans « Shônen Jump », un magazine devenu célèbre pour avoir lancé « Dragon Ball » en Novembre 1984. Fujisaki s’est ici attelé à l’énorme tâche d’adapter sous forme de BD un roman de Tsutomu Ano –écrit en 1988- lequel s’était inspiré de quatre grands classiques de la littérature chinoise. J’ai ainsi suivi Taigong-Wang, apprenti chez les taoïstes ; un garçon fort rusé mais un peu fainéant quand même ; ce dans sa geste ordonnée par le Maître –Céleste. Une grande épopée, c’est vrai, où j’ai trouvé le souffle de combats homériques où l’humour n’est néanmoins pas absent. Sachant qu’un mangaka travaille comme un « pété » sur ses planches pour arriver à fournir nombre de celles-ci dans les temps les plus courts –édition oblige dans ces pays « de là-bas »- j’ai apprécié ce qui est quand même du bien bon travail d’artiste (d’artisan ?…) Le dessin ?… Habitué au graphisme « en rondeur » de l’école franco-belge, j’ai été surpris par ce trait « carré », qui semble parfois haché, mais d’une grande lisibilité ; un trait auquel on s’attache si l’on accepte ces différences de styles entre « nos » dessinateurs et « les autres ». Ben, un de ces « autres » -ici Fujisaki- m’a bien plu. Et bien que pas fana du tout de tout ce qui englobe le (la ?) manga, je sais reconnaître du bon travail. Et c’est le cas avec cette série.
L’histoire : Dans la Chine ancienne, la Terre est séparée entre les humains et les immortels/monstres. Ces derniers ont en leur possession des artefacts magiques, les baobeis, qui leurs confèrent de puissants pouvoirs. Daji, une immortelle sexy et un brin cruelle, s’immisce dans le monde des humains et manipule à ses fins l’empereur de Yin, ce qui provoque la mort de bon nombre d’humains. Un groupe d’immortels décide de l’arrêter et charge Taigong Wang (un jeune disciple immortel) du ‘plan Hoshin’ déstiné à détruire Daji. Taigong Wang va donc devoir faire ses preuves et mener à bien ce plan qui s’avère plus compliqué que prévu… Taigong Wang est un héros qui un peu cabotin, expert en tactique et en ruse. Il ne mise pas tout sur ça force, et s’appuie pour ça sur ses amis. La série mise à la fois, sur le dépassement de soi, et sur l’humour (têtes débiles du héros, anachronismes…). Pour ma part, j’ai trouvé cet humour un peu trop enfantin. Le dessin est simple sans être exceptionnel (ce qui s’explique par la parution d’un manga tous les deux mois.) Pour le reste, l’histoire est rythmée, pleine de rebondissements, dont certains forts sympathiques. Une bonne lecture qui ne me laissera pas non plus un grand souvenir impérissable. Pour la note, je mettrai 2,5.
Pour moi, hoshin est vraiment un manga culte car je trouve les dessins franchement beaux et fins, un bon humour et une histoire passionnante! Le fait de faire un mélange des époques ( l'histoire se déroule 11ème siècle avant JC mais on trouve quand méme des téléphones ou des bateaux de luxe!) je trouve ca super drole! les personnages sont attachants et je trouve que ça fait du bien de ne pas avoir à faire à un héros stéréotypé car taigong n'a pas souvent recours à la force physique ( bien que ce n'est pas pour autant une lavette)mais à la ruse. bref je conseille à tous!!! hoshinement votre....
En voila une bonne idée: le héros n'est pas un barbare, une brute sanguinaire ou un mec qui en a (qui a quoi? des c..., oh pardon, un mec séverment burné). Non dans ce manga, le héros ne triomphe pas par la force mais bien par la ruse, et il faut bien admettre que les plans échafaudés sont ... plutot compliqués. les dessins sont pas mal, les persos secondaires très attachants, l'intrigue passionnante, l'humour est là, la méchante est sexy, la méchante est bonne,la méchante est belle, la méchante est mimi et la soeur de la méchante, je vous dit pas... le seul truc qui m'a fait tiquer (au début): pourquoi ils chaussent tous du 89???
Désolé !!! vraiment, mais vraiment pas aimé !!! c'est peut être plus de mon âge, les dessins j'accroche pas, l'humour non plus. L'histoire paraissait séduisante basé sur une légende chinoise mais au final bof........
Et là 3/5 pour le manga parce que j'ai pas encore vu ce que donne la fin mais si elle est à la hauteur de celle de l'anime alors je pourrai me permettre d'élever cette note à 4. Car entre les dessins féériquement beaux, collant parfaitement à un scénar mythologico-fantasy tiré d'une légende chinoise et des personnages au charisme enorme, eh bien cette série se boit comme du petit lait. Son côté tous publics lui fait par moments perdre de la richesse, mais globalement, c'est une oeuvre très agréable.
C'est un très bon manga dans le sens où il propose humour, suspense et un scénario très intéressant puisqu'il est tiré d'une ancienne légende chinoise. En plus le dessin est clairement beau et les personnages ont de réelles personnalités, bien développées. Amateurs d'aventure, si vous voulez acheter un manga, je vous conseille celui ci sans hésiter.
Une histoire vraiment sympa tiree d'une des trois grandes legendes chinoises. Des personnages psychologiquement tres interessants. Des dessins tres fins. Tout ca fait de Hoshin un manga vraiment tres bien. Encore une fois, l'anime est un ton au dessus, mais la version papier est deja excellente.
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