Premier cycle de lu et premières impressions . . .
Il n'y a rien de plus subjectif que de critiquer un dessin : on aime ou on aime pas mais difficile de dire exactement pourquoi. Je le trouve assez maladroit au début avec un trait un peu trop 'anguleux'. A cela, s'ajoute une mise en couleur assistée par ordinateur qui n'est pas des plus flatteuses :( . Cependant, Quet nous gratifie ses planches d'un décors phénoménal qui rattrape les petites imperfections du début :) !
En ce qui concerne l'histoire, elle commence fort bien :) . On est pris dans 'le feu de l'action' du tome 1 au tome 3. Le tome 4 ressemble plus à un 'huit clos' qui met de coté l'action au profit du suspense et des 'révélations'. Jusqu'ici, l'histoire est rondement menée . . . enfin le 5e tome pour connaître le dénouement de cette série ! Aïe, grosse déception :( ! On ne retrouve plus l'ambiance des 3 premiers tomes et les révélations du 4e cèdent la place à une succession d'incompréhensions suite à de nombreuses questions qui restent sans réponses. J'ai pas compris grand chose aux revirements de situation mais j'imagine qu'on en saura plus dans le second cycle . . .
Avec le recul, j'ai l'impression que ce premier cycle est une 'mise en jambe', une sorte d'introduction à l'histoire qui va commencer réellement avec le 2e cycle (du moins, je l'espère !). C'est ce que laisse présager les 2 dernières planches du 5e opus. Cependant, je trouve cela un tantinet longuet de prendre 5 albums comme sujet d'introduction à une série :( !
Ouf j'ai fini les 7 tomes ! Haaaa je vais pouvoir poser mon cerveau. J'ai vraiment bien aimé la lecture des 3 premiers tomes puis après j'ai commencé à me lasser, pas que les autres soient moins bon, non j'ai trouvé les albums de qualité équivalente, mais c'est juste que mon intérêt pour le dénouement final allait en s'amenuisant au fil de ma lecture.
Alors, en décortiquant je peux dire que c'est un peu du fait que Nausicaä est un manga et que c'est une impression que je ressens à chaque lecture de série de manga (3 séries lu en comptant Nausicaä), mais c'est aussi parce que l'histoire a commencé à me pomper, les combats, les dorks, les tolmèques, arf j'ai pas réussi à m'y intéresser !
Sinon les dessins pour du manga ne sont pas mal, mais y a mieux.
Sympathique, ce petit tome de Trondheim !
L'histoire d'un petit bonhomme, qui a toutes propositions, répondra sans alternative "non, non, non" - pas par envie de contradiction, mais parcequ'il n'ose pas s'imposer, tout simplement.
C'est assez bien construit, sans paroles aucunes. Pas la peine, car le dessin est très explicite et l'on comprend simplement les différentes situations.
Le dessin est quant à lui très simple, en noir et blanc, dans le style pur de Trondheim : trait un peu brouillon, assez fin, limite minimaliste. Ca passe plutôt bien.
Une bonne surprise ! maintenant, de là à l'acheter... à vous de voir :)
Sympatique comme tout, cette petite BD. Trondheim est un auteur que j'apprécie beaucoup pour son humour particulièrement fin, qui fait souvent mouche.
Ici, c'est encore le cas, une fois de plus ! et le concept est assez original : une fin d'aventure, tout simplement ! oui, mais une fin à la Scooby-doo... qui elle-même cache une autre fin à la Scooby-doo, qui elle même... on ne s'en lasse pas. (difficile de se lasser en 22 pages, me direz vous !).
Le dessin de Franck Le Gall est assezz sympa, bien que très classique. Il colle parfaitement au style, qui m'a fait penser parfois dans le style des visages à du Blake et Mortimer... marrant !
Alors, oui, c'est plutot bon, oui, il faut lire Les aventures de la finde l'épisode !
Tout d'abord, c'est un manga de Urushihara donc attendez-vous à voir beaucoup de paires de seins (à ne donc pas mettre entre toute les mains).Mais Urushihara cela signifie aussi de superbes dessins très clairs et très fins.
L'histoire est pas mal mais quand même un peu fouillie parfois: c'est donc Shiori et Carol qui vont tenter de sauver la Terre en détruisant GAIA.Mais malheureusement celui-ci a créé un autre être comme Carol mais en méchant: Adam.
Il ya donc beaucoup de combats et là c'est dommage, l'auteur fait ressortir son sexisme: Carol se transforme en homme lorsqu'elle est vraiment en difficultés alors qu'elle pourrait faire grossir ses muscles (un peu débile quand même).
Il y a aussi des scènes torrides de lesbiennes car Carol et Shiori sont amoureuses (c'est bien le style de Urushihara de mélanger univers apocalyptique et érotisme....faut aimer).
En résumé c'est un manga un peu spécial qui casse pas la barraque mais qui est quand même assez intéressant.
J’ai commencé à lire cette BD avec un gros a priori négatif, non pas à cause de son adaptation ciné, que je n’ai pas vue, mais parce que j’avais longuement feuilleté le bouquin avant et que j’avais détesté le graphisme… Rayner a un style d’une lourdeur épouvantable ; c’est surchargé, confus, et surtout, c’est incroyablement statique, figé. Sur chaque case, les personnages semblent comme pétrifiés, il n’y a aucun dynamisme… Il y a quelques planches réussies, c’est vrai (comme celle qui illustre la quatrième de couverture), mais toute une BD de 300 pages comme ça, c’est insupportable.
Surmontant cette réticence, je me suis lancé dans la lecture… et j’ai été agréablement surpris : l’histoire est très prenante, on la lit d’une traite sans jamais avoir envie de la lâcher (alors que c’est quand même un bon petit pavé). Oh, c’est sûr que c’est une simple histoire de vengeance sans grosse surprise, qui n’apporte rien de très nouveau et original au sujet, mais c’est bien écrit, rondement mené, très accrocheur. Il y a néanmoins deux petits défauts. Le premier est celui qu’a souligné Alix plus bas : effectivement, "l’Ange" est impliqué toutes les 5 pages dans des fusillades à 12 contre 1 dont il se sort toujours sans aucune égratignure après avoir abattu tous ses ennemis. En plus, il tire presque sans regarder, en plongeant et en sautant dans tous les sens… Plus fort que Jèze Bonde, l’Ange ! On comprend bien que c’est pour donner un côté mythique au personnage, mais bon, là, c’est un peu « too much » quand même. Le deuxième petit point noir : pendant la première moitié du livre, chacune de ces fusillades est précédée du même commentaire du narrateur : « Je n’ai pas assisté à la scène, mais d’après ce que disent les livres sur la Mafia et ce que je sais de mon père, ça a dû se passer comme ça ». Là aussi, ça a un sens, c’est pour marquer le contraste avec la deuxième moitié du livre, mais… deux fois, ça va ; dix fois, c’est un peu agaçant… On n’est pas des débiles non plus (je sais bien qu’on est des lecteurs de comics et que ça peut prêter à confusion, mais quand même !), y a pas besoin de nous répéter les choses tout le temps pour qu’on comprenne, hein ! Enfin bon, ces deux défauts ne sont quand même pas rédhibitoires.
Si le dessin ne m’avait pas autant rebuté, j’aurais peut-être mis 4/5 à cette histoire simple mais efficace, car c’est vraiment un bon petit bouquin. Hélas, sous prétexte de donner un style visuel "années 30", c’est vraiment moche comme tout… Une lecture conseillée, cependant.
Le postulat de départ, c'est à dire l'utilisation du potentiel technologique pour "programmer" Dieu, est intéressant, intéressant parce que plausible.... le propos de Anne Ploy repose donc sur une idée de départ trés riche, originale et pertinente. Ceci dit, je trouve que cette bd, n'a pas tellement profité de ce bon préalable. A peine terminée, les tomes s'oublient vite. Je me suis surpris plusieurs fois à lire sans être vraiment intéressé par les événements. Alors à quoi est ce dû ? au traitement scénaristique, au dessin que je trouve vraiment rigide et sans magie ? je ne sais pas, mais une chose est sûre, je n'ai pas envie d'acheter les autres séries annexes.
peut être qu'en relisant les trois tomes de cette série, changerais je d'avis. pour l'instant j'en ai pas trop envie.
Un tout petit bijou qui se lit très rapidement. Je ne peut pas en dire trop car cela gacherait tout l'effet de surprise mais je vous assure que cette BD est réellement surprenante!
Mais que fait donc cet homme tout seul dans cette grande pièce blanche??????Le mystere est là....
La position des 2 héros sur la drague m'a bien fait marrer : on retrouve le discour des mecs qui friment et celui d'une nana assez intelligente qui certifie au héros que les nanas ne se font pas embobiner aussi facilement; mais elle va etre déçue car ce n'est pas le cas de toutes les femmes !
Cette BD est beaucoup trop courte pour avoir une note de "Franchement bien"; en effet elle n'est pas assez développée mais elle mérite un 3/5 !
Suite à la pléthore d'avis dithyrambiques lus sur ce site, j'avais bien envie de l'aimer, cette série... Hélas, une fois de plus, ce fut la déception.
D'emblée, dès les premières pages du tome 1, le dessin me rebute ; je ne sais pas si c'est le trait que je n'aime pas, ou si ce sont simplement les couleurs qui gâchent tout, mais en tout cas, ça démarre mal.
Quant à l'histoire... Sous prétexte de romantisme à l'ancienne, c'est surtout une vision assez puérile de l'amour qu'on nous donne ici : les deux tourtereaux s'aiment à la folie au premier regard, parce que c'est le Destin qui l'a voulu... Oh, bien sûr, quand on avait 15 ans, on avait tous envie d'y croire, à ce genre de belle histoire d'amour, hein, et nul doute que les lecteurs adolescents trouveront ça magnifique et bouleversant ; moi, je vous avoue que ça ne m'a pas du tout touché...
Puis vient le tome 2, et là on bascule du drame bourgeois à la fresque historique mâtinée de saga familiale ; quelque chose qui ressemble assez furieusement à ces télésuites à gros budget en costumes que nous servent TF1 et France 2 à intervalles réguliers. Sauf qu'ici, il n'y a pas Christian Clavier. Le résultat n'est pas foncièrement déplaisant mais, là non plus, toujours pas moyen, en tout cas pour moi, de rentrer enfin avec passion dans cette BD.
Avec le tome 3, une évolution notable : alors que je n'aimais pas du tout le dessin au début, je me surprends à trouver certaines cases ou planches très réussies, très élégantes, très belles... N'ayant plus les 2 premiers tomes sous la main, je n'ai pu vérifier si c'était mon oeil qui avait fini par se laisser hypnotiser par ce style, ou si c'est l'auteur qui avait nettement progressé, mais en tout cas, le résultat est là : oui, "Sambre", visuellement, c'est la classe. Pour le reste... Ben, non, vraiment, c'est pas que je trouve ça mauvais, mais j'accroche toujours pas...
Malgré ça, j'ai quand même eu envie de lire le tome 4, car à défaut d'avoir réussi à m'impliquer avec passion dans cette BD, j'avoue que l'histoire se tient, que l'auteur sait camper ses personnages, distiller une ambiance, faire vivre une époque, et que c'est un dialoguiste habile. Oui, je reconnais tout ça ; mais malheureusement, en toute sincérité, "Sambre" me laisse froid, vraisemblablement parce que je n'arrive pas à aimer ses deux héros (Bernard lui-même m'étant tout particulièrement antipathique).
Voilà, je lirai le dernier tome (s'il sort avant le XXIIème siècle, s'entend), parce que j'ai quand même envie de connaître le fin mot de tout cela, mais vraiment, désolé, pour moi on est très loin du sublime chef d'oeuvre de romantisme et de poésie...
Le scénario est assez speed, il n'y a pas de temps morts. Cette BD donne envie de lire la suite rapidement, ça tombe bien le T2 est pour cette année je crois. Le mélange entre l'univers futuriste et les costumes, judicieux mélange d'époque et de contemporain, des personnages donne du charme à l'aventure bien qu'il n'est pas à la hauteur du système multi-époque du régulateur.
Je mettrai un bémol pour les décors ! En effet le mélange de dessin au premier plan et d'informatique en arrière plan sur presque toutes les planches est un peu choquant et j'ai eu du mal à m'inprégner totalement de cet univers, les différences sont trop importantes, on dirait un mauvais film fantastique de série B. C'est dommage car les dessins sont soignés et ne manquent pas d'interêt.
En fonction de la suite je passerai surement ma note à 4 étoiles.
Lofficier a aussi travaillé sur le monde du garage hermetique et de nombreux comics sortis aux Etats Unis.
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Travis
Premier cycle de lu et premières impressions . . . Il n'y a rien de plus subjectif que de critiquer un dessin : on aime ou on aime pas mais difficile de dire exactement pourquoi. Je le trouve assez maladroit au début avec un trait un peu trop 'anguleux'. A cela, s'ajoute une mise en couleur assistée par ordinateur qui n'est pas des plus flatteuses :( . Cependant, Quet nous gratifie ses planches d'un décors phénoménal qui rattrape les petites imperfections du début :) ! En ce qui concerne l'histoire, elle commence fort bien :) . On est pris dans 'le feu de l'action' du tome 1 au tome 3. Le tome 4 ressemble plus à un 'huit clos' qui met de coté l'action au profit du suspense et des 'révélations'. Jusqu'ici, l'histoire est rondement menée . . . enfin le 5e tome pour connaître le dénouement de cette série ! Aïe, grosse déception :( ! On ne retrouve plus l'ambiance des 3 premiers tomes et les révélations du 4e cèdent la place à une succession d'incompréhensions suite à de nombreuses questions qui restent sans réponses. J'ai pas compris grand chose aux revirements de situation mais j'imagine qu'on en saura plus dans le second cycle . . . Avec le recul, j'ai l'impression que ce premier cycle est une 'mise en jambe', une sorte d'introduction à l'histoire qui va commencer réellement avec le 2e cycle (du moins, je l'espère !). C'est ce que laisse présager les 2 dernières planches du 5e opus. Cependant, je trouve cela un tantinet longuet de prendre 5 albums comme sujet d'introduction à une série :( !
Nausicaä de la vallée du vent
Ouf j'ai fini les 7 tomes ! Haaaa je vais pouvoir poser mon cerveau. J'ai vraiment bien aimé la lecture des 3 premiers tomes puis après j'ai commencé à me lasser, pas que les autres soient moins bon, non j'ai trouvé les albums de qualité équivalente, mais c'est juste que mon intérêt pour le dénouement final allait en s'amenuisant au fil de ma lecture. Alors, en décortiquant je peux dire que c'est un peu du fait que Nausicaä est un manga et que c'est une impression que je ressens à chaque lecture de série de manga (3 séries lu en comptant Nausicaä), mais c'est aussi parce que l'histoire a commencé à me pomper, les combats, les dorks, les tolmèques, arf j'ai pas réussi à m'y intéresser ! Sinon les dessins pour du manga ne sont pas mal, mais y a mieux.
Non, Non, Non
Sympathique, ce petit tome de Trondheim ! L'histoire d'un petit bonhomme, qui a toutes propositions, répondra sans alternative "non, non, non" - pas par envie de contradiction, mais parcequ'il n'ose pas s'imposer, tout simplement. C'est assez bien construit, sans paroles aucunes. Pas la peine, car le dessin est très explicite et l'on comprend simplement les différentes situations. Le dessin est quant à lui très simple, en noir et blanc, dans le style pur de Trondheim : trait un peu brouillon, assez fin, limite minimaliste. Ca passe plutôt bien. Une bonne surprise ! maintenant, de là à l'acheter... à vous de voir :)
Les Aventures de la Fin de l'épisode
Sympatique comme tout, cette petite BD. Trondheim est un auteur que j'apprécie beaucoup pour son humour particulièrement fin, qui fait souvent mouche. Ici, c'est encore le cas, une fois de plus ! et le concept est assez original : une fin d'aventure, tout simplement ! oui, mais une fin à la Scooby-doo... qui elle-même cache une autre fin à la Scooby-doo, qui elle même... on ne s'en lasse pas. (difficile de se lasser en 22 pages, me direz vous !). Le dessin de Franck Le Gall est assezz sympa, bien que très classique. Il colle parfaitement au style, qui m'a fait penser parfois dans le style des visages à du Blake et Mortimer... marrant ! Alors, oui, c'est plutot bon, oui, il faut lire Les aventures de la finde l'épisode !
Chirality - La Terre promise
Tout d'abord, c'est un manga de Urushihara donc attendez-vous à voir beaucoup de paires de seins (à ne donc pas mettre entre toute les mains).Mais Urushihara cela signifie aussi de superbes dessins très clairs et très fins. L'histoire est pas mal mais quand même un peu fouillie parfois: c'est donc Shiori et Carol qui vont tenter de sauver la Terre en détruisant GAIA.Mais malheureusement celui-ci a créé un autre être comme Carol mais en méchant: Adam. Il ya donc beaucoup de combats et là c'est dommage, l'auteur fait ressortir son sexisme: Carol se transforme en homme lorsqu'elle est vraiment en difficultés alors qu'elle pourrait faire grossir ses muscles (un peu débile quand même). Il y a aussi des scènes torrides de lesbiennes car Carol et Shiori sont amoureuses (c'est bien le style de Urushihara de mélanger univers apocalyptique et érotisme....faut aimer). En résumé c'est un manga un peu spécial qui casse pas la barraque mais qui est quand même assez intéressant.
Les Sentiers de la Perdition
J’ai commencé à lire cette BD avec un gros a priori négatif, non pas à cause de son adaptation ciné, que je n’ai pas vue, mais parce que j’avais longuement feuilleté le bouquin avant et que j’avais détesté le graphisme… Rayner a un style d’une lourdeur épouvantable ; c’est surchargé, confus, et surtout, c’est incroyablement statique, figé. Sur chaque case, les personnages semblent comme pétrifiés, il n’y a aucun dynamisme… Il y a quelques planches réussies, c’est vrai (comme celle qui illustre la quatrième de couverture), mais toute une BD de 300 pages comme ça, c’est insupportable. Surmontant cette réticence, je me suis lancé dans la lecture… et j’ai été agréablement surpris : l’histoire est très prenante, on la lit d’une traite sans jamais avoir envie de la lâcher (alors que c’est quand même un bon petit pavé). Oh, c’est sûr que c’est une simple histoire de vengeance sans grosse surprise, qui n’apporte rien de très nouveau et original au sujet, mais c’est bien écrit, rondement mené, très accrocheur. Il y a néanmoins deux petits défauts. Le premier est celui qu’a souligné Alix plus bas : effectivement, "l’Ange" est impliqué toutes les 5 pages dans des fusillades à 12 contre 1 dont il se sort toujours sans aucune égratignure après avoir abattu tous ses ennemis. En plus, il tire presque sans regarder, en plongeant et en sautant dans tous les sens… Plus fort que Jèze Bonde, l’Ange ! On comprend bien que c’est pour donner un côté mythique au personnage, mais bon, là, c’est un peu « too much » quand même. Le deuxième petit point noir : pendant la première moitié du livre, chacune de ces fusillades est précédée du même commentaire du narrateur : « Je n’ai pas assisté à la scène, mais d’après ce que disent les livres sur la Mafia et ce que je sais de mon père, ça a dû se passer comme ça ». Là aussi, ça a un sens, c’est pour marquer le contraste avec la deuxième moitié du livre, mais… deux fois, ça va ; dix fois, c’est un peu agaçant… On n’est pas des débiles non plus (je sais bien qu’on est des lecteurs de comics et que ça peut prêter à confusion, mais quand même !), y a pas besoin de nous répéter les choses tout le temps pour qu’on comprenne, hein ! Enfin bon, ces deux défauts ne sont quand même pas rédhibitoires. Si le dessin ne m’avait pas autant rebuté, j’aurais peut-être mis 4/5 à cette histoire simple mais efficace, car c’est vraiment un bon petit bouquin. Hélas, sous prétexte de donner un style visuel "années 30", c’est vraiment moche comme tout… Une lecture conseillée, cependant.
Transgénèse - 2025-2028 - Ancêtre programmé
Le postulat de départ, c'est à dire l'utilisation du potentiel technologique pour "programmer" Dieu, est intéressant, intéressant parce que plausible.... le propos de Anne Ploy repose donc sur une idée de départ trés riche, originale et pertinente. Ceci dit, je trouve que cette bd, n'a pas tellement profité de ce bon préalable. A peine terminée, les tomes s'oublient vite. Je me suis surpris plusieurs fois à lire sans être vraiment intéressé par les événements. Alors à quoi est ce dû ? au traitement scénaristique, au dessin que je trouve vraiment rigide et sans magie ? je ne sais pas, mais une chose est sûre, je n'ai pas envie d'acheter les autres séries annexes. peut être qu'en relisant les trois tomes de cette série, changerais je d'avis. pour l'instant j'en ai pas trop envie.
Réflexion
Un tout petit bijou qui se lit très rapidement. Je ne peut pas en dire trop car cela gacherait tout l'effet de surprise mais je vous assure que cette BD est réellement surprenante! Mais que fait donc cet homme tout seul dans cette grande pièce blanche??????Le mystere est là.... La position des 2 héros sur la drague m'a bien fait marrer : on retrouve le discour des mecs qui friment et celui d'une nana assez intelligente qui certifie au héros que les nanas ne se font pas embobiner aussi facilement; mais elle va etre déçue car ce n'est pas le cas de toutes les femmes ! Cette BD est beaucoup trop courte pour avoir une note de "Franchement bien"; en effet elle n'est pas assez développée mais elle mérite un 3/5 !
Sambre
Suite à la pléthore d'avis dithyrambiques lus sur ce site, j'avais bien envie de l'aimer, cette série... Hélas, une fois de plus, ce fut la déception. D'emblée, dès les premières pages du tome 1, le dessin me rebute ; je ne sais pas si c'est le trait que je n'aime pas, ou si ce sont simplement les couleurs qui gâchent tout, mais en tout cas, ça démarre mal. Quant à l'histoire... Sous prétexte de romantisme à l'ancienne, c'est surtout une vision assez puérile de l'amour qu'on nous donne ici : les deux tourtereaux s'aiment à la folie au premier regard, parce que c'est le Destin qui l'a voulu... Oh, bien sûr, quand on avait 15 ans, on avait tous envie d'y croire, à ce genre de belle histoire d'amour, hein, et nul doute que les lecteurs adolescents trouveront ça magnifique et bouleversant ; moi, je vous avoue que ça ne m'a pas du tout touché... Puis vient le tome 2, et là on bascule du drame bourgeois à la fresque historique mâtinée de saga familiale ; quelque chose qui ressemble assez furieusement à ces télésuites à gros budget en costumes que nous servent TF1 et France 2 à intervalles réguliers. Sauf qu'ici, il n'y a pas Christian Clavier. Le résultat n'est pas foncièrement déplaisant mais, là non plus, toujours pas moyen, en tout cas pour moi, de rentrer enfin avec passion dans cette BD. Avec le tome 3, une évolution notable : alors que je n'aimais pas du tout le dessin au début, je me surprends à trouver certaines cases ou planches très réussies, très élégantes, très belles... N'ayant plus les 2 premiers tomes sous la main, je n'ai pu vérifier si c'était mon oeil qui avait fini par se laisser hypnotiser par ce style, ou si c'est l'auteur qui avait nettement progressé, mais en tout cas, le résultat est là : oui, "Sambre", visuellement, c'est la classe. Pour le reste... Ben, non, vraiment, c'est pas que je trouve ça mauvais, mais j'accroche toujours pas... Malgré ça, j'ai quand même eu envie de lire le tome 4, car à défaut d'avoir réussi à m'impliquer avec passion dans cette BD, j'avoue que l'histoire se tient, que l'auteur sait camper ses personnages, distiller une ambiance, faire vivre une époque, et que c'est un dialoguiste habile. Oui, je reconnais tout ça ; mais malheureusement, en toute sincérité, "Sambre" me laisse froid, vraisemblablement parce que je n'arrive pas à aimer ses deux héros (Bernard lui-même m'étant tout particulièrement antipathique). Voilà, je lirai le dernier tome (s'il sort avant le XXIIème siècle, s'entend), parce que j'ai quand même envie de connaître le fin mot de tout cela, mais vraiment, désolé, pour moi on est très loin du sublime chef d'oeuvre de romantisme et de poésie...
Robur
Le scénario est assez speed, il n'y a pas de temps morts. Cette BD donne envie de lire la suite rapidement, ça tombe bien le T2 est pour cette année je crois. Le mélange entre l'univers futuriste et les costumes, judicieux mélange d'époque et de contemporain, des personnages donne du charme à l'aventure bien qu'il n'est pas à la hauteur du système multi-époque du régulateur. Je mettrai un bémol pour les décors ! En effet le mélange de dessin au premier plan et d'informatique en arrière plan sur presque toutes les planches est un peu choquant et j'ai eu du mal à m'inprégner totalement de cet univers, les différences sont trop importantes, on dirait un mauvais film fantastique de série B. C'est dommage car les dessins sont soignés et ne manquent pas d'interêt. En fonction de la suite je passerai surement ma note à 4 étoiles. Lofficier a aussi travaillé sur le monde du garage hermetique et de nombreux comics sortis aux Etats Unis.