Album qui attire l’œil, "La terre sans mal" retrace le destin d’une jeune ethnologue française de 26 ans au sein d’une tribu indienne paraguayenne (les Mbyas), ignorant tout des événements tragiques qui bousculent l’Europe en cette fin d’année 1939.
Cette bd m’a séduit avant tout par le graphisme de Lepage vraiment époustouflant ! D’ailleurs, on peut observer une évolution de la qualité des planches ; les premières présentant des traits plus "marqués" qui s’estompent au fil des pages pour laisser plus de place aux tons pastels.
L’idée de départ semble intéressante mais le scénario souffre de quelques longueurs. On a un peu de mal a comprendre les motivations des Mbyas et leur quête pour trouver "la terre sans mal". On n'en saura pas plus en fin d’album, ce qui peut laisser un goût d’inachevé à certains que je peux comprendre. Toutefois, il faut plutôt interpréter ce récit comme une tranche de vie d’une personne hors du commun. Une fois le livre refermé, on garde en mémoire ce périple initiatique d’une jeune femme juive dans des décors de toute beauté. Et puis le coup de patte de Lepage en vaut vraiment la peine...
Un petit conseil : lisez le supplément de 8 pages à la fin de la lecture, c’est plus enrichissant !
L'aventure simple d'une hôtesse de l'air avec des scénarios inégaux mais certains réellement intéressants. Le dessin est plutôt bon et les couleurs agréables. Un divertissemnt simple et efficace, sans se prendre la tête...
Je ne suis pas un mystique, et pour tout dire le fait religieux à plutôt tendance à me donner des boutons. Mais là, Sfar arrive si bien à intégrer de la poésie et de la tendresse dans son récit et dans son dessin, qui est loin d'être aussi simple qu'il n'y paraît, que l'on se laisse porter par l'ambiance tout en se cultivant sur la religion juive.
Toutefois, le fait de faire parler un chat pour une espèce de démonstration par l'absurde, la ficelle est un peu grosse. Laissons les animaux à leur place et interressons nous plutôt au personnage de Melka, excellent.
Une période historique précise, plutôt bien décrite, un histoire agréable mais sans plus, des graphismes corrects. A lire certainement, au moins pour la culture.
Pour ma part, je regrette certaines invraisemblances au niveau du scénario et le ton par trop picaresque des récits. Je ne suis pas puritain pour deux sous, mais ponctuer tous les albums de scènes "érotiques" qui n'ont, pour la plupart, rien à voir avec l'intrigue, ça fait un peu racolleur.
Voila un récit policier original. A mi-chemin entre Nestor Burma et "ça s'est passé du coté de chez vous" avec une pointe d'Audiard, cette BD est un rayon de soleil. Le héros, ou devrais-je dire l'anti-héros, est très attachant. Tous ces échecs et erreurs de jugement nous rappellent humblement les fois où l'on se plante et qu'on se sent vraiment crétin. Aérien.
Personnellement, j'aime bien l'univers des stryges, et le scénario de cette série est à la hauteur.
Là où le bas blesse, c'est sur le dessin. Il y a vraiment des imperfections qui sautent aux yeux, notamment sur le visage ou les membres des personnages. Par moments, ça gâche vraiment la lecture.
Cette bd, comme beaucoup de séries franco-belge, a ses bons et ses mauvais côtés. Certains albums sont vraiment sympas (je pense à "Un Trône pour Natacha", "Le treizième apôtre", "Instantanées pour Caltech"/"Machines Incertaines", "Le Grand Pari"/"Culottes de Fer"...).
D'autres par contre, sont sans intérêt, comme de petits délires de l'auteur destinés à faire du commercial sans trop se soucier du scénario, avec des fins en hôpital psychiatrique comme dans d'autres séries moins bonnes ("les Nomades du Ciel", "Cauchemirage"...). Et quand on voit à quel point les dernières couvertures d'albums insistent sur le physique de Natacha plutôt que sur son caractère et son intelligence, on se dit que le scénariste ne doit pas non plus trop insister sur le côté intelligent des histoires.
Pour faire simple, j'aime beaucoup cette série jusqu'au tome 12. Au-delà, par contre, il y a trop d'albums qui ne m'ont pas plu, voire pas du tout.
Des dessins un peu trop classiques mélangeant manga et comics, avec des couleurs trop informatisées à mon goût. Un scénario également complètement influencé par les mangas et comics d'action-SF. L'idée globale est assez bonne, mais je trouve que tout a été un peu trop étiré. Il y a trop d'albums qui partent un peu tous dans différentes directions, pour finalement se résumer à une trame assez simple et à mon goût franchement déjà vue. Bref, une série qui se laisse lire mais qui ne marque pas franchement les esprits.
Une Bd de qualité assez inégale car l'humour y est très souvent répétitif. On retrouve très souvent les mêmes gags ou bien des thèmes très proches. Le dessin est très bien foutu (et les femmes y sont notamment très jolies) et c'est agréable à lire. Mais les histoires sont un peu simples et comme je le disais si souvent reproduites qu'on rit au départ, puis assez rapidement on se lasse.
Néanmoins, les personnages créés dans cette petite série d'humour sont très bons, même si, je le répête, on les retrouve presque toujours dans la même situation comique.
Oui, bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre scénaristique de Foerster. Les histoires de ce colporteur s'oublient assez vite en fait. Même si on retrouve le côté fantastique et l'humour noir des autres histoires courtes de l'auteur, celles-ci manquent justement de cette acidité grinçante et du côté vraiment noir et original de ses autres nouvelles.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
La terre sans mal
Album qui attire l’œil, "La terre sans mal" retrace le destin d’une jeune ethnologue française de 26 ans au sein d’une tribu indienne paraguayenne (les Mbyas), ignorant tout des événements tragiques qui bousculent l’Europe en cette fin d’année 1939. Cette bd m’a séduit avant tout par le graphisme de Lepage vraiment époustouflant ! D’ailleurs, on peut observer une évolution de la qualité des planches ; les premières présentant des traits plus "marqués" qui s’estompent au fil des pages pour laisser plus de place aux tons pastels. L’idée de départ semble intéressante mais le scénario souffre de quelques longueurs. On a un peu de mal a comprendre les motivations des Mbyas et leur quête pour trouver "la terre sans mal". On n'en saura pas plus en fin d’album, ce qui peut laisser un goût d’inachevé à certains que je peux comprendre. Toutefois, il faut plutôt interpréter ce récit comme une tranche de vie d’une personne hors du commun. Une fois le livre refermé, on garde en mémoire ce périple initiatique d’une jeune femme juive dans des décors de toute beauté. Et puis le coup de patte de Lepage en vaut vraiment la peine... Un petit conseil : lisez le supplément de 8 pages à la fin de la lecture, c’est plus enrichissant !
Natacha
L'aventure simple d'une hôtesse de l'air avec des scénarios inégaux mais certains réellement intéressants. Le dessin est plutôt bon et les couleurs agréables. Un divertissemnt simple et efficace, sans se prendre la tête...
Le Chat du Rabbin
Je ne suis pas un mystique, et pour tout dire le fait religieux à plutôt tendance à me donner des boutons. Mais là, Sfar arrive si bien à intégrer de la poésie et de la tendresse dans son récit et dans son dessin, qui est loin d'être aussi simple qu'il n'y paraît, que l'on se laisse porter par l'ambiance tout en se cultivant sur la religion juive. Toutefois, le fait de faire parler un chat pour une espèce de démonstration par l'absurde, la ficelle est un peu grosse. Laissons les animaux à leur place et interressons nous plutôt au personnage de Melka, excellent.
Les chemins de Malefosse
Une période historique précise, plutôt bien décrite, un histoire agréable mais sans plus, des graphismes corrects. A lire certainement, au moins pour la culture. Pour ma part, je regrette certaines invraisemblances au niveau du scénario et le ton par trop picaresque des récits. Je ne suis pas puritain pour deux sous, mais ponctuer tous les albums de scènes "érotiques" qui n'ont, pour la plupart, rien à voir avec l'intrigue, ça fait un peu racolleur.
Le Choucas
Voila un récit policier original. A mi-chemin entre Nestor Burma et "ça s'est passé du coté de chez vous" avec une pointe d'Audiard, cette BD est un rayon de soleil. Le héros, ou devrais-je dire l'anti-héros, est très attachant. Tous ces échecs et erreurs de jugement nous rappellent humblement les fois où l'on se plante et qu'on se sent vraiment crétin. Aérien.
Le Clan des chimères
Personnellement, j'aime bien l'univers des stryges, et le scénario de cette série est à la hauteur. Là où le bas blesse, c'est sur le dessin. Il y a vraiment des imperfections qui sautent aux yeux, notamment sur le visage ou les membres des personnages. Par moments, ça gâche vraiment la lecture.
Natacha
Cette bd, comme beaucoup de séries franco-belge, a ses bons et ses mauvais côtés. Certains albums sont vraiment sympas (je pense à "Un Trône pour Natacha", "Le treizième apôtre", "Instantanées pour Caltech"/"Machines Incertaines", "Le Grand Pari"/"Culottes de Fer"...). D'autres par contre, sont sans intérêt, comme de petits délires de l'auteur destinés à faire du commercial sans trop se soucier du scénario, avec des fins en hôpital psychiatrique comme dans d'autres séries moins bonnes ("les Nomades du Ciel", "Cauchemirage"...). Et quand on voit à quel point les dernières couvertures d'albums insistent sur le physique de Natacha plutôt que sur son caractère et son intelligence, on se dit que le scénariste ne doit pas non plus trop insister sur le côté intelligent des histoires. Pour faire simple, j'aime beaucoup cette série jusqu'au tome 12. Au-delà, par contre, il y a trop d'albums qui ne m'ont pas plu, voire pas du tout.
Nomad
Des dessins un peu trop classiques mélangeant manga et comics, avec des couleurs trop informatisées à mon goût. Un scénario également complètement influencé par les mangas et comics d'action-SF. L'idée globale est assez bonne, mais je trouve que tout a été un peu trop étiré. Il y a trop d'albums qui partent un peu tous dans différentes directions, pour finalement se résumer à une trame assez simple et à mon goût franchement déjà vue. Bref, une série qui se laisse lire mais qui ne marque pas franchement les esprits.
Le Petit Spirou
Une Bd de qualité assez inégale car l'humour y est très souvent répétitif. On retrouve très souvent les mêmes gags ou bien des thèmes très proches. Le dessin est très bien foutu (et les femmes y sont notamment très jolies) et c'est agréable à lire. Mais les histoires sont un peu simples et comme je le disais si souvent reproduites qu'on rit au départ, puis assez rapidement on se lasse. Néanmoins, les personnages créés dans cette petite série d'humour sont très bons, même si, je le répête, on les retrouve presque toujours dans la même situation comique.
Porte-à-porte-malheur
Oui, bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre scénaristique de Foerster. Les histoires de ce colporteur s'oublient assez vite en fait. Même si on retrouve le côté fantastique et l'humour noir des autres histoires courtes de l'auteur, celles-ci manquent justement de cette acidité grinçante et du côté vraiment noir et original de ses autres nouvelles.