Moui... Le dessin est sympa, l'histoire gentille, le décor joli... Mais le tout est peu trop naïf et l'histoire trop rapide. Je ne vous en déconseille pas l'achat, mais moi personnellement je ne l'achèterais pas car j'aime posséder des BDs au scénario suffisamment conséquent pour avoir l'impression d'avoir une vraie histoire entre les mains, pas un petit conte délayé sur les pages d'un album entier.
Ciao Pékin est une bd sympa. Le héros est attachant, surtout grâce à sa manière de décliner la réalité façon "histoire dont vous êtes le héros" (petit A, petit B, Petit C...). L'intrigue est menée tambour battant et le dessin de Pourquié, extrêmement vivant, emporte toute mon adhésion. Malheureusement la résolution du mystère policier est plutôt...convenue. La police qui arrive façon « deus ex machina » et qui révèle le pot aux roses parce qu’on arrive à la fin de l’album, c’est un peu maladroit. C'est bien dommage, il y avait matière à finir sur une pointe plus originale.
En venant mettre mon avis sur cette série, je ne m'attendais pas du tout à tomber sur des avis aussi défavorables. La dernière des salles obscures n'est pas un chef d'œuvre, loin de là, mais c'est une belle tentative d'en faire un. Un demi-échec que j’aurais plutôt tendance à vouloir considérer comme une demi réussite. J’ai lu les deux albums rapidement, l’un à la suite de l’autre, avide de savoir jusqu’où allait mener cette aventure qui démarrait très fort. La fin, que je ne peux révéler ici est certes conventionnelle mais efficace. Ce que je reprocherai plutôt à Lapière, c’est de s’être senti obligé de remplir la vie de son personnage principal de détails parfois moyennement intéressants dans la mesure où ils délayent le sujet plutôt qu’ils ne l’enrichissent. Donc, je reste sur un sentiment de dispersion, d’un foisonnement d’idées (ce qui est toujours bon en soi) que le scénariste semble avoir eu du mal à maîtriser (ou ne l’a pas voulu).
Côté dessin, je ne suis pas du tout d’accord avec Spooky, il est clair que le dessin de Gillon n’est pas des plus « actuels » mais il convient à merveille pour illustrer ce scénario. Et il le fait de main de maître. Son trait a de l’élégance à revendre, sa mise en scène est intelligente et raffinée.
J'ai lu cette Bd il y a quelques années et j'en garde un bon souvenir. J'aimais la façon dont l'auteur n'hésitait pas à aller de plus en plus loin dans le temps dans cette histoire d'anticipation SF. On y voit l'évolution de la race humaine et de ses descendants sur des millénaires. Ca va loin, on sent que l'auteur n'a pas voulu se donner de limites temporelles, et c'est sympa.
Bref, c'est de la SF simple et sans fard, qui en outre n'est pas bête, quoiqu'un peu naïve, et qui donne des histoires intéressantes et agréables à lire.
Note approximative : 2.5/5
En tant que travailleur, certains gags de Dilbert me font vraiment rire. Ils pointent du doigt exactement l'illogisme de certaines situations et font un très bonne satire du monde du travail.
Mais ce ne sont que certaines planches parmi les centaines existantes de Dilbert. Et concernant les autres, elles sont souvent répétitives et pas franchement drôles. En outre, j'ai personnellement du mal à aimer les personnages de Dilbert : je les trouve pour la plupart assez antipathiques, enfin disons surtout distants.
Bref, quelques très bon gags dans une mer de gags plutôt médiocres.
Le premier cycle de cette série est très bien (Tomes 1 à 5). L'univers post-apocalyptique qui y a été créé est presque devenu culte, et l'histoire qui s'y déroule, faite d'intrigues politiques, de SF et de fantastique, est très sympa et se lit bien. Bon dessin et bon scénario.
Par contre, la suite (pourquoi avoir fait une suite ?) est en dessous de tout. Le scénario tourne au n'importe quoi délirant, l'histoire n'est pas intéressante du tout, et l'histoire n'a aucun interêt.
Bref, je conseille l'achat des 5 premiers tomes et conseille de jeter les autres aux ordures et si possible de ne surtout pas les lire pour ne pas gâcher le bon souvenir qu'on a du premier cycle.
Quand je lisais le Journal de Mickey, j'avoue que j'aimais beaucoup arriver sur la page de l'Ecole Abracadabra. Les gags en une page me faisaient au moins sourire, et j'aimais le dessin autant que l'ambiance de magie et de fantastique.
Mais à la réflexion, les gags n'étaient pas vraiment drôles, et surtout ils étaient très répétitifs. Je n'imagine donc pas maintenant en lire un album entier.
J'ai beaucoup aimé le premier tome de cette série. Je le trouve très beau au niveau du dessin, quoiqu'un peu sordide. En outre, l'histoire est vraiment pleine de mystère, de suspense et de cette grande part de fantastique voire d'horreur qui donne envie d'en savoir plus et de découvrir la clé du mystère.
Par contre, j'ai beaucoup moins aimé les deuxième et troisième tomes que je trouvais plus délirants et bien moins intéressants, quoique le dessin reste bon. L'atmosphère de mystère du début tourne à une suite d'actions fouillis et une fin métaphysico-délirante sans attrait.
En résumé, c'est une histoire qui partait très bien, puis dont je trouve le scénario moyen ensuite.
Les dessins sont très beaux, c'est certain. En outre, ils sont lumineux et loin de la noirceur de certains beaux dessins actuels qui jouent trop sur les teintes de noir.
L'histoire quant à elle est relativement originale et plutôt sympathique.
Mais ce que je reprocherais à cette BD est la relative légèreté de chacun de ses tomes. Ils se lisent vite et malgré la beauté du dessin, je reste sur ma faim avec dans l'idée d'avoir un livre un peu vide entre les mains.
Premier cycle : BD Culte. 5/5.
Super ambiance, super dessin, des passages sensationnels, notamment avec le troisième tome "le Mégophias".
Bon, les méchants sont vraiment irrécupérables et les gentils un peu candides. On frise parfois la caricature. Mais fi de ces détails, la couleur bleu l'emporte largement sur le reste et c'est une BD qui fait plaisir à lire et à relire. Indispensable dans une bibliothèque.
Deuxième cycle : les choses se gâtent. 3/5.
Les petites imperfections du premier cycle deviennent ici carrément gênantes. On sombre dans le complot politico-religieux déjà vu 100 fois, le dessin de Tota colle beaucoup moins à la série que celui de Vatine. Bref, il serait temps de boucler la série et de passer à autre chose. A acheter si vraiment vous avez aimé le premier cycle.
Troisième cycle : non ! 1/5.
C'est énervant de voir une série que l'on a aimé sombrer pareillement. Le héros qui défendait sa planète et la survie de son peuple devient le pourfendeur écolo de tout ce que l'univers compte de crapules : chasseur de trophées, hommes d'affaire sans scrupules, pervers de tout bord... lui suinte les bons sentiments et la morale à deux balles, le scénario est archi prévisible, le dessin devient mauvais... j'en jette encore?
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Pyrénée
Moui... Le dessin est sympa, l'histoire gentille, le décor joli... Mais le tout est peu trop naïf et l'histoire trop rapide. Je ne vous en déconseille pas l'achat, mais moi personnellement je ne l'achèterais pas car j'aime posséder des BDs au scénario suffisamment conséquent pour avoir l'impression d'avoir une vraie histoire entre les mains, pas un petit conte délayé sur les pages d'un album entier.
Ciao pékin
Ciao Pékin est une bd sympa. Le héros est attachant, surtout grâce à sa manière de décliner la réalité façon "histoire dont vous êtes le héros" (petit A, petit B, Petit C...). L'intrigue est menée tambour battant et le dessin de Pourquié, extrêmement vivant, emporte toute mon adhésion. Malheureusement la résolution du mystère policier est plutôt...convenue. La police qui arrive façon « deus ex machina » et qui révèle le pot aux roses parce qu’on arrive à la fin de l’album, c’est un peu maladroit. C'est bien dommage, il y avait matière à finir sur une pointe plus originale.
La Dernière des Salles Obscures
En venant mettre mon avis sur cette série, je ne m'attendais pas du tout à tomber sur des avis aussi défavorables. La dernière des salles obscures n'est pas un chef d'œuvre, loin de là, mais c'est une belle tentative d'en faire un. Un demi-échec que j’aurais plutôt tendance à vouloir considérer comme une demi réussite. J’ai lu les deux albums rapidement, l’un à la suite de l’autre, avide de savoir jusqu’où allait mener cette aventure qui démarrait très fort. La fin, que je ne peux révéler ici est certes conventionnelle mais efficace. Ce que je reprocherai plutôt à Lapière, c’est de s’être senti obligé de remplir la vie de son personnage principal de détails parfois moyennement intéressants dans la mesure où ils délayent le sujet plutôt qu’ils ne l’enrichissent. Donc, je reste sur un sentiment de dispersion, d’un foisonnement d’idées (ce qui est toujours bon en soi) que le scénariste semble avoir eu du mal à maîtriser (ou ne l’a pas voulu). Côté dessin, je ne suis pas du tout d’accord avec Spooky, il est clair que le dessin de Gillon n’est pas des plus « actuels » mais il convient à merveille pour illustrer ce scénario. Et il le fait de main de maître. Son trait a de l’élégance à revendre, sa mise en scène est intelligente et raffinée.
Fragments de l'encyclopédie des dauphins (Demain les dauphins)
J'ai lu cette Bd il y a quelques années et j'en garde un bon souvenir. J'aimais la façon dont l'auteur n'hésitait pas à aller de plus en plus loin dans le temps dans cette histoire d'anticipation SF. On y voit l'évolution de la race humaine et de ses descendants sur des millénaires. Ca va loin, on sent que l'auteur n'a pas voulu se donner de limites temporelles, et c'est sympa. Bref, c'est de la SF simple et sans fard, qui en outre n'est pas bête, quoiqu'un peu naïve, et qui donne des histoires intéressantes et agréables à lire.
Dilbert
Note approximative : 2.5/5 En tant que travailleur, certains gags de Dilbert me font vraiment rire. Ils pointent du doigt exactement l'illogisme de certaines situations et font un très bonne satire du monde du travail. Mais ce ne sont que certaines planches parmi les centaines existantes de Dilbert. Et concernant les autres, elles sont souvent répétitives et pas franchement drôles. En outre, j'ai personnellement du mal à aimer les personnages de Dilbert : je les trouve pour la plupart assez antipathiques, enfin disons surtout distants. Bref, quelques très bon gags dans une mer de gags plutôt médiocres.
Les Eaux de Mortelune
Le premier cycle de cette série est très bien (Tomes 1 à 5). L'univers post-apocalyptique qui y a été créé est presque devenu culte, et l'histoire qui s'y déroule, faite d'intrigues politiques, de SF et de fantastique, est très sympa et se lit bien. Bon dessin et bon scénario. Par contre, la suite (pourquoi avoir fait une suite ?) est en dessous de tout. Le scénario tourne au n'importe quoi délirant, l'histoire n'est pas intéressante du tout, et l'histoire n'a aucun interêt. Bref, je conseille l'achat des 5 premiers tomes et conseille de jeter les autres aux ordures et si possible de ne surtout pas les lire pour ne pas gâcher le bon souvenir qu'on a du premier cycle.
L'Ecole Abracadabra
Quand je lisais le Journal de Mickey, j'avoue que j'aimais beaucoup arriver sur la page de l'Ecole Abracadabra. Les gags en une page me faisaient au moins sourire, et j'aimais le dessin autant que l'ambiance de magie et de fantastique. Mais à la réflexion, les gags n'étaient pas vraiment drôles, et surtout ils étaient très répétitifs. Je n'imagine donc pas maintenant en lire un album entier.
L'Etat morbide
J'ai beaucoup aimé le premier tome de cette série. Je le trouve très beau au niveau du dessin, quoiqu'un peu sordide. En outre, l'histoire est vraiment pleine de mystère, de suspense et de cette grande part de fantastique voire d'horreur qui donne envie d'en savoir plus et de découvrir la clé du mystère. Par contre, j'ai beaucoup moins aimé les deuxième et troisième tomes que je trouvais plus délirants et bien moins intéressants, quoique le dessin reste bon. L'atmosphère de mystère du début tourne à une suite d'actions fouillis et une fin métaphysico-délirante sans attrait. En résumé, c'est une histoire qui partait très bien, puis dont je trouve le scénario moyen ensuite.
Les Gardiens du Maser
Les dessins sont très beaux, c'est certain. En outre, ils sont lumineux et loin de la noirceur de certains beaux dessins actuels qui jouent trop sur les teintes de noir. L'histoire quant à elle est relativement originale et plutôt sympathique. Mais ce que je reprocherais à cette BD est la relative légèreté de chacun de ses tomes. Ils se lisent vite et malgré la beauté du dessin, je reste sur ma faim avec dans l'idée d'avoir un livre un peu vide entre les mains.
Aquablue
Premier cycle : BD Culte. 5/5. Super ambiance, super dessin, des passages sensationnels, notamment avec le troisième tome "le Mégophias". Bon, les méchants sont vraiment irrécupérables et les gentils un peu candides. On frise parfois la caricature. Mais fi de ces détails, la couleur bleu l'emporte largement sur le reste et c'est une BD qui fait plaisir à lire et à relire. Indispensable dans une bibliothèque. Deuxième cycle : les choses se gâtent. 3/5. Les petites imperfections du premier cycle deviennent ici carrément gênantes. On sombre dans le complot politico-religieux déjà vu 100 fois, le dessin de Tota colle beaucoup moins à la série que celui de Vatine. Bref, il serait temps de boucler la série et de passer à autre chose. A acheter si vraiment vous avez aimé le premier cycle. Troisième cycle : non ! 1/5. C'est énervant de voir une série que l'on a aimé sombrer pareillement. Le héros qui défendait sa planète et la survie de son peuple devient le pourfendeur écolo de tout ce que l'univers compte de crapules : chasseur de trophées, hommes d'affaire sans scrupules, pervers de tout bord... lui suinte les bons sentiments et la morale à deux balles, le scénario est archi prévisible, le dessin devient mauvais... j'en jette encore?