Les derniers avis (48386 avis)

Par garath
Note: 3/5
Couverture de la série Gothic
Gothic

Je ne me rappelle plus parfaitement cette BD, car il y a presque un an que je ne l'ai plus lue. Je voudrais simplement dire que le dessin s'améliore au fil des tomes (de vraiment pas terrible au tome un, il passe à correct, puis normal avec les tomes 2 et 3). Quant au scénario, il est très prenant plus on avance dans les tomes. J'attends donc le tome 4 avec impatience...

11/01/2004 (modifier)
Par hipopom
Note: 3/5
Couverture de la série Aquablue
Aquablue

PREMIER CYCLE 4/5 C'est vrai que ça a beaucoup vieilli, mais au moment où je l'ai lue, la bd m'a énormément plu. Le dessin est moyen au premier tome mais devient vite très bon. Le changement de dessinateur passe plutôt bien à mon goût. L'histoire était alors originale, mais pour quelqu'un qui a lu plein de bd, ça aura forcément un air de déjà vu. En tout cas la narration est bonne et les personnages sont attachants. De la SF grand public, une série avec un message simple, une histoire simple, de beaux dessins. Bref on passe un bon moment. DEUXIEME CYCLE 2/5 Là c'est le succès du premier cycle qui a fait faire un truc pas terrible aux auteurs. L'histoire n'est pas franchement captivante, le dessin reste honnête mais bon, c'est plutôt l'usure des personnages et des ficelles qui m'a bloqué. TROISIEME CYCLE 2/5 A part la belle image du Vovoïde au début, il n'y a pas grand chose dans ce troisième cycle. Notre Nao est devenu un Largo Winch écolo, ça devient répétitif et assez navrant, du déjà vu mais qui se laisse lire et qu'on referme machinalement. On ne s'en souvient même plus deux minutes après, mais la lecture n'est pas désagréable pour autant.

11/01/2004 (modifier)
Couverture de la série Le combat ordinaire
Le combat ordinaire

Je dois avouer que j’ai été déçu par cette bd, je m’attendais à beaucoup mieux vu l’éloge des notes. Les dessins sont assez repoussants quand on veut acheter cette bd, mais j’ai réussi à passer ce cap grâce aux excellentes notes données sur bdtheque et aux avis favorables venant de plusieurs forums bd. Puis quand on a lu la moitié de la bd, on s’habitue à ce dessin simple, et à ces couleurs spéciales. Bref, finalement le dessin et les couleurs se marient bien ensemble et donnent de jolies planches. Au niveau du scénario, l’histoire est très simple, et donc pas de prise de tête, mais j’avoue que le scénario ne casse pas des briques. Par contre le gros point fort de cette bd, c’est que l’on s’attache beaucoup aux personnages très différents, et pour certains très drôle. Pour tout dire, j’avais déjà deviné la page émouvante de la fin, je suis donc resté de glace devant cette page, je le regrette un peu. En tout cas, un bon moment de détente en perspective pour les futurs lecteurs de cette bd.

10/01/2004 (modifier)
Couverture de la série Les Chansons de Mr Eddy
Les Chansons de Mr Eddy

Personnellement, j'ai bien aimé cet album. Ne connaisant pas vraiment tous les dessinateurs ayant colaboré à cet album, je n'ai pas lu toutes ces chansons illustrées de la même manière, mais je trouve que d'avoir mélangé des auteurs de différentes génération est une bonne chose. "Les chansons de Mr eddy" est tout de même à lire et à écouter!

10/01/2004 (modifier)
Par A.bomba
Note: 3/5
Couverture de la série Gothic
Gothic

Très… Gothic comme ambiance! Sombre et inquiétante. Ce premier tome met en place l’univers d’Edgard Poe à notre époque par le biais d’artistes en vogue. Le monde artistique va se mélanger tout doucement au monde réel, et le dénouement laisse présager l’angoisse... (tatatam) Je ne connais pas du tout les auteur de cette BD, mais la première approche m’a bien plue. Le scénario se met en place graduellement, nous faisons connaissance avec les acteurs principaux. La trame ne se dévoile pas immédiatement, mais accroche bien l’esprit. Niveau graphisme, je dirais sombre tout d’abord. Le dessin est adapté à l’ambiance. Un trait épais et des couleurs foncées. L’ombrage rend l’atmosphère mélancolique. Ce n’est pas très détaillé, mais ce n’est pas baclé non plus. Un travail assez équilibré je dirais. Une élaboration contenue pour le moment mais captivante. Je ne demande qu’à lire la suite et ne pas être déçue...

10/01/2004 (modifier)
Par A.bomba
Note: 3/5
Couverture de la série Margot
Margot

Que dire sinon un mot : surprise! Voilà ce ce que cette bd m’a fait, une surprise. Tout d’abord, en page de garde, une photo de Manhattan avec les twin tower dominantes! Une relique nostalgique aujourd’hui! Ensuite, un dessin à l’Italienne, un graphisme très réaliste bien travaillé, vraiment agréable, similaire à celui de Liberator (Ranxerox). Pas aussi beau mais très correct. De belles planches détaillées. Sympa, quoi. Massimiliano Frezzato, italien de naissance, découvert en France dans USA magazine, en 1989. Il publie une série en deux tomes de Margot avec Jérôme Charyn côté scénario, auteur américain qui a notamment fait «La femme du magicien» en collaboration avec François Boucq. Bon les présentations sont faites, passons à mon avis personnel. Tout d’abord, j’ai été étonnée, puis je me suis plongée en relecture 3 fois de suite. En effet, cela se lit vite, mais reste plaisant à regarder et l’histoire est typiquement américaine, plutôt New-Yorkaise, où la pauvreté flirte avec la démesure. L’ambiance tout d’abord, puis cette nana terrible qui finalement mène les hommes par le bout du nez! (eheh on en rêve toutes, non?) Sympa aussi, ça. (Mais non je suis pas machogine !) Bref, un sympathique moment passé. Ce n’est pas une BD indispensable, je l’ai trouvée à la bibliothèque Mouffetard-contrescarpe (pleine de bds cette biblio à paris!). Si vous avez l’occasion de tomber dessus (aïe) prenez juste le temps de la lire. C’est convenable, ça mange pas de pain et ça fait passer le temps.

10/01/2004 (modifier)
Par A.bomba
Note: 3/5
Couverture de la série Tranches de brie
Tranches de brie

Cet album est de loin celui que je préfère de cet auteur. Plusieurs histoires différentes en style graphique et en scénario. Le thême que l’on retrouve ici est la science fiction vue par margerin. On sent une influence américaine genre comics des années 60-70 dans le trait. Je dois dire qu’il a su différencier son dessin en passant de la rondeur enfantine, à un tracé bien spécifique des comics. Des histoires comme la conquête de la planète Pluton ou l’envahisseur de Bobigny me semble inspirée de la lecture de livre tel que « fat fredy’s cat ! » et autres auteurs amerloques de l'époque. L’auteur a su faire preuve d’un humour bien caustique et original contrairement aux autres albums de rocky, Lucien, Riton et cie… je serais donc indulgente avec lui en le targant de presque réussite pour cet album! (j’suis sympa, non ?) Trève de bavardage, Margerin pour cet album a su sortir de son humour potache et beauf, même si il n’a pu s’empêcher de nous glisser quelques rockeurs banlieusards, il sait aussi aborder avec dérision les contes de notre enfance et je lui en suit reconnaissante. Il m’est arrivé de rencontrer des personnages de Margerin dans la vie. Si si le rockeur flambeur à mobylette qui squatte les cafés et se croit irrésistible et qui déchante quand on lui met fany-5 au baby! :) arf, j’en pleure de rire de le voir étalé sur du papier (non non, je ne règle pas de compte!) Ce one shot n’est pas indispensable, mais si vous ne connaissez pas Margerin, je vous conseille d’acheter celui-ci plutôt qu’un autre ! (à moins que vous soyez rockeur et dans ce cas je ne peux rien faire pour vous!)

10/01/2004 (modifier)
Par A.bomba
Note: 3/5
Couverture de la série Yragael / Urm le Fou
Yragael / Urm le Fou

L'intérêt de ce livre est la beauté des graphismes. Philippe Druillet est le maître du trait torturé et puissant. Lorsqu'il publie son premier album(dans les années 70), toute la culture visuel et artistique de la bande dessinée européenne se trouva balayée. A l'origine de l'éclatement des mises en pages et du renouvellement du graphisme qui se développeront par la suite. Il demeure le plus merveilleux des francs tireurs! Le bémol est qu'on a mal à la tête a essayé de comprendre l'histoire! Donc si vous aimez le dessin au rotring courrez acheter ces oeuvres. Elles sont hautes en couleurs, en profondeur et en détails. Mais si vous aimez les scénario bien montés et fourni, vous serez déçu. Pourtant les textes sont fastueux mais totalement disloqués et écrit dans une "police" gothique difficilement déchifrable. Ce qui m'a séduite ce sont justement les illustrations magnifiques. En précurseur de la SF, il faut admirer les oeuvres de Druillet pour cela. C'est un livre à découvrir pour la richesse de ses planches et leur beauté.

10/01/2004 (modifier)
Par A.bomba
Note: 3/5
Couverture de la série Les Minettos Desperados
Les Minettos Desperados

Bon j'ai dans les mains une "réédition Soleil" ! Tome premier: J'aime bien le sujet de base, 3 gonzesses (si si des gonzesses, j’insiste) qui n’ont pas froid au slip, dégainent vite et descendent le tord boyaux plus vite que moi les escaliers en quittant le travail (c’est vous dire !) Trois Calamités qui tentent de s’imposer dans ce monde de brutes. Mais à défaut d’utiliser leur charme, bien qu'elle en aient un peu, elles essaient quand même et ça marche presque, enfin un peu quoi, elles utilisent des armes, la roublardise, la violence, l’alcool, et j’en passe… Bref, elles se mettent à la page de l'ouest quoi. Un scénario qui démarre pas mal je trouve. Eh oui, fini le stéréotype de l'héroîne de bd, sexy, intelligente, idiote et qui se fait toujours ramasser par le héros de base qui n’a vraiment rien d’autre à faire de sa vie! Ici, elles sont murgées, violentes parfois très bêtes, bref, humaines quoi. Donc une trame de fond intéressante. Je dois dire que dès le début c’est mouvementé, et on voit tout de suite à qui on a à faire et l’histoire est explosive jusqu’au bout. Je dirais donc pour ce 1er tome: assez réussi. Niveau graphisme, le trait est encore brouillon, parfois achuré voire un peu baclé sur certaine planche. Attention, ce n’est pas mauvais, mais peu détaillé et sombre, les personnages principaux ont du mal à être ressemblant d’une case à l’autre. Cela ne gâche pas l’album, mais quand même, et heureusement cela va vers une évolution agréable. Il y a à la fin, un cahier d’esquisse assez sympa me laisse penser que les albums suivants seront plus travaillés. Donc, pour conclure, moi j’ai aimé cette BD. Car les donzelles me plaisent bien, Cromwell, que j’ai découvert avec Anita Bomba, a un dessin qui me plaît aussi et son passé de punk ne peut que me séduire. Pour ces quelques bonnes raisons et d’autres dont je vous fais grâce, je vous conseille de la lire si vous aimez ce style. tome second: Sur un scénario qui suit de près le premier opus, cette histoire nous replonge au cœur de l’ouest, avec ses flingues pétaradants, ses pochtrons se murgeant et ses desperados galopantes. Notre joyeux trio, fidèle à son image, s’entête à vouloir conquérir l’ouest sans scrupules et sans douceur. Elles sont excellentes ces minettes! Bon, je l’accorde c’est simple comme scénario, rien d’original ou de cosmotélurique, mais un bon vieux western pas à l’eau de seltz, plutôt au tord boyaux avec un p’tit côté punk inhérant à Cromwell. Du trash, ça s’éclate aux entournures, donc on est bien loin du romantisme et du chevaleresque et heureusement. Que voulez vous, il faut de tout pour faire un monde! Le dessin quant à lui est carrément différent du premier tome, plus arrondi, nos héroïnes ont le trait plus stylisé et de façon plus simplifié qu’auparavant. Cela leur permet de conserver leur trait tout au long de l'album et aussi d’avoir un peu plus d’expressions. Les couleurs, quant à elles, sont beaucoup moins sombres, ce qui donne plus d’éclairage à l’ensemble (forcément), ça se regarde bien, sans surcharge, on enchaine les pages sans ennui. En bref, un second tome sympa, tout en nerfs et en rebondissements. Avis aux amateurs de western et aux anciens punk (les nouveaux sont bienvenus aussi!), ainsi qu’aux amateurs de tord boyaux, cette bd se lit sans fioritures, sans chichis, juste avec un flingue et un double bourbon! tome troisième: Dernier volet de la trilogie Minettos, ce troisième tome fait suite directe au second. En effet, le diamant est toujours au mains de Razorblade, et nos trois minettes désirent ardemment se mettre au vert et se la couler douce sous le soleil de l’ouest! (et moi aussi d'ailleurs) Elles ne sont pas au bout de leur peine, c’est moi qui vous le dit. Déjà quand on commence à distiller du casse-pattes (tord-boyaux mais en plus fort!) et qu’on saoûle tout l’monde avec, on est pas prêt d’être tranquille. Donc un scénario dans la lignée des deux premiers albums. Si rien d’extraordinaire ou de mystique ne se passe, on a toujours les rebondissements et l'humour sauvage de l'ouest. Ruffner garde le tempérament de feu pour les donzelles, Cromwell les rends plus attachantes, plus rondes et surtout avec des gueules uniques, un dessin qui a bien évolué. Il garde le trait rond et plus épanoui qu’il a entamé avec le second volet de la série. Les couleurs plus claires facilitent la lecture. C’est donc bien agréable à lire, pas casse-tête, efficace et sans prétention aucune. Un bon moment donc j’ai passé… Et je conseille à tous les amateurs de filles à caractère, aimant les flingues, l’alcool et le poker de se plonger dans l’univers des Minettos! Le p’tit côté punks lives & shoot me plait assez chez Cromwell! Une bd sans vanité, réédité par Soleil, avec des préfaces respectives de Qwack pour le 1er tome, de Bajram pour le second et de Cromwell lui même pour le dernier (il s’est sacrifié pour ce travail!) Je le citerai donc car il est fautif dans l’histoire des Minettos : « la vie est une maladie et on en meurt, connard ! » Voilà, il y a également à la fin de chaque livre, un cahier d’esquisse sur la série plutôt sympathique. allez zou…bonne lecture

10/01/2004 (modifier)
Par A.bomba
Note: 3/5
Couverture de la série Léonard
Léonard

J'aime bien Léonard et son disciple, on les découvre dans le premier tome tous les deux tels qu'ils seront tout au long de la série. On les trouve sous un trait plus rondouillard, mais leur caractère s'exprime déjà. Et la douce folie dévastatrice de ce génie ne fera qu'empirer pour nous faire sourire. Pauvre disciple, esclave d'un homme à l'imagination débordante. Le chat et le crâne font de brêves apparitions au début et ne sont pas encore au stade futur du gag de second plan, mais l'humour général est bien là, et par la suite ils seront un des piliers de cette série sympathique. J'adore les chutes, elles sont tout de même tordantes de rire. Bon d'accord Léonard est abordable très tôt, on peut l'offrir à un minot de 5 ans, il adorera. Cela dit offrez le aussi à un minot de 30 ans, il rigolera aussi (enfin normalement hein!).

10/01/2004 (modifier)