Je n'ai pas trouvé ça très marrant ni très "intelligent". En plus je n'ai rien compris à cette page gauche où l'on voit un homme "muter" petit à petit. Bref je vois pas trop quoi dire de plus, si ce n'est sur le dessin que je trouve très bien, l'histoire ne m'a pas emballé. Cela nécessite peut-être plus d'une lecture pour en saisir la subtilité.
A l’instar d’Alix ou Thepatrick, j’ai été quelque peu déçu. « Le pantin » est certes sympathique, mais n’a rien d’une bd extraordinaire. C’est juste une jolie fable un peu guimauve qui se lira à tout âge. Le dessin est bien fait, il faut le dire. Alzéal a du talent mais l’album ne fait qu'une trentaine de pages, se lit en 5 minutes et je ne peux pas m’empêcher de penser que ça fait cher la minute quand on vend cet album à 10,5 € (prix de la réédition cartonnée). Pour moi, cette bd aurait du rester dans la petite collection Comix du Cycliste où il coutait 3,81 euros, là on a clairement l’impression que l’éditeur cherche à nous vendre du carton…
Voilà une petite BD qui ressemble beaucoup au Livre de Sam et de Jack. Décors similaires, personnages similaires, scénario proche, etc... Bref, on sent fortement que c'est là une sorte de première tentative de Boiscommun qui fut ensuite finalisée dans le diptyque précité.
Le dessin est très sympa, beau dans son dégradé de gris, excellent par la composition de chaque image et la mise en page des planches. Il y a encore quelques petits défauts néanmoins, tels un manque d'impression de profondeur dans la plupart des paysages, ou encore quelques représentations d'objets ou de personnages hésitantes (je pense par exemple à la plupart des rochers sur lesquels les enfants sont assis à un moment). En outre, les décors sont un peu trop souvent vides à mon goût.
Mais globalement, c'est vraiment le dessin qui fait la qualité de cette histoire courte.
Car côté scénario, c'est sympa mais sans plus. Je n'avais déjà pas particulièrement apprécié les Livres de... dont je trouvais les scénarios creux et trop succincts. Ici, c'est encore plus succinct mais au moins ce n'est pas étiré sur 2 albums mais juste sur 24 pages alors ça passe bien. Ca joue sur du fantastique un peu poétique mais globalement, ça ne casse pas une patte à une limace.
Ceci dit, j'ai bien aimé la phrase de la fin par contre "croix de bois, croix de fer, si je mens...". :)
Globalement, voilà donc une première BD qui pèche plus par son scénario que par son dessin parfois excellent. Mais globalement une BD que je n'achèterais pas car trop vite lue et trop vite résumée.
C'est le dessin qui me plaît le plus dans cette bd. Vraiment, j'adore quand le noir et blanc est maîtrisé comme ici.
Dommage que le scénario ne tienne pas la route. En fait, Efix, aux travers des tribulations de son héroïne, donne dans la critique sociale, de façon assez brillante par moments. Mais le ton oscille entre l'ironie et le cynisme, à la longue, c'est un peu lassant, surtout quand on finit par tomber dans la caricature facile. Le rythme en souffre, et je me suis souvent surpris à sauter plusieurs pages pour voir si l'action repartait bientôt.
Bon, c'est pas mal quand même, hein, le tome deux mériterait même un 4/5, et je le répète, rien que pour le dessin, ça vaut le coup.
Assez sympathique ce one-shot de Berthet. Et dans l’air du temps aussi. Car les histoires de serial-killers et de jumeaux maléfiques étaient à la mode au début des années 1990. Berthet respecte le cahier des charges avec sérieux : rebondissements, vengeance aveugle de la famille d’une des victimes, suspense distillé par petites touches, substitution d’un personnage « positif » par son double malsain… jusqu’au dénouement, noir, très noir. Par contre, je ne vois pas trop l’utilité de l’araignée, si ce n’est pour rajouter un vernis de légende indienne à une histoire qui n’en avait pas forcément besoin…
Ceci dit l’araignée permet à Berthet de signer une couverture superbe. L’histoire lui permet une fois de plus de croquer les Etats-Unis tels qu’il les aime : moites, profonds, rudes.
Un manque de rigueur cependant gâche un chouïa le plaisir de la lecture ; mais cela s’excuse facilement, car Berthet était alors au début de sa carrière.
Une histoire d’apprentissage pour entrer dans une confrérie d’élite, le manga en a produit des tonnes. On pense en premier lieu à Dragon Ball, bien sûr. Ce qui détonne dans Hunter X Hunter, c’est le nombre d’épreuves que doivent passer les candidats. Ces épreuves sont plutôt inventives, faisant appel à la logique (comme dans Détective Conan, par exemple). Les valeurs colportées (camaraderie, loyauté, amour filial…) sont assez classiques ; pas vraiment de surprise au niveau du scénario et de la narration. Le dessin quant à lui est assez plaisant, fortement influencé par d’autres séries (Dragon Ball bien sûr, mais aussi Hikaru no Go, curieusement).
Un bon divertissement, même si l’intérêt s’essouffle après l’obtention du titre de Hunter pour les héros.
Le scénario part sur de très bonnes intentions mais s'égare complètement en chemin.
Tome 4 : soit je suis fou soit il y a inversion des couleurs des camions au début dans l'une des cases (page 4, le camion bleu devient rouge et vice versa)... Les détails de ce genre font un peu négligé.
Tome 3 : Scénario de fin un peu ridicule genre je vais chasse le stryge en Amérique du Sud, mais comme il y a trop de vent, je retourne chez moi (mais content puisque j'ai une plume...)
Manquerait pas grand chose pour que tout ça devienne vraiment bien : une histoire bien goupillée avec une fin. Les auteurs ont le choix : série à rallonge avec pleins d'épisodes, ou bien créer une vraie série de référence qu'ils tiennent presque. Exemple à suivre : Troisième testament, contre exemple : Lanfeust des Etoiles ;O)
Autant le scénario de cette série se révélait confus, autant j'étais séduit par le dessin de ce jeune auteur en devenir qu'était Tello, il alliait un style graphique déjà bien marqué et personnel à une très belle couleur assurant ainsi une atmosphère particulière à cette production.
Comme vous l'avez sans doute remarqué, je me suis exprimé au passé car Tello est malheureusement décédé en début d'année 2004 arrêtant net une carrière qui semblait prometteuse. Je ne pense pas que la série sera reprise.
Très bonne entame de série que ce premier tome ! L'histoire est prenante et la fin suffisamment ouverte pour avoir envie de se jeter sur la suite.
L'univers est très plaisant même si l'on peut regretter que les auteurs aient succombé au Steampunk, genre très (trop ?) à la mode en ce moment. A ce titre, je suis curieux de voir comment va vieillir ce genre tout nouveau tout chaud...
Le dessin et les couleurs sont très sympathiques et participent au plaisir de lecture.
Au final, bon premier tome, cependant je ne mets que 3 étoiles car j'attends la suite pour affiner cet avis.
Je vois que le tome 2 est sorti récemment, faudra que je le prenne un jour. Après la lecture du premier tome, le sentiment est bon même si je ne suis pas pressé d'aller courir acheter la suite. J'ai vraiment trouvé que les dialogues ne sonnaient pas bien, et je me voyais les corriger très souvent. Au rang des bons points, le scénario assez intrigant, mais on apprend malheureusement trop peu de choses avec ce premier tome, et les couleurs bien réussies. J'aime bien également les gravures de ce fameux territoire.
Il y a un autre petit hic qui est ce côté un peu lisse des personnages et ce milieu qu'on peut qualifier d'huppé dans lequel ils évoluent.
A lire mais pas indispensable.
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Le bandard fou
Je n'ai pas trouvé ça très marrant ni très "intelligent". En plus je n'ai rien compris à cette page gauche où l'on voit un homme "muter" petit à petit. Bref je vois pas trop quoi dire de plus, si ce n'est sur le dessin que je trouve très bien, l'histoire ne m'a pas emballé. Cela nécessite peut-être plus d'une lecture pour en saisir la subtilité.
Le Pantin
A l’instar d’Alix ou Thepatrick, j’ai été quelque peu déçu. « Le pantin » est certes sympathique, mais n’a rien d’une bd extraordinaire. C’est juste une jolie fable un peu guimauve qui se lira à tout âge. Le dessin est bien fait, il faut le dire. Alzéal a du talent mais l’album ne fait qu'une trentaine de pages, se lit en 5 minutes et je ne peux pas m’empêcher de penser que ça fait cher la minute quand on vend cet album à 10,5 € (prix de la réédition cartonnée). Pour moi, cette bd aurait du rester dans la petite collection Comix du Cycliste où il coutait 3,81 euros, là on a clairement l’impression que l’éditeur cherche à nous vendre du carton…
L'Histoire de Joe
Voilà une petite BD qui ressemble beaucoup au Livre de Sam et de Jack. Décors similaires, personnages similaires, scénario proche, etc... Bref, on sent fortement que c'est là une sorte de première tentative de Boiscommun qui fut ensuite finalisée dans le diptyque précité. Le dessin est très sympa, beau dans son dégradé de gris, excellent par la composition de chaque image et la mise en page des planches. Il y a encore quelques petits défauts néanmoins, tels un manque d'impression de profondeur dans la plupart des paysages, ou encore quelques représentations d'objets ou de personnages hésitantes (je pense par exemple à la plupart des rochers sur lesquels les enfants sont assis à un moment). En outre, les décors sont un peu trop souvent vides à mon goût. Mais globalement, c'est vraiment le dessin qui fait la qualité de cette histoire courte. Car côté scénario, c'est sympa mais sans plus. Je n'avais déjà pas particulièrement apprécié les Livres de... dont je trouvais les scénarios creux et trop succincts. Ici, c'est encore plus succinct mais au moins ce n'est pas étiré sur 2 albums mais juste sur 24 pages alors ça passe bien. Ca joue sur du fantastique un peu poétique mais globalement, ça ne casse pas une patte à une limace. Ceci dit, j'ai bien aimé la phrase de la fin par contre "croix de bois, croix de fer, si je mens...". :) Globalement, voilà donc une première BD qui pèche plus par son scénario que par son dessin parfois excellent. Mais globalement une BD que je n'achèterais pas car trop vite lue et trop vite résumée.
Mon Amie la Poof
C'est le dessin qui me plaît le plus dans cette bd. Vraiment, j'adore quand le noir et blanc est maîtrisé comme ici. Dommage que le scénario ne tienne pas la route. En fait, Efix, aux travers des tribulations de son héroïne, donne dans la critique sociale, de façon assez brillante par moments. Mais le ton oscille entre l'ironie et le cynisme, à la longue, c'est un peu lassant, surtout quand on finit par tomber dans la caricature facile. Le rythme en souffre, et je me suis souvent surpris à sauter plusieurs pages pour voir si l'action repartait bientôt. Bon, c'est pas mal quand même, hein, le tome deux mériterait même un 4/5, et je le répète, rien que pour le dessin, ça vaut le coup.
Halona
Assez sympathique ce one-shot de Berthet. Et dans l’air du temps aussi. Car les histoires de serial-killers et de jumeaux maléfiques étaient à la mode au début des années 1990. Berthet respecte le cahier des charges avec sérieux : rebondissements, vengeance aveugle de la famille d’une des victimes, suspense distillé par petites touches, substitution d’un personnage « positif » par son double malsain… jusqu’au dénouement, noir, très noir. Par contre, je ne vois pas trop l’utilité de l’araignée, si ce n’est pour rajouter un vernis de légende indienne à une histoire qui n’en avait pas forcément besoin… Ceci dit l’araignée permet à Berthet de signer une couverture superbe. L’histoire lui permet une fois de plus de croquer les Etats-Unis tels qu’il les aime : moites, profonds, rudes. Un manque de rigueur cependant gâche un chouïa le plaisir de la lecture ; mais cela s’excuse facilement, car Berthet était alors au début de sa carrière.
Hunter X Hunter
Une histoire d’apprentissage pour entrer dans une confrérie d’élite, le manga en a produit des tonnes. On pense en premier lieu à Dragon Ball, bien sûr. Ce qui détonne dans Hunter X Hunter, c’est le nombre d’épreuves que doivent passer les candidats. Ces épreuves sont plutôt inventives, faisant appel à la logique (comme dans Détective Conan, par exemple). Les valeurs colportées (camaraderie, loyauté, amour filial…) sont assez classiques ; pas vraiment de surprise au niveau du scénario et de la narration. Le dessin quant à lui est assez plaisant, fortement influencé par d’autres séries (Dragon Ball bien sûr, mais aussi Hikaru no Go, curieusement). Un bon divertissement, même si l’intérêt s’essouffle après l’obtention du titre de Hunter pour les héros.
Le Chant des Stryges
Le scénario part sur de très bonnes intentions mais s'égare complètement en chemin. Tome 4 : soit je suis fou soit il y a inversion des couleurs des camions au début dans l'une des cases (page 4, le camion bleu devient rouge et vice versa)... Les détails de ce genre font un peu négligé. Tome 3 : Scénario de fin un peu ridicule genre je vais chasse le stryge en Amérique du Sud, mais comme il y a trop de vent, je retourne chez moi (mais content puisque j'ai une plume...) Manquerait pas grand chose pour que tout ça devienne vraiment bien : une histoire bien goupillée avec une fin. Les auteurs ont le choix : série à rallonge avec pleins d'épisodes, ou bien créer une vraie série de référence qu'ils tiennent presque. Exemple à suivre : Troisième testament, contre exemple : Lanfeust des Etoiles ;O)
Marshall
Autant le scénario de cette série se révélait confus, autant j'étais séduit par le dessin de ce jeune auteur en devenir qu'était Tello, il alliait un style graphique déjà bien marqué et personnel à une très belle couleur assurant ainsi une atmosphère particulière à cette production. Comme vous l'avez sans doute remarqué, je me suis exprimé au passé car Tello est malheureusement décédé en début d'année 2004 arrêtant net une carrière qui semblait prometteuse. Je ne pense pas que la série sera reprise.
Hauteville House
Très bonne entame de série que ce premier tome ! L'histoire est prenante et la fin suffisamment ouverte pour avoir envie de se jeter sur la suite. L'univers est très plaisant même si l'on peut regretter que les auteurs aient succombé au Steampunk, genre très (trop ?) à la mode en ce moment. A ce titre, je suis curieux de voir comment va vieillir ce genre tout nouveau tout chaud... Le dessin et les couleurs sont très sympathiques et participent au plaisir de lecture. Au final, bon premier tome, cependant je ne mets que 3 étoiles car j'attends la suite pour affiner cet avis.
Le Territoire
Je vois que le tome 2 est sorti récemment, faudra que je le prenne un jour. Après la lecture du premier tome, le sentiment est bon même si je ne suis pas pressé d'aller courir acheter la suite. J'ai vraiment trouvé que les dialogues ne sonnaient pas bien, et je me voyais les corriger très souvent. Au rang des bons points, le scénario assez intrigant, mais on apprend malheureusement trop peu de choses avec ce premier tome, et les couleurs bien réussies. J'aime bien également les gravures de ce fameux territoire. Il y a un autre petit hic qui est ce côté un peu lisse des personnages et ce milieu qu'on peut qualifier d'huppé dans lequel ils évoluent. A lire mais pas indispensable.