Un bon premier cycle en attendant la suite, on trouve du sang, des combats, des garous, bref de l'action.
Le dessin de D'Fali offre une bonne atmosphère au récit, malgré un premier tome un peu en dessous, le passage dans l'église est très réussi mais même à la fin il reste quelques mystères à dévoiler. Peut-être dans le second cycle...
Novice en matière de bd, mon bref avis rejoint celui des bédéphiles puisque je salue l'originalité de la démarche.
Je ne m'étendrai pas sur ce qui a été dit, à savoir l'intérêt (qui peut virer à la lassitude) des histoires toutes diverses et graphiquement personnalisées.
En revanche... ça nous change des médias et autres lavages de cerveau. J'ai été frappée par la pertinence de ces témoignages, finalement assez peu romancés, ce qui en fait leur dérisoire force : au-delà de la solitude et de la privation, l'intimité apparaît tellement bafouée qu'elle n'existe plus, et dans ce lieu d'exclusion barbare les mots et les rêves sont terriblement "terre à terre", à portée de tous et loin de la leur.
Ils sont passés dans un autre monde (comme l'un d'entre eux le souligne à propos de son ancienne vie qu'il doit enterrer)et vivent (survivent, pour certains ?) sur le fil du rasoir. Et, si en effet le politicaly correct a dû se glisser entre les témoignages et la publication, ceux qu'il reste à féliciter sont les membres de l'association pour la confiance qu'ils sont certainement parvenus à instaurer pour obtenir un résultat humaniste et sincère.
Voili, voilo...
Un dessin réaliste avec une mise en couleur qui aurait pu être meilleur, c'est dommage. Ceci dit, le scénario est très plaisant, c'est fluide, on dirait un scénario de cinéma.
Toujours le même problème, sur les 6 tomes sortis en parallèles sur l'univers des Stryges (3 pour cette série et trois pour "Le Clan des Chimères"), on n'a rien appris de plus sur ces créatures.
Une série sur les Stryges qui n'est pas seulement un dérivé de la série mère : "le Chant des Stryges" mais aussi une histoire indépendante que l'on peut lire même si l'on n'est pas un grand spécialiste de l'univers de Corbeyran.
Problème : je n'ai pas très bien compris le rôle que devaient jouer ces Stryges dans l'histoire, c'est limite si on ne pouvait pas se passer d'eux.
C'est lisible quand même, tant scénario que dessins, qui n'ont certes rien d'extraordinaire mais qui sont loin d'être mauvais.
A lire si vous aimez bien l'univers ou que vous ne connaissez pas encore.
Du bon Reiser, trash comme on l'aime :)
Certains gags m'ont vraiment fait marrer, d'autres beaucoup moins forcément...
En fait, j'ai préféré les gags courts (très efficaces) aux histoires courtes (dont la chute fait souvent un bide).
Alors oui, c'est gore, c'est porno, c'est crade, mais je me suis bien marré, c'est le but nan ? :)
Un (petit) album plaisant à lire, vite fait, en coup de vent à la Fnac, mais qui ne mérite pas l'achat je trouve (Eternel argument du prix par rapport au temps de lecture et à la légèreté de ces pattes de mouche).
Ce n'est pas réellement de la BD expérimentale comme on s'y attend généralement dans cette collection de l'Asso puisqu'on a là une histoire assez classique dans sa construction. Attention, je ne dis pas que c'est banal... loin de là même.
Il y a un coté déjanté plutôt réussi, surtout dans les dialogues (le fond étant sans grande prétention), Menu semble se faire plaisir en balançant quelques pics efficaces (même si là encore, le fond reste léger).
C'est sûrement un des meilleurs albums de cette collection que j'ai lue.
Le principe de la série est plutôt original : chaque album se concentrera sur un personnage, un mélomane. Chacun de ces personnages fréquente le Stéréo club, un magasin de disque, lieu de rencontre par excellence de tous les mélomanes toutes tendances confondues. Et ce premier album donne déjà une bonne idée des possibilités qui sont ouvertes aux auteurs. Dans « Britney forever », un père amateur de jazz devient fanatique de la petite Britney Spears (quelle idée !). Très vite, rien ne va plus… pétage de plombs en série, crise d’identité et tout le bazar…
C’est très sympa, drôle et tendre même si on devine très vite la suite des évènements. Le dessin, quant à lui est très « tendance », parfaitement dans la ligne graphique de la collection Poisson Pilote. J’attends la suite pour passer à 4 étoiles ou non. Tout ce que je peux dire pour l’instant, c’est que c’est plutôt bien parti et que c'est à lire.
Difficile de comparer la qualité des trois histoires, car malgré un humour noir certain, elles sont de registres différents. Le première « Bédéaste » met en scène l’auteur lui-même dans un délire fantasmagorique qui n’est pas sans rappeler les délires de Caza de « Scènes de la vie de banlieue ». La deuxième est de la SF pure particulièrement délirante. Sans vraie queue ni tête d’ailleurs, mais agrémentée de quelques idées géniales qui sauvent la caractère « au petit bonheur la chance » de l’intrigue. La troisième est une enquête d’un robot détective… pas vraiment excellente mais plutôt courte. Le dessin de McKie est du genre humoristique très léché (couleurs à l’aérographe, etc…) c’est un mélange particulier, un peu kitsch mais qui colle bien avec le fond délirant des scénarii.
A lire ? Certainement ! L’originalité est de mise… A acheter ? Pas forcément…
Certes, le dessin léger ne convient peut être pas à ce polar, et c'est la première chose à laquelle j'ai pensée, mais il donne un point de vue extérieure à l'histoire qui n'est pas mal du tout je trouve.
Le scénario n'est pas franchement original, on retrouve toutes les bonnes ficelles : braquage, flic ripou, trahison, fric... mais ça se laisse lire. Néanmoins, il y a quelques passages où c'est un peu brouillon et c'est dommage pour l'histoire.
Le tome 4 est très réussi à mon sens.
Pour un premier tome, c'est pas mal du tout. Les couleurs par ordinateur sont très réussies, moi qui préfère d'habitude les couleurs "à la main", j'ai été agréablement surpris, et elle ne gâche rien au dessin de Minguez qui est très joli et très fluide.
Le scénario n'a rien d'extraordinaire pour l'instant mais pose bien les bases d'une histoire en présentant bien les persos, l'univers, etc...
La fin est très surprenante et laisse entrevoir une bonne suite... A voir!
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Garous
Un bon premier cycle en attendant la suite, on trouve du sang, des combats, des garous, bref de l'action. Le dessin de D'Fali offre une bonne atmosphère au récit, malgré un premier tome un peu en dessous, le passage dans l'église est très réussi mais même à la fin il reste quelques mystères à dévoiler. Peut-être dans le second cycle...
Paroles de taulards
Novice en matière de bd, mon bref avis rejoint celui des bédéphiles puisque je salue l'originalité de la démarche. Je ne m'étendrai pas sur ce qui a été dit, à savoir l'intérêt (qui peut virer à la lassitude) des histoires toutes diverses et graphiquement personnalisées. En revanche... ça nous change des médias et autres lavages de cerveau. J'ai été frappée par la pertinence de ces témoignages, finalement assez peu romancés, ce qui en fait leur dérisoire force : au-delà de la solitude et de la privation, l'intimité apparaît tellement bafouée qu'elle n'existe plus, et dans ce lieu d'exclusion barbare les mots et les rêves sont terriblement "terre à terre", à portée de tous et loin de la leur. Ils sont passés dans un autre monde (comme l'un d'entre eux le souligne à propos de son ancienne vie qu'il doit enterrer)et vivent (survivent, pour certains ?) sur le fil du rasoir. Et, si en effet le politicaly correct a dû se glisser entre les témoignages et la publication, ceux qu'il reste à féliciter sont les membres de l'association pour la confiance qu'ils sont certainement parvenus à instaurer pour obtenir un résultat humaniste et sincère. Voili, voilo...
Le Maître de Jeu
Un dessin réaliste avec une mise en couleur qui aurait pu être meilleur, c'est dommage. Ceci dit, le scénario est très plaisant, c'est fluide, on dirait un scénario de cinéma. Toujours le même problème, sur les 6 tomes sortis en parallèles sur l'univers des Stryges (3 pour cette série et trois pour "Le Clan des Chimères"), on n'a rien appris de plus sur ces créatures.
Le Clan des chimères
Une série sur les Stryges qui n'est pas seulement un dérivé de la série mère : "le Chant des Stryges" mais aussi une histoire indépendante que l'on peut lire même si l'on n'est pas un grand spécialiste de l'univers de Corbeyran. Problème : je n'ai pas très bien compris le rôle que devaient jouer ces Stryges dans l'histoire, c'est limite si on ne pouvait pas se passer d'eux. C'est lisible quand même, tant scénario que dessins, qui n'ont certes rien d'extraordinaire mais qui sont loin d'être mauvais. A lire si vous aimez bien l'univers ou que vous ne connaissez pas encore.
Phantasmes
Du bon Reiser, trash comme on l'aime :) Certains gags m'ont vraiment fait marrer, d'autres beaucoup moins forcément... En fait, j'ai préféré les gags courts (très efficaces) aux histoires courtes (dont la chute fait souvent un bide). Alors oui, c'est gore, c'est porno, c'est crade, mais je me suis bien marré, c'est le but nan ? :)
Dinozor Apokalips
Un (petit) album plaisant à lire, vite fait, en coup de vent à la Fnac, mais qui ne mérite pas l'achat je trouve (Eternel argument du prix par rapport au temps de lecture et à la légèreté de ces pattes de mouche). Ce n'est pas réellement de la BD expérimentale comme on s'y attend généralement dans cette collection de l'Asso puisqu'on a là une histoire assez classique dans sa construction. Attention, je ne dis pas que c'est banal... loin de là même. Il y a un coté déjanté plutôt réussi, surtout dans les dialogues (le fond étant sans grande prétention), Menu semble se faire plaisir en balançant quelques pics efficaces (même si là encore, le fond reste léger). C'est sûrement un des meilleurs albums de cette collection que j'ai lue.
Le Stéréo club
Le principe de la série est plutôt original : chaque album se concentrera sur un personnage, un mélomane. Chacun de ces personnages fréquente le Stéréo club, un magasin de disque, lieu de rencontre par excellence de tous les mélomanes toutes tendances confondues. Et ce premier album donne déjà une bonne idée des possibilités qui sont ouvertes aux auteurs. Dans « Britney forever », un père amateur de jazz devient fanatique de la petite Britney Spears (quelle idée !). Très vite, rien ne va plus… pétage de plombs en série, crise d’identité et tout le bazar… C’est très sympa, drôle et tendre même si on devine très vite la suite des évènements. Le dessin, quant à lui est très « tendance », parfaitement dans la ligne graphique de la collection Poisson Pilote. J’attends la suite pour passer à 4 étoiles ou non. Tout ce que je peux dire pour l’instant, c’est que c’est plutôt bien parti et que c'est à lire.
Les angoisses d'Angus
Difficile de comparer la qualité des trois histoires, car malgré un humour noir certain, elles sont de registres différents. Le première « Bédéaste » met en scène l’auteur lui-même dans un délire fantasmagorique qui n’est pas sans rappeler les délires de Caza de « Scènes de la vie de banlieue ». La deuxième est de la SF pure particulièrement délirante. Sans vraie queue ni tête d’ailleurs, mais agrémentée de quelques idées géniales qui sauvent la caractère « au petit bonheur la chance » de l’intrigue. La troisième est une enquête d’un robot détective… pas vraiment excellente mais plutôt courte. Le dessin de McKie est du genre humoristique très léché (couleurs à l’aérographe, etc…) c’est un mélange particulier, un peu kitsch mais qui colle bien avec le fond délirant des scénarii. A lire ? Certainement ! L’originalité est de mise… A acheter ? Pas forcément…
Le poisson-clown
Certes, le dessin léger ne convient peut être pas à ce polar, et c'est la première chose à laquelle j'ai pensée, mais il donne un point de vue extérieure à l'histoire qui n'est pas mal du tout je trouve. Le scénario n'est pas franchement original, on retrouve toutes les bonnes ficelles : braquage, flic ripou, trahison, fric... mais ça se laisse lire. Néanmoins, il y a quelques passages où c'est un peu brouillon et c'est dommage pour l'histoire. Le tome 4 est très réussi à mon sens.
Le Grimoire de Féerie
Pour un premier tome, c'est pas mal du tout. Les couleurs par ordinateur sont très réussies, moi qui préfère d'habitude les couleurs "à la main", j'ai été agréablement surpris, et elle ne gâche rien au dessin de Minguez qui est très joli et très fluide. Le scénario n'a rien d'extraordinaire pour l'instant mais pose bien les bases d'une histoire en présentant bien les persos, l'univers, etc... La fin est très surprenante et laisse entrevoir une bonne suite... A voir!