Une parfaite démonstration du cynisme dont peuvent faire preuve les gérants d'une entreprise, et les élus politiques censés encadrer la présence d'une telle usine. Une bédé-documentaire qui sonne très vrai. Une longue section de notes en fin de volume vient apporter une foule de détails intéressants, et souvent édifiants.
Le dessin est agréable, sans plus.
Une beau document.
Comme les gens l'ont signalé précédemment, l'enfer du jour est un polar dessiné à 2 époques, et finalement d'un niveau assez moyen. Un homme sort de prison pour un crime qu'il n'a pas commis et cherche à retrouver les auteurs, ou du moins les complices, du dit crime. C'est assez lent dans le déroulement, le personnage principal qui devrait être un peu hargneux, furieux, est au contraire assez impassible dans la plupart des situations. Mais dans le fond on trouve des choses pas mal dans cette histoire de coups fourrés entre "amis".
Ce space opera m'avait bien plu sur ses trois premiers tomes. L'histoire, sans être particulièrement originale, était assez intéressante.
Le tome 4 a mis longtemps à se faire, mais m'a un peu déçu. On n'apprend pas grand chose de neuf. L'histoire commence à tourner en rond. On ne reconnaît pas toujours les personnages (à cause du changement de dessinateur).
Espérons que la suite saura nous redonner l'envie de suivre cette saga.
Autant être franc, si j'avais ouvert cette Bd avant de l'acheter je l'aurais sans aucun doute rangée aussi tôt. Mais la couverture m'avait tellement charmé que hop je passais à la caisse.
Après un départ difficile avec le dessin, durant ma lecture je me suis mis à apprécier le travail de Hardoc pour au final aimer le dessin de ce one-shot. J'adore sa façon de dessiner les bâtiments, il crée une ambiance baroque, presque décadente et pour une intrigue policière (même si ce n'est plus original) ça colle à merveille. Y'a d'l'ambiance dans cet album.
Les personnages sont attachants, bien que je ne sois pas fan de ce coup de crayon ; on les prend en affection. Il y a comme une certaine proximité entre eux et nous et ce n'est pas désagréable.
Quant au scénario c'est sympa, on commence sous couvert de fantastique, ce que j'ai adoré, puis on revient sur des bases plus réelles et ce fut la frustration ! ^^
J'aurais aimé un truc complètement incohérent et fantastique, même si j'aurais été certainement déçu car ça a été traité à toutes les sauces et souvent les plus mauvaises. Donc même si pendant un petit laps de temps j'ai un peu décroché, la lecture a continué à être agréable.
Pour finir, d'un point de vue tout à fait personnel, je trouve que la résolution de l'énigme n'est pas très palpitante. La fin est bien foutue, je l'ai trouvé originale, mais la réflexion d'Adam autour du problème n'atteint pas un Rouletabille ou un Sherlock Holmes (en gros, ce n'est pas vraiment palpitant). Et c'est dommage car beaucoup d'éléments étaient réunis pour que je note l'album 4 étoiles.
En deux mots, une affaire policière à la fin réussie mais qui pêche un peu dans la résolution de l'énigme. Mais je ne peux qu'encourager les auteurs à continuer car j'ai passé un bon moment.
Ce n'est pas la bd que je préfère, le genre "catholic fantasy" m'ennuie un peu, mais je dois reconnaître que cette histoire est assez bonne.
Je reprocherais cependant la création de ces hordes chevaleresques qui n'apportent pas grand chose à l'histoire et sont peu crédibles dans l'époque évoquée. Tout cela montre le côté excessif de cette histoire, marquée sans doute par l'influence de Hollywood. La fin a un côté aussi très grandiloquent.
Par contre, l'enquête est plutôt bien menée. On retrouve tous les acteurs de ces histoires ésotériques médiévales : les templiers, l'Inquisition...
Astroy Boy est clairement un morceau d’Histoire, et fait office de Tintin/Hergé japonais. Si vous voulez découvrir une des pièces principales des fondations du manga moderne, ne cherchez pas plus loin. Si vous voulez découvrir une curiosité montrant le chemin accompli depuis les années 50, Astroy Boy vous intéressera sans aucun doute.
Par contre si vous êtes à la recherche d’un manga de qualité, passez votre chemin. Les différentes histoires sont quand même bien désuètes et naïves, et à ce titre se rapprochent des 1er Tintins ou des toutes premières aventures de super héros américains.
A notez que dans la préface de l’édition que j’ai eu entre les mains, l’éditeur s’excuse pour le contenu légèrement discriminatoire (pour ne pas dire raciste) de certaines histoires, et explique que ce n’est pas du à un quelconque opinion personnel de l’auteur, mais est la cause d’une mentalité d’époque complètement dépassée de nos jours. Oui, comme Hergé et Tintin donc, le parallèle est intéressant non ?
Bref, un morceau d’Histoire du manga, complètement désuet de nos jours, à découvrir en bibliothèque si vous en avez l’occasion…
Bon, c'est du Swolfs, alors c'est sûr que c'est pas désagréable à regarder. Les dessins sont bons (les bonnets des femmes un peu développés à mon goût, mais bon c'est pas vraiment un drame en soi). C'est pas désagréable à lire non plus, la narration étant un des points forts de l'auteur.
Mais je trouve que ça reste malgré tout fort peu original, sans surprises : on est face à une aventure médiévale avec ses méchants, ses brutes épaisses, ses conspirations, et un héros un peu ballotté, qui va sûrement bien s'en tirer d'ici un ou deux tomes supplémentaires.
Alors oui, ça se lit bien. Mais y a pas de quoi grimper aux rideaux.
Le 3/5 passera sans doute à 4 avec la suite, on verra bien, mais le fait est que j'ai bien apprécié ce (court) moment de lecture.
Le dessin est très agréable, sombre mais parfaitement lisible, et reflète bien l'ambiance des tranchées (en même temps, j'y étais pas, mais bon j'imagine).
Cette enquête sur fond de guerre des tranchées mérite qu'on s'y intéresse, qu'on aime l'histoire ou pas. Vivement la suite.
Si j'ai cherché et acheté ce manga qui ne m'aurait aucunement attiré autrement, c'est uniquement à cause ou grâce aux 4 avis très élogieux ci-dessous. Après lecture, je ne suis pas trop mécontent de mon achat mais ce manga est loin d'être immanquable malgré tout.
L'album est de belle qualité physique mais couverture et dessins ont un aspect nettement démodé à mes yeux. Dès les premières pages, j'ai reconnu le style du dessinateur de Crying freeman. Réaliste, ce sont moults beaux mâles virils et stoïques et moultes femmes soumises ou amoureuses aux seins facilement exhibés. Techniquement, le trait est maîtrisé et certaines planches sont bien réussies, mais je ne suis pas tellement fan.
C'est un recueil de 5 nouvelles Japonaises écrites dans la première moitié du 20e siècle. Chacune a pour décor le Japon traditionnel, le Japon des Daimyo, des femmes disciplinées et des hommes d'honneur. Ce sont à chaque fois des drames ou des tragédies aux intrigues simples mais très efficaces. C'est plaisant à lire et intéressant, mais la surprise et l'originalité ne sont pas tellement aux rendez-vous. Je dois avouer qu'à la lecture des avis ci-dessous, je m'attendais vraiment à quelque chose d'exceptionnel, d'innovant, de fort, mais ce n'est pas vraiment le cas. Et même les tragédies les plus fortes de ce recueil m'ont assez peu marqué car je les avais déjà plus ou moins lues dans des versions différentes dans d'autres nouvelles ou histoires occidentales. Ce qui reste cependant très plaisant, c'est cette ambiance purement japonaise qui offre un point de vue neuf, en ce qui me concerne, sur des drames bien construits.
Manga de qualité, histoires courtes plaisantes et bien racontées, mais rien de vraiment extraordinaire.
Allez, 3,5.
Je voulais mettre 4 pour le dessin, parce qu'il faut bien avouer que Ana Miralles atteint un niveau rare, proche de la perfection, dans le dessin de femmes plus ou moins (dés)habillées.
Mais après la promesse du premier tome, l'histoire s'enlise quelque peu, jusqu'à une fin proche du n'importe quoi.
C'est cela, pour moi, Djinn : une superbe promesse, non tenue.
Reste l'esthétique indiscutable de la chose.
Et ce n'est pas le premier tome du second cycle qui relève le niveau...
Dommage. Vraiment.
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Noir Métal
Une parfaite démonstration du cynisme dont peuvent faire preuve les gérants d'une entreprise, et les élus politiques censés encadrer la présence d'une telle usine. Une bédé-documentaire qui sonne très vrai. Une longue section de notes en fin de volume vient apporter une foule de détails intéressants, et souvent édifiants. Le dessin est agréable, sans plus. Une beau document.
L'Enfer du jour
Comme les gens l'ont signalé précédemment, l'enfer du jour est un polar dessiné à 2 époques, et finalement d'un niveau assez moyen. Un homme sort de prison pour un crime qu'il n'a pas commis et cherche à retrouver les auteurs, ou du moins les complices, du dit crime. C'est assez lent dans le déroulement, le personnage principal qui devrait être un peu hargneux, furieux, est au contraire assez impassible dans la plupart des situations. Mais dans le fond on trouve des choses pas mal dans cette histoire de coups fourrés entre "amis".
Kookaburra
Ce space opera m'avait bien plu sur ses trois premiers tomes. L'histoire, sans être particulièrement originale, était assez intéressante. Le tome 4 a mis longtemps à se faire, mais m'a un peu déçu. On n'apprend pas grand chose de neuf. L'histoire commence à tourner en rond. On ne reconnaît pas toujours les personnages (à cause du changement de dessinateur). Espérons que la suite saura nous redonner l'envie de suivre cette saga.
L'Etrange Affaire des corps sans vie
Autant être franc, si j'avais ouvert cette Bd avant de l'acheter je l'aurais sans aucun doute rangée aussi tôt. Mais la couverture m'avait tellement charmé que hop je passais à la caisse. Après un départ difficile avec le dessin, durant ma lecture je me suis mis à apprécier le travail de Hardoc pour au final aimer le dessin de ce one-shot. J'adore sa façon de dessiner les bâtiments, il crée une ambiance baroque, presque décadente et pour une intrigue policière (même si ce n'est plus original) ça colle à merveille. Y'a d'l'ambiance dans cet album. Les personnages sont attachants, bien que je ne sois pas fan de ce coup de crayon ; on les prend en affection. Il y a comme une certaine proximité entre eux et nous et ce n'est pas désagréable. Quant au scénario c'est sympa, on commence sous couvert de fantastique, ce que j'ai adoré, puis on revient sur des bases plus réelles et ce fut la frustration ! ^^ J'aurais aimé un truc complètement incohérent et fantastique, même si j'aurais été certainement déçu car ça a été traité à toutes les sauces et souvent les plus mauvaises. Donc même si pendant un petit laps de temps j'ai un peu décroché, la lecture a continué à être agréable. Pour finir, d'un point de vue tout à fait personnel, je trouve que la résolution de l'énigme n'est pas très palpitante. La fin est bien foutue, je l'ai trouvé originale, mais la réflexion d'Adam autour du problème n'atteint pas un Rouletabille ou un Sherlock Holmes (en gros, ce n'est pas vraiment palpitant). Et c'est dommage car beaucoup d'éléments étaient réunis pour que je note l'album 4 étoiles. En deux mots, une affaire policière à la fin réussie mais qui pêche un peu dans la résolution de l'énigme. Mais je ne peux qu'encourager les auteurs à continuer car j'ai passé un bon moment.
Le Troisième Testament
Ce n'est pas la bd que je préfère, le genre "catholic fantasy" m'ennuie un peu, mais je dois reconnaître que cette histoire est assez bonne. Je reprocherais cependant la création de ces hordes chevaleresques qui n'apportent pas grand chose à l'histoire et sont peu crédibles dans l'époque évoquée. Tout cela montre le côté excessif de cette histoire, marquée sans doute par l'influence de Hollywood. La fin a un côté aussi très grandiloquent. Par contre, l'enquête est plutôt bien menée. On retrouve tous les acteurs de ces histoires ésotériques médiévales : les templiers, l'Inquisition...
Astro Boy
Astroy Boy est clairement un morceau d’Histoire, et fait office de Tintin/Hergé japonais. Si vous voulez découvrir une des pièces principales des fondations du manga moderne, ne cherchez pas plus loin. Si vous voulez découvrir une curiosité montrant le chemin accompli depuis les années 50, Astroy Boy vous intéressera sans aucun doute. Par contre si vous êtes à la recherche d’un manga de qualité, passez votre chemin. Les différentes histoires sont quand même bien désuètes et naïves, et à ce titre se rapprochent des 1er Tintins ou des toutes premières aventures de super héros américains. A notez que dans la préface de l’édition que j’ai eu entre les mains, l’éditeur s’excuse pour le contenu légèrement discriminatoire (pour ne pas dire raciste) de certaines histoires, et explique que ce n’est pas du à un quelconque opinion personnel de l’auteur, mais est la cause d’une mentalité d’époque complètement dépassée de nos jours. Oui, comme Hergé et Tintin donc, le parallèle est intéressant non ? Bref, un morceau d’Histoire du manga, complètement désuet de nos jours, à découvrir en bibliothèque si vous en avez l’occasion…
Légende
Bon, c'est du Swolfs, alors c'est sûr que c'est pas désagréable à regarder. Les dessins sont bons (les bonnets des femmes un peu développés à mon goût, mais bon c'est pas vraiment un drame en soi). C'est pas désagréable à lire non plus, la narration étant un des points forts de l'auteur. Mais je trouve que ça reste malgré tout fort peu original, sans surprises : on est face à une aventure médiévale avec ses méchants, ses brutes épaisses, ses conspirations, et un héros un peu ballotté, qui va sûrement bien s'en tirer d'ici un ou deux tomes supplémentaires. Alors oui, ça se lit bien. Mais y a pas de quoi grimper aux rideaux.
La Tranchée
Le 3/5 passera sans doute à 4 avec la suite, on verra bien, mais le fait est que j'ai bien apprécié ce (court) moment de lecture. Le dessin est très agréable, sombre mais parfaitement lisible, et reflète bien l'ambiance des tranchées (en même temps, j'y étais pas, mais bon j'imagine). Cette enquête sur fond de guerre des tranchées mérite qu'on s'y intéresse, qu'on aime l'histoire ou pas. Vivement la suite.
Yuko (Nouvelles de littérature japonaise)
Si j'ai cherché et acheté ce manga qui ne m'aurait aucunement attiré autrement, c'est uniquement à cause ou grâce aux 4 avis très élogieux ci-dessous. Après lecture, je ne suis pas trop mécontent de mon achat mais ce manga est loin d'être immanquable malgré tout. L'album est de belle qualité physique mais couverture et dessins ont un aspect nettement démodé à mes yeux. Dès les premières pages, j'ai reconnu le style du dessinateur de Crying freeman. Réaliste, ce sont moults beaux mâles virils et stoïques et moultes femmes soumises ou amoureuses aux seins facilement exhibés. Techniquement, le trait est maîtrisé et certaines planches sont bien réussies, mais je ne suis pas tellement fan. C'est un recueil de 5 nouvelles Japonaises écrites dans la première moitié du 20e siècle. Chacune a pour décor le Japon traditionnel, le Japon des Daimyo, des femmes disciplinées et des hommes d'honneur. Ce sont à chaque fois des drames ou des tragédies aux intrigues simples mais très efficaces. C'est plaisant à lire et intéressant, mais la surprise et l'originalité ne sont pas tellement aux rendez-vous. Je dois avouer qu'à la lecture des avis ci-dessous, je m'attendais vraiment à quelque chose d'exceptionnel, d'innovant, de fort, mais ce n'est pas vraiment le cas. Et même les tragédies les plus fortes de ce recueil m'ont assez peu marqué car je les avais déjà plus ou moins lues dans des versions différentes dans d'autres nouvelles ou histoires occidentales. Ce qui reste cependant très plaisant, c'est cette ambiance purement japonaise qui offre un point de vue neuf, en ce qui me concerne, sur des drames bien construits. Manga de qualité, histoires courtes plaisantes et bien racontées, mais rien de vraiment extraordinaire.
Djinn
Allez, 3,5. Je voulais mettre 4 pour le dessin, parce qu'il faut bien avouer que Ana Miralles atteint un niveau rare, proche de la perfection, dans le dessin de femmes plus ou moins (dés)habillées. Mais après la promesse du premier tome, l'histoire s'enlise quelque peu, jusqu'à une fin proche du n'importe quoi. C'est cela, pour moi, Djinn : une superbe promesse, non tenue. Reste l'esthétique indiscutable de la chose. Et ce n'est pas le premier tome du second cycle qui relève le niveau... Dommage. Vraiment.