quand le sexe se mêle à la H-F...mais bon Arleston ne me fera décidément pas rire du tout...
Je m'souviens juste pour le tome 2, festival de Hyères, ils ont glissé un bandeau sur la couv' avec : en page 12 on voit les poils" :)ça doit bien être la seule fois où Arleston m'a fait rire...
8/20 Décidément les nouvelles séries de Ptiluc n'arrivent pas à m'accrocher.
D'ailleurs, dans Pacush blues "La logique du pire", il explique bien les limites du système auteur-éditeur.
Je crois qu'à partir de cet album il y a eu une cassure dans la carrière de Ptiluc...
09/20 Encore une série qui traîne en longueur et qui ne mène nulle part.
Pourtant les premiers tomes laissaient présager une belle histoire romantique qui aurait pû avoir une fin... au quatrième tome...
De beau dessin, et un scénario qui avait l'air prometteur mais c'est vrai, comme bcp je pense, je n'ai pas compris la fin, et puis il se passe pas grand chose dans cette BD. Bref je suis resté sur ma fin !!
6/20
je ne suis vraiment pas fan... en fait une ou deux planches de temps en temps me font sourire... mais un album entier je trouve ça un peu lourd... d'un autre coté ma note est sévere vu que je n'ai pas une vue d'ensemble... je n'ai jamais réussis a lire un album complet.. ;)
BD bien inégale que celle là. Ca passe du pathétique au franchement marrant. Ceci dit, j'ai parfois un peu de mal. De temps en temps, ça passe, mais faut pas abuser et pas se forcer.
Alors, je vais essayer de rester sympa. C'est pas évident avec ce genre de BD...
Le dessin est plus que moyen, les gags tombent le plus souvent à plat, bref, j'ai envie de dire que c'est carrément nul.
Seulement, j'ai vu pas mal d'enfants se marrer avec Cédric, et j'aime vraiment les rires d'enfants. Alors...
Rien d'indispensable. Ça n'est pas un beau dessin (enfin, j'entends par là un dessin un peu cherché, personnel), et l'humour de cette série me laisse de marbre. Mais je peux bien comprendre que ça en fasse rire certains.
Tout l’univers d’Aria semble intéressant. Les personnages, l’environnement, les thèmes. Alors on les lit les uns derrière les autres et on reste constamment sur sa faim. On a toujours l’impression qu’on va lire une histoire à la hauteur de l’idée proposée, et puis on est déçu. Allez s’il faut en acheter un je conseillerai le N°17 “Le vestale de Satan”. Après, passez à autre chose.
Le duo Marini/Desberg revient pour le Scorpion.
Les couleurs chaudes redonnent vie et ambiance à la Rome du XVIIIe siècle, les scènes d’action sont très réussies, et la maîtrise de Marini se confirme encore. Un peu décevant, tout de même, ce modèle récurrent du héros : même visage, même stature, même allure…
Entrons dans ce scénar : l'enfant bâtard d'Errol Flynn, les trois mousquetaires, Fanfan la tulipe, Froideval (l'organisation secrète ultra-puissante)... Le Cardinal a même une âme damnée, une gitane, sorte de Milady en plus sexuée (on voit ses jambes).
Rien de très novateur, en définitif. C'est loin d'être un chef d'oeuvre. Qu'importe, le rythme et le trait de Marini est un tel délice que l'on passe volontier sur les petites facilités de l'hisoire. Ca se lit vite et facilement, quoi.
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Les Feux d'Askell
quand le sexe se mêle à la H-F...mais bon Arleston ne me fera décidément pas rire du tout... Je m'souviens juste pour le tome 2, festival de Hyères, ils ont glissé un bandeau sur la couv' avec : en page 12 on voit les poils" :)ça doit bien être la seule fois où Arleston m'a fait rire...
Ni dieu ni bête
8/20 Décidément les nouvelles séries de Ptiluc n'arrivent pas à m'accrocher. D'ailleurs, dans Pacush blues "La logique du pire", il explique bien les limites du système auteur-éditeur. Je crois qu'à partir de cet album il y a eu une cassure dans la carrière de Ptiluc...
Gorn
09/20 Encore une série qui traîne en longueur et qui ne mène nulle part. Pourtant les premiers tomes laissaient présager une belle histoire romantique qui aurait pû avoir une fin... au quatrième tome...
Les Livres de Vie (Le Livre de Jack / Sam)
De beau dessin, et un scénario qui avait l'air prometteur mais c'est vrai, comme bcp je pense, je n'ai pas compris la fin, et puis il se passe pas grand chose dans cette BD. Bref je suis resté sur ma fin !!
Edika
6/20 je ne suis vraiment pas fan... en fait une ou deux planches de temps en temps me font sourire... mais un album entier je trouve ça un peu lourd... d'un autre coté ma note est sévere vu que je n'ai pas une vue d'ensemble... je n'ai jamais réussis a lire un album complet.. ;)
Jean-Claude Tergal
BD bien inégale que celle là. Ca passe du pathétique au franchement marrant. Ceci dit, j'ai parfois un peu de mal. De temps en temps, ça passe, mais faut pas abuser et pas se forcer.
Cédric
Alors, je vais essayer de rester sympa. C'est pas évident avec ce genre de BD... Le dessin est plus que moyen, les gags tombent le plus souvent à plat, bref, j'ai envie de dire que c'est carrément nul. Seulement, j'ai vu pas mal d'enfants se marrer avec Cédric, et j'aime vraiment les rires d'enfants. Alors...
Jean-Claude Tergal
Rien d'indispensable. Ça n'est pas un beau dessin (enfin, j'entends par là un dessin un peu cherché, personnel), et l'humour de cette série me laisse de marbre. Mais je peux bien comprendre que ça en fasse rire certains.
Aria
Tout l’univers d’Aria semble intéressant. Les personnages, l’environnement, les thèmes. Alors on les lit les uns derrière les autres et on reste constamment sur sa faim. On a toujours l’impression qu’on va lire une histoire à la hauteur de l’idée proposée, et puis on est déçu. Allez s’il faut en acheter un je conseillerai le N°17 “Le vestale de Satan”. Après, passez à autre chose.
Le Scorpion
Le duo Marini/Desberg revient pour le Scorpion. Les couleurs chaudes redonnent vie et ambiance à la Rome du XVIIIe siècle, les scènes d’action sont très réussies, et la maîtrise de Marini se confirme encore. Un peu décevant, tout de même, ce modèle récurrent du héros : même visage, même stature, même allure… Entrons dans ce scénar : l'enfant bâtard d'Errol Flynn, les trois mousquetaires, Fanfan la tulipe, Froideval (l'organisation secrète ultra-puissante)... Le Cardinal a même une âme damnée, une gitane, sorte de Milady en plus sexuée (on voit ses jambes). Rien de très novateur, en définitif. C'est loin d'être un chef d'oeuvre. Qu'importe, le rythme et le trait de Marini est un tel délice que l'on passe volontier sur les petites facilités de l'hisoire. Ca se lit vite et facilement, quoi.