C'est vrai que le dessin et le style de Chaillet sont différents, et même meilleurs que ceux de Jacques Martin, avec lequel il a collaboré durant plus de 20 ans... Mais lorsque Chaillet se lance tout seul dans une BD historique, c'est vraiment pas bon ! Son dessin part dans tous les sens, la narration est très hachée, et malgré le sujet (la fin de l'Empire romain d'Occident), on n'a pas envie d'en lire plus...
Ah ah, j'ai bien ri ! Dommage, c'est une bd qui fait peur, c'est écrit sur le quatr'de couv', regarde mieux, petit.
Bon, Corbeyran dernièrement essaie de percer dans de nouveaux domaines, de nouveaux univers. Grand bien lui fasse ! Mais force est de constater qu'il n'est pas à l'aise dans tous les milieux, le génial auteur du Regulateur, du chant des stryges, d'Abraxas, j'en passe et des meilleurs.
En effet, après un Weëna plutot "rigolo", on va dire (n'est pas Tolkien qui veut, hein), l'auteur se lance ici dans la BD d'épouvante. Je vous raconte même pas... parceque vouloir terroriser un lecteur à l'aide d'une BD est un pari au moins aussi ambitieux que celui de l'émouvoir devant un épisode des Pokemons. V'la le topo.
Bon, maintenant, j'arrete d'écrire n'importe quoi et je parle un peu de la bédé. Ca vaut quoi ? Ca se lit bien, c'est clair, très bien, même, entre autre grace au découpage assez propre et à la mise en scène plus que correct de l'ensemble de l'intrigue. Mais l'intrigue, justement... M'est avis que Corbeyran ne s'est pas creusé bien longtemps sur les tenants et les aboutissants de l'album. Attention, je ne dénigre pas son travail dans le sens ou techniquement, rien à redire, vraiment. Le storyboard n'a pas été fait à l'arrache, et ça se sent.
Le problème, c'est que, me concernant, le charme n'agit pas. Et comme dans ce type de récits, c'est surtout le resenti qui prime, si tout nous passe 10 000 au dessus, il ne reste pas grand chose, vous en conviendrez.
Le dessin, sympa sans être extraordinaire, sent fort le Comics surtout dans la mise en couleur que je n'aime par contre pas du tout. Pierre Schelle à fait beaucoup mieux (Golden City), alors qu'ici... il en fait trop, tout simplement.
Vouloir ajouter du relief a tout, dans tous les sens, ça n'a pas que des avantages : le sang fait très confiture, bien pateuse, par exemple.
Bon, j'attends la suite et fin, pour voir ce que tout cela donne, bien sûr ! On verra ça, mais pour l'instant, c'est pas fameux...
J'ai acheté cette bd surtout pour la dédicace de Mainguy (très sympatique), qui est vraiment géniale (en couleur et en 3D); Les dessins sont sympas mais les différent gags de Road Movie sont plutôt lourds...
Le roi des méduses, c'est l'exemple type de bd que l'on achete parce que c'est Ségur... Après Légendes des Contrées Oubliées que j'ai vraiment aimé, j'ai voulu découvrir une autre bd de ce dessinateur à part, car c'est bien à part comme style, il n'y a rien de semblable dans la bd aujourd'hui...
Donc voilà, niveau graphique, c'est très très beau, rien à dire, c'est Ségur et moi j'aime ! Mais niveau histoire, ba désolé mais moi ca me saoule une bd où je comprends rien, où je suis obligé de revenir en arrière toutes les 2 cases... non sérieux, je n'aime pas être paumé comme ca quand je lis une bd...
Enfin bon, c'est pour moi pas une bd indispensable...
Ouais mais là non.
C'est vraiment épais... alors soit ça l'est pas assez pour que ce soit provoquant, soit ça l'est trop pour que ce soit recherché et intéressant, je sais pas... Ca me fait pas rire. Pas ça. Ca sent la blague potache, et ça gonfle rapidement. Y'a un truc qui m'énerve, c'est qu'une scène chaude de Skydoll mais franchement géniale va être censurée dans le mag, et un mec qui arrache la touffe de sa copine ça passe alors que c'est laid et pas drôle. (parceque les filles, c'est sûr qu'il en a pas vu assez, parce que pas foutu d'en dessiner une qui n'aie pas une gueule de monstre.)
Bon j'crois qu'il y a eu deux ou trois gags qui m'ont fait rire dans les pages du mag, alors je laisse deux étoiles.
Quand on n'est pas prévenu, on croit que cet album présente une histoire sous forme de chapitres. C'est l'impression qu'il m'a laissé en lisant ce que j'ai pris pour le premier chapitre, et qui pouvait augurer d'un développement assez intéressant...
Malheureusement, cet album s'avère composé de trois petites histoires... Elles sont donc courtes, et peu développées. A mon avis trop rapides, peu crédibles, peu intéressantes.
Poupon a beau arborer un sens très intéressant de la métaphore, cela ne suffit pas à rattraper l'inintérêt suscité par ces novellettes.
En plus le dessin est très spécial, hyper simplifié, avec des teintes très informatiques et assez flashantes, bref peu plaisant...
Conclusion : appliqué à cet album, le terme "bof, sans plus" prend tout son sens.
J'ai relu mes Quick et Flupke hier. Et force est de constater que cela a terriblement vieilli. Cela fait incontestablement partie de l'histoire de la bd, mais perso, si j'avais un gosse, c'est loin d'être la première bd que je lui paierais. Déjà que moi, cela ne m'a pas laissé de souvenirs marquants...
C'est tellement vieux jeu et certains gags sont devenus tellement éculés...
Un enfant d'aujourd'hui trouvera sans doute plus de similarités avec sa vie et ses préoccupations actuelles dans les albums de Titeuf, Kid Paddle et consort...
J'entends d'ici le fan d'Hergé me dire que dans les années 50-60, cette série était novatrice et que bien des autres séries lui doivent tout. Je répondrai simplement que, n'ayant pas été gosse à cette époque-là, je ne peux pas juger. Je constate simplement que d'autres bd des années 50-60 ont nettement moins vieilli que celle-ci...
Brof...
voilà la première (et dernière) chose qui me vient à l'esprit pour qualifier LDE.
Lanfeust de Troy avait une bonne dynamique dans l'histoire que je n'ai pas retrouvé dans cette série. Le dessin est toujours aussi chouette (si on aime, évidemment), mais le scénar est faiblard, je m'y suis ennuyée sec. Le tome 2 signe le retour des références et des mots cachés, ce qui est sympa, mais ça ne suffit pas à m'intéresser à l'histoire.
Tant pis...
Le "défaut" de cette BD, c'est son âge... mon père lisait ça, moi j'accroche pas du tout, ni aux dessins, ni aux histoires. Un peu cucul-la-praline, un brin d'humour vieillot, je classerais ça dans les curiosités, mais pas urgentes à découvrir.
Sinon Jo-El Azara est super sympa et il croit à fond dans ce qu'il fait (ça vaut mieux, vous me direz), il est très gentil en dédicace et prend soin de ses lecteurs (genre il demande si c'est la première dédicace, et il la fait en fonction de ça, du nombre d'album qu'on possède etc, c'est atypique)
Après la lecture de cet album, je reste sur un sentiment de déception. Sans doute parce que les qualités intrinsèques de cet album sont fameusement contre-balançées par certains défauts majeurs.
Commençons par les qualités. TBC est un dessinateur talentueux, son trait en noir et blanc, quelque part entre Frank Miller et Pratt (si, c'est possible) fait mouche. L'album regorge d'idées géniales de mise en scène, le découpage est incisif. Le lecteur dispose d'un véritable plaisir immédiat au cours de sa lecture. Les dialogues sont très bons, plein d'humour et d'ironie, ils permettent de cerner au mieux le personnage de Lézard.
Tout cela pourrait faire un très bon album si malheureusement l'argument narratif de cet album n'était pas si léger. Cette espèce de chasse à l'homme est trop convenue, trop linéaire et trop floue pour captiver réellement. Le lézard est poursuivi pendant les trois quarts de l'album par des hommes dont on ne sait rien. Et lorsque vient le temps des explications, les révélations s'avèrent assez peu originales. J'ai vraiment eu l'impression d'avoir été mené en bateau par un dessinateur qui voulait avant tout dessiner et mettre en scène mais qui n'avait pas vraiment envie de raconter une histoire.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
La dernière Prophétie
C'est vrai que le dessin et le style de Chaillet sont différents, et même meilleurs que ceux de Jacques Martin, avec lequel il a collaboré durant plus de 20 ans... Mais lorsque Chaillet se lance tout seul dans une BD historique, c'est vraiment pas bon ! Son dessin part dans tous les sens, la narration est très hachée, et malgré le sujet (la fin de l'Empire romain d'Occident), on n'a pas envie d'en lire plus...
Asphodèle
Ah ah, j'ai bien ri ! Dommage, c'est une bd qui fait peur, c'est écrit sur le quatr'de couv', regarde mieux, petit. Bon, Corbeyran dernièrement essaie de percer dans de nouveaux domaines, de nouveaux univers. Grand bien lui fasse ! Mais force est de constater qu'il n'est pas à l'aise dans tous les milieux, le génial auteur du Regulateur, du chant des stryges, d'Abraxas, j'en passe et des meilleurs. En effet, après un Weëna plutot "rigolo", on va dire (n'est pas Tolkien qui veut, hein), l'auteur se lance ici dans la BD d'épouvante. Je vous raconte même pas... parceque vouloir terroriser un lecteur à l'aide d'une BD est un pari au moins aussi ambitieux que celui de l'émouvoir devant un épisode des Pokemons. V'la le topo. Bon, maintenant, j'arrete d'écrire n'importe quoi et je parle un peu de la bédé. Ca vaut quoi ? Ca se lit bien, c'est clair, très bien, même, entre autre grace au découpage assez propre et à la mise en scène plus que correct de l'ensemble de l'intrigue. Mais l'intrigue, justement... M'est avis que Corbeyran ne s'est pas creusé bien longtemps sur les tenants et les aboutissants de l'album. Attention, je ne dénigre pas son travail dans le sens ou techniquement, rien à redire, vraiment. Le storyboard n'a pas été fait à l'arrache, et ça se sent. Le problème, c'est que, me concernant, le charme n'agit pas. Et comme dans ce type de récits, c'est surtout le resenti qui prime, si tout nous passe 10 000 au dessus, il ne reste pas grand chose, vous en conviendrez. Le dessin, sympa sans être extraordinaire, sent fort le Comics surtout dans la mise en couleur que je n'aime par contre pas du tout. Pierre Schelle à fait beaucoup mieux (Golden City), alors qu'ici... il en fait trop, tout simplement. Vouloir ajouter du relief a tout, dans tous les sens, ça n'a pas que des avantages : le sang fait très confiture, bien pateuse, par exemple. Bon, j'attends la suite et fin, pour voir ce que tout cela donne, bien sûr ! On verra ça, mais pour l'instant, c'est pas fameux...
Road Movie
J'ai acheté cette bd surtout pour la dédicace de Mainguy (très sympatique), qui est vraiment géniale (en couleur et en 3D); Les dessins sont sympas mais les différent gags de Road Movie sont plutôt lourds...
Le Roi des Méduses
Le roi des méduses, c'est l'exemple type de bd que l'on achete parce que c'est Ségur... Après Légendes des Contrées Oubliées que j'ai vraiment aimé, j'ai voulu découvrir une autre bd de ce dessinateur à part, car c'est bien à part comme style, il n'y a rien de semblable dans la bd aujourd'hui... Donc voilà, niveau graphique, c'est très très beau, rien à dire, c'est Ségur et moi j'aime ! Mais niveau histoire, ba désolé mais moi ca me saoule une bd où je comprends rien, où je suis obligé de revenir en arrière toutes les 2 cases... non sérieux, je n'aime pas être paumé comme ca quand je lis une bd... Enfin bon, c'est pour moi pas une bd indispensable...
Will
Ouais mais là non. C'est vraiment épais... alors soit ça l'est pas assez pour que ce soit provoquant, soit ça l'est trop pour que ce soit recherché et intéressant, je sais pas... Ca me fait pas rire. Pas ça. Ca sent la blague potache, et ça gonfle rapidement. Y'a un truc qui m'énerve, c'est qu'une scène chaude de Skydoll mais franchement géniale va être censurée dans le mag, et un mec qui arrache la touffe de sa copine ça passe alors que c'est laid et pas drôle. (parceque les filles, c'est sûr qu'il en a pas vu assez, parce que pas foutu d'en dessiner une qui n'aie pas une gueule de monstre.) Bon j'crois qu'il y a eu deux ou trois gags qui m'ont fait rire dans les pages du mag, alors je laisse deux étoiles.
L'escalade de la chute
Quand on n'est pas prévenu, on croit que cet album présente une histoire sous forme de chapitres. C'est l'impression qu'il m'a laissé en lisant ce que j'ai pris pour le premier chapitre, et qui pouvait augurer d'un développement assez intéressant... Malheureusement, cet album s'avère composé de trois petites histoires... Elles sont donc courtes, et peu développées. A mon avis trop rapides, peu crédibles, peu intéressantes. Poupon a beau arborer un sens très intéressant de la métaphore, cela ne suffit pas à rattraper l'inintérêt suscité par ces novellettes. En plus le dessin est très spécial, hyper simplifié, avec des teintes très informatiques et assez flashantes, bref peu plaisant... Conclusion : appliqué à cet album, le terme "bof, sans plus" prend tout son sens.
Quick et Flupke
J'ai relu mes Quick et Flupke hier. Et force est de constater que cela a terriblement vieilli. Cela fait incontestablement partie de l'histoire de la bd, mais perso, si j'avais un gosse, c'est loin d'être la première bd que je lui paierais. Déjà que moi, cela ne m'a pas laissé de souvenirs marquants... C'est tellement vieux jeu et certains gags sont devenus tellement éculés... Un enfant d'aujourd'hui trouvera sans doute plus de similarités avec sa vie et ses préoccupations actuelles dans les albums de Titeuf, Kid Paddle et consort... J'entends d'ici le fan d'Hergé me dire que dans les années 50-60, cette série était novatrice et que bien des autres séries lui doivent tout. Je répondrai simplement que, n'ayant pas été gosse à cette époque-là, je ne peux pas juger. Je constate simplement que d'autres bd des années 50-60 ont nettement moins vieilli que celle-ci...
Lanfeust des Etoiles
Brof... voilà la première (et dernière) chose qui me vient à l'esprit pour qualifier LDE. Lanfeust de Troy avait une bonne dynamique dans l'histoire que je n'ai pas retrouvé dans cette série. Le dessin est toujours aussi chouette (si on aime, évidemment), mais le scénar est faiblard, je m'y suis ennuyée sec. Le tome 2 signe le retour des références et des mots cachés, ce qui est sympa, mais ça ne suffit pas à m'intéresser à l'histoire. Tant pis...
Taka Takata
Le "défaut" de cette BD, c'est son âge... mon père lisait ça, moi j'accroche pas du tout, ni aux dessins, ni aux histoires. Un peu cucul-la-praline, un brin d'humour vieillot, je classerais ça dans les curiosités, mais pas urgentes à découvrir. Sinon Jo-El Azara est super sympa et il croit à fond dans ce qu'il fait (ça vaut mieux, vous me direz), il est très gentil en dédicace et prend soin de ses lecteurs (genre il demande si c'est la première dédicace, et il la fait en fonction de ça, du nombre d'album qu'on possède etc, c'est atypique)
La Cavale de Lézard
Après la lecture de cet album, je reste sur un sentiment de déception. Sans doute parce que les qualités intrinsèques de cet album sont fameusement contre-balançées par certains défauts majeurs. Commençons par les qualités. TBC est un dessinateur talentueux, son trait en noir et blanc, quelque part entre Frank Miller et Pratt (si, c'est possible) fait mouche. L'album regorge d'idées géniales de mise en scène, le découpage est incisif. Le lecteur dispose d'un véritable plaisir immédiat au cours de sa lecture. Les dialogues sont très bons, plein d'humour et d'ironie, ils permettent de cerner au mieux le personnage de Lézard. Tout cela pourrait faire un très bon album si malheureusement l'argument narratif de cet album n'était pas si léger. Cette espèce de chasse à l'homme est trop convenue, trop linéaire et trop floue pour captiver réellement. Le lézard est poursuivi pendant les trois quarts de l'album par des hommes dont on ne sait rien. Et lorsque vient le temps des explications, les révélations s'avèrent assez peu originales. J'ai vraiment eu l'impression d'avoir été mené en bateau par un dessinateur qui voulait avant tout dessiner et mettre en scène mais qui n'avait pas vraiment envie de raconter une histoire.