Je ne trouve pas les dessins si affreux que ça. Je trouve même qu'ils ne s'accordent pas si mal avec l'univers de Tolkien (ils me font d'ailleurs penser au long métrage animé du Seigneur des Anneaux, qui date de 78, et que d'aucuns trouveront tout aussi affreux).
Par contre, le mode de narration est peu accrocheur : on reprend mot pour mot le texte du géant Tolkien et il n'y a guère de mouvement. Autant lire le livre, mes bons amis, et il en va de même avec les films du Seigneur des Anneaux, feriez mieux de lire les bouquins qui n'ont rien à voir en profondeur et... bon je m'égare. Heu... ah oui, cette bd ne vaut pas tripette.
(Par contre, cette adaptation n'a pas été faite à but commercial, puisqu'il s'agit d'une réédition d'une vieille bd, d'il y a une dizaine d'années je pense...)
Je suis sûrement loin d'avoir lu tous les strips et tous les albums de Peanuts, mais de ce que j'en ai lu, je ne comprends pas d'où vient son titre de référence de la BD d'humour et du strip. Je ne comprends pas du tout l'engouement qu'ont certains pour ces personnages de Snoopy et autres Charlie Brown.
C'est au niveau de l'humour que ça ne passe pas pour moi (on ne parlera pas du dessin qui est du dessin de strip plutôt moyen). Je ne sais pas : ça ne me fait pas rire. Les chutes des gags, souvent faites sous forme de phrases dites comme en connivence avec le lecteur, me laissent froid. Même les personnages me semblent sans grand interêt. Je ne ressens aucune affection pour eux, aucun interêt (à part peut-être pour le petit piaf qui me fait parfois sourire).
Quant aux discussions philosophiques de Charlie et ses amis, je les trouve basiques et inintéressantes.
Bref, je n'ai pas été séduit par cette série de strips pourtant si connue.
Raconter le parcours d'une bande dessinée, depuis sa conception jusque sa parution, expliquer les termes techniques, traiter des origines, parler de format, de mise en page, etc. le tout en bande dessinée, voilà qui semble intéressant, et fait inévitablement penser à la référence en la matière : l'excellent l'Art Invisible, de Scott McCloud.
Malheureusement, cet ouvrage est très loin de pouvoir soutenir la comparaison. Déjà de prime abord, le dessin de Sergio Garcia est ici froid. Simplifié. Sans âme. Technique.
Ensuite, le traitement de cette riche thématique en 32 pages seulement est ardu, et en l'occurrence beaucoup trop rapide, et donc finalement très superficiel. Il s'agit d'une (courte) description, avec certes des choses intéressantes, mais encore une fois, sans âme, et pour tout dire, sans opinion, sans engagement. Bref, le propre d'une description… Même sans l'opposer à l'Art Invisible, le résultat paraît pauvre, assez tristement didactique, et certainement ennuyeux.
La mise en page est elle, pourtant, très originale. Tellement même, qu'on a parfois beaucoup de mal à trouver l'ordre de lecture. Mais ce qui serait normalement un bon point est tout simplement gâché par la froideur du dessin et des explications.
Pourtant des efforts semblent avoir été faits dans ce sens, avec la petite souris sympathique, et le correcteur, bougon, méchant et ridicule. Mais ça ne marche pas. Ca fait par contre se poser la question du public visé, probablement jeune.
Bref, un album intéressant sur quelques points, mais aussi rapide et charmant qu'une notice technique.
Pas terrible.
Après le surprenant Spirale, j'attendais avec impatience un bon manga d'horreur, et j'ai guetté l'arrivée du Manoir... Malheureusement, la sauce ne prend pas.
Les historiettes ne présentent souvent aucun intérêt, trop courtes, mal développées, chute trop rapide... Autant de défauts qu'il y avait de qualités dans Spirale.
La mise en scène rappelle Green Manor, avec un fil conducteur, mais il est ridicule. Or, ce qui est ridicule ne fait pas peur.
Je dois avouer que dès le départ cette série partait mal pour moi car c'est exactement le type de BD que je n'aime guère.
L'aspect historique des aventures de Louis Ferchot est largement mis en avant dans cette série. Le pauvre Louis est ballotté au gré des évènements de l'Histoire Européenne puis Américaine entre la première et la seconde guerre mondiale. Une chronique en début et fin d'album resitue même l'action dans son contexte historique et politique.
En ce qui concerne le dessin, il est à mon goût très moyen. Très réaliste, il est servi par des couleurs assez ternes et le tout me parait plutôt lugubre. J'ai même vu à l'occasion d'énormes erreurs de perspectives et d'échelles (des personnages minuscules comparés aux bâtiments à côté d'eux par exemple). Bref, je n'aime pas franchement.
Puis ensuite les histoires et aventures de Louis la Guigne en elles-mêmes ne m'ont pas du tout captivé. J'y sens largement plus une errance sans but réel, un touche-à-tout évènementiel avec quelques dénonciations du facisme de certains gouvernements et peuples, qu'une histoire ficelée et prenante.
Et par-dessus le marché, le personnage même de Louis Ferchot m'est antipathique. Le style du socialo-anarchiste en rébellion contre la société, lui-même un peu égoïste mais qui pense au bien de ses compagnons de fortune, ça me gave très rapidement.
Bref, une BD pas pour moi mais qui peut plaire aux amateurs d'Histoire et d'aventures teintées de politique historique.
Mouais, bah bof hein... Non pas que ce soit réellement mauvais, non non, mais c'est "juste" très très moyen, voire même chiant par moments.
J'avais bien aimé le dessin après avoir feuilleté, mais finalement, il est assez approximatif, passant du semi-réalisme sur certaines cases à une tentative d'influence cartoon à la suivante. Le résultat, bien qu'intéressant, est en-deça de ce à quoi je m'attendais.
L'histoire en elle-même est décevante elle aussi. L'idée était clairement bonne, mais elle est bien mal exploitée.
L'humour ? euh... quel humour ?
Du coup, il y a quand même certaines qualités à cet album, mais pas assez pour en faire un vrai moment de détente...
Oui, bon ben voilà, hein, on ne peut pas être bon partout, non plus, sinon ça fait des jaloux...
En fait, ce n'est pas vraiment drôle, et certainement pas original, je suis à peu près sûre d'avoir déjà vu les gags dans d'autres BD. Le dessin n'est pas mauvais, mais bon, quand le scénar ne suit pas, difficile d'encenser le dessin.
J'ai abandonné la lecture assez tôt, parce que ça devient vite pénible.
Moui, bof, c'est gentillet, un peu râbaché, ça se lit vite et ça s'oublie vite.
Le dessin est sympa, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai acheté l'album, mais ça ne fait pas tout.
Ca manque un peu de ryhtme, et peut-être d'une idée originale.
J'ai un avis très partagé sur cet album. D'un côté, le dessin est plutôt beau, de l'autre, je le trouve trop lisse, trop "maitrisé", comme si l'auteur n'avait pas osé se démarquer.
Les couleurs pastel sont réussies, mais trop naïves, trop "plates".
D'un côté, l'histoire est touchante, de l'autre, elle m'énerve avec ses bonnes intentions.
D'un côté, je suis touchée par cette petite fille qui a perdu la raison (et ses ailes), de l'autre, elle m'agace.
Comme si je savais au fond de moi, en fait, que l'auteur et moi n'avons pas le même point de vue quant à la manière de traiter la chose.
Du coup, difficile de me prononcer sur l'album. La suite m'éclaircira peut-être un peu.
Le dessin est vraiment très sympa, très doux, et semble être déjà maîtrisé malgré le peu d'expérience de la dessinatrice. Là dessus, gros bon point, pas de doute.
Dommage, ce sera le seul bon point que j'attribuerai à ce 1er tome (puisque je ne compte absolument pas lire la suite !) puisqu'il se révèle profondément chiant finalement.
En fait, c'est surtout niais au possible, c'est typiquement de la bd pour collégienne (excusez moi les non-collégiennes qui ont aimé) tant ça se veut doucement poétique alors qu'on ne dépasse pas le mielleux.
Bref, ça va à 2 à l'heure, c'est relou au possible.
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Bilbo le Hobbit
Je ne trouve pas les dessins si affreux que ça. Je trouve même qu'ils ne s'accordent pas si mal avec l'univers de Tolkien (ils me font d'ailleurs penser au long métrage animé du Seigneur des Anneaux, qui date de 78, et que d'aucuns trouveront tout aussi affreux). Par contre, le mode de narration est peu accrocheur : on reprend mot pour mot le texte du géant Tolkien et il n'y a guère de mouvement. Autant lire le livre, mes bons amis, et il en va de même avec les films du Seigneur des Anneaux, feriez mieux de lire les bouquins qui n'ont rien à voir en profondeur et... bon je m'égare. Heu... ah oui, cette bd ne vaut pas tripette. (Par contre, cette adaptation n'a pas été faite à but commercial, puisqu'il s'agit d'une réédition d'une vieille bd, d'il y a une dizaine d'années je pense...)
Snoopy
Je suis sûrement loin d'avoir lu tous les strips et tous les albums de Peanuts, mais de ce que j'en ai lu, je ne comprends pas d'où vient son titre de référence de la BD d'humour et du strip. Je ne comprends pas du tout l'engouement qu'ont certains pour ces personnages de Snoopy et autres Charlie Brown. C'est au niveau de l'humour que ça ne passe pas pour moi (on ne parlera pas du dessin qui est du dessin de strip plutôt moyen). Je ne sais pas : ça ne me fait pas rire. Les chutes des gags, souvent faites sous forme de phrases dites comme en connivence avec le lecteur, me laissent froid. Même les personnages me semblent sans grand interêt. Je ne ressens aucune affection pour eux, aucun interêt (à part peut-être pour le petit piaf qui me fait parfois sourire). Quant aux discussions philosophiques de Charlie et ses amis, je les trouve basiques et inintéressantes. Bref, je n'ai pas été séduit par cette série de strips pourtant si connue.
L'Aventure d'une BD
Raconter le parcours d'une bande dessinée, depuis sa conception jusque sa parution, expliquer les termes techniques, traiter des origines, parler de format, de mise en page, etc. le tout en bande dessinée, voilà qui semble intéressant, et fait inévitablement penser à la référence en la matière : l'excellent l'Art Invisible, de Scott McCloud. Malheureusement, cet ouvrage est très loin de pouvoir soutenir la comparaison. Déjà de prime abord, le dessin de Sergio Garcia est ici froid. Simplifié. Sans âme. Technique. Ensuite, le traitement de cette riche thématique en 32 pages seulement est ardu, et en l'occurrence beaucoup trop rapide, et donc finalement très superficiel. Il s'agit d'une (courte) description, avec certes des choses intéressantes, mais encore une fois, sans âme, et pour tout dire, sans opinion, sans engagement. Bref, le propre d'une description… Même sans l'opposer à l'Art Invisible, le résultat paraît pauvre, assez tristement didactique, et certainement ennuyeux. La mise en page est elle, pourtant, très originale. Tellement même, qu'on a parfois beaucoup de mal à trouver l'ordre de lecture. Mais ce qui serait normalement un bon point est tout simplement gâché par la froideur du dessin et des explications. Pourtant des efforts semblent avoir été faits dans ce sens, avec la petite souris sympathique, et le correcteur, bougon, méchant et ridicule. Mais ça ne marche pas. Ca fait par contre se poser la question du public visé, probablement jeune. Bref, un album intéressant sur quelques points, mais aussi rapide et charmant qu'une notice technique.
Le Manoir de l'horreur
Pas terrible. Après le surprenant Spirale, j'attendais avec impatience un bon manga d'horreur, et j'ai guetté l'arrivée du Manoir... Malheureusement, la sauce ne prend pas. Les historiettes ne présentent souvent aucun intérêt, trop courtes, mal développées, chute trop rapide... Autant de défauts qu'il y avait de qualités dans Spirale. La mise en scène rappelle Green Manor, avec un fil conducteur, mais il est ridicule. Or, ce qui est ridicule ne fait pas peur.
Louis la Guigne
Je dois avouer que dès le départ cette série partait mal pour moi car c'est exactement le type de BD que je n'aime guère. L'aspect historique des aventures de Louis Ferchot est largement mis en avant dans cette série. Le pauvre Louis est ballotté au gré des évènements de l'Histoire Européenne puis Américaine entre la première et la seconde guerre mondiale. Une chronique en début et fin d'album resitue même l'action dans son contexte historique et politique. En ce qui concerne le dessin, il est à mon goût très moyen. Très réaliste, il est servi par des couleurs assez ternes et le tout me parait plutôt lugubre. J'ai même vu à l'occasion d'énormes erreurs de perspectives et d'échelles (des personnages minuscules comparés aux bâtiments à côté d'eux par exemple). Bref, je n'aime pas franchement. Puis ensuite les histoires et aventures de Louis la Guigne en elles-mêmes ne m'ont pas du tout captivé. J'y sens largement plus une errance sans but réel, un touche-à-tout évènementiel avec quelques dénonciations du facisme de certains gouvernements et peuples, qu'une histoire ficelée et prenante. Et par-dessus le marché, le personnage même de Louis Ferchot m'est antipathique. Le style du socialo-anarchiste en rébellion contre la société, lui-même un peu égoïste mais qui pense au bien de ses compagnons de fortune, ça me gave très rapidement. Bref, une BD pas pour moi mais qui peut plaire aux amateurs d'Histoire et d'aventures teintées de politique historique.
Sexy Gun
Mouais, bah bof hein... Non pas que ce soit réellement mauvais, non non, mais c'est "juste" très très moyen, voire même chiant par moments. J'avais bien aimé le dessin après avoir feuilleté, mais finalement, il est assez approximatif, passant du semi-réalisme sur certaines cases à une tentative d'influence cartoon à la suivante. Le résultat, bien qu'intéressant, est en-deça de ce à quoi je m'attendais. L'histoire en elle-même est décevante elle aussi. L'idée était clairement bonne, mais elle est bien mal exploitée. L'humour ? euh... quel humour ? Du coup, il y a quand même certaines qualités à cet album, mais pas assez pour en faire un vrai moment de détente...
Igor et les monstres
Oui, bon ben voilà, hein, on ne peut pas être bon partout, non plus, sinon ça fait des jaloux... En fait, ce n'est pas vraiment drôle, et certainement pas original, je suis à peu près sûre d'avoir déjà vu les gags dans d'autres BD. Le dessin n'est pas mauvais, mais bon, quand le scénar ne suit pas, difficile d'encenser le dessin. J'ai abandonné la lecture assez tôt, parce que ça devient vite pénible.
Harrison & Holmes
Moui, bof, c'est gentillet, un peu râbaché, ça se lit vite et ça s'oublie vite. Le dessin est sympa, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai acheté l'album, mais ça ne fait pas tout. Ca manque un peu de ryhtme, et peut-être d'une idée originale.
Elle
J'ai un avis très partagé sur cet album. D'un côté, le dessin est plutôt beau, de l'autre, je le trouve trop lisse, trop "maitrisé", comme si l'auteur n'avait pas osé se démarquer. Les couleurs pastel sont réussies, mais trop naïves, trop "plates". D'un côté, l'histoire est touchante, de l'autre, elle m'énerve avec ses bonnes intentions. D'un côté, je suis touchée par cette petite fille qui a perdu la raison (et ses ailes), de l'autre, elle m'agace. Comme si je savais au fond de moi, en fait, que l'auteur et moi n'avons pas le même point de vue quant à la manière de traiter la chose. Du coup, difficile de me prononcer sur l'album. La suite m'éclaircira peut-être un peu.
Elle
Le dessin est vraiment très sympa, très doux, et semble être déjà maîtrisé malgré le peu d'expérience de la dessinatrice. Là dessus, gros bon point, pas de doute. Dommage, ce sera le seul bon point que j'attribuerai à ce 1er tome (puisque je ne compte absolument pas lire la suite !) puisqu'il se révèle profondément chiant finalement. En fait, c'est surtout niais au possible, c'est typiquement de la bd pour collégienne (excusez moi les non-collégiennes qui ont aimé) tant ça se veut doucement poétique alors qu'on ne dépasse pas le mielleux. Bref, ça va à 2 à l'heure, c'est relou au possible.