Premier tome de lu seulement (l’occasion qui fait que) et rien que le titre de la série annonce déjà la couleur. Album qui se veut sans doute dans la lignée des Joe Bar Team et cie, il en est pourtant bien loin. Les dessins, sans être franchement géniaux, restent malgré tout soignés. La moto est ici un prétexte pour des "gags" gentillets ou l’humour fait défaut. Bref, c’est pas drôle, très prévisible, parfois tiré en longueur et souvent répétitif. Toutefois, il s’en dégage l’impression curieuse que l’auteur a essayé de faire de son mieux et qu’il s’y est appliqué même si le résultat n’est pas au rendez-vous.
Mouais bof. J'suis pas super fan du trait de Blanquet sur cet album et son histoire palindrome n'est quand même pas des plus recherchées. Sans texte, c'est pas super compliqué ; je ne vois pas le "génie" de l'auteur comme après avoir lu Cercle vicieux. Sans compter que l'histoire elle-même, si elle n'oublie pas de faire preuve d'un certain cynisme, est loin d'être inoubliable.
Bref un petit exercice de style, comme la collection en compte tant, pas d'un intérêt transcendant.
Bof, sans plus, c’est effectivement ce qui m’est venu à l’esprit en fermant ce premier opus d’un cycle prévu en deux tomes. Le trait de Berthet, très caractéristique, présente l’avantage d’être d’une grande clarté. Toutefois, autant ce style graphique convient pour la série Pin Up (pas lu, juste feuilleté) par son côté ambiance 50’s, autant ici je le trouve inapproprié. En effet, le dessin est trop lisse, trop propre et trop figé pour une bd futuriste mêlant action et nouvelles technologies. La mise en couleur est un peu trop vive mais est correctement réalisée. Quant au scénario de Yann, il est trop tôt pour juger de la qualité de celui-ci car rien ou presque n’est dévoilé. Ceci dit, il ne m’a pas emballé plus que ça ...
Mouais, bah ça se laisse lire, mais je n'ai pas eu de réelle envie de tourner les pages... me suis même un peu forcé à la fin.
On m'avait fait tout un foin avec Tezuka, mais heureusement qu'il n'a pas fait que Nanairo Inko parce que sinon je ne comprendrais pas trop pourquoi il est devenu un des Mangaka les plus connus. On est très loin de la qualité graphique et scénaristique de l'histoire des 3 adolf par exemple, c'est décevant.
Rien que le coup de crayon m'agace prodigieusement. C'est de la caricature de manga, sans âme, sans peps. Finalement, c'est même assez laid, ça fait très vieillot (euh... ça l'est peut-être ? j'en sais trop rien...).
Les différentes histoires sont très inégale, mais aucune ne m'a plu. Au mieux, je ne me suis pas ennuyé, mais sinon, le Ara aux 7 couleurs me sort par les yeux... et c'est assez gênant pour un personnage principal.
Ajoutons à tout cela un format rikiki qui gêne considérablement la lecture ... surtout si on essaie de ne pas casser la reliure.
Bon, j'ai lu 7 tomes, et pfiou... j'en ai marre là.
Pourtant, au début (genre les 2 premiers tomes) ça m'a bien fait marrer tellement c'est crétin et facile, j'ai même pensé que si ça continuait comme ça, j'allais m'acheter cette série.
Le problème justement, c'est que les 7 tomes que j'ai lu sont du même niveau, et que finalement, ça saoule grave. Ce qui est drôle une fois ne l'est plus du tout à la 3e fois, le comique de répétition a ses limites.
Et puis honnetement, le graphisme est lui aussi amusant 2 minutes, mais mon dieu que c'est chiant à force...
Pourtant, je ne regrette pas d'avoir lu une partie de cette série, ça m'a quand même fait marrer... un peu. Je regrette encore moins de ne pas lire les tomes suivants.
Je crois décidément que je suis peu enclin à apprécier cet art des histoires courtes. Je n'arrive jamais à vraiment me plonger dans la BD et tout reste vraiment superficiel. Il faut alors se situer sur un autre plan étant donné que l'on n'est plus dans une histoire. Peut-être est-ce plus un plaisir intellectuel d'une situation bien amenée.
Ici, on trouve pas mal de bonnes choses car les dessins sont assez réussis notamment pour renforcer une impression bien noire. Les situations sont souvent bien vues et bien amenées, mais pas toutes. Je trouve que ça tombe un peu à l'eau de temps en temps.
Je ne trouve pas ça si noir, allez plutôt voir du Arturo Ripstein vous verrez ce que c'est. En plus l'absence de parole est souvent délicate et renforce ce sentiment que tout se lit un peu vite.
Je sens bien que je passe à côté d'une lecture plus profonde, mais bon je n'ai toujours pas réussi.
Bretecher a un style de dessin que je trouve proche de celui de Reiser; autrement dit, il ne faut pas espérer des planches superbement illustrées mais juste quelque chose d'efficace et d'expressif. Personnellement, je n'aime pas franchement.
Ensuite, côté humour, ben ça ne me fait pas rire. Les personnages dont Bretecher se moquent dans cet album sont tous de vieux bourgeois un peu bohèmes, ou encore de jeunes bourgeois émancipés. En gros, ça ressemble farouchement à une génération de 68-ards un peu attardés, adeptes de yoga, d'ouvrir leurs shakra, de parler ouvertement à leurs enfants, de libération de la femme ou de discussion sans fin sur le monde et la société. Résultat, l'humour, ici, ne me touche en rien et a même un aspect désuet assez sensible. Ca se veut un peu choquant, un peu caustique, mais ça ne s'attaque qu'à une frange de la société légèrement dépassée à mes yeux. Cela fait peut-être rire ou réagir la génération bourgeoise qui a justement vécu cette époque là, mais alors moi, non...
Rien de percutant, rien de franchement drôle, trop de texte un peu lourd à lire, un dessin qu'il faut aimer... Bof...
Ca commence bien avec une mise en ambiance vraiment réussie et des dessins vraiment impressionnants. Et puis commence une quête un peu bidon avec des gentils et des méchants un peu partout, des tentatives humouristiques pas très réussies à mon goût. Au bout de trois tomes j'ai même commencé à trouvé le temps long et ce malgré ces dessins toujours aussi splendides. Sans être transcendant, le quatrième tome a un scénario beaucoup plus réussi. Ce n'est pas révolutionnaire, mais au moins ça fait moins bête et c'est beaucoup plus plaisant à suivre. Au moins c'est une série qui se finit, c'est toujours un plus.
Au premier tome on est emballé par l'histoire. La sauvagerie du héros et du monde dans lequel il évolue rend le récit excitant. Puis avec les tomes suivant le héros perd son identité pour finir dans le mystissisme le plus complet... La franchement c'est dur à avaller. Et je n'aime pas cette fin pleine de sentiments "catho".
Ajouter à cela un dessin ordinaire et la note ne dépasse pas le 2/5...
C'est une vraie curiosité sur laquelle je suis tombé avec cette BD puisque c'est la toute première éditée par Mattt Konture avant qu'il ne rencontre Trondheim et les autres, dans ce qui était alors le prémisce de la Collection Patte de Mouche de l'Association (alors appelée l'Association pour l'Apologie du Neuvième Art Libre).
Autant le dire tout de suite, c'est une BD que je qualifierais presque de punk. Le graphisme est noir et blanc, très underground, violent... c'est pas franchement mon genre. Quant à l'histoire, elle est du même niveau que le graphisme. Underground, trash, violente, autant de termes pour la décrire à mes yeux. L'histoire pourrait se résumer à "qu'est-ce qu'un esprit simple peut imaginer de pire pour faire s'entretuer des bonshommes imaginaires ?". Et à part ça ? Ben à part ça pas grand chose...
Alors je ne sais pas trop quel est le message de cette BD, si elle en a un du moins, mais bon... c'est underground, quoi...
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Phil Traere
Premier tome de lu seulement (l’occasion qui fait que) et rien que le titre de la série annonce déjà la couleur. Album qui se veut sans doute dans la lignée des Joe Bar Team et cie, il en est pourtant bien loin. Les dessins, sans être franchement géniaux, restent malgré tout soignés. La moto est ici un prétexte pour des "gags" gentillets ou l’humour fait défaut. Bref, c’est pas drôle, très prévisible, parfois tiré en longueur et souvent répétitif. Toutefois, il s’en dégage l’impression curieuse que l’auteur a essayé de faire de son mieux et qu’il s’y est appliqué même si le résultat n’est pas au rendez-vous.
Morphologie Variable
Mouais bof. J'suis pas super fan du trait de Blanquet sur cet album et son histoire palindrome n'est quand même pas des plus recherchées. Sans texte, c'est pas super compliqué ; je ne vois pas le "génie" de l'auteur comme après avoir lu Cercle vicieux. Sans compter que l'histoire elle-même, si elle n'oublie pas de faire preuve d'un certain cynisme, est loin d'être inoubliable. Bref un petit exercice de style, comme la collection en compte tant, pas d'un intérêt transcendant.
Yoni
Bof, sans plus, c’est effectivement ce qui m’est venu à l’esprit en fermant ce premier opus d’un cycle prévu en deux tomes. Le trait de Berthet, très caractéristique, présente l’avantage d’être d’une grande clarté. Toutefois, autant ce style graphique convient pour la série Pin Up (pas lu, juste feuilleté) par son côté ambiance 50’s, autant ici je le trouve inapproprié. En effet, le dessin est trop lisse, trop propre et trop figé pour une bd futuriste mêlant action et nouvelles technologies. La mise en couleur est un peu trop vive mais est correctement réalisée. Quant au scénario de Yann, il est trop tôt pour juger de la qualité de celui-ci car rien ou presque n’est dévoilé. Ceci dit, il ne m’a pas emballé plus que ça ...
Nanairo Inko
Mouais, bah ça se laisse lire, mais je n'ai pas eu de réelle envie de tourner les pages... me suis même un peu forcé à la fin. On m'avait fait tout un foin avec Tezuka, mais heureusement qu'il n'a pas fait que Nanairo Inko parce que sinon je ne comprendrais pas trop pourquoi il est devenu un des Mangaka les plus connus. On est très loin de la qualité graphique et scénaristique de l'histoire des 3 adolf par exemple, c'est décevant. Rien que le coup de crayon m'agace prodigieusement. C'est de la caricature de manga, sans âme, sans peps. Finalement, c'est même assez laid, ça fait très vieillot (euh... ça l'est peut-être ? j'en sais trop rien...). Les différentes histoires sont très inégale, mais aucune ne m'a plu. Au mieux, je ne me suis pas ennuyé, mais sinon, le Ara aux 7 couleurs me sort par les yeux... et c'est assez gênant pour un personnage principal. Ajoutons à tout cela un format rikiki qui gêne considérablement la lecture ... surtout si on essaie de ne pas casser la reliure.
Noritaka
Bon, j'ai lu 7 tomes, et pfiou... j'en ai marre là. Pourtant, au début (genre les 2 premiers tomes) ça m'a bien fait marrer tellement c'est crétin et facile, j'ai même pensé que si ça continuait comme ça, j'allais m'acheter cette série. Le problème justement, c'est que les 7 tomes que j'ai lu sont du même niveau, et que finalement, ça saoule grave. Ce qui est drôle une fois ne l'est plus du tout à la 3e fois, le comique de répétition a ses limites. Et puis honnetement, le graphisme est lui aussi amusant 2 minutes, mais mon dieu que c'est chiant à force... Pourtant, je ne regrette pas d'avoir lu une partie de cette série, ça m'a quand même fait marrer... un peu. Je regrette encore moins de ne pas lire les tomes suivants.
Exit (Thomas Ott)
Je crois décidément que je suis peu enclin à apprécier cet art des histoires courtes. Je n'arrive jamais à vraiment me plonger dans la BD et tout reste vraiment superficiel. Il faut alors se situer sur un autre plan étant donné que l'on n'est plus dans une histoire. Peut-être est-ce plus un plaisir intellectuel d'une situation bien amenée. Ici, on trouve pas mal de bonnes choses car les dessins sont assez réussis notamment pour renforcer une impression bien noire. Les situations sont souvent bien vues et bien amenées, mais pas toutes. Je trouve que ça tombe un peu à l'eau de temps en temps. Je ne trouve pas ça si noir, allez plutôt voir du Arturo Ripstein vous verrez ce que c'est. En plus l'absence de parole est souvent délicate et renforce ce sentiment que tout se lit un peu vite. Je sens bien que je passe à côté d'une lecture plus profonde, mais bon je n'ai toujours pas réussi.
Mouler démouler
Bretecher a un style de dessin que je trouve proche de celui de Reiser; autrement dit, il ne faut pas espérer des planches superbement illustrées mais juste quelque chose d'efficace et d'expressif. Personnellement, je n'aime pas franchement. Ensuite, côté humour, ben ça ne me fait pas rire. Les personnages dont Bretecher se moquent dans cet album sont tous de vieux bourgeois un peu bohèmes, ou encore de jeunes bourgeois émancipés. En gros, ça ressemble farouchement à une génération de 68-ards un peu attardés, adeptes de yoga, d'ouvrir leurs shakra, de parler ouvertement à leurs enfants, de libération de la femme ou de discussion sans fin sur le monde et la société. Résultat, l'humour, ici, ne me touche en rien et a même un aspect désuet assez sensible. Ca se veut un peu choquant, un peu caustique, mais ça ne s'attaque qu'à une frange de la société légèrement dépassée à mes yeux. Cela fait peut-être rire ou réagir la génération bourgeoise qui a justement vécu cette époque là, mais alors moi, non... Rien de percutant, rien de franchement drôle, trop de texte un peu lourd à lire, un dessin qu'il faut aimer... Bof...
la Graine de Folie
Ca commence bien avec une mise en ambiance vraiment réussie et des dessins vraiment impressionnants. Et puis commence une quête un peu bidon avec des gentils et des méchants un peu partout, des tentatives humouristiques pas très réussies à mon goût. Au bout de trois tomes j'ai même commencé à trouvé le temps long et ce malgré ces dessins toujours aussi splendides. Sans être transcendant, le quatrième tome a un scénario beaucoup plus réussi. Ce n'est pas révolutionnaire, mais au moins ça fait moins bête et c'est beaucoup plus plaisant à suivre. Au moins c'est une série qui se finit, c'est toujours un plus.
Juan Solo
Au premier tome on est emballé par l'histoire. La sauvagerie du héros et du monde dans lequel il évolue rend le récit excitant. Puis avec les tomes suivant le héros perd son identité pour finir dans le mystissisme le plus complet... La franchement c'est dur à avaller. Et je n'aime pas cette fin pleine de sentiments "catho". Ajouter à cela un dessin ordinaire et la note ne dépasse pas le 2/5...
Ruga Zébo Violent
C'est une vraie curiosité sur laquelle je suis tombé avec cette BD puisque c'est la toute première éditée par Mattt Konture avant qu'il ne rencontre Trondheim et les autres, dans ce qui était alors le prémisce de la Collection Patte de Mouche de l'Association (alors appelée l'Association pour l'Apologie du Neuvième Art Libre). Autant le dire tout de suite, c'est une BD que je qualifierais presque de punk. Le graphisme est noir et blanc, très underground, violent... c'est pas franchement mon genre. Quant à l'histoire, elle est du même niveau que le graphisme. Underground, trash, violente, autant de termes pour la décrire à mes yeux. L'histoire pourrait se résumer à "qu'est-ce qu'un esprit simple peut imaginer de pire pour faire s'entretuer des bonshommes imaginaires ?". Et à part ça ? Ben à part ça pas grand chose... Alors je ne sais pas trop quel est le message de cette BD, si elle en a un du moins, mais bon... c'est underground, quoi...