Difficile de retirer quelque chose de ce recueil d'histoires courtes. Mis à part quelques idées par-ci par-là (le chimpanzé réincarnation de célébrités disparues, la jolie couverture...).
C'est dommage, car le dessin d'O'groj est plus que correct et semble parfois sous-exploité par son propre scénario.
Difficile de juger sur 1 seul tome, d'ailleurs je pense que 3 tomes seulement pour cette série qui semble avoir beaucoup d'ambition ça risque d'être léger. En effet en lisant on sent trop la précipitation, et à moins d'avoir une solide connaissance de l'histoire, (ce qui est loin d'être mon cas) ça peut paraître bien confus.
L'intérêt est donc reporté sur Tsuru héroïne de ce récit, et jeune fille curieuse à l'esprit ouvert, considérée par son entourage comme étant quelqu'un d'excentrique voire farfelue.
Vu que la mise en place et le descriptif historique de l'auteur sont assez lourds, dur d'en dire beaucoup sur les évènements, mais bon on sent bien que les thèmes chers à Hideki Mori(Stratège) sont ancrés dans le récit.
En fait c'est justement par rapport à Stratège que j'ai acheté cette BD. Et je peux déjà affirmer sans risque que c'est clairement en dessous, j'aime le style des dessins de l'auteur et peut-être qu'ils sont plus beaux dans Tsuru que ceux de Stratège, il n'empêche moi j'aimais bien le style plus épuré et moins riche de ce Stratège. Et (je me répète mais bon) pour une histoire de cet acabit 3 tomes c'est trop peu, enfin j'espère me tromper mais bon...
Je ferai cette série jusqu'au bout, mais je n'arrive pas à en conseiller l'achat, trop de doutes subsistent j'y reviendrai plus tard.
20/09/05:
Aprés la lecture des trois volumes qui composent l'intégralité de cette série je suis déçu, les aventures de Tsuru n'arrivent pas à passionner et sa quète de découverte du monde n'est pas des plus palpitantes. On est loin de la qualité de Stratège.
Le seul avantage de Tsuru est d'être une série courte pour un manga mais bon...
Une lecture inutile selon moi.
Pas de doute, au bout de quelques pages, ça sent le Van Hamme à plein nez. C'est pas forcément un défaut, on pourrait dire la même chose d'un Chauvel ou d'un Moore, mais ici ça fait nettement dans la redite et l'ennui. C'est carré, concis, les flash backs sont maitrisés mais ça manque vraiment de corps et de personnalité pour franchement intéresser, le dessin d'Aymond n'aidant pas vraiment il faut dire tant il est classique. Bref Van Hamme fait un melting pot de "Largo Winch" et de "Modesty Blaise" un peu à sa sauce; elle ne tache pas mais elle est sans saveur.
"Le pantin" me fait un peu le même effet que Halloween de Boiscommun : c'est beau mais un peu vide, et je ne parle même pas là du fait que ce soit muet.
Bref, je ne retire pas grand-chose de la lecture, n'étant pas vraiment touché ni conquis par une poésie que je trouve assez surfaite. La lecture en 3 minutes chrono ne peut de plus pas vraiment être retenue comme un argument positif pour cette BD.
Mignon mais complètement vain et aussitôt oublié.
"Imbéciles heureux" ! Mouais, je dirais que c'est une série faible où l'auteur se la joue cynique et subversif, bonne initiative mais ça manque d'intelligence tout ça.
Au lieu de l'oeuvre acide annoncée, on se retrouve à lire un manga tout mou, dessiné à peine correctement (les expressions des visages sont quand même valables) et, franchement, je cherche encore le message ! La critique ! Ou plutôt non, je vais arrêter de chercher.
C'est balourd et les effets de styles scénaristiques on les voit arriver à des kilomètres. Alors pourquoi est-ce que je mets une aussi bonne note ? Parce que l'histoire : Japonaise modèle m'a quand même fait sourire.
Voilà, j'arrête d'énumérer la liste des qualités, parlons des défauts qui ont fini de m'achever : la première histoire en deux parties, Le droit chemin, est insipide et beaucoup trop redondante. La deuxième, j'ai dit plus haut qu'elle m'avait plus ou moins touché. La troisième, intitulée Rue du parc, je n'ai pas compris ce qu'elle fout dans cette BD (10 pages à combler ?). La quatrième, Plus fort que moi!, est totalement surréaliste et ça ne fait même pas rire. La dernière finit en beauté en respectant la nullité de l'ensemble, elle s'intitule Mouches à merdes et c'est un énième rabachage sur les bienfaits de la presse.
Donc, je n'ai pas aimé ou je n'ai rien compris mais, quoi qu'il en soit, je déconseille. Et le pire dans tout ça est que, confiant, j'ai acheté les 2 premiers tomes d'un coup ! Quelle erreur, le second est encore plus plat que le premier et encore, je ne parle même pas des couvertures affreuses.
Bref, pour terminer, je dirais que ça aurait pu faire son petit effet il y a 15 ans. Le titre le plus faible de la collection Gingko !
Difficile de cerner cette histoire en seulement un tome, mais c'est très prometteur. Le trait de Katsura est pur, et, des personnages aux décors, les dessins aident grandement à se plonger dans cette ambiance thriller/fantastique.
Dans ce volume, une partie de l'enfance du personnage principal nous est dévoilée, ça peut paraître bien maigre, mais c'est pourtant une bonne entrée en matière.
La violence tout juste contenue de l'oeuvre est saisissante et éclate de façon aussi brutale que rare. Bref, je vais continuer à suivre l'histoire avec intérêt, et j'espère pouvoir monter la note si la bonne impression que j'ai eue se confirme dans les tomes suivants.
-Le 07/03/05.
Ca y est j'ai lu le second tome et je suis vraiment déçu, c'est un album de plus de 250 pages ou il ne se passe vraiment pas grand chose.
Le scénario est plein de facilités pour que tout le joli monde du premier volume se retrouve, le Zet est maintenant un adolescent. Pendant tout le tome le héros qui est un enfant de la rue se retrouve confronté à un gosse de riche qui rêve d'être un "super-justicier". A la fin le héros retrouve de vieilles connaissances.
Le final justement, aprés une lecture bien soporifique, est un déchaînement de violence gratuite et sadique ou la nudité est présente, c'est raccoleur, nul et de mauvais goût...
Conclusion, il faudrait vraiment qu'il n'y ait rien d'autre en librairie pour que j'achète le troisième tome!
De l'humour de pseudo-"djeunes" en direction des vieux quadras et plus.
A mon humble avis, c'est illisible par les moins de 30 ans qui n'ont pas les mêmes références que ceux qui ont vécu l'après Mai 68.
Oui, c'est parfois amusant, surtout entre deux articles guidés mais indigeste en albums.
Récapitulatif de l'histoire :
Je suis indifférent - Bang - Je philosophe - Crack (bruit du fusil en général chez Pratt) - etc... etc...
Et en plus, la couleur n'arrange rien !
Un Pratt décevant et pourtant, je suis bon public de cet auteur.
Poussif...
Je connais cette BD depuis ses débuts (ça va faire un bail) mais si elle m'arrache de temps à autre un sourire, dans l'ensemble, ça tombe à plat. Faire du vélo est sûrement plus motivant que de dessiner des visages pas toujours très expressifs, dans des décors simplistes (Kox est réputé pour sa production "ultra rapide" et "sans retard aucun" :)).
A croire aussi que Cauvin recycle ici ses idées les plus plates.
Désolé, je n'accroche pas du tout...
J’avais lu quelque part sur le forum que pour apprécier cette BD il fallait la lire au second degré. Et bien je partage totalement ce point de vue.
« Sophia » est une bd qui accumule les clichés (jeune belle femme très riche, self-made woman, au caractère bien trempé), qui se lance dans une aventure qui la mènera sur les sentiers colombiens sans armes mais en botte à talon Gucci à la recherche d’une dangereuse secte.
Je ne vais pas jouer les hypocrites, on est plus attiré par les courbes de notre héroïne (nue ou en petite tenue les ¾ du récit … on ne parle pas de la détresse des dessinateurs qui ne savent pas dessiner des vêtements) que par ses aventures quoique l’histoire rebondit de façon surprenante (et un peu comique) lors de la dernière planche..
Si « Sophia » était un film, ce serait un de ces délicieux nanars de seconde partie de soirée, qu’on amuse à voir et revoir malgré l’invraisemblance et les carences du scénario.
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Au fil du rasoir
Difficile de retirer quelque chose de ce recueil d'histoires courtes. Mis à part quelques idées par-ci par-là (le chimpanzé réincarnation de célébrités disparues, la jolie couverture...). C'est dommage, car le dessin d'O'groj est plus que correct et semble parfois sous-exploité par son propre scénario.
Tsuru princesse des mers
Difficile de juger sur 1 seul tome, d'ailleurs je pense que 3 tomes seulement pour cette série qui semble avoir beaucoup d'ambition ça risque d'être léger. En effet en lisant on sent trop la précipitation, et à moins d'avoir une solide connaissance de l'histoire, (ce qui est loin d'être mon cas) ça peut paraître bien confus. L'intérêt est donc reporté sur Tsuru héroïne de ce récit, et jeune fille curieuse à l'esprit ouvert, considérée par son entourage comme étant quelqu'un d'excentrique voire farfelue. Vu que la mise en place et le descriptif historique de l'auteur sont assez lourds, dur d'en dire beaucoup sur les évènements, mais bon on sent bien que les thèmes chers à Hideki Mori(Stratège) sont ancrés dans le récit. En fait c'est justement par rapport à Stratège que j'ai acheté cette BD. Et je peux déjà affirmer sans risque que c'est clairement en dessous, j'aime le style des dessins de l'auteur et peut-être qu'ils sont plus beaux dans Tsuru que ceux de Stratège, il n'empêche moi j'aimais bien le style plus épuré et moins riche de ce Stratège. Et (je me répète mais bon) pour une histoire de cet acabit 3 tomes c'est trop peu, enfin j'espère me tromper mais bon... Je ferai cette série jusqu'au bout, mais je n'arrive pas à en conseiller l'achat, trop de doutes subsistent j'y reviendrai plus tard. 20/09/05: Aprés la lecture des trois volumes qui composent l'intégralité de cette série je suis déçu, les aventures de Tsuru n'arrivent pas à passionner et sa quète de découverte du monde n'est pas des plus palpitantes. On est loin de la qualité de Stratège. Le seul avantage de Tsuru est d'être une série courte pour un manga mais bon... Une lecture inutile selon moi.
Lady S.
Pas de doute, au bout de quelques pages, ça sent le Van Hamme à plein nez. C'est pas forcément un défaut, on pourrait dire la même chose d'un Chauvel ou d'un Moore, mais ici ça fait nettement dans la redite et l'ennui. C'est carré, concis, les flash backs sont maitrisés mais ça manque vraiment de corps et de personnalité pour franchement intéresser, le dessin d'Aymond n'aidant pas vraiment il faut dire tant il est classique. Bref Van Hamme fait un melting pot de "Largo Winch" et de "Modesty Blaise" un peu à sa sauce; elle ne tache pas mais elle est sans saveur.
Le Pantin
"Le pantin" me fait un peu le même effet que Halloween de Boiscommun : c'est beau mais un peu vide, et je ne parle même pas là du fait que ce soit muet. Bref, je ne retire pas grand-chose de la lecture, n'étant pas vraiment touché ni conquis par une poésie que je trouve assez surfaite. La lecture en 3 minutes chrono ne peut de plus pas vraiment être retenue comme un argument positif pour cette BD. Mignon mais complètement vain et aussitôt oublié.
Imbéciles heureux !
"Imbéciles heureux" ! Mouais, je dirais que c'est une série faible où l'auteur se la joue cynique et subversif, bonne initiative mais ça manque d'intelligence tout ça. Au lieu de l'oeuvre acide annoncée, on se retrouve à lire un manga tout mou, dessiné à peine correctement (les expressions des visages sont quand même valables) et, franchement, je cherche encore le message ! La critique ! Ou plutôt non, je vais arrêter de chercher. C'est balourd et les effets de styles scénaristiques on les voit arriver à des kilomètres. Alors pourquoi est-ce que je mets une aussi bonne note ? Parce que l'histoire : Japonaise modèle m'a quand même fait sourire. Voilà, j'arrête d'énumérer la liste des qualités, parlons des défauts qui ont fini de m'achever : la première histoire en deux parties, Le droit chemin, est insipide et beaucoup trop redondante. La deuxième, j'ai dit plus haut qu'elle m'avait plus ou moins touché. La troisième, intitulée Rue du parc, je n'ai pas compris ce qu'elle fout dans cette BD (10 pages à combler ?). La quatrième, Plus fort que moi!, est totalement surréaliste et ça ne fait même pas rire. La dernière finit en beauté en respectant la nullité de l'ensemble, elle s'intitule Mouches à merdes et c'est un énième rabachage sur les bienfaits de la presse. Donc, je n'ai pas aimé ou je n'ai rien compris mais, quoi qu'il en soit, je déconseille. Et le pire dans tout ça est que, confiant, j'ai acheté les 2 premiers tomes d'un coup ! Quelle erreur, le second est encore plus plat que le premier et encore, je ne parle même pas des couvertures affreuses. Bref, pour terminer, je dirais que ça aurait pu faire son petit effet il y a 15 ans. Le titre le plus faible de la collection Gingko !
Zetman
Difficile de cerner cette histoire en seulement un tome, mais c'est très prometteur. Le trait de Katsura est pur, et, des personnages aux décors, les dessins aident grandement à se plonger dans cette ambiance thriller/fantastique. Dans ce volume, une partie de l'enfance du personnage principal nous est dévoilée, ça peut paraître bien maigre, mais c'est pourtant une bonne entrée en matière. La violence tout juste contenue de l'oeuvre est saisissante et éclate de façon aussi brutale que rare. Bref, je vais continuer à suivre l'histoire avec intérêt, et j'espère pouvoir monter la note si la bonne impression que j'ai eue se confirme dans les tomes suivants. -Le 07/03/05. Ca y est j'ai lu le second tome et je suis vraiment déçu, c'est un album de plus de 250 pages ou il ne se passe vraiment pas grand chose. Le scénario est plein de facilités pour que tout le joli monde du premier volume se retrouve, le Zet est maintenant un adolescent. Pendant tout le tome le héros qui est un enfant de la rue se retrouve confronté à un gosse de riche qui rêve d'être un "super-justicier". A la fin le héros retrouve de vieilles connaissances. Le final justement, aprés une lecture bien soporifique, est un déchaînement de violence gratuite et sadique ou la nudité est présente, c'est raccoleur, nul et de mauvais goût... Conclusion, il faudrait vraiment qu'il n'y ait rien d'autre en librairie pour que j'achète le troisième tome!
Agrippine
De l'humour de pseudo-"djeunes" en direction des vieux quadras et plus. A mon humble avis, c'est illisible par les moins de 30 ans qui n'ont pas les mêmes références que ceux qui ont vécu l'après Mai 68. Oui, c'est parfois amusant, surtout entre deux articles guidés mais indigeste en albums.
Jesuit Joe
Récapitulatif de l'histoire : Je suis indifférent - Bang - Je philosophe - Crack (bruit du fusil en général chez Pratt) - etc... etc... Et en plus, la couleur n'arrange rien ! Un Pratt décevant et pourtant, je suis bon public de cet auteur.
L'Agent 212
Poussif... Je connais cette BD depuis ses débuts (ça va faire un bail) mais si elle m'arrache de temps à autre un sourire, dans l'ensemble, ça tombe à plat. Faire du vélo est sûrement plus motivant que de dessiner des visages pas toujours très expressifs, dans des décors simplistes (Kox est réputé pour sa production "ultra rapide" et "sans retard aucun" :)). A croire aussi que Cauvin recycle ici ses idées les plus plates. Désolé, je n'accroche pas du tout...
Sophia
J’avais lu quelque part sur le forum que pour apprécier cette BD il fallait la lire au second degré. Et bien je partage totalement ce point de vue. « Sophia » est une bd qui accumule les clichés (jeune belle femme très riche, self-made woman, au caractère bien trempé), qui se lance dans une aventure qui la mènera sur les sentiers colombiens sans armes mais en botte à talon Gucci à la recherche d’une dangereuse secte. Je ne vais pas jouer les hypocrites, on est plus attiré par les courbes de notre héroïne (nue ou en petite tenue les ¾ du récit … on ne parle pas de la détresse des dessinateurs qui ne savent pas dessiner des vêtements) que par ses aventures quoique l’histoire rebondit de façon surprenante (et un peu comique) lors de la dernière planche.. Si « Sophia » était un film, ce serait un de ces délicieux nanars de seconde partie de soirée, qu’on amuse à voir et revoir malgré l’invraisemblance et les carences du scénario. A acheter si on a des sous...