Une aventure franchement bidon qui sous des airs exotiques n'est qu'un prétexte à établir une sorte de catalogue de positions amoureuses. Le titre n'a donc pas été choisi à la légère. Il y a un peu d’humour (allez visiter la galerie !) mais nettement moins que Le Déclic ou d’autres albums du dessinateur italien. Il faut donc prendre cette bd pour ce qu’elle est : une pure bd de cul (en même temps, avec un titre pareil, on peut pas dire avoir été trompé sur la marchandise). Pour une fois, le dessin de Manara est en couleurs, mais celles-ci ne sont malheureusement pas toujours du plus bel effet. A réserver aux fans absolus, donc. Du même auteur, il y a mieux à lire.
Wayne Shelton, la plus récente des séries de Jean Van Hamme sent déjà le vieux. Ce n'est pas en soit un reproche, je n'attends pas d'une bd qu'elle renouvelle en profondeur un genre ou la bd en général, mais ici, force est de constater que cette série n'apporte rien de neuf, non seulement à la bd mais aussi, et ça c'est un peu plus gênant, à l'oeuvre de Van Hamme en particulier. Déjà le célèbre scénariste a cette manie de travailler avec des dessinateurs au style réaliste et assez proches les uns des autres. Tant et si bien qu'on pourrait parfaitement imaginer cette série sous la plume de Francq ou de William Vance, cela n'aurait pas changé grand chose à la tonalité de ces albums. Ensuite, les ingrédients narratifs de cette série sont très proches des deux autres séries phares de Van Hamme : XIII et Largo Winch. On a non seulement la sensation d'avoir déjà lu cette histoire une bonne dizaine de fois, mais également celle que Van Hamme se plagie lui-même. J'exagère mais c'est presque ça.
Ce n'est pas mauvais, loin de là, le dessin de Denayer, malgré certaines raideurs est efficace et d'une belle clarté, les couleurs sont mieux choisies que dans Largo Winch. Mais je suis plus réservé sur le scénario. Il a du mal à passionner le lecteur dans le premier tome. La mise en place des personnages est lente et laborieuse et les péripéties de la fin d'album sont non seulement peu crédibles mais tout à fait risibles.
Le deuxième tome est heureusement bien meilleur, les personnages prennent un peu plus d'épaisseur (pas trop non plus) mais surtout le suspense fonctionne réellement. On regrettera juste, comme dans le premier tome, cette propension à tirer d'affaire les héros par des subterfuges plutôt "gros sabots", je sais pas combien de fois ça arrive mais le coup du gros camion qui pète tout sur son passage, c'est non seulement peu crédible mais totalement ridicule. Une fois ça passe, mais quand cela arrive 5-6 fois sur les deux albums, on ne peut s'empêcher de crier à la facilité scénaristique. Je n'épiloguerai pas sur les dernières planches du deuxième tome, crétines au possible et idéologiquement plus que douteuses, quand Van Hamme se met à faire du Steven Seagal, ça pue réellement... Il est dommage de terminer un album sur une aussi mauvaise fausse note.
Un troisième tome va bientôt sortir et je n'ai pas spécialement envie de le lire. Tout ce qu'on peut espérer, c'est que la participation de Cailleteau au scénario permettra à la série de retrouver un peu de sang neuf. Pour l'instant, c'est à réserver aux inconditionnels de Van Hamme...
Pourquoi est-ce que je donne pas une note de 1 à cette série? Peut-être parce que certaines des histoires, bien qu'ayant un dessin hideux, ont un scénario plutôt pas mal. Je pense notamment aux deux histoires concernant Vlad (la discothèque et la formation). L'histoire concernant la jeunesse de Naoko Sonoda est également intéressante (graphiquement c'est une des plus abouties). Le second tome est également (un peu) plus intéressant, même s'il se lit toujours aussi vite.
Le reste est par contre bien faible (le cross over entre Travis et Carmen notamment) voire carrément nul (qu'est ce que c'est que cette histoire de recette de cuisine?!). Bref un album décevant vu la richesse du monde imaginé par Fred Duval, brillant scénariste de Carmen et surtout de Travis. Je suis également désolé pour les jeunes pousses qui font leurs premières armes au dessin sur ces récits courts mais le résultat est loin d'être convaincant.
Comme d'habitude pour ce genre de bd:
Marrant au début, certains gags bien trouvés et ensuite souvent très lassant...et oui le problème avec de tels thèmes (comme pour "Passe-moi le ciel", "Pierre Tombal", "les Femmes en blanc") c'est que c'est vite répétitif.
Toutefois j'ai trouvé le dessin intéressant.
A conseiller aux enfants peut-être.
DU même avis que Kael...
Ca a vieilli, c'était pas si drôle que ça en fait...
Mais quand on est petit c'est marrant et après tout c'est ce qui compte, non ? :)
Je n'ai pas trop aimé cette bd...
Bon d'accord les dessins sont plutôt bons mais hélas ça ne fait pas tout et le scénario est trop farfelu à mon goût...
De plus on a l'impression qu'il ne se passe rien dans la bd, on s'ennuie ferme.
Je dois dire que je n'en garde pas un très bon souvenir, d'autant que l'on m'en avait dit du bien.
De Cromwell, j'aime beaucoup Anita Bomba. Et pourtant je n'ai pas accroché aux Minettos.
En effet, les personnages sont originaux, délurés et défoulants. Mais je trouve la narration difficile et le dessin et la mise en page n'aident pas. En gros, j'ai peiné à lire ces BDs, pas réussi à m'intéresser à l'histoire, ni rien. Tant et si bien que je n'ai que feuilleté la suite des pages sans plus rien trouver qui me motivait à me replonger dans l'histoire.
Dommage...
Et dommage que Cromwell ne se remette pas à la suite d'Anita Bomba.
Amusant, Davodeau se veut très authentique dans ses descriptions et moi j'ai quand même l'impression que son ronron est quand même souvent à coté de la plaque.
Ses personnages sont trop souvent surréalistes ainsi que les situations, ça sonne souvent un peu convenu, très "propre pour la télé", voire des fois un peu démago.
Bon, cette B.D c'est la réflexion sur la condition des joueurs de football, un tantinet exagérée voire encore une fois à côté.
Bon, le champion de foot qui accepte d'aller dîner chez le quidam en fin de course, en soi, c'est déja pas très crédible, le coup de l'enlèvement et du doigt coupé etc. c'est la troisième dimension.
Tout ça pour qu'il en ressorte finalement que les joueurs de foot sont une vrai marchandise, un produit marketing (ça on le savait déja), mais de la à dire qu'ils sont a plaindre, qu'il y en a qui ne s'en sont pas rendu compte, voire même qu'ils détestent ça... tous ces grands champions connaissent les effets de leurs notoriété et en profitent à fond.
Le tapeur de balle qui quitte son club pour ne plus "être la vil marchandise du système de business footballeux" et qui fait une croix sur sa carrière, quitte à aller pointer au chom'du pour préserver sa "liberté" et ne plus être un objet marketing... n'importe quoi.
Davodeau doit être un type vachement bien, mais ses persos sont tous des types avec des principes qu'ils ne lâchent pas, dussent-ils en mourrir. Au lieu de nous peindre des "mecs moyens" il nous offre le portrait de surhomme à principes quasiment prêts à mourir pour leurs idéaux.
Mais les gens "normaux" sont pas comme ça. Encore moins les stars, redescendons sur terre.
Bon déjà, user un Pavillon Rouge entier pour juste le premier album de ce truc j'ai trouvé ça moyen....
Sinon la série en elle-même n'est pas déplaisante, même si le dessin est un peu trop ordi.
Bon, y a un scénario : les débuts d'un jeune pilote de course en parallèle avec une histoire d'enlèvement et de rançon (pour l'instant, aucun lien n'a été fait avec les deux histoires)... loin d'être ma tasse de thé, personnellement.
Pour donner une touche de "stayle", on étale quelques gonzesses en tenue sexy.
Pour l'instant on se demande où ça va aller mais il est peu probable que je suive (je lirai peut-être le deuxième à la sauvette à la FNAC).
J'ai tout d'abord été surpris qu'autant d'auteurs de BD se soient prêtés au jeu. De voir les personnages de Dany ou de Walthéry dans des situations érotiques, c'est courant. Mais de voir De Gieter (Papyrus), Jidehem (Sophie et aussi Ginger), Turk (Robin Dubois), le Docteur Justice, Jess Long et tant d'autres s'y mettre aussi, c'est surprenant.
Mais hélas, les gags érotiques ne sont pas franchement marrants comme on pourrait s'en douter, et n'ont pas de quoi émoustiller un jeune adolescent.
Par contre, certains gags du troisième tome sur les héros 20 ans après ne sont pas mauvais. Je retiens par exemple celui de Lucky Luke vieilli qui se fait ramener par bobonne (Calamity Jane) à la maison à bord de son vieux tacot dont la marque est J.Jumper.
Bref, des parodies assez moyennes mais qui ont le mérite d'être faites pour une bonne partie par les auteurs originels.
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Le Kama Sutra
Une aventure franchement bidon qui sous des airs exotiques n'est qu'un prétexte à établir une sorte de catalogue de positions amoureuses. Le titre n'a donc pas été choisi à la légère. Il y a un peu d’humour (allez visiter la galerie !) mais nettement moins que Le Déclic ou d’autres albums du dessinateur italien. Il faut donc prendre cette bd pour ce qu’elle est : une pure bd de cul (en même temps, avec un titre pareil, on peut pas dire avoir été trompé sur la marchandise). Pour une fois, le dessin de Manara est en couleurs, mais celles-ci ne sont malheureusement pas toujours du plus bel effet. A réserver aux fans absolus, donc. Du même auteur, il y a mieux à lire.
Wayne Shelton
Wayne Shelton, la plus récente des séries de Jean Van Hamme sent déjà le vieux. Ce n'est pas en soit un reproche, je n'attends pas d'une bd qu'elle renouvelle en profondeur un genre ou la bd en général, mais ici, force est de constater que cette série n'apporte rien de neuf, non seulement à la bd mais aussi, et ça c'est un peu plus gênant, à l'oeuvre de Van Hamme en particulier. Déjà le célèbre scénariste a cette manie de travailler avec des dessinateurs au style réaliste et assez proches les uns des autres. Tant et si bien qu'on pourrait parfaitement imaginer cette série sous la plume de Francq ou de William Vance, cela n'aurait pas changé grand chose à la tonalité de ces albums. Ensuite, les ingrédients narratifs de cette série sont très proches des deux autres séries phares de Van Hamme : XIII et Largo Winch. On a non seulement la sensation d'avoir déjà lu cette histoire une bonne dizaine de fois, mais également celle que Van Hamme se plagie lui-même. J'exagère mais c'est presque ça. Ce n'est pas mauvais, loin de là, le dessin de Denayer, malgré certaines raideurs est efficace et d'une belle clarté, les couleurs sont mieux choisies que dans Largo Winch. Mais je suis plus réservé sur le scénario. Il a du mal à passionner le lecteur dans le premier tome. La mise en place des personnages est lente et laborieuse et les péripéties de la fin d'album sont non seulement peu crédibles mais tout à fait risibles. Le deuxième tome est heureusement bien meilleur, les personnages prennent un peu plus d'épaisseur (pas trop non plus) mais surtout le suspense fonctionne réellement. On regrettera juste, comme dans le premier tome, cette propension à tirer d'affaire les héros par des subterfuges plutôt "gros sabots", je sais pas combien de fois ça arrive mais le coup du gros camion qui pète tout sur son passage, c'est non seulement peu crédible mais totalement ridicule. Une fois ça passe, mais quand cela arrive 5-6 fois sur les deux albums, on ne peut s'empêcher de crier à la facilité scénaristique. Je n'épiloguerai pas sur les dernières planches du deuxième tome, crétines au possible et idéologiquement plus que douteuses, quand Van Hamme se met à faire du Steven Seagal, ça pue réellement... Il est dommage de terminer un album sur une aussi mauvaise fausse note. Un troisième tome va bientôt sortir et je n'ai pas spécialement envie de le lire. Tout ce qu'on peut espérer, c'est que la participation de Cailleteau au scénario permettra à la série de retrouver un peu de sang neuf. Pour l'instant, c'est à réserver aux inconditionnels de Van Hamme...
Carmen + Travis - les Récits
Pourquoi est-ce que je donne pas une note de 1 à cette série? Peut-être parce que certaines des histoires, bien qu'ayant un dessin hideux, ont un scénario plutôt pas mal. Je pense notamment aux deux histoires concernant Vlad (la discothèque et la formation). L'histoire concernant la jeunesse de Naoko Sonoda est également intéressante (graphiquement c'est une des plus abouties). Le second tome est également (un peu) plus intéressant, même s'il se lit toujours aussi vite. Le reste est par contre bien faible (le cross over entre Travis et Carmen notamment) voire carrément nul (qu'est ce que c'est que cette histoire de recette de cuisine?!). Bref un album décevant vu la richesse du monde imaginé par Fred Duval, brillant scénariste de Carmen et surtout de Travis. Je suis également désolé pour les jeunes pousses qui font leurs premières armes au dessin sur ces récits courts mais le résultat est loin d'être convaincant.
Cupidon
Comme d'habitude pour ce genre de bd: Marrant au début, certains gags bien trouvés et ensuite souvent très lassant...et oui le problème avec de tels thèmes (comme pour "Passe-moi le ciel", "Pierre Tombal", "les Femmes en blanc") c'est que c'est vite répétitif. Toutefois j'ai trouvé le dessin intéressant. A conseiller aux enfants peut-être.
Pim Pam Poum
DU même avis que Kael... Ca a vieilli, c'était pas si drôle que ça en fait... Mais quand on est petit c'est marrant et après tout c'est ce qui compte, non ? :)
Anges
Je n'ai pas trop aimé cette bd... Bon d'accord les dessins sont plutôt bons mais hélas ça ne fait pas tout et le scénario est trop farfelu à mon goût... De plus on a l'impression qu'il ne se passe rien dans la bd, on s'ennuie ferme. Je dois dire que je n'en garde pas un très bon souvenir, d'autant que l'on m'en avait dit du bien.
Les Minettos Desperados
De Cromwell, j'aime beaucoup Anita Bomba. Et pourtant je n'ai pas accroché aux Minettos. En effet, les personnages sont originaux, délurés et défoulants. Mais je trouve la narration difficile et le dessin et la mise en page n'aident pas. En gros, j'ai peiné à lire ces BDs, pas réussi à m'intéresser à l'histoire, ni rien. Tant et si bien que je n'ai que feuilleté la suite des pages sans plus rien trouver qui me motivait à me replonger dans l'histoire. Dommage... Et dommage que Cromwell ne se remette pas à la suite d'Anita Bomba.
Ceux qui t'aiment
Amusant, Davodeau se veut très authentique dans ses descriptions et moi j'ai quand même l'impression que son ronron est quand même souvent à coté de la plaque. Ses personnages sont trop souvent surréalistes ainsi que les situations, ça sonne souvent un peu convenu, très "propre pour la télé", voire des fois un peu démago. Bon, cette B.D c'est la réflexion sur la condition des joueurs de football, un tantinet exagérée voire encore une fois à côté. Bon, le champion de foot qui accepte d'aller dîner chez le quidam en fin de course, en soi, c'est déja pas très crédible, le coup de l'enlèvement et du doigt coupé etc. c'est la troisième dimension. Tout ça pour qu'il en ressorte finalement que les joueurs de foot sont une vrai marchandise, un produit marketing (ça on le savait déja), mais de la à dire qu'ils sont a plaindre, qu'il y en a qui ne s'en sont pas rendu compte, voire même qu'ils détestent ça... tous ces grands champions connaissent les effets de leurs notoriété et en profitent à fond. Le tapeur de balle qui quitte son club pour ne plus "être la vil marchandise du système de business footballeux" et qui fait une croix sur sa carrière, quitte à aller pointer au chom'du pour préserver sa "liberté" et ne plus être un objet marketing... n'importe quoi. Davodeau doit être un type vachement bien, mais ses persos sont tous des types avec des principes qu'ils ne lâchent pas, dussent-ils en mourrir. Au lieu de nous peindre des "mecs moyens" il nous offre le portrait de surhomme à principes quasiment prêts à mourir pour leurs idéaux. Mais les gens "normaux" sont pas comme ça. Encore moins les stars, redescendons sur terre.
Golden Cup
Bon déjà, user un Pavillon Rouge entier pour juste le premier album de ce truc j'ai trouvé ça moyen.... Sinon la série en elle-même n'est pas déplaisante, même si le dessin est un peu trop ordi. Bon, y a un scénario : les débuts d'un jeune pilote de course en parallèle avec une histoire d'enlèvement et de rançon (pour l'instant, aucun lien n'a été fait avec les deux histoires)... loin d'être ma tasse de thé, personnellement. Pour donner une touche de "stayle", on étale quelques gonzesses en tenue sexy. Pour l'instant on se demande où ça va aller mais il est peu probable que je suive (je lirai peut-être le deuxième à la sauvette à la FNAC).
Parodies
J'ai tout d'abord été surpris qu'autant d'auteurs de BD se soient prêtés au jeu. De voir les personnages de Dany ou de Walthéry dans des situations érotiques, c'est courant. Mais de voir De Gieter (Papyrus), Jidehem (Sophie et aussi Ginger), Turk (Robin Dubois), le Docteur Justice, Jess Long et tant d'autres s'y mettre aussi, c'est surprenant. Mais hélas, les gags érotiques ne sont pas franchement marrants comme on pourrait s'en douter, et n'ont pas de quoi émoustiller un jeune adolescent. Par contre, certains gags du troisième tome sur les héros 20 ans après ne sont pas mauvais. Je retiens par exemple celui de Lucky Luke vieilli qui se fait ramener par bobonne (Calamity Jane) à la maison à bord de son vieux tacot dont la marque est J.Jumper. Bref, des parodies assez moyennes mais qui ont le mérite d'être faites pour une bonne partie par les auteurs originels.