Katsu Aki a essayé ici de créer une sorte de "guide du sexe" en manga. Lors de petites histoires courtes on trouve dans des petits encadrés des info statistiques, pratiques (par exemple "comment dégrafer un soutien-gorge ?") ou biologiques. Ce qui rend l'ensemble très amusant à lire.
Pourtant, je déconseille vivement à tous les mecs avides de conseils de se référer à ce manga. En effet le héros de l'histoire agit de façon assez intolérable, et bien que cela ne gène pas sa copine fictive, je peux vous assurer que cela exaspérerait la plupart des femmes. On peut par exemple citer le fait qu'il continue de baiser jusqu'à ce qu'il ait un orgasme tandis que sa copine souffre (lors de sa 1ère fois). Charmant comme attitude n'est ce pas ?? Le pire c'est que lorsque sa copine lui fait une remarque, celui-ci se plaint en répondant "Bah... c'est agréable non?" De plus, certains moments, il supplie et force sa copine à faire l'amour (je ne vois pas très bien comment elle arrive à jouir dans ces conditions).
Bref, vous l'aurez compris tout ça n'est pas très réaliste. En plus ce n'est même pas excitant (en tout cas pour les filles) car la lecture de ce manga vous donne plutôt envie de frapper le héros.
Côté dessin c'est pas mal mais on ne voit pas vraiment tous les détails (c'est juste érotique quoi, pas porno) donc là encore, ce n'est pas très excitant.
Pour conclure c'est un manga marrant de par ses infos mais l'histoire n'est pas passionante et il n'arrive pas à nous émoustiller.
J'espere tout de même qu'au long des 23 tomes, ce cher monsieur Aki en apprendra un peu plus sur les femmes et leur psychologie et que du même coup le héros aura un peu plus de tact et de respect envers sa copine. (comme ça nous, lectrices, on pourra enfin prendre notre pied en lisant ce manga !)
Sorti dans la collection "Histoires et légendes" de chez Dargaud, La Danse de l'ours nous fait découvrir le moyen-âge à travers des récits extraordinaires où les sortilèges vous guettent à chaque page.
Après Les yeux du Marais et Le Cri du faucon, Marc Renier nous replonge pour la troisième fois dans cet univers. Les récits se suivent et se ressemblent sans vraiment de surprise. Un de ces contes m'a même fait bizarrement penser à Thyl Ulenspiegel, le côté fantastique en plus.
Donc, rien de neuf avec cet album, et il faut avouer qu'on est bien loin de Christophe Chabouté qui lui aussi s'était laissé tenter par ce genre de thème mais avec beaucoup plus de réussite.
La Danse de l'ours, au même titre que les deux autres bd précitées, ne sont pas à conseiller.
Elle est même plutôt à éviter !
Alors là NON !!!
Je suis (du verbe suivre) souvent les conseils des divers avis donnés sur une BD, et souvent je suis (du verbe être) d'accord avec ceux-ci.
Mais cette fois-ci NON.
Le dessin n'est pas le point fort de cette BD, même si je ne le trouve pas "nul". En fait je trouve les cases un peu vides.
Par contre le scénario, même s'il est original, n'est pas ou peu intéressant à mon goût.
Sans blabla... supplémentaire.
Le Cri du faucon est le deuxième one-shot que Marc Renier concacre aux légendes de nos contrées.
Une nouvelle fois, l'auteur nous convie dans un voyage dans le temps, à une époque où le mystère était omniprésent.
Rien de bien révolutionnaire, ici, dans ce one-shot. Les histoires sont parfois plaisantes mais pas mémorables. Certaines fables sont même franchement ennuyeuses.
Le dessin est toujours aussi fin et les couleurs sont assez agréables à regarder mais malgré cela je ne vous conseille pas cet album.
En 1985, Marc Rénier inaugure, avec cet album, son premier one-shot consacré aux légendes de nos contrées. Il réalisera par la suite deux autres bd ayant le même thème ( "Le Cri du Faucon", La Danse de l'ours").
A travers des histoire de quelques pages, l'auteur nous fait voyager dans notre passé. Magie et sorcellerie sont ici au rendez-vous.
Que dire du résultat ? Et bien celui-ci n'est pas vraiment convaincant. Ces mini-histoires sont souvent prévisibles et sont traitées d'une manière assez classique. Les rebondissements sont quasiment inexistants et l'ensemble frôle l'ennui.
Le dessin de Marc Renier est très fin. Certaines mauvaises langues diront que celui-ci est trop fin. C'est vrai que son style est très épuré et que son trait manque parfois de concistance. Par contre, les visages sont,eux, très convaincants.
En somme, Les yeux du marais n'est pas vraiment à conseiller sauf si vous n'avez rien d'autres à lire sous la main.
Personnellement, cette BD ne m'a vraiment pas déçu. Elle correspond exactement a ce que j'imaginais : c'est a dire, une BD sans grand intérèt, basée sur l'enfance d'un héros d'une série a succès, qui n'est pas la meilleure... Et le tout sans apporter grand chose à la série d'origine. Bref, déolé, mais je n'accroche décidement pas, ça sent un peu trop la recette miracle pour pressurer un peu plus la série à succès et l'héroïne charismatique...
Un peu d'imagination, que Diable, je suis sûr qu'en cherchant un peu, Morvan et Buchet (pour Sillage), ou Munuera(pour Nävis) peuvent nous sortir une belle BD de derrière les fagots, d'un niveau moins inégal que Sillage... Ils doivent en être capables...
Encore plus petit que les pattes de mouche, voici la collection grain de sable ! Format rikiki pour de toutes petites historiettes, l’occasion de découvrir en deux minutes des auteurs qu’on ne connaissait pas forcément.
Celui-ci met en scène un petit bonhomme qui est là pour distraire le lecteur et qui ne sait pas trop comment s’y prendre. Au programme, deux trois situations absurdes, références, jeux de mots, gags, et un zizi.
Rien d’extraordinaire, mais ça reste sympa et ça ne prend pas de place dans votre bibliothèque.
Cette oeuvre m'avait toujours repoussé, au même titre que toutes les bd au graphisme gothique que j'exècre particulièrement (cf Requiem), rien qu'au vu de sa couverture. Et puis, il n'y a pas longtemps, j'ai par hasard ouvert un tome et me suis vite rendu compte que le dessin n'était non seulement pas du tout orienté dans ce sens, mais qu'en plus il était très beau. Dire que Marini est le meilleur dessinateur actuel est très exagéré (je lui préfère de loin un Bilal, un Guarnido ou même un Loisel), mais ce qu'il fait est magnifique, il faut l'avouer. Alors je me suis plongé dedans et lu les 4 tomes en peu de temps. Le verdict ? Mon enthousiasme est retombé, le scénario est vraiment, vraiment cliché, les personnages pas fouillés et finalement, même Marini en fait tout un flan avec ses physiques parfaits qu'il met en valeur à la première occasion. Et puis, toutes ces scènes de sexe, parfaitement déplacées, n'ayant aucun sens réel, ca vous fiche en l'air une bd ! Alors c'est vrai que grâce au dessin et un scénario (bien que vu et re-vu) qui se laisse suivre, c'est pas si désagréable que ça à lire. Mais je serai bien le dernier à cautionner ce genre d'oeuvre. A lire si vous avez hiberné ces 15 dernières années et que vous n'avez jamais lu une seule histoire vampiresque. Les autres, passez votre chemin, cette lecture ne vous apportera pas grand'chose.
J'ai hésité à critiquer cet album, car clairement, il s'agit plus d'informer et de sensibiliser les "jeunes" à un grave problème tout en restant politiquement correct pour que l'album puisse être distribué dans tous les lieux fréquentés par les "jeunes".
Je mets "jeune" entre guillemets, parce que si vous connaissez un "jeune" lycéen, voire collégien que cette bd soit en mesure d'instruire, il faut rapidement lui expliquer que les petits garçons ne naissent pas dans les choux, ni les petites filles dans les roses. Ca l'aidera à comprendre la suite.
Je mets donc 2/5, considérant que cette bd est plutôt le résultat d'une "commande", plutôt que d'une réelle démarche artistique.
Hummmm, une compilation joliment dessinée de tranches de vie, réalistes à souhait. Le problème avec ce genre d'album, c'est que quand on ne se reconnaît pas dans les personnages, l'histoire a une fâcheuse propension à devenir un tantinet ennuyeuse. Une bédé qui plaira certainement à pas mal de monde, mais pas trop à moi...
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Step up love story
Katsu Aki a essayé ici de créer une sorte de "guide du sexe" en manga. Lors de petites histoires courtes on trouve dans des petits encadrés des info statistiques, pratiques (par exemple "comment dégrafer un soutien-gorge ?") ou biologiques. Ce qui rend l'ensemble très amusant à lire. Pourtant, je déconseille vivement à tous les mecs avides de conseils de se référer à ce manga. En effet le héros de l'histoire agit de façon assez intolérable, et bien que cela ne gène pas sa copine fictive, je peux vous assurer que cela exaspérerait la plupart des femmes. On peut par exemple citer le fait qu'il continue de baiser jusqu'à ce qu'il ait un orgasme tandis que sa copine souffre (lors de sa 1ère fois). Charmant comme attitude n'est ce pas ?? Le pire c'est que lorsque sa copine lui fait une remarque, celui-ci se plaint en répondant "Bah... c'est agréable non?" De plus, certains moments, il supplie et force sa copine à faire l'amour (je ne vois pas très bien comment elle arrive à jouir dans ces conditions). Bref, vous l'aurez compris tout ça n'est pas très réaliste. En plus ce n'est même pas excitant (en tout cas pour les filles) car la lecture de ce manga vous donne plutôt envie de frapper le héros. Côté dessin c'est pas mal mais on ne voit pas vraiment tous les détails (c'est juste érotique quoi, pas porno) donc là encore, ce n'est pas très excitant. Pour conclure c'est un manga marrant de par ses infos mais l'histoire n'est pas passionante et il n'arrive pas à nous émoustiller. J'espere tout de même qu'au long des 23 tomes, ce cher monsieur Aki en apprendra un peu plus sur les femmes et leur psychologie et que du même coup le héros aura un peu plus de tact et de respect envers sa copine. (comme ça nous, lectrices, on pourra enfin prendre notre pied en lisant ce manga !)
La Danse de l'ours
Sorti dans la collection "Histoires et légendes" de chez Dargaud, La Danse de l'ours nous fait découvrir le moyen-âge à travers des récits extraordinaires où les sortilèges vous guettent à chaque page. Après Les yeux du Marais et Le Cri du faucon, Marc Renier nous replonge pour la troisième fois dans cet univers. Les récits se suivent et se ressemblent sans vraiment de surprise. Un de ces contes m'a même fait bizarrement penser à Thyl Ulenspiegel, le côté fantastique en plus. Donc, rien de neuf avec cet album, et il faut avouer qu'on est bien loin de Christophe Chabouté qui lui aussi s'était laissé tenter par ce genre de thème mais avec beaucoup plus de réussite. La Danse de l'ours, au même titre que les deux autres bd précitées, ne sont pas à conseiller. Elle est même plutôt à éviter !
Candélabres
Alors là NON !!! Je suis (du verbe suivre) souvent les conseils des divers avis donnés sur une BD, et souvent je suis (du verbe être) d'accord avec ceux-ci. Mais cette fois-ci NON. Le dessin n'est pas le point fort de cette BD, même si je ne le trouve pas "nul". En fait je trouve les cases un peu vides. Par contre le scénario, même s'il est original, n'est pas ou peu intéressant à mon goût. Sans blabla... supplémentaire.
Le Cri du faucon
Le Cri du faucon est le deuxième one-shot que Marc Renier concacre aux légendes de nos contrées. Une nouvelle fois, l'auteur nous convie dans un voyage dans le temps, à une époque où le mystère était omniprésent. Rien de bien révolutionnaire, ici, dans ce one-shot. Les histoires sont parfois plaisantes mais pas mémorables. Certaines fables sont même franchement ennuyeuses. Le dessin est toujours aussi fin et les couleurs sont assez agréables à regarder mais malgré cela je ne vous conseille pas cet album.
Les Yeux du marais
En 1985, Marc Rénier inaugure, avec cet album, son premier one-shot consacré aux légendes de nos contrées. Il réalisera par la suite deux autres bd ayant le même thème ( "Le Cri du Faucon", La Danse de l'ours"). A travers des histoire de quelques pages, l'auteur nous fait voyager dans notre passé. Magie et sorcellerie sont ici au rendez-vous. Que dire du résultat ? Et bien celui-ci n'est pas vraiment convaincant. Ces mini-histoires sont souvent prévisibles et sont traitées d'une manière assez classique. Les rebondissements sont quasiment inexistants et l'ensemble frôle l'ennui. Le dessin de Marc Renier est très fin. Certaines mauvaises langues diront que celui-ci est trop fin. C'est vrai que son style est très épuré et que son trait manque parfois de concistance. Par contre, les visages sont,eux, très convaincants. En somme, Les yeux du marais n'est pas vraiment à conseiller sauf si vous n'avez rien d'autres à lire sous la main.
Nävis
Personnellement, cette BD ne m'a vraiment pas déçu. Elle correspond exactement a ce que j'imaginais : c'est a dire, une BD sans grand intérèt, basée sur l'enfance d'un héros d'une série a succès, qui n'est pas la meilleure... Et le tout sans apporter grand chose à la série d'origine. Bref, déolé, mais je n'accroche décidement pas, ça sent un peu trop la recette miracle pour pressurer un peu plus la série à succès et l'héroïne charismatique... Un peu d'imagination, que Diable, je suis sûr qu'en cherchant un peu, Morvan et Buchet (pour Sillage), ou Munuera(pour Nävis) peuvent nous sortir une belle BD de derrière les fagots, d'un niveau moins inégal que Sillage... Ils doivent en être capables...
La Passion des planches
Encore plus petit que les pattes de mouche, voici la collection grain de sable ! Format rikiki pour de toutes petites historiettes, l’occasion de découvrir en deux minutes des auteurs qu’on ne connaissait pas forcément. Celui-ci met en scène un petit bonhomme qui est là pour distraire le lecteur et qui ne sait pas trop comment s’y prendre. Au programme, deux trois situations absurdes, références, jeux de mots, gags, et un zizi. Rien d’extraordinaire, mais ça reste sympa et ça ne prend pas de place dans votre bibliothèque.
Rapaces
Cette oeuvre m'avait toujours repoussé, au même titre que toutes les bd au graphisme gothique que j'exècre particulièrement (cf Requiem), rien qu'au vu de sa couverture. Et puis, il n'y a pas longtemps, j'ai par hasard ouvert un tome et me suis vite rendu compte que le dessin n'était non seulement pas du tout orienté dans ce sens, mais qu'en plus il était très beau. Dire que Marini est le meilleur dessinateur actuel est très exagéré (je lui préfère de loin un Bilal, un Guarnido ou même un Loisel), mais ce qu'il fait est magnifique, il faut l'avouer. Alors je me suis plongé dedans et lu les 4 tomes en peu de temps. Le verdict ? Mon enthousiasme est retombé, le scénario est vraiment, vraiment cliché, les personnages pas fouillés et finalement, même Marini en fait tout un flan avec ses physiques parfaits qu'il met en valeur à la première occasion. Et puis, toutes ces scènes de sexe, parfaitement déplacées, n'ayant aucun sens réel, ca vous fiche en l'air une bd ! Alors c'est vrai que grâce au dessin et un scénario (bien que vu et re-vu) qui se laisse suivre, c'est pas si désagréable que ça à lire. Mais je serai bien le dernier à cautionner ce genre d'oeuvre. A lire si vous avez hiberné ces 15 dernières années et que vous n'avez jamais lu une seule histoire vampiresque. Les autres, passez votre chemin, cette lecture ne vous apportera pas grand'chose.
Jo
J'ai hésité à critiquer cet album, car clairement, il s'agit plus d'informer et de sensibiliser les "jeunes" à un grave problème tout en restant politiquement correct pour que l'album puisse être distribué dans tous les lieux fréquentés par les "jeunes". Je mets "jeune" entre guillemets, parce que si vous connaissez un "jeune" lycéen, voire collégien que cette bd soit en mesure d'instruire, il faut rapidement lui expliquer que les petits garçons ne naissent pas dans les choux, ni les petites filles dans les roses. Ca l'aidera à comprendre la suite. Je mets donc 2/5, considérant que cette bd est plutôt le résultat d'une "commande", plutôt que d'une réelle démarche artistique.
L'Immeuble d'en face
Hummmm, une compilation joliment dessinée de tranches de vie, réalistes à souhait. Le problème avec ce genre d'album, c'est que quand on ne se reconnaît pas dans les personnages, l'histoire a une fâcheuse propension à devenir un tantinet ennuyeuse. Une bédé qui plaira certainement à pas mal de monde, mais pas trop à moi...