C'est vrai qu'il y a de quoi s'exclaffer au long de cette BD où les femmes et les hommes sont nus en permanence, où les discussions se font comme si de rien n'était alors que les femmes sont dans des positions plus que lascives ou en train de se faire prendre vigoureusement, où elles affichent leur dos cambrés et leur parties intimes à l'air de manière presque contre-nature tant leurs poses sont au delà du suggestif. On sent le second degré en permanence tant le scénario est outré et les situations incongrues.
Mais d'une part, je n'aime guère le dessin, de par ses couleurs mais aussi de par la façon dont sont représentées les parties intimes masculines et féminines. D'autre part, je n'ai guère rigolé à la lecture de cet humour particulier. Et pour finir, il y a vraiment plein de passages vraiment dégueulasses où le sang menstruel et la cyprine coulent à flot dans des "Gluap !", "Floap !", "Iouuuuf !", "Slict !", "Srac !" et autres bruits sciemment ridicules mais ne changeant en rien le côté immonde de certaines scènes. Beurk.
Bref, côté érotisme, cette BD ne fonctionne pas pour moi, et côté humour, ça ne m'a pas fait rire, moi.
Arg, on m'y reprendra à écouter les avis trop enthousiastes !
Etant fan du feuilleton mp3, j'étais tentée par la BD et vos avis ont achevé de me convaincre (dûment encouragée par mon cher et tendre).
Je fais trois librairies pour le trouver... épuisé à chaque fois ! bon signe, me dis-je.
Aussi, quand je tombe sur une librairie à qui il ne reste qu'un seul petit exemplaire, même si je suis trop pressée pour feuilleter l'oeuvre, j'achète en toute confiance...
Mais de retour chez moi, quelle cruelle déception !
La BD reproduit mot pour mot le feuilleton, mais tout ce qui en faisait la drôlerie, les voix, le rythme, tout cela a disparu pour finalement arriver à une BD pas très jolie et très, très moyenne.
Le barbare n'est pas assez barbare, l'ogre ressemble à un ours en peluche, l'elfe a presque l'air intelligente...
Le style de graphisme (façon SDs kawai pas super réussis) convient mal à l'histoire, et le découpage et la mise en scène sont sans imagination...
Moralité : feuilletez avant d'acheter !
"La maison où rêvent les arbres" est avant tout un titre qui laissait présager d’un récit poétique ou à défaut, au moins onirique. Mais il n’en est rien. Même si le fond est intéressant, cette histoire de vengeance de "mère nature" est maladroite, mal exploitée et surtout peu prenante.
Pour le dessin, Comès fait partie de ces dessineux qui font des merveilles rien qu’avec une feuille blanche et un peu d’encre. Le N&B est d’ailleurs un exercice de style plus difficile qu’il n’y paraît car l’auteur ne se donne pas de droit à l’erreur. En effet, chaque détail compte et les imperfections du dessin ne peuvent être rattrapées par la mise en couleur. Mais voilà, je suis plutôt déçu du travail de Comès sur ce one shot. Autant j’apprécie les animaux dessinés par cet auteur (les "gros plans" en particulier), autant je trouve qu’il manque de réussite pour les traits des personnages (les visages surtout). A ce titre, le visage de la sorcière est assez parlant. Comme le souligne Spooky, il est inexpressif, comme si un "masque fissuré" recouvrait sa figure.
Ce one shot est donc pour moi une déception sur le plan graphique et surtout scénaristique.
Alors là, j'avoue mon étonnement devant ces critiques positives parce que de mon point de vue, il n'y a pas grand chose à en sauver.
Le scénario, certes, soulève parfois quelques points intéressants, dans le premier tome tout du moins, qui font espérer un décollage de l'histoire qui n'advient jamais. Les persos ont une psychologie sommaire, surtout les filles d'ailleurs, et sont trop nombreux pour qu'on puisse s'y attacher.
Mais surtout, j'ai trouvé cette BD limite illisible : tous les persos se ressemblent mais ne ressemblent guère à leur version enfantine, le découpage et la mise en scène sont cafouilleux, ce qui rend la lecture franchement pénible. Quand à cela on ajoute des dialogues à deux balles et des situations clichéesques au possible, ben... il n'en reste pas grand chose.
En plus, j'ai trouvé pour ma part le graphisme hideux, quoique parfois involontairement comique (arf les cheveux aux vent dans un ciel de pleine lune, hahaha les 50 boucles de ceinture du costume de ravenshadow...)
Si je mets tout de même 2 étoiles, c'est parce qu'un comic où les grands méchants sont un gars qui se fait appeler "patriot", habillé du drapeau américain et qui manipule l'opinion, et un prédicateur chrétien fanatique, dans le contexte actuel, ça fait du bien.
Autant vous le dire tout de suite, ce genre de BD n'est pas du tout ma tasse de thé. J'ai lu (rapidement parce que de toute façon il n'y a pas beaucoup de matière) ce bouquin à la bibliothèque et je n'en garde pas vraiment un souvenir ému.
Le récit des vacances chez sa grand-mère de cette gamine n'a pas vraiment d'intérêt en soi. Il n'y a pas à proprement parler d'intrigue (tout au plus une vague allusion aux transformations liées à la puberté, et un mystère - très, très relatif - quant aux fameuses 'mains bleues' ).
Je me suis ennuyé en lisant cet album, bien conscient qu'il est censé apporter une 'émotion' , ou une certaine forme de nostalgie, à laquelle je suis demeuré insensible.
Et puis j'en ai un peu marre de cet air du temps qui nous vend le passé, le retour aux choses essentielles et simples de la vie à toutes les sauces, et je trouve qu'Eva s'inscrit en droite ligne dans cette tendance.
Cette BD ne m'a pas fait réfléchir sur son sujet, ne m'a pas ému et ne m'a pas impressionné de par sa réalisation. J'ai trouvé cela un peu mou et fade, sans ambition et donc sans grand intérêt.
Je n'ai pas vraiment aimé ces deux albums, tant Yann s'y montre injurieux et politiquement incorrect. C'est truffé de raccourcis scénaristiques (oeuvre de jeunesse ?), et les histoires, bien que truculentes, sont tirées par les cheveux. Le dessin de Frank Le Gall est sympa, mais je trouve qu'il a fait bien mieux en changeant de style.
Bon, la couverture m'a bien fait rigoler quand je suis tombé dessus, le scénario était du gars qui a fait "Ayak le loup blanc", ça parlait de cul et de préhistoire, donc je l'ai pris, avec une brassée d'orties fraîches pour compléter le tout.
Difficile de ne pas citer le terme "moisi" pour qualifier cet album. Le ton est très vieillot, avec beaucoup de textes off qui disparaissent quand même par la suite, et une ambiance qui rappelle assez Rahan (oui, oui, le fils des âges farouches).
Le début est assez... euh, spécial, avec une tribu qui fait copuler ses femmes avec un gorille. Hum. Pour bénéficier de sa force, bien sûr. Ah. Et puis dès que Moi-être a enlvé la belle, ça commence à niquer sous le moindre prétexte. T'es en forme ? Allez, on nique. T'es fatigué ? Allez, on nique. Et donc Moi-être découvre avec bonheur la position du missionnaire (** Joie ! **), la turlutte (** Bonheur ! **)... et le bain (** Félicité ! **). Le passage où ses femmes font grève est franchement marrant, involontairement je dirais. :)
Bon, tout cela tourne vite à une longue course-poursuite où les deux personnages niquent tout le temps, entremélé de quelques instants de suspense, de combat, etc. Bizarrement ça n'est pas complètement mauvais, c'est juste pas génial, mais on rigole quand même bien à certains moments. Comme nanar ça vaudrait un gentil trois étoiles.
Qu'est-ce que c'est moche ! C'est assez impressionnant. Le trait est pourtant clair, les personnages caricaturaux et expressifs, mais l'impression qu'il s'en dégage est une espèce de brouillon, gribouillé pendant une conversation au téléphone.
Du coup, il faut faire un véritable effort pour parvenir à lire ne serait-ce qu'un gag. Bon, on ne le regrette pas forcément, car certains sont vraiment très très drôles, surtout pour un lecteur qui a déjà passé des heures à pester contre son ordinateur. Mais ces quelques gags réussis ne suffisent pas à assurer un bon niveau à l'ensemble, et la lecture de l'album est vraiment pénible.
Très largement dispensable, même pour le public visé.
Cette BD manque d'originalité, de folie, ça en devient chiant très rapidement. Tout tourne autour du "mythe" de la vierge, et je ne partage pas ce fantasme avec les auteurs. C'est gentillet quoi.
Le dessin épuré n'est pas si mal que ça, mais il ne réussit pas, lui non-plus, à enflamer le lecteur.
De la BD prono très bof mais pas mauvaise...
J'adore le dessin de Baldazzini, ses encrages sont magnifiques et il sait diablement bien dessiner les femmes... à un détail prêt : il leur ajoute quasi-toujours une mini-bite. Curieux fantasme que je ne partage pas du tout !
Les scènes de cul deviennent donc très étranges vu que les nanas s'enculent à longueur de temps. Beurk, sans façon.
Dommage, parce qu'avec un dessin comme ça, il pourrait faire des trucs vraiment très bons !
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Gomorrhe
C'est vrai qu'il y a de quoi s'exclaffer au long de cette BD où les femmes et les hommes sont nus en permanence, où les discussions se font comme si de rien n'était alors que les femmes sont dans des positions plus que lascives ou en train de se faire prendre vigoureusement, où elles affichent leur dos cambrés et leur parties intimes à l'air de manière presque contre-nature tant leurs poses sont au delà du suggestif. On sent le second degré en permanence tant le scénario est outré et les situations incongrues. Mais d'une part, je n'aime guère le dessin, de par ses couleurs mais aussi de par la façon dont sont représentées les parties intimes masculines et féminines. D'autre part, je n'ai guère rigolé à la lecture de cet humour particulier. Et pour finir, il y a vraiment plein de passages vraiment dégueulasses où le sang menstruel et la cyprine coulent à flot dans des "Gluap !", "Floap !", "Iouuuuf !", "Slict !", "Srac !" et autres bruits sciemment ridicules mais ne changeant en rien le côté immonde de certaines scènes. Beurk. Bref, côté érotisme, cette BD ne fonctionne pas pour moi, et côté humour, ça ne m'a pas fait rire, moi.
Le Donjon de Naheulbeuk
Arg, on m'y reprendra à écouter les avis trop enthousiastes ! Etant fan du feuilleton mp3, j'étais tentée par la BD et vos avis ont achevé de me convaincre (dûment encouragée par mon cher et tendre). Je fais trois librairies pour le trouver... épuisé à chaque fois ! bon signe, me dis-je. Aussi, quand je tombe sur une librairie à qui il ne reste qu'un seul petit exemplaire, même si je suis trop pressée pour feuilleter l'oeuvre, j'achète en toute confiance... Mais de retour chez moi, quelle cruelle déception ! La BD reproduit mot pour mot le feuilleton, mais tout ce qui en faisait la drôlerie, les voix, le rythme, tout cela a disparu pour finalement arriver à une BD pas très jolie et très, très moyenne. Le barbare n'est pas assez barbare, l'ogre ressemble à un ours en peluche, l'elfe a presque l'air intelligente... Le style de graphisme (façon SDs kawai pas super réussis) convient mal à l'histoire, et le découpage et la mise en scène sont sans imagination... Moralité : feuilletez avant d'acheter !
La maison où rêvent les arbres
"La maison où rêvent les arbres" est avant tout un titre qui laissait présager d’un récit poétique ou à défaut, au moins onirique. Mais il n’en est rien. Même si le fond est intéressant, cette histoire de vengeance de "mère nature" est maladroite, mal exploitée et surtout peu prenante. Pour le dessin, Comès fait partie de ces dessineux qui font des merveilles rien qu’avec une feuille blanche et un peu d’encre. Le N&B est d’ailleurs un exercice de style plus difficile qu’il n’y paraît car l’auteur ne se donne pas de droit à l’erreur. En effet, chaque détail compte et les imperfections du dessin ne peuvent être rattrapées par la mise en couleur. Mais voilà, je suis plutôt déçu du travail de Comès sur ce one shot. Autant j’apprécie les animaux dessinés par cet auteur (les "gros plans" en particulier), autant je trouve qu’il manque de réussite pour les traits des personnages (les visages surtout). A ce titre, le visage de la sorcière est assez parlant. Comme le souligne Spooky, il est inexpressif, comme si un "masque fissuré" recouvrait sa figure. Ce one shot est donc pour moi une déception sur le plan graphique et surtout scénaristique.
Rising Stars
Alors là, j'avoue mon étonnement devant ces critiques positives parce que de mon point de vue, il n'y a pas grand chose à en sauver. Le scénario, certes, soulève parfois quelques points intéressants, dans le premier tome tout du moins, qui font espérer un décollage de l'histoire qui n'advient jamais. Les persos ont une psychologie sommaire, surtout les filles d'ailleurs, et sont trop nombreux pour qu'on puisse s'y attacher. Mais surtout, j'ai trouvé cette BD limite illisible : tous les persos se ressemblent mais ne ressemblent guère à leur version enfantine, le découpage et la mise en scène sont cafouilleux, ce qui rend la lecture franchement pénible. Quand à cela on ajoute des dialogues à deux balles et des situations clichéesques au possible, ben... il n'en reste pas grand chose. En plus, j'ai trouvé pour ma part le graphisme hideux, quoique parfois involontairement comique (arf les cheveux aux vent dans un ciel de pleine lune, hahaha les 50 boucles de ceinture du costume de ravenshadow...) Si je mets tout de même 2 étoiles, c'est parce qu'un comic où les grands méchants sont un gars qui se fait appeler "patriot", habillé du drapeau américain et qui manipule l'opinion, et un prédicateur chrétien fanatique, dans le contexte actuel, ça fait du bien.
Eva aux Mains Bleues
Autant vous le dire tout de suite, ce genre de BD n'est pas du tout ma tasse de thé. J'ai lu (rapidement parce que de toute façon il n'y a pas beaucoup de matière) ce bouquin à la bibliothèque et je n'en garde pas vraiment un souvenir ému. Le récit des vacances chez sa grand-mère de cette gamine n'a pas vraiment d'intérêt en soi. Il n'y a pas à proprement parler d'intrigue (tout au plus une vague allusion aux transformations liées à la puberté, et un mystère - très, très relatif - quant aux fameuses 'mains bleues' ). Je me suis ennuyé en lisant cet album, bien conscient qu'il est censé apporter une 'émotion' , ou une certaine forme de nostalgie, à laquelle je suis demeuré insensible. Et puis j'en ai un peu marre de cet air du temps qui nous vend le passé, le retour aux choses essentielles et simples de la vie à toutes les sauces, et je trouve qu'Eva s'inscrit en droite ligne dans cette tendance. Cette BD ne m'a pas fait réfléchir sur son sujet, ne m'a pas ému et ne m'a pas impressionné de par sa réalisation. J'ai trouvé cela un peu mou et fade, sans ambition et donc sans grand intérêt.
Les Exploits de Yoyo
Je n'ai pas vraiment aimé ces deux albums, tant Yann s'y montre injurieux et politiquement incorrect. C'est truffé de raccourcis scénaristiques (oeuvre de jeunesse ?), et les histoires, bien que truculentes, sont tirées par les cheveux. Le dessin de Frank Le Gall est sympa, mais je trouve qu'il a fait bien mieux en changeant de style.
La nuit barbare
Bon, la couverture m'a bien fait rigoler quand je suis tombé dessus, le scénario était du gars qui a fait "Ayak le loup blanc", ça parlait de cul et de préhistoire, donc je l'ai pris, avec une brassée d'orties fraîches pour compléter le tout. Difficile de ne pas citer le terme "moisi" pour qualifier cet album. Le ton est très vieillot, avec beaucoup de textes off qui disparaissent quand même par la suite, et une ambiance qui rappelle assez Rahan (oui, oui, le fils des âges farouches). Le début est assez... euh, spécial, avec une tribu qui fait copuler ses femmes avec un gorille. Hum. Pour bénéficier de sa force, bien sûr. Ah. Et puis dès que Moi-être a enlvé la belle, ça commence à niquer sous le moindre prétexte. T'es en forme ? Allez, on nique. T'es fatigué ? Allez, on nique. Et donc Moi-être découvre avec bonheur la position du missionnaire (** Joie ! **), la turlutte (** Bonheur ! **)... et le bain (** Félicité ! **). Le passage où ses femmes font grève est franchement marrant, involontairement je dirais. :) Bon, tout cela tourne vite à une longue course-poursuite où les deux personnages niquent tout le temps, entremélé de quelques instants de suspense, de combat, etc. Bizarrement ça n'est pas complètement mauvais, c'est juste pas génial, mais on rigole quand même bien à certains moments. Comme nanar ça vaudrait un gentil trois étoiles.
Y a un bug !
Qu'est-ce que c'est moche ! C'est assez impressionnant. Le trait est pourtant clair, les personnages caricaturaux et expressifs, mais l'impression qu'il s'en dégage est une espèce de brouillon, gribouillé pendant une conversation au téléphone. Du coup, il faut faire un véritable effort pour parvenir à lire ne serait-ce qu'un gag. Bon, on ne le regrette pas forcément, car certains sont vraiment très très drôles, surtout pour un lecteur qui a déjà passé des heures à pester contre son ordinateur. Mais ces quelques gags réussis ne suffisent pas à assurer un bon niveau à l'ensemble, et la lecture de l'album est vraiment pénible. Très largement dispensable, même pour le public visé.
Aude n'est plus Vierge
Cette BD manque d'originalité, de folie, ça en devient chiant très rapidement. Tout tourne autour du "mythe" de la vierge, et je ne partage pas ce fantasme avec les auteurs. C'est gentillet quoi. Le dessin épuré n'est pas si mal que ça, mais il ne réussit pas, lui non-plus, à enflamer le lecteur. De la BD prono très bof mais pas mauvaise...
La Forteresse de la Douleur
J'adore le dessin de Baldazzini, ses encrages sont magnifiques et il sait diablement bien dessiner les femmes... à un détail prêt : il leur ajoute quasi-toujours une mini-bite. Curieux fantasme que je ne partage pas du tout ! Les scènes de cul deviennent donc très étranges vu que les nanas s'enculent à longueur de temps. Beurk, sans façon. Dommage, parce qu'avec un dessin comme ça, il pourrait faire des trucs vraiment très bons !