Mouais, autant j'aime bien certaines BD SM, autant là c'est trop violent pour moi, ça ressemble parfois plus à de la torture qu'à une recherche de plaisir.
C'est dommage, certaines scènes sont assez sympas et le dessin de Trinca est nickel (sauf les couleurs vraiment mauvaises)
Le scénario ? Quel scénario ? ;)
Nan franchement, c'est très loin d'être un indispensable du genre.
Basé sur une trame assez classique, fantasmes et double personnalité, « Rêves interdits » n’est pas désagréable à lire mais reste quand même loin d’être transcendant. Le dessin est plutôt plaisant mais l’ensemble manque franchement de fluidité et d’originalité. Une histoire qui s’oublie relativement vite même pour un genre aussi trivial.
J’adore carrément le dessin de Baldazzini, ses encrages sont magnifiques, ses femmes toutes plus belles les unes que les autres… mais il est vraiment trop Hard pour moi : Les femmes ne sont pas des femmes comme les autres (ou alors j’ai eu de la chance dans ma vie perso) puisqu’elles ont toutes une mini-bite !
Forcément, c’est beaucoup moins excitant… d’autant plus que ces mini-bites semblent toujours être poisseuses (c’est fatale la grosse goutte qui coule à toutes les cases)
Alors franchement, c’est pas une BD pour moi, malgré ma grande ouverture d’esprit (d’esprit j’ai dit !)
Dommage, parce que le dessin...
Le plus gros défaut de cette BD vient du dessin un peu vieillot, trop grisé à mon goût. Pourtant, le trait de Chris est vraiment agréable est ses délires Sado-Maso sont plutôt amusants (quoi que, les 2 vieux sont plus pénibles qu’autre chose à toujours parler expliquer etc)
Sinon, à part quelques poils de trop (ça fait vieille BD), c’est assez sympa à lire, mais ça reste très loin des meilleurs BDs du genre.
Dommage que le dessin et surtout la colorisation ne soient pas à la hauteur de la couverture : ça a tendance à baver et ça gâche carrément le trait… déjà que le dessin n’est pas une perle en soi. Sinon ça reste du super classique dans le genre, on a l’impression d’avoir vu ça 100 fois et comme le dessin ne rattrape pas grand chose, voilà une BD sur laquelle il n’y a pas besoin de trop s’attarder.
Un vieil album d’Azpiri, édité par Soleil à l’époque où ils éditaient tout et n’importe quoi (euh… ça n’a pas vraiment changé en fait, bref)
Je crois que niveau scénario, c’est l’album d’Azpiri qui m’a le moins intéressé… Pourtant je suis assez tolérant avec les scénario érotiques ! Beaucoup de blabla grandiloquents pour pas grand chose, et des scènes d’un érotisme très soft et pas excitantes pour un sous.
C’est dommage, j’aime vraiment beaucoup le dessin d’Azpiri et j’attends avec impatience le jour où il aura un bon scénario… (érotique ou non d’ailleurs)
Le dessin de Jacobsen est nettement moins beau qu’à l’habitude ; comme le scénario est vraiment super basique avec cette jeune et virginale jeune fille qui, une fois « éduquée », montrera sa véritable nature, on ne peut pas dire que « Mistress Jayne » soit une BD vraiment transcendante. Pas médiocre mais ne sortant vraiment pas du lot.
Bof. Des histoires courtes sur fond très SF, à caractère légèrement érotique (à part les seins et les fesses de Lorna on ne voit strictement rien), trop rapides pour développer grand chose et franchement lassantes. Les gros extraterrestres verdâtres ne font pas grand chose pour la chaleur de l'ambiance. Le dessin d'Aszpiri varie entre le assez beau et le très fanzineux amateur.
Sans intérêt.
Bof. "L'arche" est totalement inintéressant. Aventure pure et dure avec des personnages qui surgissent arbitrairement, peu d'érotisme et en plus assez mal intégré. Je ne raffole toujours pas plus que ça du dessin.
Le tome 2, "Léviatan", est clairement moins mauvais, en bonne partie parce qu'il se base sur l'histoire de "Moby dick". Il reprend quand même certains tics, comme les extraterrestres verdâtres, les viols, les flingues et les gros seins. Ca reste tout de même très creux, ça ne va nulle part et ça n'a aucun propos.
L'érotisme est toujours aussi diffus et peu émousti(ti)llant.
Personnellement je n'ai pas trouvé le scénario si creux que ça, et de loin même. Il ferait presque bonne mesure en regard d'un Von Gotha. En fait l'histoire est effectivement un peu mal ficelée : certains passages qui mériteraient d'être des scènes sont passés en deux trois cases, et vers la fin tout s'accélère vraiment trop abruptement. Ceci dit le jeu de pouvoir intimement lié au sexe me semble plutôt bien représenté, ainsi que le décalage entre ce que fait effectivement Judith durant tout l'album d'une part, et sa mission d'autre part. Le contraste entre Esther et Judith, perceptible uniquement sur la fin mais qui éclaire tout le déroulement de l'album d'une autre lumière, est lui aussi intéressant.
Si les dialogues et le rythme rappellent fortement ceux d'un récit mythologique ou biblique [1], on peut difficilement ne pas remarquer les positions aussi improbables que ridicules et lascives que les deux héroïnes prennent tout au long de ces pages.
L'album aurait pu être du niveau de "Thamara & Juda", mais il est nettement moins bien ficelé, dommage.
[1] dans la forme, parce que bon, on trouve assez peu de qu'on me présente le con béant de ta suivante afin que j'y amuse ce membre que tu me fais si bien ériger ! dans la bible, hein...
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Le Salon des Châtiments
Mouais, autant j'aime bien certaines BD SM, autant là c'est trop violent pour moi, ça ressemble parfois plus à de la torture qu'à une recherche de plaisir. C'est dommage, certaines scènes sont assez sympas et le dessin de Trinca est nickel (sauf les couleurs vraiment mauvaises) Le scénario ? Quel scénario ? ;) Nan franchement, c'est très loin d'être un indispensable du genre.
Rêves interdits
Basé sur une trame assez classique, fantasmes et double personnalité, « Rêves interdits » n’est pas désagréable à lire mais reste quand même loin d’être transcendant. Le dessin est plutôt plaisant mais l’ensemble manque franchement de fluidité et d’originalité. Une histoire qui s’oublie relativement vite même pour un genre aussi trivial.
Casa HowHard
J’adore carrément le dessin de Baldazzini, ses encrages sont magnifiques, ses femmes toutes plus belles les unes que les autres… mais il est vraiment trop Hard pour moi : Les femmes ne sont pas des femmes comme les autres (ou alors j’ai eu de la chance dans ma vie perso) puisqu’elles ont toutes une mini-bite ! Forcément, c’est beaucoup moins excitant… d’autant plus que ces mini-bites semblent toujours être poisseuses (c’est fatale la grosse goutte qui coule à toutes les cases) Alors franchement, c’est pas une BD pour moi, malgré ma grande ouverture d’esprit (d’esprit j’ai dit !) Dommage, parce que le dessin...
La thèse
Le plus gros défaut de cette BD vient du dessin un peu vieillot, trop grisé à mon goût. Pourtant, le trait de Chris est vraiment agréable est ses délires Sado-Maso sont plutôt amusants (quoi que, les 2 vieux sont plus pénibles qu’autre chose à toujours parler expliquer etc) Sinon, à part quelques poils de trop (ça fait vieille BD), c’est assez sympa à lire, mais ça reste très loin des meilleurs BDs du genre.
Le Salon des Châtiments
Dommage que le dessin et surtout la colorisation ne soient pas à la hauteur de la couverture : ça a tendance à baver et ça gâche carrément le trait… déjà que le dessin n’est pas une perle en soi. Sinon ça reste du super classique dans le genre, on a l’impression d’avoir vu ça 100 fois et comme le dessin ne rattrape pas grand chose, voilà une BD sur laquelle il n’y a pas besoin de trop s’attarder.
Folies Erotiques
Un vieil album d’Azpiri, édité par Soleil à l’époque où ils éditaient tout et n’importe quoi (euh… ça n’a pas vraiment changé en fait, bref) Je crois que niveau scénario, c’est l’album d’Azpiri qui m’a le moins intéressé… Pourtant je suis assez tolérant avec les scénario érotiques ! Beaucoup de blabla grandiloquents pour pas grand chose, et des scènes d’un érotisme très soft et pas excitantes pour un sous. C’est dommage, j’aime vraiment beaucoup le dessin d’Azpiri et j’attends avec impatience le jour où il aura un bon scénario… (érotique ou non d’ailleurs)
Mistress Jayne
Le dessin de Jacobsen est nettement moins beau qu’à l’habitude ; comme le scénario est vraiment super basique avec cette jeune et virginale jeune fille qui, une fois « éduquée », montrera sa véritable nature, on ne peut pas dire que « Mistress Jayne » soit une BD vraiment transcendante. Pas médiocre mais ne sortant vraiment pas du lot.
Lorna (Soleil Production)
Bof. Des histoires courtes sur fond très SF, à caractère légèrement érotique (à part les seins et les fesses de Lorna on ne voit strictement rien), trop rapides pour développer grand chose et franchement lassantes. Les gros extraterrestres verdâtres ne font pas grand chose pour la chaleur de l'ambiance. Le dessin d'Aszpiri varie entre le assez beau et le très fanzineux amateur. Sans intérêt.
Lorna (Albin Michel)
Bof. "L'arche" est totalement inintéressant. Aventure pure et dure avec des personnages qui surgissent arbitrairement, peu d'érotisme et en plus assez mal intégré. Je ne raffole toujours pas plus que ça du dessin. Le tome 2, "Léviatan", est clairement moins mauvais, en bonne partie parce qu'il se base sur l'histoire de "Moby dick". Il reprend quand même certains tics, comme les extraterrestres verdâtres, les viols, les flingues et les gros seins. Ca reste tout de même très creux, ça ne va nulle part et ça n'a aucun propos. L'érotisme est toujours aussi diffus et peu émousti(ti)llant.
Judith et Holopherne
Personnellement je n'ai pas trouvé le scénario si creux que ça, et de loin même. Il ferait presque bonne mesure en regard d'un Von Gotha. En fait l'histoire est effectivement un peu mal ficelée : certains passages qui mériteraient d'être des scènes sont passés en deux trois cases, et vers la fin tout s'accélère vraiment trop abruptement. Ceci dit le jeu de pouvoir intimement lié au sexe me semble plutôt bien représenté, ainsi que le décalage entre ce que fait effectivement Judith durant tout l'album d'une part, et sa mission d'autre part. Le contraste entre Esther et Judith, perceptible uniquement sur la fin mais qui éclaire tout le déroulement de l'album d'une autre lumière, est lui aussi intéressant. Si les dialogues et le rythme rappellent fortement ceux d'un récit mythologique ou biblique [1], on peut difficilement ne pas remarquer les positions aussi improbables que ridicules et lascives que les deux héroïnes prennent tout au long de ces pages. L'album aurait pu être du niveau de "Thamara & Juda", mais il est nettement moins bien ficelé, dommage. [1] dans la forme, parce que bon, on trouve assez peu de qu'on me présente le con béant de ta suivante afin que j'y amuse ce membre que tu me fais si bien ériger ! dans la bible, hein...