Le Salon des Châtiments

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Note: 2/5
(2/5 pour 4 avis)

Sandrine entre dans une boutique de vêtements pour acheter une robe, mais la cabine d'essayage se révèle un traquenard: on y kidnappe les jeunes célibataires en vue de les prostituer.


BDSM Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre

Sandrine entre dans une boutique de vêtements pour acheter une robe, mais la cabine d'essayage se révèle un traquenard: on y kidnappe les jeunes célibataires en vue de les prostituer. Durant un mois, Sandrine est dressée puis contrainte de satisfaire les désirs pervers des clients, déguisée en écolière sans culotte pour des cours de fessée ou de fellation.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Mai 2002
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Le Salon des Châtiments © I.P.M. (International Presse Magazine) 2002
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 4 avis)
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11/02/2005 | Don Lope
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Par Ro
Note: 1/5
L'avatar du posteur Ro

Je n'ai vraiment pas aimé cette lecture, sans la détester pour autant. Pourtant, l'idée de base, fantasme Sado-Maso classique, est détestable en elle-même : il suffit de forcer une femme, l’emprisonner, la dominer et la faire souffrir longtemps pour qu'elle finisse par avouer aimer ça et en redemander. Connerie. Mais c'est tellement cliché dans le domaine de la BD porno que ça ne me fait plus ni chaud ni froid. Et puis tant que ça reste un fantasme... Par contre, objectivement, cette BD est franchement médiocre. Le dessin est inégal mais souvent franchement laid. Pourquoi faire une BD de cul quand, justement, on ne sait pas dessiner les culs féminins ? Le scénario n'a strictement aucune crédibilité. Une femme se fait enlever par la vendeuse d'un magasin et se retrouve enfermée dans la demeure de cette dernière qui se révèle être une maison close, on peut imaginer ça un moment. Mais que la victime se laisse faire des semaines durant en se contentant de pleurnicher et de dire "s'il-vous-plait, laissez-moi partir", qu'elle désespère de trouver un moyen de s'échapper alors qu'elle dort dans une chambre avec fenêtre et sans barreau, et que tous ceux, clients inclus, qui ont abusé d'elle et l'ont torturé s'en sortent sans quasi aucun soucis avec la justice, et qu'évidemment la victime agisse très vite comme si elle aimait ça et en redemandait, c'est franchement farfelu et empêche d'y croire un instant et donc d'entrer dans le trip. Qui plus est, les dialogues sont pitoyables et le plus souvent risibles. Le texte préféré de l'héroïne par exemple est : "snif... snif...". Du pur Audiard ! C'est juste nul. Du mauvais porno.

13/07/2011 (modifier)
Par Kael
Note: 2/5

Mouais, autant j'aime bien certaines BD SM, autant là c'est trop violent pour moi, ça ressemble parfois plus à de la torture qu'à une recherche de plaisir. C'est dommage, certaines scènes sont assez sympas et le dessin de Trinca est nickel (sauf les couleurs vraiment mauvaises) Le scénario ? Quel scénario ? ;) Nan franchement, c'est très loin d'être un indispensable du genre.

11/02/2005 (modifier)
L'avatar du posteur ThePatrick

Encore un truc à base de domination... Le début est bien sordide, assez dégoûtant, très hard. Et puis on arrive aux 2/3 de l'album, et là on a un tournant façon "Orange mécanique", et du coup l'album en acquiert presque un véritable propos ! Je me suis même surpris à rire à certains passages. Et c'est intéressant parce que cette deuxième moitié dédramatise vraiment le tout et pour un peu ferait presque "accepter" tout ce qui précède. Finalement ce qui commence comme un enlèvement et des pratiques sexuelles extrêmes et subies, finit "bien". Entre-temps l'héroïne a changé, et le lecteur désormais convaincu va se chercher son costume en cuir, ses menottes et sa cravache. L'intégriste par contre crierait sans doute au lavage de cerval, s'il pouvait avouer avoir lu un tel album.

11/02/2005 (modifier)
Par Don Lope
Note: 2/5

Dommage que le dessin et surtout la colorisation ne soient pas à la hauteur de la couverture : ça a tendance à baver et ça gâche carrément le trait… déjà que le dessin n’est pas une perle en soi. Sinon ça reste du super classique dans le genre, on a l’impression d’avoir vu ça 100 fois et comme le dessin ne rattrape pas grand chose, voilà une BD sur laquelle il n’y a pas besoin de trop s’attarder.

11/02/2005 (modifier)