Si je ne mets pas la note minimale à cette série, c'est grâce à son dessin. Et pourtant, le dessin de Bercovici, ce n'est pas tellement ma tasse de thé. Mais je lui trouve quand même un style et une maîtrise technique qui le rendent pas mauvais, assez original et assez agréable à lire.
Mais alors par contre l'humour de cette série... Le plus simple est de dire que j'ai tellement peu apprécié et j'ai trouvé ça tellement ennuyeux que vers le milieu de l'album que je lisais, je ne regardais plus que vaguement les images dans l'espoir d'être un peu accroché par telle ou telle planche. C'est bien simple : je ne trouve pas ça drôle du tout. En outre, les gags sont vraiment répétitifs, revenant sans arrêt sur les mêmes thèmes : au Club, on fait beaucoup de sport, dans la mer, il y a des requins, etc...
Je ne suis pas client du tout de cette série.
Je vous avoue ne pas avoir très bien compris l'intérêt de ce manga. Bon, c'est vrai que l'histoire de ce gourmet solitaire est plaisante et agréable à lire mais à part à ça, il ne s'y passe pas grand chose.
Je pense bien connaître l’œuvre de Taniguchi. C'est un auteur pour qui j'ai beaucoup d'admiration mais sur ce coup-ci, je suis un peu déconcerté.
Le plus marrant dans cette histoire c'est qu'à chacune des étapes de notre gourmet, on sait déjà plus ou moins ce qu'il va se passer : D'abord, il se ballade, puis il a un petit creux, il trouve un endroit pour se restaurer, il mange et bien-sûr, la plus part du temps, il trouve ça bon. Ce schéma se répète invariablement, excepté dans le chapitre 12 où il se bat avec le cuisinier. Dingue, non ?
Le Gourmet Solitaire est, pour moi, un one-shot sans saveur et totalement dénué de goût.
Une déception !
J'aime beaucoup le travail de Giménez en solo mais Titania est le premier album de cet auteur qui me déçoit réellement.
A travers six mini-histoires, on évolue à travers des paradoxes temporels. Le problème c'est que ces récits sont totalement dénués d'intérêt. Je pense que pour certains, c'est dû au fait qu'ils sont trop court et donc, ceux-ci manquent cruellement de densité. Pour les autres, je ne vois tout simplement pas ce qui justifie leur présence dans un album.
Mes deux étoiles vont au dessin de Gimenez qui est impeccable comme d'habitude.
A éviter, sauf si vous êtes fan de cet auteur !
L'impression générale à la fin de la série est : tout ça pour ça... Un premier tome où il ne se passe pas grand chose, un écrivain retravaille son manuscrit, il s'engueule avec son éditeur, avec sa copine. Bref c'est plat. La lecture aurait pu s'arrêter là. Oui mais enfin il se passe quelques chose à la dernière page. Du coup, hop j'enchaîne avec le tome 2.
Là aussi c'est assez mou, il tourne en rond dans la villa, un peu d'action par-ci par-là. Rien d'extraordinaire d'autant plus que le dessin notamment des personnages n'est pas génial.
Enfin au milieu du tome 3, on découvre que rien n'est du au hasard, que tout est issu d'une énorme machination... Enfin !!! Mon intérêt est soudain décuplé, ça devient potentiellement terrible.
Mais non, la fin est décevante, expédiée en 2 pages, sans réelle explication rationnelle.
Quel est le propos de cet album j'ai envie de dire. Laurent André nous livre une suite de situations à l'humour particulier dont il ne me semble pas avoir saisi plus d'un quart des gags. Je n'ai rien compris aux histoires sur le zèbre brun par exemple, et pourtant j'y ai mis de la bonne volonté, jusqu'au bout de la lecture j'ai espéré voir la lumière.
Premier ouvrage publié pour un des anciens de l'Association - éditeur qui a sorti plusieurs choses du four en cette fin d'année, c'est à coup sûr le plus long à lire de la collection Mimolette tant les mises en pages éclatées ne collent à aucun code de la bande dessinée, mais ce n'est pas un reproche même si on a souvent du mal à suivre un fil de lecture malgré les chtites flèches.
Des personnages façon Beavis and Butthead essaient de blablater des banalités façon café du commerce, il faut sûrement y voir une critique quelconque de la société. Moi sot que je suis je n'ai pas vraiment "accroché" à cet ouvrage inrésumable, mais je ne désespère pas de m'y atteler à nouveau un jour peut-être.
Le point de départ de l'histoire était intéressant... Quand deux enfants, liés par un étrange don pour les mathématiques, se retrouvent séparés, à cause d'une petite erreur d'appréciation... Thierry Smolderen, scénariste rare, attise un peu la curiosité du chaland avec cette histoire. Mais hélas, le soufflé retombe vite, et le scénario se contente d'aligner quelques scènes bizarres, sans vraiment les lier entre elles... Le personnage de Nombre aurait pu être plus intéressant, si mieux exploité. Le dessin d'Egger, quant à lui, manque clairement de maturité, même s'il progresse sur le tome 2. Mais cela ne suffit pas pour rétablir la balance...
J'ai trouvé cet album assez vide. Je pense que malgré le peu de pages accordé par le format de la collection Lépidoptère de 6 Pieds sous Terre, on peut raconter un minimum de choses.
Or à la lecture on se rend compte que beaucoup de pages ne sont qu'une présentation des "acteurs" de l'histoire ou du gag qui suit, 1 fois ça va, 5 fois c'est saoûlant.
Donc passée l'originalité de mettre en scène des soldats en plastique que je salue, les gags et le contenu de l'album m'ont difficilement arraché un sourire malgré l'évidente bonne volonté d'utiliser des mots tels que "merde" et cie, ainsi qu'une indispensable partouze de soldats.
Bof.
Moins délirant et en tout cas moins amusant que Squeak the mouse du même auteur, cette BD m'a laissé plutôt de marbre. Le dessin est toujours aussi moyen mais on s'en fout un peu.
Quant au scénario, ce sont plusieurs histoires courtes qui sont à chaque fois des petites satyres de Superman mélangé à des histoires de films d'horreur et un peu de cul. Une petite BD underground à base de trash, de satyre et d'humour mais pas vraiment fameuse, ni surprenante ni drôle à mes yeux.
Bof bof bof...
Le dessin est très moyen. Enfin, les personnages ne sont pas mal mais les décors manquent vraiment de maîtrise et de beauté. Ils sont d'ailleurs bien souvent vides.
Mais ce sont surtout les couleurs qui sont hideuses. De la colorisation informatique dans ce qu'elle a de plus moche, effets de lumière, couleurs oranges de couchers de soleil et autres couleurs peu naturelles, aucune harmonie dans les teintes. Beuh.
Concernant le scénario maintenant, je ne l'ai pas trouvé particulièrement confus mais tellement banal. Conflit entre guildes dominantes dans une grande cité, amour tragique à la Roméo et Juliette, complots pour le pouvoir, etc. Ca se lit sans aucun interêt.
N'ayant que peu d'affinités avec la montagne et l'alpinisme, c'est avant tout le nom du dessinateur qui m'a motivé à acheter le tome 1 de cette série.
Malheureusement, dès les premières pages, j'ai été que très peu passionné par ce récit. L'histoire s'installe lentement, ce qui a sûrement contribué à mon manque d'intérêt pour cet album
Etant donné le prix élevé de chacun des tomes, je vais jouer la prudence et ne pas m'engager plus loin dans cette série.
C'est la première fois que je suis déçu par du Tanigushi mais bon, comme on dit : les goûts et les couleurs...
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Cactus Club
Si je ne mets pas la note minimale à cette série, c'est grâce à son dessin. Et pourtant, le dessin de Bercovici, ce n'est pas tellement ma tasse de thé. Mais je lui trouve quand même un style et une maîtrise technique qui le rendent pas mauvais, assez original et assez agréable à lire. Mais alors par contre l'humour de cette série... Le plus simple est de dire que j'ai tellement peu apprécié et j'ai trouvé ça tellement ennuyeux que vers le milieu de l'album que je lisais, je ne regardais plus que vaguement les images dans l'espoir d'être un peu accroché par telle ou telle planche. C'est bien simple : je ne trouve pas ça drôle du tout. En outre, les gags sont vraiment répétitifs, revenant sans arrêt sur les mêmes thèmes : au Club, on fait beaucoup de sport, dans la mer, il y a des requins, etc... Je ne suis pas client du tout de cette série.
Le Gourmet solitaire
Je vous avoue ne pas avoir très bien compris l'intérêt de ce manga. Bon, c'est vrai que l'histoire de ce gourmet solitaire est plaisante et agréable à lire mais à part à ça, il ne s'y passe pas grand chose. Je pense bien connaître l’œuvre de Taniguchi. C'est un auteur pour qui j'ai beaucoup d'admiration mais sur ce coup-ci, je suis un peu déconcerté. Le plus marrant dans cette histoire c'est qu'à chacune des étapes de notre gourmet, on sait déjà plus ou moins ce qu'il va se passer : D'abord, il se ballade, puis il a un petit creux, il trouve un endroit pour se restaurer, il mange et bien-sûr, la plus part du temps, il trouve ça bon. Ce schéma se répète invariablement, excepté dans le chapitre 12 où il se bat avec le cuisinier. Dingue, non ? Le Gourmet Solitaire est, pour moi, un one-shot sans saveur et totalement dénué de goût. Une déception !
Titania
J'aime beaucoup le travail de Giménez en solo mais Titania est le premier album de cet auteur qui me déçoit réellement. A travers six mini-histoires, on évolue à travers des paradoxes temporels. Le problème c'est que ces récits sont totalement dénués d'intérêt. Je pense que pour certains, c'est dû au fait qu'ils sont trop court et donc, ceux-ci manquent cruellement de densité. Pour les autres, je ne vois tout simplement pas ce qui justifie leur présence dans un album. Mes deux étoiles vont au dessin de Gimenez qui est impeccable comme d'habitude. A éviter, sauf si vous êtes fan de cet auteur !
Mobilis
L'impression générale à la fin de la série est : tout ça pour ça... Un premier tome où il ne se passe pas grand chose, un écrivain retravaille son manuscrit, il s'engueule avec son éditeur, avec sa copine. Bref c'est plat. La lecture aurait pu s'arrêter là. Oui mais enfin il se passe quelques chose à la dernière page. Du coup, hop j'enchaîne avec le tome 2. Là aussi c'est assez mou, il tourne en rond dans la villa, un peu d'action par-ci par-là. Rien d'extraordinaire d'autant plus que le dessin notamment des personnages n'est pas génial. Enfin au milieu du tome 3, on découvre que rien n'est du au hasard, que tout est issu d'une énorme machination... Enfin !!! Mon intérêt est soudain décuplé, ça devient potentiellement terrible. Mais non, la fin est décevante, expédiée en 2 pages, sans réelle explication rationnelle.
Quel est le propos ?
Quel est le propos de cet album j'ai envie de dire. Laurent André nous livre une suite de situations à l'humour particulier dont il ne me semble pas avoir saisi plus d'un quart des gags. Je n'ai rien compris aux histoires sur le zèbre brun par exemple, et pourtant j'y ai mis de la bonne volonté, jusqu'au bout de la lecture j'ai espéré voir la lumière. Premier ouvrage publié pour un des anciens de l'Association - éditeur qui a sorti plusieurs choses du four en cette fin d'année, c'est à coup sûr le plus long à lire de la collection Mimolette tant les mises en pages éclatées ne collent à aucun code de la bande dessinée, mais ce n'est pas un reproche même si on a souvent du mal à suivre un fil de lecture malgré les chtites flèches. Des personnages façon Beavis and Butthead essaient de blablater des banalités façon café du commerce, il faut sûrement y voir une critique quelconque de la société. Moi sot que je suis je n'ai pas vraiment "accroché" à cet ouvrage inrésumable, mais je ne désespère pas de m'y atteler à nouveau un jour peut-être.
Nombre
Le point de départ de l'histoire était intéressant... Quand deux enfants, liés par un étrange don pour les mathématiques, se retrouvent séparés, à cause d'une petite erreur d'appréciation... Thierry Smolderen, scénariste rare, attise un peu la curiosité du chaland avec cette histoire. Mais hélas, le soufflé retombe vite, et le scénario se contente d'aligner quelques scènes bizarres, sans vraiment les lier entre elles... Le personnage de Nombre aurait pu être plus intéressant, si mieux exploité. Le dessin d'Egger, quant à lui, manque clairement de maturité, même s'il progresse sur le tome 2. Mais cela ne suffit pas pour rétablir la balance...
Soldats en plastique
J'ai trouvé cet album assez vide. Je pense que malgré le peu de pages accordé par le format de la collection Lépidoptère de 6 Pieds sous Terre, on peut raconter un minimum de choses. Or à la lecture on se rend compte que beaucoup de pages ne sont qu'une présentation des "acteurs" de l'histoire ou du gag qui suit, 1 fois ça va, 5 fois c'est saoûlant. Donc passée l'originalité de mettre en scène des soldats en plastique que je salue, les gags et le contenu de l'album m'ont difficilement arraché un sourire malgré l'évidente bonne volonté d'utiliser des mots tels que "merde" et cie, ainsi qu'une indispensable partouze de soldats.
Superwest
Bof. Moins délirant et en tout cas moins amusant que Squeak the mouse du même auteur, cette BD m'a laissé plutôt de marbre. Le dessin est toujours aussi moyen mais on s'en fout un peu. Quant au scénario, ce sont plusieurs histoires courtes qui sont à chaque fois des petites satyres de Superman mélangé à des histoires de films d'horreur et un peu de cul. Une petite BD underground à base de trash, de satyre et d'humour mais pas vraiment fameuse, ni surprenante ni drôle à mes yeux.
Sulis et Demi-Lune
Bof bof bof... Le dessin est très moyen. Enfin, les personnages ne sont pas mal mais les décors manquent vraiment de maîtrise et de beauté. Ils sont d'ailleurs bien souvent vides. Mais ce sont surtout les couleurs qui sont hideuses. De la colorisation informatique dans ce qu'elle a de plus moche, effets de lumière, couleurs oranges de couchers de soleil et autres couleurs peu naturelles, aucune harmonie dans les teintes. Beuh. Concernant le scénario maintenant, je ne l'ai pas trouvé particulièrement confus mais tellement banal. Conflit entre guildes dominantes dans une grande cité, amour tragique à la Roméo et Juliette, complots pour le pouvoir, etc. Ca se lit sans aucun interêt.
Le Sommet des dieux
N'ayant que peu d'affinités avec la montagne et l'alpinisme, c'est avant tout le nom du dessinateur qui m'a motivé à acheter le tome 1 de cette série. Malheureusement, dès les premières pages, j'ai été que très peu passionné par ce récit. L'histoire s'installe lentement, ce qui a sûrement contribué à mon manque d'intérêt pour cet album Etant donné le prix élevé de chacun des tomes, je vais jouer la prudence et ne pas m'engager plus loin dans cette série. C'est la première fois que je suis déçu par du Tanigushi mais bon, comme on dit : les goûts et les couleurs...