Note :1.5/5.
Bon, Brétécher, ça n’a jamais été ma tasse de thé. Et cette bd ne m’a pas botté plus que les autres.
Les dessins ne sont pas terribles, les scénarii ne me plaisent pas, me font rarement sourire.
Je m’ennuie…
Pfff ! A réserver aux inconditionnels de Will Eisner. Bien-sûr, il y a toujours son talent graphique indiscutable. Mais après... Pas de scénario ici, mais une suite de mini-histoires, souvent muettes, jamais drôles, sur New York et les New Yorkais ; les observations et réflexions de l’auteur dans lesquelles il fait souvent jouer les paradoxes et l’ironie. Mais rien de percutant. Sauf peut-être pour un intellectuel qui se creusera les méninges pour voir un Xième degré qui lui permettra de crier au génie du maître. Mais pour un rustre comme moi cette lecture n’a pas été une partie de plaisir.
Un album intriguant par son coté graphique inhabituel, fait de collages de dessins et de photos, le tout retouché à l’ordinateur. Le résultat est intéressant et finalement assez esthétique.
Mais voilà, à qui s’adresse ce livre exactement ? L’histoire est beaucoup trop enfantine pour un lectorat adulte ou ado, et le dessin n’est pas du tout adapté à un public enfant : il est beaucoup trop déformé, sombre et effrayant, et pas vraiment accessible.
Bref, à lire si ça vous tombe sous la main, mais à moins d’être un gros fan de McKean, inutile de gaspiller votre argent dans ce one-shot vraiment dispensable.
On ne m'avait dit que du bien de cette bd (meilleure bd de Bilal-Christin, scénario historique bien respecté, etc...). Eh bien, j'ai été très déçu. D'abord, ce n'est vraiment pas leur meilleure bd. Et ensuite, je me suis ennuyé et j'ai eu du mal à la finir.
La première partie n'est qu'une suite de noms en -enko et -ovitch à ne rien comprendre. Pour un gars moyen qui n'a pas une grande connaissance historique, il faut relire les premières pages plusieurs fois. A la fin, le scénario s'accélère un peu et le dénouement explique pas mal de choses.
Rien à dire par contre sur le dessin de Bilal: il est net et sans imperfections.
Mais malgré le dessin très réussi... bof.
Plusieurs histoires très diverses composent en effet ce recueil. Difficile d'y trouver une unité cependant, même si le fantastique semble (presque) être le genre commun. Curieusement, la seule nouvelle ayant un quelconque intérêt se trouve être la seule n'appartenant pas au fantastique, "Cauchemar blanc", déjà citée par Hipopom. C’est une nouvelle écrite en réaction à une décision gouvernementale injuste de l'époque. Probablement celle qui fait le moins appel à l'imagination...
Pour le reste, c'est trop succinct pour vraiment parler de BD, en effet.
Cependant, le trait de Moebius est toujours intéressant à regarder, et certaines cases sont tout de même somptueuses. A réserver aux fans toutefois.
Petite déception que ce petit album...
Alors que l'habillage laissait augurer d'une chouette chronique enfantine, les histoires sont d'un plat assez incroyable. Non pas que ce ne soit pas spectaculaire, mais la façon qu'a Solis de raconter sa propre enfance au travers des yeux du petit Matin est... plate.
Il reste le graphisme, plutôt sympathique, qui donne tout de même envie de regarder (pas forcément de lire) d'autres oeuvres du même auteur.
Bon eh bien moi, je n'ai pas aimé.
Déjà, visuellement, je n'accroche pas du tout à ce style de graphisme. C'est moche, c'est disproportionné, ça sent pas bon de la bouche.
Sur le plan de la narration, j'ai aussi du mal avec les récits épars, dispersés... Sur ce plan, "Cages" est un modèle, ça part dans tous les sens. Le but est sans doute de faire une ode à l'art dans sa globalité. Eh bien bof, hein.
Mais ce n'est pas catastrophique non plus à mes yeux. J'ai bien aimé, par exemple, l'histoire du Roi et de sa tour. Mais à part ça, c'est un peu l'encéphalogramme plat, le discours intellectuel pesant et pédant.
Sans moi...
Ayant feuilleté Super Coin Coin et avec un tel titre, je m'attendais à une BD à base de super-héros et d'humour, quelque chose de frais et léger. Là a été mon erreur, je pense, car cette série est nettement plus noire et glauque que je m'y attendais.
Globalement, je ne l'ai pas appréciée, tant au niveau du dessin que du scénario. Peut-être une histoire de goût personnel.
Je trouve le graphisme moyen mais aussi inégal. Globalement le style est assez agréable et la lecture plaisante. Mais la plupart des planches et des cases ont un petit arrière-goût d'amateurisme dans les personnages et décors. Cela se caractérise à mes yeux par un manque de profondeur, de perspective, mais aussi des compositions et positionnements des personnages et objets de décor assez médiocres.
En outre, même si j'apprécie l'encrage fort et contrasté du personnage Super Coin Coin lui-même, les autres personnages et décors bénéficient pour leur part d'un encrage un peu différent, plus hésitant, presque brouillon. Cela retire une part d'esthétisme aux planches à mes yeux.
Et pour finir, je n'aime pas les couleurs. Le tome 1 permet de voir un dessin de Vincent Rioult en noir et blanc, et sincèrement je trouve que son dessin s'accommode bien mieux ainsi qu'avec les couleurs assez criardes de Super Coin Coin.
Concernant le scénario, j'aime bien l'idée de départ d'un petit patron de start-up qui se réincarne en super-héros tout en muscle quand il s'endort. Cela donne lieu à certaines planches assez amusantes comme par exemple celle où, allongé devant sa télé, Thibaud s'endort par intermittence, laissant apparaitre par intermittence un Super Coin Coin qui regarde la télé.
Car oui, c'est la partie humoristique de cette BD qui m'a le plus accroché. Hélas, l'humour est trop peu présent pour moi et laisse dès le départ la place à la tragédie, à une intrigue noire et glauque.
Dans le premier tome, l'auteur base son récit sur les drames causés par un Super Coin Coin trop extrême, trop violent. Passée une découverte un peu trop rapide par Thibaud du fait qu'il peut se transformer en super-héros dans son sommeil, tout est ensuite basé sur son dégoût d'incarner un être en réalité meurtrier. La violence me parait exagérée pour accentuer l'aspect ambigüe du super-héros, comme une tentative artificielle de ne surtout pas faire de la BD légère mais au contraire une BD "pour faire réfléchir le lecteur". Mais le récit peine à me faire ressentir cet aspect dramatique.
Le tome 2 repart sur la même veine tragique, oubliant presque totalement l'aspect humoristique du récit. Ce seront des tortures psychologiques du super-héros qui ne différencie plus la réalité de son rêve. Ce seront des noires chimères qui feront causer à Super Coin Coin de nouveaux drames dans son entourage. Une nouvelle donne apparaitra avec l'explication des origines de Super Coin Coin, mais encore une fois le tout est traité sur le ton dramatique avec un héros torturé de manière trop artificielle à mes yeux.
Au final, une série de super-héros tourmenté dont les aventures sont bien trop restreintes pour captiver et dont l'aspect tragique me semble artificiel et inutilement accentué. Il faut aimer ce genre de récit noir et légèrement ambigüe.
Comme Ro (voir ci-dessous), j’ai trouvé cette BD très austère. C’est pas vraiment palpitant, pas vraiment touchant, et le fait de sans cesse passer d’un personnage à un autre m’a un peu ennuyé.
De même la situation politique et sociale de l’Allemagne de l’entre deux guerres n’est pas mon point fort en Histoire, alors j’avais continuellement l’impression de rater quelque chose, l’impression que certaines scènes étaient des clins d’œil à des faits réels, des moments clés historiques, mais sans pouvoir en être sûr.
Bref, même si la fin est sympa, j’ai quand même bien galèré pour y arriver, et je ne garderai sûrement pas un souvenir impérissable de ma lecture. Dommage.
Rien à dire sur le dessin, fidèle à l'auteur, donc bon, même très bon à mon avis.
Pour le reste, vraiment bof, hormis la première et la dernière nouvelle. L'ensemble ne m'a pas paru plus intéressant que cela. Un album à réserver pour les fans de l'auteur.
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Les Frustrés
Note :1.5/5. Bon, Brétécher, ça n’a jamais été ma tasse de thé. Et cette bd ne m’a pas botté plus que les autres. Les dessins ne sont pas terribles, les scénarii ne me plaisent pas, me font rarement sourire. Je m’ennuie…
New York trilogie (Big City)
Pfff ! A réserver aux inconditionnels de Will Eisner. Bien-sûr, il y a toujours son talent graphique indiscutable. Mais après... Pas de scénario ici, mais une suite de mini-histoires, souvent muettes, jamais drôles, sur New York et les New Yorkais ; les observations et réflexions de l’auteur dans lesquelles il fait souvent jouer les paradoxes et l’ironie. Mais rien de percutant. Sauf peut-être pour un intellectuel qui se creusera les méninges pour voir un Xième degré qui lui permettra de crier au génie du maître. Mais pour un rustre comme moi cette lecture n’a pas été une partie de plaisir.
Des Loups dans les murs
Un album intriguant par son coté graphique inhabituel, fait de collages de dessins et de photos, le tout retouché à l’ordinateur. Le résultat est intéressant et finalement assez esthétique. Mais voilà, à qui s’adresse ce livre exactement ? L’histoire est beaucoup trop enfantine pour un lectorat adulte ou ado, et le dessin n’est pas du tout adapté à un public enfant : il est beaucoup trop déformé, sombre et effrayant, et pas vraiment accessible. Bref, à lire si ça vous tombe sous la main, mais à moins d’être un gros fan de McKean, inutile de gaspiller votre argent dans ce one-shot vraiment dispensable.
Partie de chasse
On ne m'avait dit que du bien de cette bd (meilleure bd de Bilal-Christin, scénario historique bien respecté, etc...). Eh bien, j'ai été très déçu. D'abord, ce n'est vraiment pas leur meilleure bd. Et ensuite, je me suis ennuyé et j'ai eu du mal à la finir. La première partie n'est qu'une suite de noms en -enko et -ovitch à ne rien comprendre. Pour un gars moyen qui n'a pas une grande connaissance historique, il faut relire les premières pages plusieurs fois. A la fin, le scénario s'accélère un peu et le dénouement explique pas mal de choses. Rien à dire par contre sur le dessin de Bilal: il est net et sans imperfections. Mais malgré le dessin très réussi... bof.
La Citadelle Aveugle
Plusieurs histoires très diverses composent en effet ce recueil. Difficile d'y trouver une unité cependant, même si le fantastique semble (presque) être le genre commun. Curieusement, la seule nouvelle ayant un quelconque intérêt se trouve être la seule n'appartenant pas au fantastique, "Cauchemar blanc", déjà citée par Hipopom. C’est une nouvelle écrite en réaction à une décision gouvernementale injuste de l'époque. Probablement celle qui fait le moins appel à l'imagination... Pour le reste, c'est trop succinct pour vraiment parler de BD, en effet. Cependant, le trait de Moebius est toujours intéressant à regarder, et certaines cases sont tout de même somptueuses. A réserver aux fans toutefois.
Les Jours les plus longs
Petite déception que ce petit album... Alors que l'habillage laissait augurer d'une chouette chronique enfantine, les histoires sont d'un plat assez incroyable. Non pas que ce ne soit pas spectaculaire, mais la façon qu'a Solis de raconter sa propre enfance au travers des yeux du petit Matin est... plate. Il reste le graphisme, plutôt sympathique, qui donne tout de même envie de regarder (pas forcément de lire) d'autres oeuvres du même auteur.
Cages
Bon eh bien moi, je n'ai pas aimé. Déjà, visuellement, je n'accroche pas du tout à ce style de graphisme. C'est moche, c'est disproportionné, ça sent pas bon de la bouche. Sur le plan de la narration, j'ai aussi du mal avec les récits épars, dispersés... Sur ce plan, "Cages" est un modèle, ça part dans tous les sens. Le but est sans doute de faire une ode à l'art dans sa globalité. Eh bien bof, hein. Mais ce n'est pas catastrophique non plus à mes yeux. J'ai bien aimé, par exemple, l'histoire du Roi et de sa tour. Mais à part ça, c'est un peu l'encéphalogramme plat, le discours intellectuel pesant et pédant. Sans moi...
Super Coincoin
Ayant feuilleté Super Coin Coin et avec un tel titre, je m'attendais à une BD à base de super-héros et d'humour, quelque chose de frais et léger. Là a été mon erreur, je pense, car cette série est nettement plus noire et glauque que je m'y attendais. Globalement, je ne l'ai pas appréciée, tant au niveau du dessin que du scénario. Peut-être une histoire de goût personnel. Je trouve le graphisme moyen mais aussi inégal. Globalement le style est assez agréable et la lecture plaisante. Mais la plupart des planches et des cases ont un petit arrière-goût d'amateurisme dans les personnages et décors. Cela se caractérise à mes yeux par un manque de profondeur, de perspective, mais aussi des compositions et positionnements des personnages et objets de décor assez médiocres. En outre, même si j'apprécie l'encrage fort et contrasté du personnage Super Coin Coin lui-même, les autres personnages et décors bénéficient pour leur part d'un encrage un peu différent, plus hésitant, presque brouillon. Cela retire une part d'esthétisme aux planches à mes yeux. Et pour finir, je n'aime pas les couleurs. Le tome 1 permet de voir un dessin de Vincent Rioult en noir et blanc, et sincèrement je trouve que son dessin s'accommode bien mieux ainsi qu'avec les couleurs assez criardes de Super Coin Coin. Concernant le scénario, j'aime bien l'idée de départ d'un petit patron de start-up qui se réincarne en super-héros tout en muscle quand il s'endort. Cela donne lieu à certaines planches assez amusantes comme par exemple celle où, allongé devant sa télé, Thibaud s'endort par intermittence, laissant apparaitre par intermittence un Super Coin Coin qui regarde la télé. Car oui, c'est la partie humoristique de cette BD qui m'a le plus accroché. Hélas, l'humour est trop peu présent pour moi et laisse dès le départ la place à la tragédie, à une intrigue noire et glauque. Dans le premier tome, l'auteur base son récit sur les drames causés par un Super Coin Coin trop extrême, trop violent. Passée une découverte un peu trop rapide par Thibaud du fait qu'il peut se transformer en super-héros dans son sommeil, tout est ensuite basé sur son dégoût d'incarner un être en réalité meurtrier. La violence me parait exagérée pour accentuer l'aspect ambigüe du super-héros, comme une tentative artificielle de ne surtout pas faire de la BD légère mais au contraire une BD "pour faire réfléchir le lecteur". Mais le récit peine à me faire ressentir cet aspect dramatique. Le tome 2 repart sur la même veine tragique, oubliant presque totalement l'aspect humoristique du récit. Ce seront des tortures psychologiques du super-héros qui ne différencie plus la réalité de son rêve. Ce seront des noires chimères qui feront causer à Super Coin Coin de nouveaux drames dans son entourage. Une nouvelle donne apparaitra avec l'explication des origines de Super Coin Coin, mais encore une fois le tout est traité sur le ton dramatique avec un héros torturé de manière trop artificielle à mes yeux. Au final, une série de super-héros tourmenté dont les aventures sont bien trop restreintes pour captiver et dont l'aspect tragique me semble artificiel et inutilement accentué. Il faut aimer ce genre de récit noir et légèrement ambigüe.
Berlin (Lutes)
Comme Ro (voir ci-dessous), j’ai trouvé cette BD très austère. C’est pas vraiment palpitant, pas vraiment touchant, et le fait de sans cesse passer d’un personnage à un autre m’a un peu ennuyé. De même la situation politique et sociale de l’Allemagne de l’entre deux guerres n’est pas mon point fort en Histoire, alors j’avais continuellement l’impression de rater quelque chose, l’impression que certaines scènes étaient des clins d’œil à des faits réels, des moments clés historiques, mais sans pouvoir en être sûr. Bref, même si la fin est sympa, j’ai quand même bien galèré pour y arriver, et je ne garderai sûrement pas un souvenir impérissable de ma lecture. Dommage.
L'Ascension et autres récits
Rien à dire sur le dessin, fidèle à l'auteur, donc bon, même très bon à mon avis. Pour le reste, vraiment bof, hormis la première et la dernière nouvelle. L'ensemble ne m'a pas paru plus intéressant que cela. Un album à réserver pour les fans de l'auteur.