Je suis resté un peu sur ma faim avec cet album. Pourtant, le titre intrigue et donne l’envie d’en savoir plus.
Mais voilà. Si on rentre facilement dans la bd, on se retrouve bien vite face aux délires d’Arthemus qui finissent par perdre le lecteur. On ne sait plus bien où l’on se trouve : imagination ou réalité ? J’avais par moment l’impression d’être dans le rêve d’un rêve d’Arthemus. De plus, le découpage n’aide pas vraiment à situer le moment de l’action. Le lecteur finit donc par perdre pied dans les circonvolutions d’un marin qui n’aime pas l’eau. On a vraiment l’impression de louper quelque chose. Pourtant, après relecture, c’est le même sentiment qui domine : lassitude du récit dont la fin tourne en eau de boudin.
Le dessin est pas mal, un peu dans la lignée d’un Jason. Quelques imperfections toutefois à relever dans la composition (bulles mal placées) et le dessin (Arthemus a deux mains droites dans une case).
Voilà. Un album qui a du potentiel mais malheureusement assez hermétique . . .
La scène d'introduction est une apothéose comme seul sait le faire Brunschwig. Cela avait bien commencé mais voilà que l'on commence à s'y perdre dans ces flash-back.
Pire encore et cela ne pardonne pas une erreur de datation !!! La scène commence en 1994 par le meurtre du clown Groko. Quand son compagnon Glock va se recueillir au cimetière sur sa tombe, on peut lire 1934-1989 !!! Il n'y a rien de pire qui m'énerve quand je lis une BD que les auteurs se trompent de date surtout s'il y a des retours dans le passé.
Ici, les scènes flash-back ne font pas bon ménage avec le reste. Il y a un sérieux manque de coordination. Et puis, l'histoire de ce prêtre qui fournit des armes aux mômes de la cité, c'est d'une incrédulité.
C'est vraiment dommage car cette BD avait tout pour plaire à commencer par un excellent dessin.
Tout d'abord, le graphisme en lui-même m'a rebuté. Ce n'est pas le dessin que j'apprécie le plus. Mais je me suis forcé à lire jusqu'au bout en laissant une chance à l'oeuvre de l'auteur. Mais rien n'y a fait.
Nous sommes ici plongés vers la fin de la première guerre mondiale. L'auteur décrit toutes les horreurs de cette guerre de tranchée. Rien de franchement nouveau.
L'aventure d'espionnage à la recherche d'un ingénieur un peu dingue ne m'a pas passionné. Et cette ridicule histoire d'amour n'a rien arrangé.
Au final, je retiens qu'il s'agissait pour l'auteur de nous faire revivre les mythologies liées à la guerre : les hommes de terre, les barbelés vampires et autre régiment d'os...
J'ai parcouru ce livre avec le sentiment qu'il manquait quelque chose à cette histoire d'amour pour être crédible ou tout simplement pour s'attacher.
Le dessin est glacial, les personnages le sont également. On ne vibre pas avec eux. On ne ressent finalement pas grand chose. Pourtant tous les ingrédients y sont: la Sécuritate, la Libertate... On n'y croit pas, tout simplement. Il manque "le ciment" non pas que la réalisation ne soit pas efficace.
On peut oublier cette fille aux Ibis même si la lecture n'est pas désagréable...
J'aime bien les contes... en général. Ici, on découvre une légende du folklore russe.
Ce qui m'a véritablement gêné, c'est le dessin. On dirait du photomontage du plus mauvais effet.
Par ailleurs, l'histoire de ce récit est fort répétitive et d'une naïveté sans pareille. A réserver aux moins de 4 ans s'ils n'ont pas peur du loup. Mais dans cette histoire, le loup est très gentil après qu'il ait quand même dévoré le cheval de notre très gentil héros. C'était pour la bonne cause !
L'envers des rêves nous plonge dans le Hollywood d'après-guerre, à l'âge d'or du cinéma américain. Cela se veut un combat sans complaisance pour la gloire et le pouvoir.
J'ai pas ressenti grand chose à la lecture de cette histoire fort bien dessinée au demeurant. C'est plutôt confus au niveau du scénario : un comble pour une bd qui nous conte les coulisses d'un tournage de film. D'ailleurs, on ne sait jamais si on est dans une scène en train de filmer ou dans la réalité ce qui a un effet déroutant.
Les personnages se multiplient et on se perd dans le fil de l'intrigue. Je n'ai pas ressenti le côté "prêt à tout pour gagner". C'est tellement diffus. J'avoue même que la scène finale: je ne l'ai pas comprise... C'est dommage car il y avait de la potentialité.
Je n'ai pas trop aimé cet "enfer du jour" bien qu'il ne soit pas radicalement mauvais.
Tout d'abord, le dessin est froid et figé. Par ailleurs, on remarque nettement qu'il a été fait à deux époques radicalement différentes car il y a une nette amélioration par la suite. En effet, une partie date de 1983 et l'autre de 1995.
Le scénario est lent à l'image de son héros qui vient de sortir de prison pour un crime qu'il n'a pas commis. Cela manque singulièrement de rythme.
La réaction des personnages est visiblement là où le bât blesse. On aurait aimé un personnage central avec plus de hargne pour accomplir sa vengeance. Par ailleurs, quand le personnage de Corinne apprend la mort de sa meilleure amie, ce n'est pas l'effusion d'émotion. En vérité, tout cela sonne faux. C'est dommage.
On va vraiment croire que je n'aime pas Cosey. Je tiens tout de suite à dire que je respecte cet auteur sincèrement.
Cependant, cette oeuvre ne m'a pas enchanté. J'ai réellement du mal à croire à cette histoire de retrouvailles entre deux soeurs qui ont été séparées par un drame familial et qui se retrouvent bien des années après, tout à fait par hasard, alors que la route du col est fermée pour cause d'enneigement.
La rencontre proprement dite sonne déjà faux avec des dialogues inimaginables.
Les couleurs sont chaudes et vives comme à son habitude. C'est caractéristique chez cet auteur.
Finalement, je crois que cette histoire a été écrite dans l'esprit de Noël. Tout peut arriver comme le passage du père Noël. Dommage, je n'y crois plus...
Un album assez décevant, où l'auteur se laisse dépasser par la générosité de son entreprise. La dénonciation de la prostitution est en effet une noble cause, et Derib s'est fait un spécialiste dans l'exploitation de sujets de société "chauds", mais il rate ici en partie son but par un excès de bons sentiments.
Bien sûr, les qualités sont là, les deux personnages principaux, Sandra et sa protectrice, sont attachantes et bien cernées, tout comme le contexte social. La narration est fluide et bien menée, en accord avec une mise en page inspirée et un dessin très maîtrisé et détaillé.
Mais à la différence de Jo, où Derib exploitait le sujet du sida, l'optimisme est de mise, et l'évocation de la prostitution manque trop d'originalité (mais la réalité est-elle originale ?) et n'est ainsi pas convaincante. Certains personnages restent trop schématiques pour apporter de la profondeur au sujet, et au final, nous n'avons pas l'impression d'une plongée en enfer, mais simplement d'avoir effleuré le thème de cette BD.
Si Derib s'était montré plus noir, et avait laissé son héroïne sombrer dans la prostitution à la différence de son aînée, l'auteur aurait présenté deux cas, l'un positif, l'autres négatif, et ainsi exploiter à fond les possibilités de son scénario.
Le ton reste trop naïf pour être convaincant, et même si le résultat est loin d'être désagréable à lire, on peut penser que l'auteur pouvait arriver à un résultat bien meilleur, notamment en créant des situations plus extrêmes. Dommage...
Je pensais suivre un truc romantique, mais c'est un récit sur une guerre qui se passe en Serbie. Heureusement que je ne l'ai pas acheté! (Vive les bibliothèques)
Bon. Ça pourrait être intéressant, mais je ne suis pas rentré une seule fois dans l'histoire. Les personnages ne sont pas du tous attachants. Je trouve qu'ils manquent de profondeurs. Je n'ai pas du tout été attristé par leurs malheurs. Finalement, c'est juste des bouts de vie mis ensemble avec comme lien que les personnages.
Quant à l'amour entre les deux personnages, à part une ou deux scènes ou il ne se passe pas grand chose, il n'y a rien. C'est à peine effleuré.
Grosse déception de se coté là de la part de Delcourt.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Tous les matelots n'aiment pas l'eau
Je suis resté un peu sur ma faim avec cet album. Pourtant, le titre intrigue et donne l’envie d’en savoir plus. Mais voilà. Si on rentre facilement dans la bd, on se retrouve bien vite face aux délires d’Arthemus qui finissent par perdre le lecteur. On ne sait plus bien où l’on se trouve : imagination ou réalité ? J’avais par moment l’impression d’être dans le rêve d’un rêve d’Arthemus. De plus, le découpage n’aide pas vraiment à situer le moment de l’action. Le lecteur finit donc par perdre pied dans les circonvolutions d’un marin qui n’aime pas l’eau. On a vraiment l’impression de louper quelque chose. Pourtant, après relecture, c’est le même sentiment qui domine : lassitude du récit dont la fin tourne en eau de boudin. Le dessin est pas mal, un peu dans la lignée d’un Jason. Quelques imperfections toutefois à relever dans la composition (bulles mal placées) et le dessin (Arthemus a deux mains droites dans une case). Voilà. Un album qui a du potentiel mais malheureusement assez hermétique . . .
Le sourire du clown
La scène d'introduction est une apothéose comme seul sait le faire Brunschwig. Cela avait bien commencé mais voilà que l'on commence à s'y perdre dans ces flash-back. Pire encore et cela ne pardonne pas une erreur de datation !!! La scène commence en 1994 par le meurtre du clown Groko. Quand son compagnon Glock va se recueillir au cimetière sur sa tombe, on peut lire 1934-1989 !!! Il n'y a rien de pire qui m'énerve quand je lis une BD que les auteurs se trompent de date surtout s'il y a des retours dans le passé. Ici, les scènes flash-back ne font pas bon ménage avec le reste. Il y a un sérieux manque de coordination. Et puis, l'histoire de ce prêtre qui fournit des armes aux mômes de la cité, c'est d'une incrédulité. C'est vraiment dommage car cette BD avait tout pour plaire à commencer par un excellent dessin.
La lecture des ruines
Tout d'abord, le graphisme en lui-même m'a rebuté. Ce n'est pas le dessin que j'apprécie le plus. Mais je me suis forcé à lire jusqu'au bout en laissant une chance à l'oeuvre de l'auteur. Mais rien n'y a fait. Nous sommes ici plongés vers la fin de la première guerre mondiale. L'auteur décrit toutes les horreurs de cette guerre de tranchée. Rien de franchement nouveau. L'aventure d'espionnage à la recherche d'un ingénieur un peu dingue ne m'a pas passionné. Et cette ridicule histoire d'amour n'a rien arrangé. Au final, je retiens qu'il s'agissait pour l'auteur de nous faire revivre les mythologies liées à la guerre : les hommes de terre, les barbelés vampires et autre régiment d'os...
La Fille aux Ibis
J'ai parcouru ce livre avec le sentiment qu'il manquait quelque chose à cette histoire d'amour pour être crédible ou tout simplement pour s'attacher. Le dessin est glacial, les personnages le sont également. On ne vibre pas avec eux. On ne ressent finalement pas grand chose. Pourtant tous les ingrédients y sont: la Sécuritate, la Libertate... On n'y croit pas, tout simplement. Il manque "le ciment" non pas que la réalisation ne soit pas efficace. On peut oublier cette fille aux Ibis même si la lecture n'est pas désagréable...
L'Oiseau de feu
J'aime bien les contes... en général. Ici, on découvre une légende du folklore russe. Ce qui m'a véritablement gêné, c'est le dessin. On dirait du photomontage du plus mauvais effet. Par ailleurs, l'histoire de ce récit est fort répétitive et d'une naïveté sans pareille. A réserver aux moins de 4 ans s'ils n'ont pas peur du loup. Mais dans cette histoire, le loup est très gentil après qu'il ait quand même dévoré le cheval de notre très gentil héros. C'était pour la bonne cause !
L'Envers des rêves
L'envers des rêves nous plonge dans le Hollywood d'après-guerre, à l'âge d'or du cinéma américain. Cela se veut un combat sans complaisance pour la gloire et le pouvoir. J'ai pas ressenti grand chose à la lecture de cette histoire fort bien dessinée au demeurant. C'est plutôt confus au niveau du scénario : un comble pour une bd qui nous conte les coulisses d'un tournage de film. D'ailleurs, on ne sait jamais si on est dans une scène en train de filmer ou dans la réalité ce qui a un effet déroutant. Les personnages se multiplient et on se perd dans le fil de l'intrigue. Je n'ai pas ressenti le côté "prêt à tout pour gagner". C'est tellement diffus. J'avoue même que la scène finale: je ne l'ai pas comprise... C'est dommage car il y avait de la potentialité.
L'Enfer du jour
Je n'ai pas trop aimé cet "enfer du jour" bien qu'il ne soit pas radicalement mauvais. Tout d'abord, le dessin est froid et figé. Par ailleurs, on remarque nettement qu'il a été fait à deux époques radicalement différentes car il y a une nette amélioration par la suite. En effet, une partie date de 1983 et l'autre de 1995. Le scénario est lent à l'image de son héros qui vient de sortir de prison pour un crime qu'il n'a pas commis. Cela manque singulièrement de rythme. La réaction des personnages est visiblement là où le bât blesse. On aurait aimé un personnage central avec plus de hargne pour accomplir sa vengeance. Par ailleurs, quand le personnage de Corinne apprend la mort de sa meilleure amie, ce n'est pas l'effusion d'émotion. En vérité, tout cela sonne faux. C'est dommage.
Joyeux Noël, May !
On va vraiment croire que je n'aime pas Cosey. Je tiens tout de suite à dire que je respecte cet auteur sincèrement. Cependant, cette oeuvre ne m'a pas enchanté. J'ai réellement du mal à croire à cette histoire de retrouvailles entre deux soeurs qui ont été séparées par un drame familial et qui se retrouvent bien des années après, tout à fait par hasard, alors que la route du col est fermée pour cause d'enneigement. La rencontre proprement dite sonne déjà faux avec des dialogues inimaginables. Les couleurs sont chaudes et vives comme à son habitude. C'est caractéristique chez cet auteur. Finalement, je crois que cette histoire a été écrite dans l'esprit de Noël. Tout peut arriver comme le passage du père Noël. Dommage, je n'y crois plus...
Pour toi Sandra
Un album assez décevant, où l'auteur se laisse dépasser par la générosité de son entreprise. La dénonciation de la prostitution est en effet une noble cause, et Derib s'est fait un spécialiste dans l'exploitation de sujets de société "chauds", mais il rate ici en partie son but par un excès de bons sentiments. Bien sûr, les qualités sont là, les deux personnages principaux, Sandra et sa protectrice, sont attachantes et bien cernées, tout comme le contexte social. La narration est fluide et bien menée, en accord avec une mise en page inspirée et un dessin très maîtrisé et détaillé. Mais à la différence de Jo, où Derib exploitait le sujet du sida, l'optimisme est de mise, et l'évocation de la prostitution manque trop d'originalité (mais la réalité est-elle originale ?) et n'est ainsi pas convaincante. Certains personnages restent trop schématiques pour apporter de la profondeur au sujet, et au final, nous n'avons pas l'impression d'une plongée en enfer, mais simplement d'avoir effleuré le thème de cette BD. Si Derib s'était montré plus noir, et avait laissé son héroïne sombrer dans la prostitution à la différence de son aînée, l'auteur aurait présenté deux cas, l'un positif, l'autres négatif, et ainsi exploiter à fond les possibilités de son scénario. Le ton reste trop naïf pour être convaincant, et même si le résultat est loin d'être désagréable à lire, on peut penser que l'auteur pouvait arriver à un résultat bien meilleur, notamment en créant des situations plus extrêmes. Dommage...
Des Rivières sur les ponts
Je pensais suivre un truc romantique, mais c'est un récit sur une guerre qui se passe en Serbie. Heureusement que je ne l'ai pas acheté! (Vive les bibliothèques) Bon. Ça pourrait être intéressant, mais je ne suis pas rentré une seule fois dans l'histoire. Les personnages ne sont pas du tous attachants. Je trouve qu'ils manquent de profondeurs. Je n'ai pas du tout été attristé par leurs malheurs. Finalement, c'est juste des bouts de vie mis ensemble avec comme lien que les personnages. Quant à l'amour entre les deux personnages, à part une ou deux scènes ou il ne se passe pas grand chose, il n'y a rien. C'est à peine effleuré. Grosse déception de se coté là de la part de Delcourt.