Il y avait des idées intéressantes dans cette histoire mais cela a été mal orchestré. On n'arrive pas à savoir au début dans quel contexte on se situe. On découvrira sur le tard certains éléments qui auraient pu être posés clairement au début afin de permettre au lecteur de franchir d'autres étapes clés du récit. Bref, on remarquera nettement un manque de maîtrise du scénario.
Le dessin me semble tout à fait correct mais il sera peut-être de très mauvais goût pour d'autres lecteurs qui ont une autre définition de l'art graphique ou du moins une autre approche... En tout cas, ce qui est important, c'est ce que je ressens. Ici, beaucoup de potentialité mais mal exprimée. Dommage !
A noter que le second tome a quand même mis 5 ans pour sortir ce qui est beaucoup trop long dans notre époque actuelle.
L'hiver est l'élément commun à toutes ces 6 histoires racontées et dessinées par des auteurs québequois différents.
J'ai bien aimé la première nouvelle qui s'intitule "mauve ciel" et qui raconte le début d'une relation amoureuse entre deux adolescents.
Le deuxième récit nous plonge au coeur de l'histoire et d'une des plus sanglantes batailles de la Seconde guerre mondiale à savoir celle de Stalingrad. Hitler surnommait l'ennemi secret le terrible hiver qui a eu raison de ses armées. On comprendra pourquoi.
Le troisième semble être dans un style graphique totalement différent ce qui ne provoque pas une belle homogénéisation de l'ensemble. Par ailleurs, le ton est réellement humorisitique. On a du mal à enchaîner sur des variations aussi différentes.
La quatrième nous présente celle d'un vieux fou qui va combattre l'hiver qui est devenu la saison principale suite à un cataclysme climatique. C'est intéressant mais avec une fin de récit un peu naïve.
Les 2 dernières nouvelles ne présentent guère d'intérêt. D'où au final, c'est une oeuvre plutôt moyenne qui aurait pu être un peu plus captivante.
Nous avons là un manga sentimental et érotique qui relate les aventures d’un jeune homme qui se retrouve mêlé malgré lui aux manigances d’une famille.
C'est plutôt bien dessiné avec des décors du Japon de l'an 9 de l'ère Taisho (1920) à une époque de réel grand changement pour ce pays.
Je n'ai pas trop aimé cette oeuvre beaucoup trop sombre et cruelle. Je n'aime guère les viols qui ne sont pas synonymes de séduction. Cela va beaucoup trop loin. On arrive à être totalement dégoûté à la fin du premier tome. Bref, cela arrive quelques fois quand on tombe dans une espèce de sur-enchère gratuite.
Les blagues de Toto, c'est comme les blagues carambars : on trouve ça nul, mais on ne peut pas s'empêcher de les lire après avoir déballé le caramel !
Soyons clair, cette BD reste dans cette verve, même si son traitement graphique agréable et chaleureux permet de faire digérer cet humour de cour de récréation.
Car non, ça ne vol pas haut, on connaît tous plus ou moins ces blagues à 2 balles qui font le plaisir de nos marmots. Mais bon, c'est efficace. Une planche, un gag, avec une chute plus ou moins bien amenée. Reste que pour l'originalité, on repassera !
Alors si cette série semble bien fonctionner auprès de la tranche d'age ciblée, je dois me faire trop vieux ou trop critique. En tout cas, je pense que le lectorat visé trouvera de quoi se fendre la pêche dans d'autres séries beaucoup plus efficaces et originales...
Avis après lecture du 1er tome :
Heu... Ben bof ! Je n’ai pas vraiment aimé "Cellulite".
Je ne suis pas un inconditionnel de Claire Brétecher mais j'aime bien certaines de ses œuvres (par exemple Les GnanGnan).
Les états d'âme de la princesse Cellulite ne me font pas rire. Franchement ces gags de plusieurs pages (très longs à lire) ne me décrochent aucun sourire. Ni le développement du gag ni la chute, ni les personnages (très antipathiques) ne déclenche du comique en moi. Et le pire ce n'est pas que les histoires ne soit pas drôles –pour moi- (cela peut arriver) mais c’est que je ne sais pas à quel moment il faut rire ou quel est l'élément déclenchant l’effet comique.
Gênant pour une BD humoristique.
Franchement ces gags ont trop vieillis et ne sont plus du tout dans l'ère du temps.
Au niveau du dessin, c'était l'unes des premières œuvres de Brétecher, cela se sent au niveau du trait : il est trop incertain, simple, brouillon et tout simplement pas joli. Ce sera mieux plus tard (Les Frustrés, Agrippine etc...).
Pour les gags en couleurs, la colorisation est trop sommaire. Bref, moi je ne recommande pas du tout.
PS : un bon point par rapport aux œuvres suivantes de Claire Brétecher, c'est que le lettrages est beaucoup plus joli (et pas écrit en attaché) ce qui rend les planches plus lisibles : un des rares bon point.
La fantôme est une exploration intérieure d'une jeune femme aveugle. Cette œuvre est particulièrement intéressante car elle ne sombre pas dans les affres du pathos.
Nous avons un trio qui se forme autour de la désespérance dans un univers rural un peu clos. Les thèmes sont classiques : amitié, courage pour s'en sortir etc...
Pour autant, après un démarrage en fanfare, cela semble descendre en puissance notamment vers la fin. C'est bien dommage car on en attendait un peu plus. Il n'y a pas de réelle surprise. L'ensemble demeure correct mais il m'en fallait un peu plus pour me convaincre. C'est comme un essai raté.
Je dois bien avouer que c'est tout juste marrant quand on en lit un. Après, on voit que cela devient répétitif et réellement lassant au final.
J'ai vraiment l'impression que c'est propre à ce genre de bd d'humour non subtil. Je les range comme des bd catégorielles qui ont fait leur temps et qui ne sont plus d'une très grande utilité que de se divertir le temps de faire ses courses dans un hyper.
Pour le reste, il est vrai que je n'apprécie pas personnellement les personnes qui sont fainéantes. Cela ne me fait pas rire quand j'en vois un !
Je n'ai malheureusement pas trop aimé ce récit de super-héros qui évolue dans l'entre-deux-guerre dans une espèce de monde uchronique. Il y a des idées et de l'originalité mais la combinaison ne passe pas très bien. Il manque quelque chose d'essentiel pour que le lien puisse se faire et la magie de la lecture opérer.
Par ailleurs, le dessin qui m'a paru beaucoup trop imprécis dans un graphisme qui ne confère pas à l'harmonie. Je n'apprécie non plus les petites cases.
Il est vrai que le scénario évolue trop lentement pour réellement attirer l'attention du lecteur. Faut-il laisser nécessairement autant de temps aux auteurs pour mettre un récit en place ? J'en doute un peu. Il y a trop d'attente pour pas grand chose.
J'admets qu'objectivement, cette série sera potable pour un ensemble de lecteurs. Subjectivement, cela ne le fait pas. Désolé !
Je n'aurais sans doute pas dû commencer ma découverte de cet auteur par ce titre qui constitue une série de nouvelles qui n'avaient pas très bien marché commercialement parlant. Le coup de cœur n'a pas eu lieu car c'est naïf et maladroit.
En effet, les récits ne sont pas très cohérents. Par ailleurs, il y a indiscutablement une carence au niveau du graphisme car cet auteur ne sait pas dessiner les femmes.
Pour autant, je ne vais pas m'attacher à ce genre de détails car d'après ce que j'entends, nous sommes en présence d'un maître du manga japonais. Je continuerai donc mon exploration par d'autres titres qui seront peut-être plus abouti.
Je n'ai guère aimé Rébétiko. Non pas que je n'aime pas les danseurs grecs des années 30 : loin de là ! C'est plutôt le rythme de l'histoire qui est très lent et qui s'inscrit dans une certaine ambiance méditerranéenne d'époque trouble.
Au fil des pages, mon intérêt s'est décru jusqu'à éprouver un sentiment de pénibilité quand je tournais une page. Après, je me connais : cela devient un calvaire.
Et pourtant, je me dis qu'il ne faut quelques fois pas grand chose pour me satisfaire. Ici, le scénario confère à l'ennui. C'est beau de voir des gens danser dans des bars où il y a une franche rigolade après des séances de fumette.
Cette bd qui se consacre corps et âme à un courant musical pourra plaire bien entendu à des mélomanes qui imagineront sans doute des figures hypnotiques. Pour ma part, je me suis endormi...
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Miki
Il y avait des idées intéressantes dans cette histoire mais cela a été mal orchestré. On n'arrive pas à savoir au début dans quel contexte on se situe. On découvrira sur le tard certains éléments qui auraient pu être posés clairement au début afin de permettre au lecteur de franchir d'autres étapes clés du récit. Bref, on remarquera nettement un manque de maîtrise du scénario. Le dessin me semble tout à fait correct mais il sera peut-être de très mauvais goût pour d'autres lecteurs qui ont une autre définition de l'art graphique ou du moins une autre approche... En tout cas, ce qui est important, c'est ce que je ressens. Ici, beaucoup de potentialité mais mal exprimée. Dommage ! A noter que le second tome a quand même mis 5 ans pour sortir ce qui est beaucoup trop long dans notre époque actuelle.
Histoires d'hiver
L'hiver est l'élément commun à toutes ces 6 histoires racontées et dessinées par des auteurs québequois différents. J'ai bien aimé la première nouvelle qui s'intitule "mauve ciel" et qui raconte le début d'une relation amoureuse entre deux adolescents. Le deuxième récit nous plonge au coeur de l'histoire et d'une des plus sanglantes batailles de la Seconde guerre mondiale à savoir celle de Stalingrad. Hitler surnommait l'ennemi secret le terrible hiver qui a eu raison de ses armées. On comprendra pourquoi. Le troisième semble être dans un style graphique totalement différent ce qui ne provoque pas une belle homogénéisation de l'ensemble. Par ailleurs, le ton est réellement humorisitique. On a du mal à enchaîner sur des variations aussi différentes. La quatrième nous présente celle d'un vieux fou qui va combattre l'hiver qui est devenu la saison principale suite à un cataclysme climatique. C'est intéressant mais avec une fin de récit un peu naïve. Les 2 dernières nouvelles ne présentent guère d'intérêt. D'où au final, c'est une oeuvre plutôt moyenne qui aurait pu être un peu plus captivante.
Sakura-Gari
Nous avons là un manga sentimental et érotique qui relate les aventures d’un jeune homme qui se retrouve mêlé malgré lui aux manigances d’une famille. C'est plutôt bien dessiné avec des décors du Japon de l'an 9 de l'ère Taisho (1920) à une époque de réel grand changement pour ce pays. Je n'ai pas trop aimé cette oeuvre beaucoup trop sombre et cruelle. Je n'aime guère les viols qui ne sont pas synonymes de séduction. Cela va beaucoup trop loin. On arrive à être totalement dégoûté à la fin du premier tome. Bref, cela arrive quelques fois quand on tombe dans une espèce de sur-enchère gratuite.
Les Blagues de Toto
Les blagues de Toto, c'est comme les blagues carambars : on trouve ça nul, mais on ne peut pas s'empêcher de les lire après avoir déballé le caramel ! Soyons clair, cette BD reste dans cette verve, même si son traitement graphique agréable et chaleureux permet de faire digérer cet humour de cour de récréation. Car non, ça ne vol pas haut, on connaît tous plus ou moins ces blagues à 2 balles qui font le plaisir de nos marmots. Mais bon, c'est efficace. Une planche, un gag, avec une chute plus ou moins bien amenée. Reste que pour l'originalité, on repassera ! Alors si cette série semble bien fonctionner auprès de la tranche d'age ciblée, je dois me faire trop vieux ou trop critique. En tout cas, je pense que le lectorat visé trouvera de quoi se fendre la pêche dans d'autres séries beaucoup plus efficaces et originales...
Cellulite
Avis après lecture du 1er tome : Heu... Ben bof ! Je n’ai pas vraiment aimé "Cellulite". Je ne suis pas un inconditionnel de Claire Brétecher mais j'aime bien certaines de ses œuvres (par exemple Les GnanGnan). Les états d'âme de la princesse Cellulite ne me font pas rire. Franchement ces gags de plusieurs pages (très longs à lire) ne me décrochent aucun sourire. Ni le développement du gag ni la chute, ni les personnages (très antipathiques) ne déclenche du comique en moi. Et le pire ce n'est pas que les histoires ne soit pas drôles –pour moi- (cela peut arriver) mais c’est que je ne sais pas à quel moment il faut rire ou quel est l'élément déclenchant l’effet comique. Gênant pour une BD humoristique. Franchement ces gags ont trop vieillis et ne sont plus du tout dans l'ère du temps. Au niveau du dessin, c'était l'unes des premières œuvres de Brétecher, cela se sent au niveau du trait : il est trop incertain, simple, brouillon et tout simplement pas joli. Ce sera mieux plus tard (Les Frustrés, Agrippine etc...). Pour les gags en couleurs, la colorisation est trop sommaire. Bref, moi je ne recommande pas du tout. PS : un bon point par rapport aux œuvres suivantes de Claire Brétecher, c'est que le lettrages est beaucoup plus joli (et pas écrit en attaché) ce qui rend les planches plus lisibles : un des rares bon point.
La Fantôme
La fantôme est une exploration intérieure d'une jeune femme aveugle. Cette œuvre est particulièrement intéressante car elle ne sombre pas dans les affres du pathos. Nous avons un trio qui se forme autour de la désespérance dans un univers rural un peu clos. Les thèmes sont classiques : amitié, courage pour s'en sortir etc... Pour autant, après un démarrage en fanfare, cela semble descendre en puissance notamment vers la fin. C'est bien dommage car on en attendait un peu plus. Il n'y a pas de réelle surprise. L'ensemble demeure correct mais il m'en fallait un peu plus pour me convaincre. C'est comme un essai raté.
Parker et Badger
Je dois bien avouer que c'est tout juste marrant quand on en lit un. Après, on voit que cela devient répétitif et réellement lassant au final. J'ai vraiment l'impression que c'est propre à ce genre de bd d'humour non subtil. Je les range comme des bd catégorielles qui ont fait leur temps et qui ne sont plus d'une très grande utilité que de se divertir le temps de faire ses courses dans un hyper. Pour le reste, il est vrai que je n'apprécie pas personnellement les personnes qui sont fainéantes. Cela ne me fait pas rire quand j'en vois un !
La Brigade Chimérique
Je n'ai malheureusement pas trop aimé ce récit de super-héros qui évolue dans l'entre-deux-guerre dans une espèce de monde uchronique. Il y a des idées et de l'originalité mais la combinaison ne passe pas très bien. Il manque quelque chose d'essentiel pour que le lien puisse se faire et la magie de la lecture opérer. Par ailleurs, le dessin qui m'a paru beaucoup trop imprécis dans un graphisme qui ne confère pas à l'harmonie. Je n'apprécie non plus les petites cases. Il est vrai que le scénario évolue trop lentement pour réellement attirer l'attention du lecteur. Faut-il laisser nécessairement autant de temps aux auteurs pour mettre un récit en place ? J'en doute un peu. Il y a trop d'attente pour pas grand chose. J'admets qu'objectivement, cette série sera potable pour un ensemble de lecteurs. Subjectivement, cela ne le fait pas. Désolé !
I.L
Je n'aurais sans doute pas dû commencer ma découverte de cet auteur par ce titre qui constitue une série de nouvelles qui n'avaient pas très bien marché commercialement parlant. Le coup de cœur n'a pas eu lieu car c'est naïf et maladroit. En effet, les récits ne sont pas très cohérents. Par ailleurs, il y a indiscutablement une carence au niveau du graphisme car cet auteur ne sait pas dessiner les femmes. Pour autant, je ne vais pas m'attacher à ce genre de détails car d'après ce que j'entends, nous sommes en présence d'un maître du manga japonais. Je continuerai donc mon exploration par d'autres titres qui seront peut-être plus abouti.
Rébétiko
Je n'ai guère aimé Rébétiko. Non pas que je n'aime pas les danseurs grecs des années 30 : loin de là ! C'est plutôt le rythme de l'histoire qui est très lent et qui s'inscrit dans une certaine ambiance méditerranéenne d'époque trouble. Au fil des pages, mon intérêt s'est décru jusqu'à éprouver un sentiment de pénibilité quand je tournais une page. Après, je me connais : cela devient un calvaire. Et pourtant, je me dis qu'il ne faut quelques fois pas grand chose pour me satisfaire. Ici, le scénario confère à l'ennui. C'est beau de voir des gens danser dans des bars où il y a une franche rigolade après des séances de fumette. Cette bd qui se consacre corps et âme à un courant musical pourra plaire bien entendu à des mélomanes qui imagineront sans doute des figures hypnotiques. Pour ma part, je me suis endormi...