Cela se voulait une bd tendre, fraîche et drôle tout en se présentant à la manière d'un strip blog personnel où l'auteure raconte de petites anedoctes sur sa vie entre une escapade à Deauville ou une vie parisienne bien remplie. Les femmes adoreront à n'en point douter cette conception du multi-tâche à la mode. C'est en effet très girly dans l'âme et dans leur considération.
Malgré un graphisme agréable avec ce trait léger, je n'ai pas trop accroché à ce pêle-mêle de frivolités au quotidien. L'humour est très bon enfant et cela fait très fleur bleue par moment.
Les madeleines de Mady m'ont paru assez indigestes. Il n'y a aucune profondeur dans cette peinture auto-narcissique d'une jeunesse dorée et finalement bien fade. Pour les autres, à déguster avec une madeleine dans une main et une délicieuse tasse de thé dans l'autre à l'heure du goûter de préférence !
Même problème que Pasukare, je n'arrive pas à m'investir dans cette BD.
Peut on parler de BD au sens stricte du terme ?
"Tamara Drewe" est plus roman que graphique, cette narration trop textuelle ne me convient pas. J'avais eu du mal avec Un Monde de différence que j'ai lu sur plus de 2 mois.
Dans le cas présent, j'ai rapidement compris que je n'irai pas au bout.
Pourtant le dessin me plaisait, simple et sobrement colorié.
Je ne mets pas un 1/5 car cette oeuvre est certainement intéressante mais elle ne me convient pas du tout sur la forme. Et pourtant comme mes statistiques le confirment, j'aime les romans graphiques.
Dommage, il ne me reste qu'à retourner ce pavé à la bibliothèque.
Je n'ai pas réellement aimé ce roman graphique.
Le dessin noir et blanc est sale et peu lisible. Il aurait pourtant convenu au récit avec plus de soins apportés.
Le scénario est simple mais sans finalité.
On a deux jeunes ados qui passent leurs journées ensemble. Le plus grand a une influence négative sur le plus petit et lui occasionne des problèmes. Mis à part ça, la BD ne développe rien, balance des tenants mais s'affranchit des aboutissants.
La lecture m'est parue vaine en raison de tous ces défauts.
Cette série explique un peu tout ce qui gravite autour du Donjon de Naheulbeuk.
Le dessin de Poinsot est toujours très bien adapté aux histoires de nos personnages et à l'ambiance JdR burlesque !
Ici, quelques 'pubs' marrantes, des points historiques délurés, des anecdotes bien marrantes.... Mais bon, sans plus ... Je crois que je n'en ai même pas fini la lecture... Pourtant j'aime bien l'univers JdR...
Ceux qui veulent rigoler un peu et qui sont vraiment fans de cette série peuvent acheter cette série sans soucis... Encore que, on peut facilement s'ennuyer même si les idées sont bien drôles et franchement bien racontées !
Après la lecture du premier tome.
Avec un tel titre on s'attend à de superbes dessins architecturaux. Malheureusement les angles et perspectives ne m'ont pas convaincu. Pire, on peut régulièrement jouer au jeu des 7 erreurs entre deux dessins de l'abbaye (par exemple : la couverture et la page 16).
C'est dommage car globalement le dessin avec ses couleurs directes a un certain charme.
Le scénario monte tranquillement en puissance mais j'ai eu l'impression d'avoir déjà lu cette BD. Cela démontre un léger manque d'originalité. Je reste clément et j'attendrai de voir le second tome pour apporter un jugement définitif. Il faut espérer un final digne de ce nom pour donner aux lecteurs ce qu'ils sont en droit d'attendre.
A suivre, il y a du bon mais aussi des erreurs de jeunesse à corriger dans le prochain tome car pour celui les dés sont jetés.
Après la lecture du tome 2 : Paris, secteur soviétique
Je n'attendais pas grand chose de cette lecture, je souhaitais tout de même me faire une opinion personnelle. J'ai emprunté cette BD à la bibliothèque, je n'ai trouvé que ce tome.
Cette BD se laisse lire, l'histoire est correcte mais sans plus. L'uchronie passe derrière le récit policier teinté de politique. Il n'y a rien de remarquable à retenir, c'est convenu. Le format me parait trop limité pour ce genre d'exercice, il est impossible de développer correctement, on va à l'essentiel mais cette gestion en mode résumé ne laisse pas de place pour les émotions.
Le dessin accompagne bien le scénario, il est fin et détaillé, bien que trop informatisé à mon goût.
Cette lecture ne m'a pas intéressé, cette série ne finira pas dans ma bibliothèque.
J'emprunterai à l'occasion les autres tomes par curiosité.
Après la lecture du premier tome.
Quel manque d'originalité dans le scénario !!!
C'est du vu, revu et re-revu. Du coup, l'intérêt se réduit considérablement. J'ai terminé le tome par politesse mais le coeur n'y était pas.
Pourtant en ouvrant la BD, j'ai été surpris par le dessin très stylé, original et détaillé. Mais au bout de quelques pages je m'en suis lassé. Les pages paraissent surchargées et manquent cruellement de lisibilité.
Il aurait peut être fallu diversifier les couleurs et ne pas se cantonner aux couleurs chaudes saturant cruellement les cases.
Cette BD n'est pas mauvaise du tout mais elle n'est pas ma tasse de thé.
Le Labo ? Cette série est arrivée dans Spirou le 16 avril 2008 lors du numéro fêtant les 70 ans du journal. Elle ne l'a plus quitté.
Les dessins ? Les personnages sont minimalistes mais les laboratoires et les instruments sont remarquablement bien faits.
C'est une bonne série qui nous fait apprendre plein de choses sur la science (comme le fait Sauvages pour les animaux), mais le fait que cette série soit éditée en album m'étonne un peu. J'ai lu les histoires dans Spirou, et c'est très agréable, mais cela peut sembler indigeste en album.
Au final un bon petit album comme les éditions Dupuis savent si bien en faire.
Ajout: après une tentative de relecture pénible, je baisse ma note d'un point.
Plus de 2 mois, c'est long et c'est le temps que m'a pris la lecture de ce petit pavé.
Je n'ai jamais pu lire plus d'un chapitre d'une traite (il y en a 24...)
La narration est pénible à cause de plusieurs facteurs : le dessin est trop chargé, les visages à grosses mâchoires sont hideux, il y a trop de cases par pages et dans ces dernières il y a trop de texte. Je saturais systématiquement, l'indigestion chronique...
Pourtant les sujets abordés sont bien traités, cette BD est riche sur le fond mais également sur la forme. Malheureusement cette dernière gâche le plaisir de lecture.
Cette BD contredit ma vision de la BD car en temps normal je privilégie le scénario au dessin.
Mais dans "Un Monde de différence" je garde un ressenti négatif essentiellement lié au dessin alors que d'habitude je ne m'en soucie pas.
Au final, cette BD restera en mémoire pour de mauvaises raisons. J'attends un meilleur équilibre dans mes lectures et surtout plus de plaisirs ou de ressentis.
Attiré par les jolies couvertures, j'ai essayé de lire les albums de cette série, mais je n'ai pas été captivé.
L'auteur dépeint avec talent ses mondes imaginaires (les paysages et les créatures exotiques sont très réussis). Mais je n'ai pas accroché sur les personnages, trop statiques et peu naturels à mon goût, ni sur l'histoire qui ne m'a laissé qu'un souvenir assez vague.
S'il en avait fait un album en tant que "carnet de voyage imaginaire", analogue au livre qu'aurait ramené un dessinateur ayant parcouru les planètes présentées, ça aurait peut-être été mieux...
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Les Madeleines de Mady
Cela se voulait une bd tendre, fraîche et drôle tout en se présentant à la manière d'un strip blog personnel où l'auteure raconte de petites anedoctes sur sa vie entre une escapade à Deauville ou une vie parisienne bien remplie. Les femmes adoreront à n'en point douter cette conception du multi-tâche à la mode. C'est en effet très girly dans l'âme et dans leur considération. Malgré un graphisme agréable avec ce trait léger, je n'ai pas trop accroché à ce pêle-mêle de frivolités au quotidien. L'humour est très bon enfant et cela fait très fleur bleue par moment. Les madeleines de Mady m'ont paru assez indigestes. Il n'y a aucune profondeur dans cette peinture auto-narcissique d'une jeunesse dorée et finalement bien fade. Pour les autres, à déguster avec une madeleine dans une main et une délicieuse tasse de thé dans l'autre à l'heure du goûter de préférence !
Tamara Drewe
Même problème que Pasukare, je n'arrive pas à m'investir dans cette BD. Peut on parler de BD au sens stricte du terme ? "Tamara Drewe" est plus roman que graphique, cette narration trop textuelle ne me convient pas. J'avais eu du mal avec Un Monde de différence que j'ai lu sur plus de 2 mois. Dans le cas présent, j'ai rapidement compris que je n'irai pas au bout. Pourtant le dessin me plaisait, simple et sobrement colorié. Je ne mets pas un 1/5 car cette oeuvre est certainement intéressante mais elle ne me convient pas du tout sur la forme. Et pourtant comme mes statistiques le confirment, j'aime les romans graphiques. Dommage, il ne me reste qu'à retourner ce pavé à la bibliothèque.
Trois jours en été
Je n'ai pas réellement aimé ce roman graphique. Le dessin noir et blanc est sale et peu lisible. Il aurait pourtant convenu au récit avec plus de soins apportés. Le scénario est simple mais sans finalité. On a deux jeunes ados qui passent leurs journées ensemble. Le plus grand a une influence négative sur le plus petit et lui occasionne des problèmes. Mis à part ça, la BD ne développe rien, balance des tenants mais s'affranchit des aboutissants. La lecture m'est parue vaine en raison de tous ces défauts.
Les Arcanes de Naheulbeuk - L'arrière-boutique de la Terre de Fangh
Cette série explique un peu tout ce qui gravite autour du Donjon de Naheulbeuk. Le dessin de Poinsot est toujours très bien adapté aux histoires de nos personnages et à l'ambiance JdR burlesque ! Ici, quelques 'pubs' marrantes, des points historiques délurés, des anecdotes bien marrantes.... Mais bon, sans plus ... Je crois que je n'en ai même pas fini la lecture... Pourtant j'aime bien l'univers JdR... Ceux qui veulent rigoler un peu et qui sont vraiment fans de cette série peuvent acheter cette série sans soucis... Encore que, on peut facilement s'ennuyer même si les idées sont bien drôles et franchement bien racontées !
Le Sang des batisseurs
Après la lecture du premier tome. Avec un tel titre on s'attend à de superbes dessins architecturaux. Malheureusement les angles et perspectives ne m'ont pas convaincu. Pire, on peut régulièrement jouer au jeu des 7 erreurs entre deux dessins de l'abbaye (par exemple : la couverture et la page 16). C'est dommage car globalement le dessin avec ses couleurs directes a un certain charme. Le scénario monte tranquillement en puissance mais j'ai eu l'impression d'avoir déjà lu cette BD. Cela démontre un léger manque d'originalité. Je reste clément et j'attendrai de voir le second tome pour apporter un jugement définitif. Il faut espérer un final digne de ce nom pour donner aux lecteurs ce qu'ils sont en droit d'attendre. A suivre, il y a du bon mais aussi des erreurs de jeunesse à corriger dans le prochain tome car pour celui les dés sont jetés.
Jour J
Après la lecture du tome 2 : Paris, secteur soviétique Je n'attendais pas grand chose de cette lecture, je souhaitais tout de même me faire une opinion personnelle. J'ai emprunté cette BD à la bibliothèque, je n'ai trouvé que ce tome. Cette BD se laisse lire, l'histoire est correcte mais sans plus. L'uchronie passe derrière le récit policier teinté de politique. Il n'y a rien de remarquable à retenir, c'est convenu. Le format me parait trop limité pour ce genre d'exercice, il est impossible de développer correctement, on va à l'essentiel mais cette gestion en mode résumé ne laisse pas de place pour les émotions. Le dessin accompagne bien le scénario, il est fin et détaillé, bien que trop informatisé à mon goût. Cette lecture ne m'a pas intéressé, cette série ne finira pas dans ma bibliothèque. J'emprunterai à l'occasion les autres tomes par curiosité.
Lady Doll
Après la lecture du premier tome. Quel manque d'originalité dans le scénario !!! C'est du vu, revu et re-revu. Du coup, l'intérêt se réduit considérablement. J'ai terminé le tome par politesse mais le coeur n'y était pas. Pourtant en ouvrant la BD, j'ai été surpris par le dessin très stylé, original et détaillé. Mais au bout de quelques pages je m'en suis lassé. Les pages paraissent surchargées et manquent cruellement de lisibilité. Il aurait peut être fallu diversifier les couleurs et ne pas se cantonner aux couleurs chaudes saturant cruellement les cases. Cette BD n'est pas mauvaise du tout mais elle n'est pas ma tasse de thé.
Le Labo
Le Labo ? Cette série est arrivée dans Spirou le 16 avril 2008 lors du numéro fêtant les 70 ans du journal. Elle ne l'a plus quitté. Les dessins ? Les personnages sont minimalistes mais les laboratoires et les instruments sont remarquablement bien faits. C'est une bonne série qui nous fait apprendre plein de choses sur la science (comme le fait Sauvages pour les animaux), mais le fait que cette série soit éditée en album m'étonne un peu. J'ai lu les histoires dans Spirou, et c'est très agréable, mais cela peut sembler indigeste en album. Au final un bon petit album comme les éditions Dupuis savent si bien en faire. Ajout: après une tentative de relecture pénible, je baisse ma note d'un point.
Stuck Rubber Baby (Un Monde de différence)
Plus de 2 mois, c'est long et c'est le temps que m'a pris la lecture de ce petit pavé. Je n'ai jamais pu lire plus d'un chapitre d'une traite (il y en a 24...) La narration est pénible à cause de plusieurs facteurs : le dessin est trop chargé, les visages à grosses mâchoires sont hideux, il y a trop de cases par pages et dans ces dernières il y a trop de texte. Je saturais systématiquement, l'indigestion chronique... Pourtant les sujets abordés sont bien traités, cette BD est riche sur le fond mais également sur la forme. Malheureusement cette dernière gâche le plaisir de lecture. Cette BD contredit ma vision de la BD car en temps normal je privilégie le scénario au dessin. Mais dans "Un Monde de différence" je garde un ressenti négatif essentiellement lié au dessin alors que d'habitude je ne m'en soucie pas. Au final, cette BD restera en mémoire pour de mauvaises raisons. J'attends un meilleur équilibre dans mes lectures et surtout plus de plaisirs ou de ressentis.
Bételgeuse
Attiré par les jolies couvertures, j'ai essayé de lire les albums de cette série, mais je n'ai pas été captivé. L'auteur dépeint avec talent ses mondes imaginaires (les paysages et les créatures exotiques sont très réussis). Mais je n'ai pas accroché sur les personnages, trop statiques et peu naturels à mon goût, ni sur l'histoire qui ne m'a laissé qu'un souvenir assez vague. S'il en avait fait un album en tant que "carnet de voyage imaginaire", analogue au livre qu'aurait ramené un dessinateur ayant parcouru les planètes présentées, ça aurait peut-être été mieux...