Vraiment pas accroché, et à son humour et à son dessin ...
Mais j'avoue ne pas accrocher à l'ensemble de l'oeuvre de Carlos Nine. C'est un auteur original et à découvrir certes, mais après c'est une question de gout ... (je suis en train de dire une lapalissade la ...)
A découvrir malgré tout ...
Non, bah ca va pas du tout, rien à dire, la catastrophe...
God Shave the Queen, je n'ai pas acheté Sboub. Je pense que je ne m'en serais pas remis ! :)
C'est bien simple, c'est très mauvais.
Une BD humoristique qui ne fait pas rire, je crois qu'il n'y a rien de pire ! La, on touche le fond dans l'humour pas drôle (ses adorateurs diront "au 10eme degré"), et il est clair que les gamins des aventures de Sboub n'ont aucun interet, ne sont pas attachants, rien du tout.
Une chose m'a tout de même fait sourire (la seule chose, notez bien !) : la parodie de l'affiche de Trainspotting du deuxieme de couv' du tome 2. Bon, pas rire aux eclats, hein, sourire...
Le dessin est quant à lui très grossier, très laid, et mise en couleur de manière baclée. Tout est écoeurant, des personnages aux couleurs, c'est vraiment pas bon. Le trait est gras et géométrique, cassé, mouais...
Non, vraiment, c'est tout à fait dispensable !
Si je ne doute pas du talent de Liberge en tant qu'illustrateur, en revanche Liberge le scénariste et dialoguiste me gave complètement. C'est donc avec beaucoup de circonspection que j'ai abordée cette BD dont il ne signe que le scénario, les dessins étant assurés par un débutant du nom de Vincent Gravé.
Commençons par le positif : le débutant en question n'est pas manchot lui non plus. Je n'aime pas trop son trait, mais la mise en couleur donne pas mal de classe à l'ensemble.
Maintenant, les choses qui fâchent...
Le scénario de Liberge pompe à droite à gauche : un peu de "20.000 lieues sous les mers", un peu de "L'Ile du Dr. Moreau", un peu de "La Cité des enfants perdus"... Pour l'originalité, vous repasserez. Les textes sont soporifiques au possible ; il ne nous plonge pas dans le mystère, il nous y noie. C'est vite fatigant, ça perd rapidement tout intérêt, on finit par survoler les bulles de dialogue plutôt que de les lire réellement tant ça devient pénible.
Bref, même si un éditeur décide de prendre la succession de Pointe Noire pour publier la suite, je ne pense pas que je me jetterai dessus.
Cette BD me fait curieusement penser aux Royaumes de Borée (une BD que je considère comme une des plus mauvaises...)
Pourtant, le dessin en lui même est moins laid... mais reste tout de même loin d’être potable. Le dessineux manque encore de beaucoup de maturité, c'est net. Les couleur quant à elles sont tout simplement hideuses, ça arrange pas les choses.
Toute l'histoire tourne autour de cette héroïne (qui est fort bien roulée, certes) et j'ai un peu de mal à en voir l’intérêt tant je la trouve niaise.
Bref, je n'ai vraiment pas, mais alors vraiment pas du tout aimé ce truc.
(Seul bon point : les auteurs ne peuvent que faire mieux la prochaine fois !)
On aurait pu croire à une satire féministe ou tout du moins féminisante, à une bonne dose d’humour prompte à mettre en évidence certains travers de notre société post-moderne. Il n’en est rien, où plutôt, c’est bien ce qui a été tenté, mais c’est un coup dans l’eau. Un gros Splash, un plantage intégral, à côté duquel ceux de David Hockney ressemble à des pipi de chat (c’est pour l’image). Le propos de la plupart de ces gags n’a aucune finesse, aucun discernement particulier. Ces auteurs font moins bien ce que d’autres font avec infiniment plus de clairvoyance qu’eux. Et le pire, c’est que cette lourdeur pourrait être excusée si au moins c’était drôle. Mais voilà, autre problème : la satire sociale, quand elle n’est pas pertinente, perd beaucoup de son pouvoir drolatique. Le personnage ? Parlons-en du personnage, il a autant de corps qu’une pin-up de publicité. On croyait pouvoir faire la connaissance d’une héroïne malicieuse, la ravissante Elodie. Je n’ai vu qu’un personnage caricatural qui n’existe que sur un seul registre, celui de fausse provocation. Avec ses airs soit-disant malicieux, elle joue le rôle de l’anti-machiste de service, mais de manière tellement excessive que même les chiennes de garde (qui rayon « on en fait jamais trop » sont pourtant des expertes) la trouveraient outrancière. On s’attendait à ce qu’elle soit sexy, même là, c’est assez raté car le dessin n’a pas beaucoup plus de mérite. Le trait est fin et trop souvent confus. L’attitude des personnages et leurs pauses, trop outrées, desservent les dialogues. Les touches d ’aquarelle par-ci par-là, destinées à donner du corps au dessin, ne font souvent que l’obscurcir. Bref, ils devaient être en pénurie de matière première, chez Fluide, le jour où ils ont décidés de publier cet album. Et dire que dans le même temps, ils arrêtent de publier le délicieux Jake Raynal. Gotlib ! Hé ho ! Où t’es passé ? Y’a plus personne chez Fluide ? T’es parti en réglant le pilotage automatique sur « on publie tout du moment que ca parle de couille et de bite » ?
Manara devrait parfois rester dans les scenarios érotiques qu'il réussit bien mieux que cet homme de papier... L'histoire est loin d'être intéressante, et les superbes femmes auxquelles Manara nous a habitué ne sont que trop absentes ici. Du coup, tout est sans intérêt.
Et je ne suis pas fan de Manara quand son dessin est en couleurs, je dois être un peu vieux jeu...
Un album tout à fait dispensable, même pour les plus gros fans de ce grand Maître qu'est Manara.
Alors là, je dois bien avouer que je me marre rien qu'en pensant que certains peuvent acheter ça (c'est pas mechant hein !).
En fait, j'ai meme du mal à cerner le public visé parce que l'humour est tellement mauvais que ça ne peux convenir ni aux enfants qui n'en comprennent probablement rien, ni aux adultes qui ne peuvent trouver ça que mauvais (presque).
Le dessin n'a rien d'agreable, les histoires sont plutot chiantes, bref, rien à en tirer selon moi.
(et comment ne pas parler de cet album memorable de Manu et la RATP, offert il y a facile 10 ans par la ratp... ou là là... que du bonheur ça... beurk)
J'ai lu ça tout à l'heure, et sérieusement, j'ai eu beaucoup de mal à rester concentré dessus.
Sûrement à cause des """dialogues""" qui manquent quelque peu d'originalité. Ca se répète beaucoup pour pas grand chose...
Les dessin sont aussi variés que les dialogues, et presque plus que les couleurs de l'album.
Un album à offrir aux insomniaques.
Alors que les sales blagues de Vuillemin me font franchement marrer, que les histoires de Dany sont en général bien drôles et superbement dessinées, j'ai du me marrer deux fois à la lecture des 3 premiers tomes de ces blagues coquines. Les dessins sont pas mal mais les histoires sont vraiment médiocres.
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Saubón le petit canard (Le Canard qui aimait les poules)
Vraiment pas accroché, et à son humour et à son dessin ... Mais j'avoue ne pas accrocher à l'ensemble de l'oeuvre de Carlos Nine. C'est un auteur original et à découvrir certes, mais après c'est une question de gout ... (je suis en train de dire une lapalissade la ...) A découvrir malgré tout ...
Sboub
Non, bah ca va pas du tout, rien à dire, la catastrophe... God Shave the Queen, je n'ai pas acheté Sboub. Je pense que je ne m'en serais pas remis ! :) C'est bien simple, c'est très mauvais. Une BD humoristique qui ne fait pas rire, je crois qu'il n'y a rien de pire ! La, on touche le fond dans l'humour pas drôle (ses adorateurs diront "au 10eme degré"), et il est clair que les gamins des aventures de Sboub n'ont aucun interet, ne sont pas attachants, rien du tout. Une chose m'a tout de même fait sourire (la seule chose, notez bien !) : la parodie de l'affiche de Trainspotting du deuxieme de couv' du tome 2. Bon, pas rire aux eclats, hein, sourire... Le dessin est quant à lui très grossier, très laid, et mise en couleur de manière baclée. Tout est écoeurant, des personnages aux couleurs, c'est vraiment pas bon. Le trait est gras et géométrique, cassé, mouais... Non, vraiment, c'est tout à fait dispensable !
Relayer
Si je ne doute pas du talent de Liberge en tant qu'illustrateur, en revanche Liberge le scénariste et dialoguiste me gave complètement. C'est donc avec beaucoup de circonspection que j'ai abordée cette BD dont il ne signe que le scénario, les dessins étant assurés par un débutant du nom de Vincent Gravé. Commençons par le positif : le débutant en question n'est pas manchot lui non plus. Je n'aime pas trop son trait, mais la mise en couleur donne pas mal de classe à l'ensemble. Maintenant, les choses qui fâchent... Le scénario de Liberge pompe à droite à gauche : un peu de "20.000 lieues sous les mers", un peu de "L'Ile du Dr. Moreau", un peu de "La Cité des enfants perdus"... Pour l'originalité, vous repasserez. Les textes sont soporifiques au possible ; il ne nous plonge pas dans le mystère, il nous y noie. C'est vite fatigant, ça perd rapidement tout intérêt, on finit par survoler les bulles de dialogue plutôt que de les lire réellement tant ça devient pénible. Bref, même si un éditeur décide de prendre la succession de Pointe Noire pour publier la suite, je ne pense pas que je me jetterai dessus.
Léa
Cette BD me fait curieusement penser aux Royaumes de Borée (une BD que je considère comme une des plus mauvaises...) Pourtant, le dessin en lui même est moins laid... mais reste tout de même loin d’être potable. Le dessineux manque encore de beaucoup de maturité, c'est net. Les couleur quant à elles sont tout simplement hideuses, ça arrange pas les choses. Toute l'histoire tourne autour de cette héroïne (qui est fort bien roulée, certes) et j'ai un peu de mal à en voir l’intérêt tant je la trouve niaise. Bref, je n'ai vraiment pas, mais alors vraiment pas du tout aimé ce truc. (Seul bon point : les auteurs ne peuvent que faire mieux la prochaine fois !)
Elodie
On aurait pu croire à une satire féministe ou tout du moins féminisante, à une bonne dose d’humour prompte à mettre en évidence certains travers de notre société post-moderne. Il n’en est rien, où plutôt, c’est bien ce qui a été tenté, mais c’est un coup dans l’eau. Un gros Splash, un plantage intégral, à côté duquel ceux de David Hockney ressemble à des pipi de chat (c’est pour l’image). Le propos de la plupart de ces gags n’a aucune finesse, aucun discernement particulier. Ces auteurs font moins bien ce que d’autres font avec infiniment plus de clairvoyance qu’eux. Et le pire, c’est que cette lourdeur pourrait être excusée si au moins c’était drôle. Mais voilà, autre problème : la satire sociale, quand elle n’est pas pertinente, perd beaucoup de son pouvoir drolatique. Le personnage ? Parlons-en du personnage, il a autant de corps qu’une pin-up de publicité. On croyait pouvoir faire la connaissance d’une héroïne malicieuse, la ravissante Elodie. Je n’ai vu qu’un personnage caricatural qui n’existe que sur un seul registre, celui de fausse provocation. Avec ses airs soit-disant malicieux, elle joue le rôle de l’anti-machiste de service, mais de manière tellement excessive que même les chiennes de garde (qui rayon « on en fait jamais trop » sont pourtant des expertes) la trouveraient outrancière. On s’attendait à ce qu’elle soit sexy, même là, c’est assez raté car le dessin n’a pas beaucoup plus de mérite. Le trait est fin et trop souvent confus. L’attitude des personnages et leurs pauses, trop outrées, desservent les dialogues. Les touches d ’aquarelle par-ci par-là, destinées à donner du corps au dessin, ne font souvent que l’obscurcir. Bref, ils devaient être en pénurie de matière première, chez Fluide, le jour où ils ont décidés de publier cet album. Et dire que dans le même temps, ils arrêtent de publier le délicieux Jake Raynal. Gotlib ! Hé ho ! Où t’es passé ? Y’a plus personne chez Fluide ? T’es parti en réglant le pilotage automatique sur « on publie tout du moment que ca parle de couille et de bite » ?
Quatre doigts - L'Homme de papier
Manara devrait parfois rester dans les scenarios érotiques qu'il réussit bien mieux que cet homme de papier... L'histoire est loin d'être intéressante, et les superbes femmes auxquelles Manara nous a habitué ne sont que trop absentes ici. Du coup, tout est sans intérêt. Et je ne suis pas fan de Manara quand son dessin est en couleurs, je dois être un peu vieux jeu... Un album tout à fait dispensable, même pour les plus gros fans de ce grand Maître qu'est Manara.
Manu
Alors là, je dois bien avouer que je me marre rien qu'en pensant que certains peuvent acheter ça (c'est pas mechant hein !). En fait, j'ai meme du mal à cerner le public visé parce que l'humour est tellement mauvais que ça ne peux convenir ni aux enfants qui n'en comprennent probablement rien, ni aux adultes qui ne peuvent trouver ça que mauvais (presque). Le dessin n'a rien d'agreable, les histoires sont plutot chiantes, bref, rien à en tirer selon moi. (et comment ne pas parler de cet album memorable de Manu et la RATP, offert il y a facile 10 ans par la ratp... ou là là... que du bonheur ça... beurk)
L'Âge de raison
J'ai lu ça tout à l'heure, et sérieusement, j'ai eu beaucoup de mal à rester concentré dessus. Sûrement à cause des """dialogues""" qui manquent quelque peu d'originalité. Ca se répète beaucoup pour pas grand chose... Les dessin sont aussi variés que les dialogues, et presque plus que les couleurs de l'album. Un album à offrir aux insomniaques.
Blagues Coquines
Alors que les sales blagues de Vuillemin me font franchement marrer, que les histoires de Dany sont en général bien drôles et superbement dessinées, j'ai du me marrer deux fois à la lecture des 3 premiers tomes de ces blagues coquines. Les dessins sont pas mal mais les histoires sont vraiment médiocres.
Argyll de Maracande
On perd pas de temps Scenar mauvais, pitoyable, rien à garder Dessins moyen (bien meilleur pour Galfalek et heureusement) Couleurs immonde