Ultima Parano est l'alliance de JB au scénario et de la paire Gess & Steph aux dessins, et je viens de l'apprendre aux couleurs : Pich (qui n'ai pas écrit sur la première page (?)).
Il faut avouer que le scénario est loin d'être simple : voir même trop compliqué, le lecteur est obligé de ses forcer, de faire un effort intellectuel pour comprendre l'histoire, alors que généralement le sens de l'histoire ect. sont l'une des choses les plus faciles à comprendre. Dans ce premier album on se balade d'univers en univers, le premier : le monde où Sari raconte l'histoire, le monde d'aujourd'hui dans la réalité; le seccond : dans la réalité mais dans le passé, lors de la crise de 49 à Amsterdam, raconté par Aminata; et le troisième univers est le monde viruel ( Ghosttown ) dans le passé raconté par la vieille Sari...POurquoi vous racontez tout cela ? et bien dans le but que vous vous en rendiez compte un petit peu... Le transfert d'univers en univers n'est pas facile à comprendre même si les dessinateurs changent de style...L'histoire est a creusé et je suis tout de même curieux de connaître la suite et savoir exactement ce qui s'est passé, comment c'en sont pris les Hackers pour détruire totalement cette ville virtuelle : Ghosttown !
Par contre les dessins sont des vrais merveilles, il n'y a rien à redire, et j'ai été très étonné par la prestation de Steph & Guess, surtout du côté des couleur, mais le problème est que ce n'est pas eux qui ont assuré la mise en couleur : dommage car je trouve que tout le mérite reviens à la colorisation à la peinture : donc bravo Pich ! Un cadrage parfait qui ne manque pas d'originalité, comme le scénario : mais aussi le problème est que des fois, il l'est trop ! Des planches époustouflantes détaillés, bizaroïdes, un délice ppur les yeux !
Ça bastonne, ça charcle, ça tue, ça éventre, ça décapite, ça éviscère, ça massacre, ça étripe... bref, une aventure un tantinet violente.
Nostalgiques de l'anime, passez votre chemin, le délire de l'adapation de l'excellent Philippe Ogouz (la voix de Patrick Duffy, le Bobby de Dallas) est totalement absent de la BD d'origine: pas de "Par le Hokuto à viande, je couperai vos gigots!!!" et autres calembours à deux balles improvisés devant le caractère totalement navrant du DA, mais plutôt du "Attaque secrète de la danse des 7 étoiles", déjà nettement plus prosaïque... pas de dialogues débiles genre "Pôpa, le monsieur, il m'a fait bô-booo la têteu, il est méchant, le monsieur! faut lui faire bobo!", mais plutôt "Je vais te découper en tranche, pauvre larve". Vous me direz que le niveau est sensiblement le même, ce qui n'est pas faux. Cependant, dans la manga, tout est à prendre au pied de la lettre, aucune place pour le second degré. :(
Les bourreaux, les victimes et Ken en Zorro... sauf que lui, c'est pas sur les fringues qu'il signe de son nom:
Tout est stéréotypé: les gros méchants, des balaises sanguinaires, organisés en bandes, en milices, voire en armées, un peu look destroy à la Mad Max, massacrent à longueur de temps, juste pour le fun, les pauvres civils, femmes, enfants et vieillards compris, qui ne demandent qu'un peu d'eau et de nourriture.
Le héros, Ken, se dresse alors en justicier et botte le cul de ces misérables (ou plutôt, leur fait exploser la tronche). C'est comme ça pendant toute la série. Là où Ken passe, les tyrans trépassent.
Mais attention, Ken n'est pas qu'un gros psychopathe adepte de l'autodéfense: s'il massacre les méchants, c'est pour protéger les plus faibles, au nom de l'amour de son prochain, car c'est un fait, le coeur de Ken déborde d'amour... et de tristesse: une vraie madeleine ce type! Et c'est pourquoi il est le plus costaud de tous, et accessoirement pourquoi il a toujours l'air constipé! :D
Question dessin, ben, ça s'améliore petit à petit on va dire... mais ça part pas de bien haut... ce sont essentiellement les très grosses erreurs de proportions qui s'estompent petit à petit, c'est moins statique, moins brouillon. Mais c'est jamais extraordinaire, et surtout, ça a pas mal vieilli. A noter que c'est édité par J'ai Lu, donc, attention aux taches d'encre!
Enfin...
Rien d'inoubliable donc... ça cause d'amour, de fraternité, de sacrifice, mais la forme me laisse plus que perplexe.
C'est pas nullissime, mais franchement, y a vraiment d'autres trucs à acheter!
Désolé, je dois devenir un vieux c** de la BD...
J'ai pas reussi à finir cet album. Pourtant, j'ai essayé, sincerement, mais c'etait trop difficile pour moi.
Déjà, j'aime pas le dessin. Je peux pas dire qu'il est laid, non, loin de là. Certaines planches sont meme plutot belles, rien à dire.
Mais l'histoire... Mon dieu mon dieu mon dieu. Euh... c'est quoi ce truc ???
Nan, sérieux, j'ai pas l'impression de rater grand chose en ne finissant pas la lecture. Je m'évite juste une perte de temps.
Horrible, monstrueux, immoral,...Il n'y a pas assez d'adjectifs pour décrire l'horreur de ce livre...On a dépassé un stade dans le mauvais goût!
Les fans de Marylin Manson peuvent accrocher à ce style ignoble sans aucun problème, ce qui fort compréhensible!
Une étoile. Difficile d'être plus méchant mais je vous jure que je ne mets pas cette cote par réaction au succès commercial de la série. Je la trouve tout simplement illisible. Et quand une série me propose des albums que je n'ai même pas envie de terminer, je peux difficilement mettre plus d'une étoile.
Le dessin d'abord, il est froid, il n'arrive pas à donner du corps au personnages et les couleurs des derniers tomes sont proprement ecoeurantes. Le scénario ne m'intéresse pas le moins du monde, je n'arrive pas à m'identifier à ce goldenboy aventurier. Et comme c'est une bd qui ne fonctionne qu'à l'indentification, je me sens assez seul à la lecture de cette bd. Les intrigues deviennent facilement inutilement compliquées et pénibles à suivre. Je trouve même l'idéologie sous-jacente de cette bd assez détestable. Et quand le scénario essaie d'introduire de l'émotion, c'est avec de gros sabots. Il y a beaucoup de lecteurs qui se posent la question de savoir si les derniers tomes ne sont pas moins bien que les premiers. Moi, c'est plus simple, je trouve la série mauvaise depuis le début.
Pourtant, je précise, je ne suis pas un anti-Van Hamme, j'ai aimé des séries comme SOS Bonheur, Thorgal et les premiers XIII, mais Largo Winch, franchement, je trouve que c'est ce qu'il a fait de moins bien, il y sous-exploite ses talents.
Alléché par le dessin (qui il faut bien le dire, est vraiment sympa, quoique souvent sombre), j'ai acheté le 1er tome... et je ne suis pas allé plus loin.
Que dire ? L'idée (un scénario basé sur les contes et légendes de Bretagne) est certes très intéressante, mais sa mise en oeuvre laisse quelque peu à désirer : en clair, ce 1er tome m'a paru tout simplement interminable; il ne se passe rien, on n'avance pas, et je me suis très sérieusement ennuyé.
Bref, ça m'a tout simplement dégoûté de lire la suite (qui est peut-être géniale, mais j'ai des doutes).
Alors là, je dis non !! Cassidy, tu as vraiment des gouts bizarres !!! Tu casses Pilules bleues et pas celle-la ??
Dans le genre gnangnan, on fait pas mieux ! Le pauvre petit gars qui se cache pour lire ses revues pornos... Pathétique... Y'a vraiment rien dans cette BD, c'est même pas drôle... Tu dis souvent, c'est une bd de fille, alors la ca doit etre une bd de mec... Un aspect documentaire sur les ados mâles de 15 ans qu'il me dit... alalalala... (véridique en plus !!). La je dis NONSK !!! A vous de vous faire une idée, mais franchement, je le repete haut et fort ! Cassidy !!! T'es fou ou quoi ????
Rien à faire, je n'ai jamais adhéré à l'humour d'Hugot. C'est peut-être même le seul auteur de Fluide Glacial que je ne lis pas nécessairement lorsque je lis un exemplaire de la revue. Cela se veut absurde mais cela n'arrive le plus souvent qu'à être navrant, lourd et vulgaire.
Le sujet rappelle "Jean-Claude Tergal" : un gars légèrement obsédé et assez gravement c** qui essaie, sans succès, de se choper des nanas. À défaut de faire dans la finesse, ça peut au moins permettre de bonnes parties de rigolade. Sauf que... alors que j'ai parfois littéralement pleuré de rire à la lecture des mésaventures de ce pauvre Jean-Claude, celles de cette gueule d'abruti d'Eikichi ne m'ont pas arraché le moindre petit sourire. Pour une BD qui se veut être une BD d'humour, y a comme un problème, je trouve. Et par pitié, ne me sortez pas d'excuses du style "faut prendre ça au second degré"...
À part ça, le scénario n'est guère passionnant, et les dessins sont quelconques. Bref, vous m'excuserez de ne mettre qu'une étoile.
Franchement, je n'en vois pas l'intérêt ; déjà dans Spirou je trouvais ça lourd, cette planche au dos de la couverture, dans le but de nous faire un peu rentrer dans les coulisses de la rédac' tout en nous faisant rire... Si le boss est vraiment comme ça, c'est un pur fachiste ! Quand a nous faire rire, c'est un peu raté.
Cette bd est une des raisons pour lesquelles j'ai arrêté d'acheter Spirou.
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Ultima Parano
Ultima Parano est l'alliance de JB au scénario et de la paire Gess & Steph aux dessins, et je viens de l'apprendre aux couleurs : Pich (qui n'ai pas écrit sur la première page (?)). Il faut avouer que le scénario est loin d'être simple : voir même trop compliqué, le lecteur est obligé de ses forcer, de faire un effort intellectuel pour comprendre l'histoire, alors que généralement le sens de l'histoire ect. sont l'une des choses les plus faciles à comprendre. Dans ce premier album on se balade d'univers en univers, le premier : le monde où Sari raconte l'histoire, le monde d'aujourd'hui dans la réalité; le seccond : dans la réalité mais dans le passé, lors de la crise de 49 à Amsterdam, raconté par Aminata; et le troisième univers est le monde viruel ( Ghosttown ) dans le passé raconté par la vieille Sari...POurquoi vous racontez tout cela ? et bien dans le but que vous vous en rendiez compte un petit peu... Le transfert d'univers en univers n'est pas facile à comprendre même si les dessinateurs changent de style...L'histoire est a creusé et je suis tout de même curieux de connaître la suite et savoir exactement ce qui s'est passé, comment c'en sont pris les Hackers pour détruire totalement cette ville virtuelle : Ghosttown ! Par contre les dessins sont des vrais merveilles, il n'y a rien à redire, et j'ai été très étonné par la prestation de Steph & Guess, surtout du côté des couleur, mais le problème est que ce n'est pas eux qui ont assuré la mise en couleur : dommage car je trouve que tout le mérite reviens à la colorisation à la peinture : donc bravo Pich ! Un cadrage parfait qui ne manque pas d'originalité, comme le scénario : mais aussi le problème est que des fois, il l'est trop ! Des planches époustouflantes détaillés, bizaroïdes, un délice ppur les yeux !
Hokuto no Ken (Ken le survivant)
Ça bastonne, ça charcle, ça tue, ça éventre, ça décapite, ça éviscère, ça massacre, ça étripe... bref, une aventure un tantinet violente. Nostalgiques de l'anime, passez votre chemin, le délire de l'adapation de l'excellent Philippe Ogouz (la voix de Patrick Duffy, le Bobby de Dallas) est totalement absent de la BD d'origine: pas de "Par le Hokuto à viande, je couperai vos gigots!!!" et autres calembours à deux balles improvisés devant le caractère totalement navrant du DA, mais plutôt du "Attaque secrète de la danse des 7 étoiles", déjà nettement plus prosaïque... pas de dialogues débiles genre "Pôpa, le monsieur, il m'a fait bô-booo la têteu, il est méchant, le monsieur! faut lui faire bobo!", mais plutôt "Je vais te découper en tranche, pauvre larve". Vous me direz que le niveau est sensiblement le même, ce qui n'est pas faux. Cependant, dans la manga, tout est à prendre au pied de la lettre, aucune place pour le second degré. :( Les bourreaux, les victimes et Ken en Zorro... sauf que lui, c'est pas sur les fringues qu'il signe de son nom: Tout est stéréotypé: les gros méchants, des balaises sanguinaires, organisés en bandes, en milices, voire en armées, un peu look destroy à la Mad Max, massacrent à longueur de temps, juste pour le fun, les pauvres civils, femmes, enfants et vieillards compris, qui ne demandent qu'un peu d'eau et de nourriture. Le héros, Ken, se dresse alors en justicier et botte le cul de ces misérables (ou plutôt, leur fait exploser la tronche). C'est comme ça pendant toute la série. Là où Ken passe, les tyrans trépassent. Mais attention, Ken n'est pas qu'un gros psychopathe adepte de l'autodéfense: s'il massacre les méchants, c'est pour protéger les plus faibles, au nom de l'amour de son prochain, car c'est un fait, le coeur de Ken déborde d'amour... et de tristesse: une vraie madeleine ce type! Et c'est pourquoi il est le plus costaud de tous, et accessoirement pourquoi il a toujours l'air constipé! :D Question dessin, ben, ça s'améliore petit à petit on va dire... mais ça part pas de bien haut... ce sont essentiellement les très grosses erreurs de proportions qui s'estompent petit à petit, c'est moins statique, moins brouillon. Mais c'est jamais extraordinaire, et surtout, ça a pas mal vieilli. A noter que c'est édité par J'ai Lu, donc, attention aux taches d'encre! Enfin... Rien d'inoubliable donc... ça cause d'amour, de fraternité, de sacrifice, mais la forme me laisse plus que perplexe. C'est pas nullissime, mais franchement, y a vraiment d'autres trucs à acheter!
Ultima Parano
Désolé, je dois devenir un vieux c** de la BD... J'ai pas reussi à finir cet album. Pourtant, j'ai essayé, sincerement, mais c'etait trop difficile pour moi. Déjà, j'aime pas le dessin. Je peux pas dire qu'il est laid, non, loin de là. Certaines planches sont meme plutot belles, rien à dire. Mais l'histoire... Mon dieu mon dieu mon dieu. Euh... c'est quoi ce truc ??? Nan, sérieux, j'ai pas l'impression de rater grand chose en ne finissant pas la lecture. Je m'évite juste une perte de temps.
Le Psychopompe
Horrible, monstrueux, immoral,...Il n'y a pas assez d'adjectifs pour décrire l'horreur de ce livre...On a dépassé un stade dans le mauvais goût! Les fans de Marylin Manson peuvent accrocher à ce style ignoble sans aucun problème, ce qui fort compréhensible!
Largo Winch
Une étoile. Difficile d'être plus méchant mais je vous jure que je ne mets pas cette cote par réaction au succès commercial de la série. Je la trouve tout simplement illisible. Et quand une série me propose des albums que je n'ai même pas envie de terminer, je peux difficilement mettre plus d'une étoile. Le dessin d'abord, il est froid, il n'arrive pas à donner du corps au personnages et les couleurs des derniers tomes sont proprement ecoeurantes. Le scénario ne m'intéresse pas le moins du monde, je n'arrive pas à m'identifier à ce goldenboy aventurier. Et comme c'est une bd qui ne fonctionne qu'à l'indentification, je me sens assez seul à la lecture de cette bd. Les intrigues deviennent facilement inutilement compliquées et pénibles à suivre. Je trouve même l'idéologie sous-jacente de cette bd assez détestable. Et quand le scénario essaie d'introduire de l'émotion, c'est avec de gros sabots. Il y a beaucoup de lecteurs qui se posent la question de savoir si les derniers tomes ne sont pas moins bien que les premiers. Moi, c'est plus simple, je trouve la série mauvaise depuis le début. Pourtant, je précise, je ne suis pas un anti-Van Hamme, j'ai aimé des séries comme SOS Bonheur, Thorgal et les premiers XIII, mais Largo Winch, franchement, je trouve que c'est ce qu'il a fait de moins bien, il y sous-exploite ses talents.
Rogon le leu
Alléché par le dessin (qui il faut bien le dire, est vraiment sympa, quoique souvent sombre), j'ai acheté le 1er tome... et je ne suis pas allé plus loin. Que dire ? L'idée (un scénario basé sur les contes et légendes de Bretagne) est certes très intéressante, mais sa mise en oeuvre laisse quelque peu à désirer : en clair, ce 1er tome m'a paru tout simplement interminable; il ne se passe rien, on n'avance pas, et je me suis très sérieusement ennuyé. Bref, ça m'a tout simplement dégoûté de lire la suite (qui est peut-être géniale, mais j'ai des doutes).
Le Playboy
Alors là, je dis non !! Cassidy, tu as vraiment des gouts bizarres !!! Tu casses Pilules bleues et pas celle-la ?? Dans le genre gnangnan, on fait pas mieux ! Le pauvre petit gars qui se cache pour lire ses revues pornos... Pathétique... Y'a vraiment rien dans cette BD, c'est même pas drôle... Tu dis souvent, c'est une bd de fille, alors la ca doit etre une bd de mec... Un aspect documentaire sur les ados mâles de 15 ans qu'il me dit... alalalala... (véridique en plus !!). La je dis NONSK !!! A vous de vous faire une idée, mais franchement, je le repete haut et fort ! Cassidy !!! T'es fou ou quoi ????
Pépé Malin
Rien à faire, je n'ai jamais adhéré à l'humour d'Hugot. C'est peut-être même le seul auteur de Fluide Glacial que je ne lis pas nécessairement lorsque je lis un exemplaire de la revue. Cela se veut absurde mais cela n'arrive le plus souvent qu'à être navrant, lourd et vulgaire.
GTO - Great Teacher Onizuka
Le sujet rappelle "Jean-Claude Tergal" : un gars légèrement obsédé et assez gravement c** qui essaie, sans succès, de se choper des nanas. À défaut de faire dans la finesse, ça peut au moins permettre de bonnes parties de rigolade. Sauf que... alors que j'ai parfois littéralement pleuré de rire à la lecture des mésaventures de ce pauvre Jean-Claude, celles de cette gueule d'abruti d'Eikichi ne m'ont pas arraché le moindre petit sourire. Pour une BD qui se veut être une BD d'humour, y a comme un problème, je trouve. Et par pitié, ne me sortez pas d'excuses du style "faut prendre ça au second degré"... À part ça, le scénario n'est guère passionnant, et les dessins sont quelconques. Bref, vous m'excuserez de ne mettre qu'une étoile.
Le Boss
Franchement, je n'en vois pas l'intérêt ; déjà dans Spirou je trouvais ça lourd, cette planche au dos de la couverture, dans le but de nous faire un peu rentrer dans les coulisses de la rédac' tout en nous faisant rire... Si le boss est vraiment comme ça, c'est un pur fachiste ! Quand a nous faire rire, c'est un peu raté. Cette bd est une des raisons pour lesquelles j'ai arrêté d'acheter Spirou.