Bon, pour moi ça c'est représentatif de l'humour de masse, voir beauf' (et je tiens à préciser que je ne dénigre ici que le produit et non pas les éventuels lecteurs :)). Je peux pas. J'accroche pas. Aucun gag n'est bon, le principe même de la série est totalement foireux.
Mwahaha... en voyant le titre de cette bd, j'avais cru lire l'alkotest, et puis après l'akaeltest. Bon, j'étais pas dans un super état, j'avoue, mais c'était bien assez pour me rendre compte que cet album est encore une fois le début d'une série pourrie aux dessins laids et aux couleurs banales.
Je n'aime absolument pas cet étalage de vie privé très malsain, comme si on avait publié les pages d'un journal intime, mais aussi que son journal intime avait été écrit dans le but d'être publié. J'ai toujours pensé Larcenet un peu mégalo sur les bords, sa démarche ne fait que confirmer ce que je pensais. Et alors quoi ? Il publie un exutoire qui ne concerne que lui, mais ça n'est pas de la bd .(D'ailleurs je ne sais même pas pourquoi c'est listé ici, mais bon, sujet litigieux, chut. :)) On ne lit pas Larcenet pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il fait. On lit pas un poète parcequ'il est fou ou drogué, on le lit pour ses poèmes. Sa vie n'a pas à être psychanalysée aux quatre vents. Oui ça peut se réveler utile pour comprendre l'oeuvre, mais ça n'a vraiment rien de commun avec son oeuvre elle-même.
Autant j'avais réussi à accrocher doucement à Je ne t'ai jamais aimé du même auteur, autant cet album me laisse profondément indifférente.
Ce style sobre qui avait dû faire l'unanimité à la sortie de son premier ouvrage semble dès le second être emprunt de facilité et de redondances en tout genre.
Le sujet, la manière dont il est traité : "je vous parle de quelque chose de tabou mais pas trop" est vraiment très à la mode dans les nouveaux comics, et cette recette m'emmerde vite. Autant elle peut être efficace lorsqu'il s'agit de situations plus intéressantes, autant elle peut être franchement risible et considérée comme du véritable grattage de nombril dans cet album-ci.
cette collec est vraiment un plantage des éditions glénat ! ce n'est certes pas le premier, mais là, pour foirer une opération commerciale, j'avais rien vu de mieux depuis les pathétiques tentatives des éditions soleil !
le principe même de cette collection me fait vraiment marrer. "la loge noire". et prague, et un golem, et un triangle, et un compas... depuis la série du "triangle secret", glénat semble séduit par la symbolique franc-maçonne et les thèmes qui en découlent ou qui s'y rattachent sont ici traités de façon maladroite et médiocre. la laideur conventionnelle des dessins made in glénat n'aident pas vraiment...
C'est bien simple pour moi, Yoko Tsuno a toujours été une Bande Dessinée vieillote, et ce depuis le premier tome. Décalée, hors du temps, complètement has been comme si c'est un pari que c'était donné les auteurs, un hommage à la BD kitch, en somme...
L'ensemble est trop... gentil. Trop manichéen, trop écolo, c'est en définitive assez niais et surtout, tout sauf passionnant. Dommage.
Le plus grand nombre des tomes de cette série sont tous batti sur le même schéma, si bien que l'on tourne, hélas, vite en rond. Soit, les tous premiers sont nouveaux donc assez originaux... mais pas fracassant, et le tout se casse vite la figure...
Niveau illustrations, ca ne va pas du tout. De la bien vieille ligne claire super classique, pas très jolie, qui signe toute une époque de la BD franco-belge. La mise en couleurs est parfois palote, parfois criarde, tout le temps très bateau...
Yoko Tsuno, un classique ? oui, c'est possible, mais vraiment pas un chef d'oeuvre...
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'André Lamorthe n'a pas peur de la difficulté ! Se lancer ainsi dans des histoires muettes (sans aucun dialogue ni texte de l'album) est un pari difficile... et qui, au final, donne un résultat plutôt mauvais...
Mauvais, parce que d'un coup l'unique album disponible pour le moment perd énormément d'humanité, et parce que l'on ne peut discerner les comportements des personnages que par le dessin qui n'est franchement pas top (c'est peu de le dire !).
L'humour est vraiment lourdingue, et ce, depuis la couverture de premier album : le ton est donné, amateurs d'humour plus fin comme celui de Lapinot, par exemple, passez votre chemin !
Ici, c'est gros sabots et compagnie, et sans non plus être vulgaire, c'est très lourd...
Les différentes situations ne sont pas drôles du tout (je ne me rappelle pas avoir ne serait-ce qu'esquissé un sourire en parcourant l'ensemble des pages du premier album), et tout tourne vite très court, hélas...
Le dessin est tout simplement affreux !
Le trait est hypra-géométrique et gras, les personnages vraiment moches, et la mise en couleur... mon dieu ! Bref, rien ne va à mon avis dans cette série qui n'aurait jamais du quitter les quatrièmes de couverture de Fluide Glacial...
Vraiment, c'est très, très mauvais...
Si Serpieri voulait faire une bd de SF c'est franchement raté, l'histoire est à chier. S'il voulait faire une BD de cul, c'était bien parti: il dessine superbement, son héroine est assez canon et peu farouche (moi j'aime bien son cul), il ajoute la violence au sexe (ça marche bien en ce moment) et les scènes chaudes sont plus que fréquentes. Mais à ce moment faut pas nous emmerder avec des monstres et un scénar à deux balles; faut assumer ce qu'on fait. Tout ce qu'il arrive à faire au final, c'est à nous endormir.
Un gars m'a prété deux tomes de Victor Sackville et deux de Max Friedman. Autant dire que sans être un fan de Max Friedman, y a pas photo entre les deux séries. Je me suis royalement emmerdé avec Sackville; c'est soporifique, les dessins sont datés, tout est figé: c'est franchement mauvais. C'est peut-être pour ça que ça n'a pas l'air très connu (seulement deux avis!).
Note: le même gars m'a prété un Vasco. Les goûts du mec commencent à m'inquiéter...
La première raison d'éviter cet album est simple : il n'a jamais eu de suite, la série a été arrêtée dès le premier tome.
La seconde est encore plus simple : le dessin accuse de sérieux problème de lisibilité. Graphisme trop fouillis et confus, trait trop gros, problème de découpage, de cadrages, de mise en scène (le passage d'une scène à l'autre est souvent chaotique), difficile de différencier les personnages, mise en couleurs très "flashy" d'un goût douteux qui, plutôt que de faire ressortir l'essentiel, en ajoute aux difficultés de lecture...
Et c'est bien dommage car on croit deviner que le scénario de Morvan possédait quelques idées assez originales malgré le côté tape-à-l'oeil du sujet et le risque d'indigestion à voir ainsi mêlés les genres SF-cyberpunk et l'Héroïc-Fantasy...
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
500 idées pour être un type en or
Bon, pour moi ça c'est représentatif de l'humour de masse, voir beauf' (et je tiens à préciser que je ne dénigre ici que le produit et non pas les éventuels lecteurs :)). Je peux pas. J'accroche pas. Aucun gag n'est bon, le principe même de la série est totalement foireux.
L'Alkaest
Mwahaha... en voyant le titre de cette bd, j'avais cru lire l'alkotest, et puis après l'akaeltest. Bon, j'étais pas dans un super état, j'avoue, mais c'était bien assez pour me rendre compte que cet album est encore une fois le début d'une série pourrie aux dessins laids et aux couleurs banales.
L'artiste de la famille
Je n'aime absolument pas cet étalage de vie privé très malsain, comme si on avait publié les pages d'un journal intime, mais aussi que son journal intime avait été écrit dans le but d'être publié. J'ai toujours pensé Larcenet un peu mégalo sur les bords, sa démarche ne fait que confirmer ce que je pensais. Et alors quoi ? Il publie un exutoire qui ne concerne que lui, mais ça n'est pas de la bd .(D'ailleurs je ne sais même pas pourquoi c'est listé ici, mais bon, sujet litigieux, chut. :)) On ne lit pas Larcenet pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il fait. On lit pas un poète parcequ'il est fou ou drogué, on le lit pour ses poèmes. Sa vie n'a pas à être psychanalysée aux quatre vents. Oui ça peut se réveler utile pour comprendre l'oeuvre, mais ça n'a vraiment rien de commun avec son oeuvre elle-même.
Le Playboy
Autant j'avais réussi à accrocher doucement à Je ne t'ai jamais aimé du même auteur, autant cet album me laisse profondément indifférente. Ce style sobre qui avait dû faire l'unanimité à la sortie de son premier ouvrage semble dès le second être emprunt de facilité et de redondances en tout genre. Le sujet, la manière dont il est traité : "je vous parle de quelque chose de tabou mais pas trop" est vraiment très à la mode dans les nouveaux comics, et cette recette m'emmerde vite. Autant elle peut être efficace lorsqu'il s'agit de situations plus intéressantes, autant elle peut être franchement risible et considérée comme du véritable grattage de nombril dans cet album-ci.
Poème Rouge
cette collec est vraiment un plantage des éditions glénat ! ce n'est certes pas le premier, mais là, pour foirer une opération commerciale, j'avais rien vu de mieux depuis les pathétiques tentatives des éditions soleil ! le principe même de cette collection me fait vraiment marrer. "la loge noire". et prague, et un golem, et un triangle, et un compas... depuis la série du "triangle secret", glénat semble séduit par la symbolique franc-maçonne et les thèmes qui en découlent ou qui s'y rattachent sont ici traités de façon maladroite et médiocre. la laideur conventionnelle des dessins made in glénat n'aident pas vraiment...
Yoko Tsuno
C'est bien simple pour moi, Yoko Tsuno a toujours été une Bande Dessinée vieillote, et ce depuis le premier tome. Décalée, hors du temps, complètement has been comme si c'est un pari que c'était donné les auteurs, un hommage à la BD kitch, en somme... L'ensemble est trop... gentil. Trop manichéen, trop écolo, c'est en définitive assez niais et surtout, tout sauf passionnant. Dommage. Le plus grand nombre des tomes de cette série sont tous batti sur le même schéma, si bien que l'on tourne, hélas, vite en rond. Soit, les tous premiers sont nouveaux donc assez originaux... mais pas fracassant, et le tout se casse vite la figure... Niveau illustrations, ca ne va pas du tout. De la bien vieille ligne claire super classique, pas très jolie, qui signe toute une époque de la BD franco-belge. La mise en couleurs est parfois palote, parfois criarde, tout le temps très bateau... Yoko Tsuno, un classique ? oui, c'est possible, mais vraiment pas un chef d'oeuvre...
Chaponoir
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'André Lamorthe n'a pas peur de la difficulté ! Se lancer ainsi dans des histoires muettes (sans aucun dialogue ni texte de l'album) est un pari difficile... et qui, au final, donne un résultat plutôt mauvais... Mauvais, parce que d'un coup l'unique album disponible pour le moment perd énormément d'humanité, et parce que l'on ne peut discerner les comportements des personnages que par le dessin qui n'est franchement pas top (c'est peu de le dire !). L'humour est vraiment lourdingue, et ce, depuis la couverture de premier album : le ton est donné, amateurs d'humour plus fin comme celui de Lapinot, par exemple, passez votre chemin ! Ici, c'est gros sabots et compagnie, et sans non plus être vulgaire, c'est très lourd... Les différentes situations ne sont pas drôles du tout (je ne me rappelle pas avoir ne serait-ce qu'esquissé un sourire en parcourant l'ensemble des pages du premier album), et tout tourne vite très court, hélas... Le dessin est tout simplement affreux ! Le trait est hypra-géométrique et gras, les personnages vraiment moches, et la mise en couleur... mon dieu ! Bref, rien ne va à mon avis dans cette série qui n'aurait jamais du quitter les quatrièmes de couverture de Fluide Glacial... Vraiment, c'est très, très mauvais...
Druuna
Si Serpieri voulait faire une bd de SF c'est franchement raté, l'histoire est à chier. S'il voulait faire une BD de cul, c'était bien parti: il dessine superbement, son héroine est assez canon et peu farouche (moi j'aime bien son cul), il ajoute la violence au sexe (ça marche bien en ce moment) et les scènes chaudes sont plus que fréquentes. Mais à ce moment faut pas nous emmerder avec des monstres et un scénar à deux balles; faut assumer ce qu'on fait. Tout ce qu'il arrive à faire au final, c'est à nous endormir.
Victor Sackville
Un gars m'a prété deux tomes de Victor Sackville et deux de Max Friedman. Autant dire que sans être un fan de Max Friedman, y a pas photo entre les deux séries. Je me suis royalement emmerdé avec Sackville; c'est soporifique, les dessins sont datés, tout est figé: c'est franchement mauvais. C'est peut-être pour ça que ça n'a pas l'air très connu (seulement deux avis!). Note: le même gars m'a prété un Vasco. Les goûts du mec commencent à m'inquiéter...
Horde
La première raison d'éviter cet album est simple : il n'a jamais eu de suite, la série a été arrêtée dès le premier tome. La seconde est encore plus simple : le dessin accuse de sérieux problème de lisibilité. Graphisme trop fouillis et confus, trait trop gros, problème de découpage, de cadrages, de mise en scène (le passage d'une scène à l'autre est souvent chaotique), difficile de différencier les personnages, mise en couleurs très "flashy" d'un goût douteux qui, plutôt que de faire ressortir l'essentiel, en ajoute aux difficultés de lecture... Et c'est bien dommage car on croit deviner que le scénario de Morvan possédait quelques idées assez originales malgré le côté tape-à-l'oeil du sujet et le risque d'indigestion à voir ainsi mêlés les genres SF-cyberpunk et l'Héroïc-Fantasy...