Ce qui impressionne, à première vue, c'est le dessin et les couleurs. En particulier une scène de bataille (double page).
Ce monde n'est pas sans rappeler celui de Tolkien, avec des nains, des elfes, des orcs et des dévoués serviteurs du mal (nazgul).
L'histoire est prometteuse la lecture est agréable et ça s'enchaîne bien.
Un très bon Tome 1.
Lécroart réussit un tour de passe-passe avec cette BD qui est merveilleux. Il joue avec les cases, avec les mots, avec la BD elle-même.
Si vous aimez Lécroart, lisez aussi Marc-Antoine Mathieu ("Julius Corentin Acquefacques"), si vous aimez MAM, lisez Lécroart. Ces deux là devraient faire un album ensemble, car ils frisent le génie.
J'aime bien le contexte médiéval de cette BD, avec une guerre de clan, la sorcellerie ...
Les dessins de Suro sont bien, même si je préfère ceux de Guérineau dans le chant des stryges.
Pour avoir lu les 3 tomes, je peux dire que l'histoire s'améliore au fil des albums.
Le dernier donne une nouvelle dimension à la série, on comprend mieux la relation stryges - seigneur de roquebrune et j'attends la suite avec impatience.
J'ai trouvé que l'histoire était particulièrement intéressante, c'est à tout point de vue très réussi, c'est haletant et les personnages sont très attachants. Cela est certainement dû au très bon dessin de Régis Van Winsen qui est tout aussi à l'aise que dans "Les Portes d'Arzhal".
Bref, un bon album qu'il ne faut pas manquer.
Un exemple de plus où l’on voit que les « petits » éditeurs méritent d’être lus par davantage de personnes...
« Mon cousin dans la mort » renferme tout plein de sentiments; cette histoire nous emmène dans nos bons vieux souvenirs de quand on était petiots : gentils, pas gentils, tristes, joyeux, solidaires, crapuleux comme pas possible... On a tous connu des moments semblables et cela nous permet de lire cette BD en y étant totalement intégré.
Mais il y a une telle présence de méchanceté dans cette lecture que l’on s’attend à ce que tout devienne tout beau tout rose, aussi bien dans le monde des adultes que dans celui des enfants. On voudrait que Lili retrouve l’amour de son père, qu’elle s’amuse avec ses « camarades » de classe et qu’on oublie qu’elle se fait appeler la sorcière juste parce qu’elle parle avec les morts.
Au fil de la lecture, on aimerait voir tout ça et on se dit qu’il y a vraiment une innocence chez les enfants... naïve certes mais une véritable innocence qui me fait craquer...
Même avec les illustrations, tout cela est exposé. Par moment, il n’y a aucun besoin de mettre des bulles, tout est représenté par les simples visages de tous ces personnages. Y’a rien à dire, au niveau expressions des sentiments comme du dessin en général.
Je trouve que ce qui vraiment peut plaire à tous, c’est la « simplicité » de cette BD. Petit format, en noir et blanc, traits simples mais tout cela nous emporte sans peine dans cette petite histoire qui je l'espère sera lue par un grand nombre de personnes et ainsi être appréciée à sa juste valeur...
Cauvin... Le maître du scénario limite débile et à répétition, qu'il transpose dans des univers différents tout au long de ses oeuvres (pardon m'sieur mais c'est un peu vrai)...
Seulement ici, la magie opère. "Les Tuniques Bleues", je les avais lues quand j'étais gamin et j'avais pas tellement accroché. Mais il y a quelques temps, j'ai fait une rechute, et j'ai dû lire quinze tomes en deux jours !
Le contexte évoqué, à lui seul, vaut l'achat d'un ou deux tomes de la bd. La guerre de Sécession semble être une période évitée par les scénaristes, peut-être parce qu'elle est finalement méconnue en Europe. Mais Cauvin maîtrise parfaitement son histoire, et si certains tomes auraient aussi bien pu se passer dans n'importe quelle guerre, d'autres se penchent plus sur le problème (je pense notamment à "Drummer Boy", un excellent tome) et sont très intéressants de ce fait.
Blutch est hilarant, rien à redire, je l'adorais déjà tout petit. Chesterfield est c**, et on ne lui en demande pas plus.
Non franchement, c'est super sympa (je trouve pas d'autres mots) et puis si certains tomes sont médiocres, la plupart se laissent lire avec avidité.
J'aurai un avis un peu moins enjoué que les précédents posteurs concernant cette bande dessinée. Bien sûr, comme le dit fort justement (et avec un sens de l'à propos qui laissera pantois les plus sceptiques) Kael, le parallèle avec "Phénomenum" est évident.
Mais là où tout coulait de source dans la série chez Glénat, ici certaines situations sont quelque peu tirées par les cheveux... et c'est un peu dommage. (Je n'aime pas trop les parallèles que le héros fait entre les ingrédients du livre de magie et les pseudo-trucs qu'il utilise comme remplacement, par exemple).
La narration est très sympa, elle. Beaucoup plus humaine que celle de "Phenomenum", plus proche, peut-être. On découvre la vie de tous les jours du héros, encore jeune, et ses premières pérégrinations dans ce monde occulte (le passage avec la succube est vraiment trop court !!! Arg).
Dommage, il n'en profite que modérément, je trouve, l'ensemble est un peu facile, pas assez original... mais j'attends la suite de cette série avant de donner clairement mon avis sur ce point.
Le dessin est assez inégal. Si la couleur n'est pas extraordinaire (mais de bonne facture tout de même pour de la colorisation à l'ordi), elle a la qualité de dissimuler un peu les encrages du dessinateur qui sont loin d'être géniaux, eux. Sur ce point, l'auteur alterne les planches assez travaillées avec des passages limite bâclés, c'est dommage.
La mise en scène est par contre assez sympa, et le dessineux n'hésite pas à se lancer dans des représentations en perspective tout à fait correctes.
Un premier tome que j'ai un peu de mal a juger, je trouve... Bref, wait and see.
Ah, au fait : le nom de la série est vraaaaiment pas terrible.
Mouais, bof, sans plus, en effet.
"Les cris de Nortso", c'est avant tout l'amour naissant d'une femme aisée pour un de ses esclaves noir, de la tribu des Noubas.
Le problème, c'est qu'avec une thématique pareille, y'avait vraiment de quoi développer... mais tout tourne autour de ce coup de foudre pour l'esclave qui tombe comme un cheval dans la soupe.
Dommage, car le tout partait plutôt bien, et ce mélange de légendes africaines (avec Bagara le Buffle, gardien de l'équilibre de la savane) et de traite des noirs pouvait donner une trame scénaristique de qualité. Mais là, ca tombe plutôt à plat, pour le moment.
Le dessin est quant à lui de bonne qualité. Couleur directe, peinture assez épaisse et choix des teintes assez fort, le dessinateur rend très bien la lumière. Bien sûr, ce type d'illustrations bloque un peu le dynamisme des planches, mais dans ce genre de récit, ce n'est pas un problème, au contraire.
Vraiment, un bel album graphiquement, mais... nan, vraiment, j'accroche pas.
Ça part dans tous les sens, on est un peu perdu au début mais c'est une bonne bd, très originale et libre dans sa forme. L'association dessin-couleurs est très réussie et certains des dialogues sont bien drôles.
La série foisonne d'intrigues, de références, et place toujours le lecteur en déséquilibre avec ses flashbacks et ses changements de scènes brutaux... Une deuxième lecture m'a permis de découvrir plein de détails et de comprendre plus profondément la trame...
En bref une bd à lire avec attention et qui, si on se donne la peine de s'y pencher, se révèle passionnante.
Cette petit bande dessinée est sympathique, et contrairement aux bds de type un-gag-par-page, si l'on aime, il n'est pas superflu d'acheter plusieurs tomes, car elle ne se répète pas du tout. Les conner... les bêtises de Nathalie sont constamment renouvelées, et l'humour tape avec beaucoup de justesse, grâce à la tendresse que l'auteur a placé dans ses personnages.
Bien sûr, au-dessus de 11-12 ans l'intérêt est moins grand, et les dessins ne peuvent être qualifiés de réussis, mais les plus jeunes apprécieront certainement l'univers de cette attachante Nathalie.
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Le Seigneur d'Ombre
Ce qui impressionne, à première vue, c'est le dessin et les couleurs. En particulier une scène de bataille (double page). Ce monde n'est pas sans rappeler celui de Tolkien, avec des nains, des elfes, des orcs et des dévoués serviteurs du mal (nazgul). L'histoire est prometteuse la lecture est agréable et ça s'enchaîne bien. Un très bon Tome 1.
Cercle vicieux
Lécroart réussit un tour de passe-passe avec cette BD qui est merveilleux. Il joue avec les cases, avec les mots, avec la BD elle-même. Si vous aimez Lécroart, lisez aussi Marc-Antoine Mathieu ("Julius Corentin Acquefacques"), si vous aimez MAM, lisez Lécroart. Ces deux là devraient faire un album ensemble, car ils frisent le génie.
Le Clan des chimères
J'aime bien le contexte médiéval de cette BD, avec une guerre de clan, la sorcellerie ... Les dessins de Suro sont bien, même si je préfère ceux de Guérineau dans le chant des stryges. Pour avoir lu les 3 tomes, je peux dire que l'histoire s'améliore au fil des albums. Le dernier donne une nouvelle dimension à la série, on comprend mieux la relation stryges - seigneur de roquebrune et j'attends la suite avec impatience.
Janus
J'ai trouvé que l'histoire était particulièrement intéressante, c'est à tout point de vue très réussi, c'est haletant et les personnages sont très attachants. Cela est certainement dû au très bon dessin de Régis Van Winsen qui est tout aussi à l'aise que dans "Les Portes d'Arzhal". Bref, un bon album qu'il ne faut pas manquer.
Mon cousin dans la mort
Un exemple de plus où l’on voit que les « petits » éditeurs méritent d’être lus par davantage de personnes... « Mon cousin dans la mort » renferme tout plein de sentiments; cette histoire nous emmène dans nos bons vieux souvenirs de quand on était petiots : gentils, pas gentils, tristes, joyeux, solidaires, crapuleux comme pas possible... On a tous connu des moments semblables et cela nous permet de lire cette BD en y étant totalement intégré. Mais il y a une telle présence de méchanceté dans cette lecture que l’on s’attend à ce que tout devienne tout beau tout rose, aussi bien dans le monde des adultes que dans celui des enfants. On voudrait que Lili retrouve l’amour de son père, qu’elle s’amuse avec ses « camarades » de classe et qu’on oublie qu’elle se fait appeler la sorcière juste parce qu’elle parle avec les morts. Au fil de la lecture, on aimerait voir tout ça et on se dit qu’il y a vraiment une innocence chez les enfants... naïve certes mais une véritable innocence qui me fait craquer... Même avec les illustrations, tout cela est exposé. Par moment, il n’y a aucun besoin de mettre des bulles, tout est représenté par les simples visages de tous ces personnages. Y’a rien à dire, au niveau expressions des sentiments comme du dessin en général. Je trouve que ce qui vraiment peut plaire à tous, c’est la « simplicité » de cette BD. Petit format, en noir et blanc, traits simples mais tout cela nous emporte sans peine dans cette petite histoire qui je l'espère sera lue par un grand nombre de personnes et ainsi être appréciée à sa juste valeur...
Les Tuniques Bleues
Cauvin... Le maître du scénario limite débile et à répétition, qu'il transpose dans des univers différents tout au long de ses oeuvres (pardon m'sieur mais c'est un peu vrai)... Seulement ici, la magie opère. "Les Tuniques Bleues", je les avais lues quand j'étais gamin et j'avais pas tellement accroché. Mais il y a quelques temps, j'ai fait une rechute, et j'ai dû lire quinze tomes en deux jours ! Le contexte évoqué, à lui seul, vaut l'achat d'un ou deux tomes de la bd. La guerre de Sécession semble être une période évitée par les scénaristes, peut-être parce qu'elle est finalement méconnue en Europe. Mais Cauvin maîtrise parfaitement son histoire, et si certains tomes auraient aussi bien pu se passer dans n'importe quelle guerre, d'autres se penchent plus sur le problème (je pense notamment à "Drummer Boy", un excellent tome) et sont très intéressants de ce fait. Blutch est hilarant, rien à redire, je l'adorais déjà tout petit. Chesterfield est c**, et on ne lui en demande pas plus. Non franchement, c'est super sympa (je trouve pas d'autres mots) et puis si certains tomes sont médiocres, la plupart se laissent lire avec avidité.
Dies Irae
J'aurai un avis un peu moins enjoué que les précédents posteurs concernant cette bande dessinée. Bien sûr, comme le dit fort justement (et avec un sens de l'à propos qui laissera pantois les plus sceptiques) Kael, le parallèle avec "Phénomenum" est évident. Mais là où tout coulait de source dans la série chez Glénat, ici certaines situations sont quelque peu tirées par les cheveux... et c'est un peu dommage. (Je n'aime pas trop les parallèles que le héros fait entre les ingrédients du livre de magie et les pseudo-trucs qu'il utilise comme remplacement, par exemple). La narration est très sympa, elle. Beaucoup plus humaine que celle de "Phenomenum", plus proche, peut-être. On découvre la vie de tous les jours du héros, encore jeune, et ses premières pérégrinations dans ce monde occulte (le passage avec la succube est vraiment trop court !!! Arg). Dommage, il n'en profite que modérément, je trouve, l'ensemble est un peu facile, pas assez original... mais j'attends la suite de cette série avant de donner clairement mon avis sur ce point. Le dessin est assez inégal. Si la couleur n'est pas extraordinaire (mais de bonne facture tout de même pour de la colorisation à l'ordi), elle a la qualité de dissimuler un peu les encrages du dessinateur qui sont loin d'être géniaux, eux. Sur ce point, l'auteur alterne les planches assez travaillées avec des passages limite bâclés, c'est dommage. La mise en scène est par contre assez sympa, et le dessineux n'hésite pas à se lancer dans des représentations en perspective tout à fait correctes. Un premier tome que j'ai un peu de mal a juger, je trouve... Bref, wait and see. Ah, au fait : le nom de la série est vraaaaiment pas terrible.
Les Cris de Nortso
Mouais, bof, sans plus, en effet. "Les cris de Nortso", c'est avant tout l'amour naissant d'une femme aisée pour un de ses esclaves noir, de la tribu des Noubas. Le problème, c'est qu'avec une thématique pareille, y'avait vraiment de quoi développer... mais tout tourne autour de ce coup de foudre pour l'esclave qui tombe comme un cheval dans la soupe. Dommage, car le tout partait plutôt bien, et ce mélange de légendes africaines (avec Bagara le Buffle, gardien de l'équilibre de la savane) et de traite des noirs pouvait donner une trame scénaristique de qualité. Mais là, ca tombe plutôt à plat, pour le moment. Le dessin est quant à lui de bonne qualité. Couleur directe, peinture assez épaisse et choix des teintes assez fort, le dessinateur rend très bien la lumière. Bien sûr, ce type d'illustrations bloque un peu le dynamisme des planches, mais dans ce genre de récit, ce n'est pas un problème, au contraire. Vraiment, un bel album graphiquement, mais... nan, vraiment, j'accroche pas.
Kaarib
Ça part dans tous les sens, on est un peu perdu au début mais c'est une bonne bd, très originale et libre dans sa forme. L'association dessin-couleurs est très réussie et certains des dialogues sont bien drôles. La série foisonne d'intrigues, de références, et place toujours le lecteur en déséquilibre avec ses flashbacks et ses changements de scènes brutaux... Une deuxième lecture m'a permis de découvrir plein de détails et de comprendre plus profondément la trame... En bref une bd à lire avec attention et qui, si on se donne la peine de s'y pencher, se révèle passionnante.
Nathalie
Cette petit bande dessinée est sympathique, et contrairement aux bds de type un-gag-par-page, si l'on aime, il n'est pas superflu d'acheter plusieurs tomes, car elle ne se répète pas du tout. Les conner... les bêtises de Nathalie sont constamment renouvelées, et l'humour tape avec beaucoup de justesse, grâce à la tendresse que l'auteur a placé dans ses personnages. Bien sûr, au-dessus de 11-12 ans l'intérêt est moins grand, et les dessins ne peuvent être qualifiés de réussis, mais les plus jeunes apprécieront certainement l'univers de cette attachante Nathalie.