Excellent western ! L'histoire est assez sombre et la narration est très bonne. Quand aux personnages, ils sont plutôt attachants ...
Niveau dessin, ce n'est pas le meilleur Marini mais c'est tout de même très beau dans l'ensemble, les personnages et décors sont très jolis, et les couleurs chaudes donnent une excellente ambiance Western !
Bref, à voir !
Bin elle est pas si mal que ca cette série.
Les dessins sont assez beaux, quoique comme Kael l'a dit il y a quelques fois de petites imperfections, au niveau des personnages surtout. Niveau couleur c'est très joli aussi, le tout rend très bien...
L'histoire quant à elle est intrigante à souhait, les membres de la famille de Steve semble tous avoir leurs petits secrets...
Au final c'est loin d'être une série indispensable, mais si vous ne savez plus quoi lire ca peut être un investissement sympa... Avis aux amateurs de magie et de monstres. :)
Hou mon dieu, ne connaissant pas vraiment Moebius (ou en tout cas, n'ayant quasiment jamais eu l'occasion de le lire), je voulais connaitre... et bien dis donc, je sais pas si c'est par cet album qu'il fallait que je commence parce que bon, j'ai dû louper un truc là, passer à côté du sens de la bd...
C'est vrai que le style de Moebius est intéressant (notez bien comment je ne me mouille pas, je veux pas d'ennuis avec les fans :D) mais moi, j'accroche pas des masses, je suis pas du genre à m'extasier devant "la technique parfaite du maître de la bd" (j'exagère à peine mais certains ont ce discours :D).
Mais alors si en plus je passe complètement à côté des histoires, c'est impossible que j'apprécie "Arzach" ! Je sais pas, j'ai pas trouvé les histoires géniales, je les ai même trouvé très inintérressantes...
Tout ca pour dire que je vais certainement vite oublier "Arzach" et le rendre le plus tôt possible à son propriétaire...
J'ai tout de suite accroché à cette bd. Le découpage en peu de planches est bien travaillé, très aéré et très précis. Du coup, ce petit format a des cases plus grandes qu'un grand format ! la lecture est donc plus rapide, plus dynamique, et le dessin reste très lisible.
Heureusement, parce que justement, j'aime bien ce dessin. C'est pas du grand art, ok, mais il convient bien au récit et les dégradés de gris sont tellement étendus qu'on a vraiment l'impression de lire une BD couleur.
L'histoire elle aussi m'a bien plu. Le mélange des cultures peut paraître un peu trivial au premier abord, mais finalement ça se fond bien au récit, tout avance sans accrocs.
Oui, ça se lit vite, mais le fond de l'intrigue est loin d'être vide, j'ai été littérallement happé par ce récit.
J'attendais beaucoup de cette série tellement plébiscitée, peut-être trop d'ailleurs !
Le tome 1 m'a de suite déçu, ne serait-ce qu'à la vue des dessins, mais comme chacun sait ce n'est pas un critère toujours suffisant et je ne voulais pas passer à côté d'un super scénario.
Après quelques pages, j'ai rapidement eu l'impression d'avoir déjà lu cette BD ! Un dessinateur parti à bord d'un bateau, ca ne se trouve pas partout... et en effet, j'ai retrouvé cette idée chez "Le passage de Vénus" d'Aire Libre avec des desins bien plus jolis.
Le Tome 2 continue sans surprise, et hormis une mise en couleur que j'ai appréciée, je dois bien avouer n'avoir rien trouvé de particulier pour continuer à lire la suite, notamment que sauf erreur cette série devait être relativemnt courte avant son succès... et s'il y a bien quelque chose que je n'aime pas c'est bien cela.
Un premier tome sympathique : une intrigue qui démarre sur des chapeaux de roue, un personnage principal féminin ayant une poitrine vraisemblable, un humour parfois poilant (avec une très belle version de Merlin), pour continuer sur un deuxième tome qui s'essouffle déjà, car très classique. Le prolongement de la série est bien médiocre, avec des tentatives humoristiques assez caricaturales et une richesse graphique assez affligeante pour une bande dessinée grand public.
Il existe tant et tant de choses tellement intenses et intéressantes à lire, que c'est vraiment dommage de gâcher son temps sur cette BD si boitement commerciale.
A la question, cette BD ne convaincra-t-elle que les convertis, je réponds non. Et j'en suis la preuve vivante. Evidemment, je n'ai jamais été membre du MEDEF, mais ce livre m'a dévoilé tout un tas de chose que j'ignorais, et que j'estime maintenant, pourtant, indispensables...
Ensuite, pour répondre à "à part ça, l'auteur martèle avec conviction qu'il faut se réveiller, résister face à la situation actuelle... mais lui, là-dedans, il fait quoi ? Juste une BD ?"
Heu... es-tu sûr de l'avoir bien lue cette BD ? Déjà, il fait cette BD, ce qui en soit est déjà quelque chose de primordial, et ensuite les épisodes au Mexique ou en Bosnie qui y sont narrés, tu crois que c'est de la pure fiction ? Non, évidement non. Ce sont des démonstrations d'actions aussi éphémères que concrètes, de convictions portées à bout de bras.
Maintenant, rapidement, ma critique de l'oeuvre :
"Il y a, au Mexique, un village dont le nom a été oublié par les cartes de voyage. Les paysans qui l'habitent disent qu'il s'appelle Garduno, en temps de paix... et Zapata, en temps de guerre."
Voilà les informations dont l'on dispose sur la C4. Et avec ça, on est loin de se douter jusqu'où ce modeste album d'apparence va nous amener. Nous y suivons le cheminement de l'auteur, qui prend conscience de l'état de son monde, des ravages du capitalisme néo-libéral, et des actions à la fois éphémères et concrètes qu'il décide de mener. Rapport à notre société de consommation, rapport à soi, à notre propre impuissance rongée de culpabilité et de frustration, rapport à l'autre et à son indifférence, pour finir sur ce qui pourrait s'apparenter à une lueur d'espoir, tout cela nous est donné dans Garduno, et avec beaucoup de simplicité, et paradoxalement, de force.
J'ai vraiment accroché sur la finesse des traits, un dessin précis et hachuré, qui nous fait visualiser des images illustratives plus que pertinentes, des anaphores.
A lire pour ceux qui désirent ressentir l'effet que ça produit de "sortir la tête de la matrice", même un peu. Après c'est à vous de voir, cette sensation de lucidité blasée ne dure que le temps de la lecture, ou vous pouvez la prolonger.
Préface de Ignacio Ramonet, les initiés connaissent, et, à ma plus grande joie, Zapata, en temps de guerre, est à paraître courant 2003.
Merci, monsieur Squarzoni, de nous avoir permis de lire une telle oeuvre. Vous avez toute ma gratitude.
Un petit mot sur Zapata, suite tout aussi indispensable que Garduno :
C'est bien plus qu'un bouquin, l'auteur va encore plus loin que dans Gadurno. Je ne vais pas m'épuiser inutilement en superlatif :
FONDAMENTAL.
Mais ça y est, tout est redevenu absurde.
Merci de m'avoir rappeller à l'oeuvre M Squarzoni.
Sincèrement, s'il ne devait en rester qu'un, machin à amener sur l'île déserte tout ça, ce serait Garduno et Zapata.
Pas nécéssaire d'en parler plus.
Lecture indispensable.
J'aurais tendance à modérer l'euphorie générale... Autant j'ai beaucoup aimé "Gunm", autant ce GLO me semble être un combiné de clichés et d'images malvenues.
Je ne dis pas que ce premier volume de GLO (car je n'en ai lu qu'un) est exécrable, il est tout juste médiocre, mais par rapport à la qualité de la précédente série, nous étions en droit d'attendre bien mieux...
Tout cela reste très très classique, sans se montrer palpitant à aucun moment... il y a une maladresse un peu écoeurante qui émerge de l'ensemble. L'avis des fans de GLO est peut-être un tantinet sous l'influence de leur avis de fan de "Gunm" ?
Bref... en manga, et chez Glénat notamment, il y a bien mieux, l'excellent "Parasite" explose littéralement ce GLO.
Ca change
C'est sur que ca change de ce que j'ai l'habitude de lire, et ca fait du bien.
Il se dégage avant tout de cette oeuvre une ambiance que l'auteur a voulu recréer fidèlement : mafiosos, naples, polar...
Le graphisme assez expérimental est attirant.
Bref du tout bon, mais je n'ai pas véritablement eu de déclic, de souffle incandescent à la lecture de cette bd, et cela justifie ma note.
Une découverte sympathique, donc, mais sans plus.
Un très bon premier tome et franchement, même si cet album était attirant, après le « Continent premier » je ne m’attendais pas à un si bon premier tome pour cette nouvelle série de JC Derrien. Mais là je dois l’avouer c’est très bien fait, et grâce à cet album on passe un très bon moment !
C’est très bien foutu, l’intrigue se met bien en place, ce premier tome pose de bonnes bases, présente bien les personnages, cela est très bien fait, pas ennuyant du tout, très intéressant. Ca se lit avec un réel plaisir, ça détend, c’est très agréable.
Pour le dessin c’est bien fait, adapté à la BD, à son sujet, à son ambiance, c’est très agréable à suivre, grâce aussi aux très bonnes couleurs de Cesano.
Un bon premier album, en attente (impatiente) de la suite.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
l'Etoile du Désert
Excellent western ! L'histoire est assez sombre et la narration est très bonne. Quand aux personnages, ils sont plutôt attachants ... Niveau dessin, ce n'est pas le meilleur Marini mais c'est tout de même très beau dans l'ensemble, les personnages et décors sont très jolis, et les couleurs chaudes donnent une excellente ambiance Western ! Bref, à voir !
Les Seigneurs d'Agartha
Bin elle est pas si mal que ca cette série. Les dessins sont assez beaux, quoique comme Kael l'a dit il y a quelques fois de petites imperfections, au niveau des personnages surtout. Niveau couleur c'est très joli aussi, le tout rend très bien... L'histoire quant à elle est intrigante à souhait, les membres de la famille de Steve semble tous avoir leurs petits secrets... Au final c'est loin d'être une série indispensable, mais si vous ne savez plus quoi lire ca peut être un investissement sympa... Avis aux amateurs de magie et de monstres. :)
Arzach
Hou mon dieu, ne connaissant pas vraiment Moebius (ou en tout cas, n'ayant quasiment jamais eu l'occasion de le lire), je voulais connaitre... et bien dis donc, je sais pas si c'est par cet album qu'il fallait que je commence parce que bon, j'ai dû louper un truc là, passer à côté du sens de la bd... C'est vrai que le style de Moebius est intéressant (notez bien comment je ne me mouille pas, je veux pas d'ennuis avec les fans :D) mais moi, j'accroche pas des masses, je suis pas du genre à m'extasier devant "la technique parfaite du maître de la bd" (j'exagère à peine mais certains ont ce discours :D). Mais alors si en plus je passe complètement à côté des histoires, c'est impossible que j'apprécie "Arzach" ! Je sais pas, j'ai pas trouvé les histoires géniales, je les ai même trouvé très inintérressantes... Tout ca pour dire que je vais certainement vite oublier "Arzach" et le rendre le plus tôt possible à son propriétaire...
Pas de Chance
J'ai tout de suite accroché à cette bd. Le découpage en peu de planches est bien travaillé, très aéré et très précis. Du coup, ce petit format a des cases plus grandes qu'un grand format ! la lecture est donc plus rapide, plus dynamique, et le dessin reste très lisible. Heureusement, parce que justement, j'aime bien ce dessin. C'est pas du grand art, ok, mais il convient bien au récit et les dégradés de gris sont tellement étendus qu'on a vraiment l'impression de lire une BD couleur. L'histoire elle aussi m'a bien plu. Le mélange des cultures peut paraître un peu trivial au premier abord, mais finalement ça se fond bien au récit, tout avance sans accrocs. Oui, ça se lit vite, mais le fond de l'intrigue est loin d'être vide, j'ai été littérallement happé par ce récit.
Isaac le pirate
J'attendais beaucoup de cette série tellement plébiscitée, peut-être trop d'ailleurs ! Le tome 1 m'a de suite déçu, ne serait-ce qu'à la vue des dessins, mais comme chacun sait ce n'est pas un critère toujours suffisant et je ne voulais pas passer à côté d'un super scénario. Après quelques pages, j'ai rapidement eu l'impression d'avoir déjà lu cette BD ! Un dessinateur parti à bord d'un bateau, ca ne se trouve pas partout... et en effet, j'ai retrouvé cette idée chez "Le passage de Vénus" d'Aire Libre avec des desins bien plus jolis. Le Tome 2 continue sans surprise, et hormis une mise en couleur que j'ai appréciée, je dois bien avouer n'avoir rien trouvé de particulier pour continuer à lire la suite, notamment que sauf erreur cette série devait être relativemnt courte avant son succès... et s'il y a bien quelque chose que je n'aime pas c'est bien cela.
Le Chant d'Excalibur
Un premier tome sympathique : une intrigue qui démarre sur des chapeaux de roue, un personnage principal féminin ayant une poitrine vraisemblable, un humour parfois poilant (avec une très belle version de Merlin), pour continuer sur un deuxième tome qui s'essouffle déjà, car très classique. Le prolongement de la série est bien médiocre, avec des tentatives humoristiques assez caricaturales et une richesse graphique assez affligeante pour une bande dessinée grand public. Il existe tant et tant de choses tellement intenses et intéressantes à lire, que c'est vraiment dommage de gâcher son temps sur cette BD si boitement commerciale.
Garduno, en temps de paix
A la question, cette BD ne convaincra-t-elle que les convertis, je réponds non. Et j'en suis la preuve vivante. Evidemment, je n'ai jamais été membre du MEDEF, mais ce livre m'a dévoilé tout un tas de chose que j'ignorais, et que j'estime maintenant, pourtant, indispensables... Ensuite, pour répondre à "à part ça, l'auteur martèle avec conviction qu'il faut se réveiller, résister face à la situation actuelle... mais lui, là-dedans, il fait quoi ? Juste une BD ?" Heu... es-tu sûr de l'avoir bien lue cette BD ? Déjà, il fait cette BD, ce qui en soit est déjà quelque chose de primordial, et ensuite les épisodes au Mexique ou en Bosnie qui y sont narrés, tu crois que c'est de la pure fiction ? Non, évidement non. Ce sont des démonstrations d'actions aussi éphémères que concrètes, de convictions portées à bout de bras. Maintenant, rapidement, ma critique de l'oeuvre : "Il y a, au Mexique, un village dont le nom a été oublié par les cartes de voyage. Les paysans qui l'habitent disent qu'il s'appelle Garduno, en temps de paix... et Zapata, en temps de guerre." Voilà les informations dont l'on dispose sur la C4. Et avec ça, on est loin de se douter jusqu'où ce modeste album d'apparence va nous amener. Nous y suivons le cheminement de l'auteur, qui prend conscience de l'état de son monde, des ravages du capitalisme néo-libéral, et des actions à la fois éphémères et concrètes qu'il décide de mener. Rapport à notre société de consommation, rapport à soi, à notre propre impuissance rongée de culpabilité et de frustration, rapport à l'autre et à son indifférence, pour finir sur ce qui pourrait s'apparenter à une lueur d'espoir, tout cela nous est donné dans Garduno, et avec beaucoup de simplicité, et paradoxalement, de force. J'ai vraiment accroché sur la finesse des traits, un dessin précis et hachuré, qui nous fait visualiser des images illustratives plus que pertinentes, des anaphores. A lire pour ceux qui désirent ressentir l'effet que ça produit de "sortir la tête de la matrice", même un peu. Après c'est à vous de voir, cette sensation de lucidité blasée ne dure que le temps de la lecture, ou vous pouvez la prolonger. Préface de Ignacio Ramonet, les initiés connaissent, et, à ma plus grande joie, Zapata, en temps de guerre, est à paraître courant 2003. Merci, monsieur Squarzoni, de nous avoir permis de lire une telle oeuvre. Vous avez toute ma gratitude. Un petit mot sur Zapata, suite tout aussi indispensable que Garduno : C'est bien plus qu'un bouquin, l'auteur va encore plus loin que dans Gadurno. Je ne vais pas m'épuiser inutilement en superlatif : FONDAMENTAL. Mais ça y est, tout est redevenu absurde. Merci de m'avoir rappeller à l'oeuvre M Squarzoni. Sincèrement, s'il ne devait en rester qu'un, machin à amener sur l'île déserte tout ça, ce serait Garduno et Zapata. Pas nécéssaire d'en parler plus. Lecture indispensable.
Gunnm Last Order
J'aurais tendance à modérer l'euphorie générale... Autant j'ai beaucoup aimé "Gunm", autant ce GLO me semble être un combiné de clichés et d'images malvenues. Je ne dis pas que ce premier volume de GLO (car je n'en ai lu qu'un) est exécrable, il est tout juste médiocre, mais par rapport à la qualité de la précédente série, nous étions en droit d'attendre bien mieux... Tout cela reste très très classique, sans se montrer palpitant à aucun moment... il y a une maladresse un peu écoeurante qui émerge de l'ensemble. L'avis des fans de GLO est peut-être un tantinet sous l'influence de leur avis de fan de "Gunm" ? Bref... en manga, et chez Glénat notamment, il y a bien mieux, l'excellent "Parasite" explose littéralement ce GLO.
5 est le numéro parfait
Ca change C'est sur que ca change de ce que j'ai l'habitude de lire, et ca fait du bien. Il se dégage avant tout de cette oeuvre une ambiance que l'auteur a voulu recréer fidèlement : mafiosos, naples, polar... Le graphisme assez expérimental est attirant. Bref du tout bon, mais je n'ai pas véritablement eu de déclic, de souffle incandescent à la lecture de cette bd, et cela justifie ma note. Une découverte sympathique, donc, mais sans plus.
Incantations
Un très bon premier tome et franchement, même si cet album était attirant, après le « Continent premier » je ne m’attendais pas à un si bon premier tome pour cette nouvelle série de JC Derrien. Mais là je dois l’avouer c’est très bien fait, et grâce à cet album on passe un très bon moment ! C’est très bien foutu, l’intrigue se met bien en place, ce premier tome pose de bonnes bases, présente bien les personnages, cela est très bien fait, pas ennuyant du tout, très intéressant. Ca se lit avec un réel plaisir, ça détend, c’est très agréable. Pour le dessin c’est bien fait, adapté à la BD, à son sujet, à son ambiance, c’est très agréable à suivre, grâce aussi aux très bonnes couleurs de Cesano. Un bon premier album, en attente (impatiente) de la suite.