Mouais, j'aurais dû me méfier de l'autocollant "par le scénariste de XIII" sur la couverture du 1er tome ! Ca sent la BD commerciale commandée par la maison d'édition.
Mais bon, après avoir lu les 2 premiers tomes, je dois bien reconnaître que àa se lit relativement bien, on ne s'ennuit pas, même si ça ne laisse pas un souvenir impérissable.
Achat conseillé pour les amateurs du genre.
J'ai découvert Mike Blueberry en piochant l'unique album de cette série que possédait mon père dans sa bibliothèque de BD.
Depuis je ne peux plus m'en passer !
Tous les éléments nécessaires à une bonne BD sont réunis :
- un scénario captivant et haletant (les meilleurs histoires/cycles sont selon moi "le cheval de fer", "la mine de l'allemand perdu", "le trésor des confederés")
- des dessins magnifiques (cf. la couverture de "l'homme à l'étoile d'argent")
- des personnages attachants (Mc Clure alias sac à gnole, Red Nek)
Indispensable !
C'est vrai qu'on ne sait pas comment ca va se finir mais finalement on n'est pas très surpris... Les personnages sont marrants et donnent un côté dynamique et très sympa à la BD. Mais bon, on voit pas trop où ils vont ces personnages, qui pour la plupart ont leur passé derrière eux... Pour le dessin je ne suis pas convaincu. Le premier tome est gras, ça fait un peu vite fait alors que le deuxième est plus posé, plus informatisé surtout (en tout cas les couleurs). Mais là non plus ça ne me botte pas trop.
Au final, ça se lit quand on a un petit moment, entre deux rayons de la Fnac ou chez le médecin. C'est une petite bd sympa et sans prétention.
Je viens de lire les 2 premiers tomes.
Le dessin est beau et fin. C'est le bon point de cette BD.
Par contre, le scénario est pour le moment nul. La narration est mauvaise, on ne comprend pas l'enchaînement des actions. Le décor est complètement banal : un désert post-apocalyptique, où se trouvent des éléments de SF et d'autres éléments plus antiques (à la façon des Eaux de Mortelune, de Jeremiah, ou autres du même style). Quant à l'histoire... Un type qui sort d'on ne sait où se retrouve soudain pourchassé on ne sait pourquoi. Mais il est super fort, alors il survit, intègre un groupe de nomades qui l'accueillent sans raison apparente si ce n'est qu'un gosse a rejoint le gars mais on ne sait pas pourquoi. Puis il y a plein d'aventures, beaucoup d'action, un peu de cul, les filles sont toutes belles et dénudées, et il y a des robots, de la SF, des manipulations génétiques, des monstres, encore des combats... Le tout dans un large fouillis sans aucun suivi, aucune explication, et surtout sans aucun intérêt.
Peut-être les tomes suivants seront-ils une révélation, mais pour le moment, malgré son beau dessin, cette BD n'est pas loin d'être nulle.
Je suis resté un peu sur ma faim aprés avoir refermé cette BD (je n'ai lu que le tome 2).
En effet, malgré des dessins sublimes et une atmosphère générale etonnante et palpitante, le scénario se déroule d'une façon un peu rapide et donne un goût d'inachevé. Il aurait peut-être été préférable d'étaler une histoire sur plusieurs tomes...
BD recommandée par ailleurs !
"Le Capitaine Ecarlate" est le premier album de Guibert et B. auquel je m'attaque.
Je dois dire que j'ai été très agréablement surpris par cette BD. Un dessin somptueux, une intrigue à tiroirs très intelligente (en gros, on ne prend pas le lecteur pour un con), un rythme trépidant. Tout cela est tellement rare dans la BD actuelle que l'on ne peut s'empêcher de demander une suite, qui ne viendra jamais. Seul bémol : je n'ai pas réussi à m'attacher au personnage principal, ce Capitaine Ecarlate si évanescent, qui semble toujours rester à la périphérie de l'action... Mais peut-être cela rajoute-t'il au charme de l'histoire...
Prix Goscinny 2004.
Voilà une bien belle récompense pour une bien sympathique BD. Mon avis rejoint ceux des gens en-dessous, en particulier celui de Steril. Le dessin de Sattouf sur cet album est très surprenant, différent de ce qu'il avait fait auparavant. Il semble hésitant, pas terminé, et cela colle en somme parfaitement au propos, contant les aventures amoureuseument erratiques d'un jeune homme comme les autres, informaticien qui plus est. Comment ne pas s'attendrir pour Jérémie, tellement proche de nous, qui cherche à trouver sa place dans la société, à se rendre là où son coeur le porte...
Vraiment un coup de coeur, cet album, une découverte et une réussite incontestable.
Effectivement, c'est dans doute l'album de Cosey le moins abordable (il me reste "Zélie nord-sud" à découvrir). Je comprends aisément que la plupart des lecteurs soient décontenancés tant la narration est étrange. En mêlant histoires fantasmées et histoires réelles, en alternant diapositives en gaufrier et paysages en cinémascope, Cosey bouleverse la narration et le découpage habituel du monde de la bande dessinée. Rien que pour ça, ce livre vaut le détour.
Sur le fond, je suis également séduit. L'auteur aborde avec pudeur et force l'ensemble des thèmes qui ont construit son oeuvre : la paternité ("Orchidéa", "Le voyage en Italie"), l'absence ("A la recherche de Peter Pan"...) et la (re)découverte de l'autre. Nombres de ses oeuvres précédentes ont un lien avec l'Asie du sud-est mais il plonge pour la première fois ses personnages au coeur de cette partie du globe; ses dessins sont magnifiques, Cosey arrive à retranscrire parfaitement les méandres du Mékong ou l'atmosphère de Luang Prabang, chose que je n'ai jamais ressentie ailleurs.
Les critiques ici-bas sont assez dures. Malgré sa complexité et les inspirations évidentes de Pécau, "Zentak" n'est pas une mauvaise série. Le monde anticipé est très crédible et cohérent, la trame de l'histoire est intéressante, même si l'on s'y perd effectivement parfois un peu, notamment dans le tome 3, et l'ensemble se lit donc avec plaisir, pour peu que l'on soit concentré. Niveau dessin, c'est plutôt efficace même si le héros ressemble à s'y méprendre à John Diffool. Une série sympatoche donc qui ne révolutionne pas le monde du cyber punk, qui se prend peut-être un peu trop au sérieux parfois mais qui reste toutefois agréable et prenante.
Oh là là !
Oh là là !
J'ai découvert ça chez une amie qui a beaucoup de goût. Elle me parlait depuis longtemps d'une BD à l'atmosphère envoûtante, aux dessins exquis, au scénario ensorceleur...
Djinn est un véritable bijou, ciselé par l'orfèvre jean Dufaux (décidément un excellent scénariste), serti dans un écrin sublime réalisé par Ana Miralles, une dessinatrice fantastique. Son style confine à un réalisme un peu "facile", proche de Léo, ou Pavlovic, pour s'échapper (dans les moments où la moiteur ne peut s'empêcher de s'accumuler sur votre nuque) vers un trait sensuel, troublant pour les deux sexes...
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Wayne Shelton
Mouais, j'aurais dû me méfier de l'autocollant "par le scénariste de XIII" sur la couverture du 1er tome ! Ca sent la BD commerciale commandée par la maison d'édition. Mais bon, après avoir lu les 2 premiers tomes, je dois bien reconnaître que àa se lit relativement bien, on ne s'ennuit pas, même si ça ne laisse pas un souvenir impérissable. Achat conseillé pour les amateurs du genre.
Blueberry
J'ai découvert Mike Blueberry en piochant l'unique album de cette série que possédait mon père dans sa bibliothèque de BD. Depuis je ne peux plus m'en passer ! Tous les éléments nécessaires à une bonne BD sont réunis : - un scénario captivant et haletant (les meilleurs histoires/cycles sont selon moi "le cheval de fer", "la mine de l'allemand perdu", "le trésor des confederés") - des dessins magnifiques (cf. la couverture de "l'homme à l'étoile d'argent") - des personnages attachants (Mc Clure alias sac à gnole, Red Nek) Indispensable !
Bellagamba
C'est vrai qu'on ne sait pas comment ca va se finir mais finalement on n'est pas très surpris... Les personnages sont marrants et donnent un côté dynamique et très sympa à la BD. Mais bon, on voit pas trop où ils vont ces personnages, qui pour la plupart ont leur passé derrière eux... Pour le dessin je ne suis pas convaincu. Le premier tome est gras, ça fait un peu vite fait alors que le deuxième est plus posé, plus informatisé surtout (en tout cas les couleurs). Mais là non plus ça ne me botte pas trop. Au final, ça se lit quand on a un petit moment, entre deux rayons de la Fnac ou chez le médecin. C'est une petite bd sympa et sans prétention.
Septentryon
Je viens de lire les 2 premiers tomes. Le dessin est beau et fin. C'est le bon point de cette BD. Par contre, le scénario est pour le moment nul. La narration est mauvaise, on ne comprend pas l'enchaînement des actions. Le décor est complètement banal : un désert post-apocalyptique, où se trouvent des éléments de SF et d'autres éléments plus antiques (à la façon des Eaux de Mortelune, de Jeremiah, ou autres du même style). Quant à l'histoire... Un type qui sort d'on ne sait où se retrouve soudain pourchassé on ne sait pourquoi. Mais il est super fort, alors il survit, intègre un groupe de nomades qui l'accueillent sans raison apparente si ce n'est qu'un gosse a rejoint le gars mais on ne sait pas pourquoi. Puis il y a plein d'aventures, beaucoup d'action, un peu de cul, les filles sont toutes belles et dénudées, et il y a des robots, de la SF, des manipulations génétiques, des monstres, encore des combats... Le tout dans un large fouillis sans aucun suivi, aucune explication, et surtout sans aucun intérêt. Peut-être les tomes suivants seront-ils une révélation, mais pour le moment, malgré son beau dessin, cette BD n'est pas loin d'être nulle.
Le Marquis d'Anaon
Je suis resté un peu sur ma faim aprés avoir refermé cette BD (je n'ai lu que le tome 2). En effet, malgré des dessins sublimes et une atmosphère générale etonnante et palpitante, le scénario se déroule d'une façon un peu rapide et donne un goût d'inachevé. Il aurait peut-être été préférable d'étaler une histoire sur plusieurs tomes... BD recommandée par ailleurs !
Le Capitaine Ecarlate
"Le Capitaine Ecarlate" est le premier album de Guibert et B. auquel je m'attaque. Je dois dire que j'ai été très agréablement surpris par cette BD. Un dessin somptueux, une intrigue à tiroirs très intelligente (en gros, on ne prend pas le lecteur pour un con), un rythme trépidant. Tout cela est tellement rare dans la BD actuelle que l'on ne peut s'empêcher de demander une suite, qui ne viendra jamais. Seul bémol : je n'ai pas réussi à m'attacher au personnage principal, ce Capitaine Ecarlate si évanescent, qui semble toujours rester à la périphérie de l'action... Mais peut-être cela rajoute-t'il au charme de l'histoire...
Les pauvres aventures de Jérémie
Prix Goscinny 2004. Voilà une bien belle récompense pour une bien sympathique BD. Mon avis rejoint ceux des gens en-dessous, en particulier celui de Steril. Le dessin de Sattouf sur cet album est très surprenant, différent de ce qu'il avait fait auparavant. Il semble hésitant, pas terminé, et cela colle en somme parfaitement au propos, contant les aventures amoureuseument erratiques d'un jeune homme comme les autres, informaticien qui plus est. Comment ne pas s'attendrir pour Jérémie, tellement proche de nous, qui cherche à trouver sa place dans la société, à se rendre là où son coeur le porte... Vraiment un coup de coeur, cet album, une découverte et une réussite incontestable.
Zeke raconte des histoires
Effectivement, c'est dans doute l'album de Cosey le moins abordable (il me reste "Zélie nord-sud" à découvrir). Je comprends aisément que la plupart des lecteurs soient décontenancés tant la narration est étrange. En mêlant histoires fantasmées et histoires réelles, en alternant diapositives en gaufrier et paysages en cinémascope, Cosey bouleverse la narration et le découpage habituel du monde de la bande dessinée. Rien que pour ça, ce livre vaut le détour. Sur le fond, je suis également séduit. L'auteur aborde avec pudeur et force l'ensemble des thèmes qui ont construit son oeuvre : la paternité ("Orchidéa", "Le voyage en Italie"), l'absence ("A la recherche de Peter Pan"...) et la (re)découverte de l'autre. Nombres de ses oeuvres précédentes ont un lien avec l'Asie du sud-est mais il plonge pour la première fois ses personnages au coeur de cette partie du globe; ses dessins sont magnifiques, Cosey arrive à retranscrire parfaitement les méandres du Mékong ou l'atmosphère de Luang Prabang, chose que je n'ai jamais ressentie ailleurs.
Zentak
Les critiques ici-bas sont assez dures. Malgré sa complexité et les inspirations évidentes de Pécau, "Zentak" n'est pas une mauvaise série. Le monde anticipé est très crédible et cohérent, la trame de l'histoire est intéressante, même si l'on s'y perd effectivement parfois un peu, notamment dans le tome 3, et l'ensemble se lit donc avec plaisir, pour peu que l'on soit concentré. Niveau dessin, c'est plutôt efficace même si le héros ressemble à s'y méprendre à John Diffool. Une série sympatoche donc qui ne révolutionne pas le monde du cyber punk, qui se prend peut-être un peu trop au sérieux parfois mais qui reste toutefois agréable et prenante.
Djinn
Oh là là ! Oh là là ! J'ai découvert ça chez une amie qui a beaucoup de goût. Elle me parlait depuis longtemps d'une BD à l'atmosphère envoûtante, aux dessins exquis, au scénario ensorceleur... Djinn est un véritable bijou, ciselé par l'orfèvre jean Dufaux (décidément un excellent scénariste), serti dans un écrin sublime réalisé par Ana Miralles, une dessinatrice fantastique. Son style confine à un réalisme un peu "facile", proche de Léo, ou Pavlovic, pour s'échapper (dans les moments où la moiteur ne peut s'empêcher de s'accumuler sur votre nuque) vers un trait sensuel, troublant pour les deux sexes...