La jeunesse de Barbe-Rouge est pour moi un pari réussi. De plus, le passionné de marine que je suis a été comblé par une foule de détails très réalistes qui montrent que les auteurs se sont très bien documentés.
Je trouve même que cette série a beaucoup plus de relief et de piquant que la série mère, des fois trop aseptisée. C'est normal étant donné que les auteurs Charlier et Hubinon s'adressaient à un public jeune. Mais cette seconde jeunesse me semble plus vivante, plus palpable. D'autant plus que des histoires comme celle-là, il y en a eu plein à cette époque...
Cette bd, comme beaucoup de séries franco-belge, a ses bons et ses mauvais côtés. Certains albums sont vraiment sympas (je pense à "Un Trône pour Natacha", "Le treizième apôtre", "Instantanées pour Caltech"/"Machines Incertaines", "Le Grand Pari"/"Culottes de Fer"...).
D'autres par contre, sont sans intérêt, comme de petits délires de l'auteur destinés à faire du commercial sans trop se soucier du scénario, avec des fins en hôpital psychiatrique comme dans d'autres séries moins bonnes ("les Nomades du Ciel", "Cauchemirage"...). Et quand on voit à quel point les dernières couvertures d'albums insistent sur le physique de Natacha plutôt que sur son caractère et son intelligence, on se dit que le scénariste ne doit pas non plus trop insister sur le côté intelligent des histoires.
Pour faire simple, j'aime beaucoup cette série jusqu'au tome 12. Au-delà, par contre, il y a trop d'albums qui ne m'ont pas plu, voire pas du tout.
Des dessins un peu trop classiques mélangeant manga et comics, avec des couleurs trop informatisées à mon goût. Un scénario également complètement influencé par les mangas et comics d'action-SF. L'idée globale est assez bonne, mais je trouve que tout a été un peu trop étiré. Il y a trop d'albums qui partent un peu tous dans différentes directions, pour finalement se résumer à une trame assez simple et à mon goût franchement déjà vue. Bref, une série qui se laisse lire mais qui ne marque pas franchement les esprits.
Humour franco-belge qui me faisait vaguement sourire dans Spirou. Mais retrouver des albums entiers remplis de ces gags assez répétitifs et surtout bourrés de préjugés et d'avis tout faits sur tels ou tels types de personnages, de races, de métiers, ça me fait beaucoup moins rire.
Gras, lourd et répétitif. Chaque gag est identique au précédent : c'est toujours un gros lourd qui embobine des femmes à gros nichons super naïves. Aucun besoin de scénario : les femmes y sont dépeintes comme tellement connes (ou consentantes) qu'elles se laissent toujours faire, et voilà, bravo Pépé Malin. Ca valait vraiment super la peine d'en faire des albums entiers, c'est clair...
Une Bd de qualité assez inégale car l'humour y est très souvent répétitif. On retrouve très souvent les mêmes gags ou bien des thèmes très proches. Le dessin est très bien foutu (et les femmes y sont notamment très jolies) et c'est agréable à lire. Mais les histoires sont un peu simples et comme je le disais si souvent reproduites qu'on rit au départ, puis assez rapidement on se lasse.
Néanmoins, les personnages créés dans cette petite série d'humour sont très bons, même si, je le répête, on les retrouve presque toujours dans la même situation comique.
Oui, bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre scénaristique de Foerster. Les histoires de ce colporteur s'oublient assez vite en fait. Même si on retrouve le côté fantastique et l'humour noir des autres histoires courtes de l'auteur, celles-ci manquent justement de cette acidité grinçante et du côté vraiment noir et original de ses autres nouvelles.
Franchement, je préfère les autres oeuvres de Binet. Poupon, ici, est plutôt du genre détestable, et les gags de cette BD ne me font pas vraiment rire. Certes ce Poupon est antipathique et tout le récit est construit là-dessus, mais l'auteur a su le rendre suffisamment détestable et irritant pour que je ne prenne pas plaisir à lire ses gags et qu'ils n'attirent pas chez moi ne serait-ce que le sourire.
Ca ne vaut pas le niveau des Bidochons.
Moui... Le dessin est sympa, l'histoire gentille, le décor joli... Mais le tout est peu trop naïf et l'histoire trop rapide. Je ne vous en déconseille pas l'achat, mais moi personnellement je ne l'achèterais pas car j'aime posséder des BDs au scénario suffisamment conséquent pour avoir l'impression d'avoir une vraie histoire entre les mains, pas un petit conte délayé sur les pages d'un album entier.
Ciao Pékin est une bd sympa. Le héros est attachant, surtout grâce à sa manière de décliner la réalité façon "histoire dont vous êtes le héros" (petit A, petit B, Petit C...). L'intrigue est menée tambour battant et le dessin de Pourquié, extrêmement vivant, emporte toute mon adhésion. Malheureusement la résolution du mystère policier est plutôt...convenue. La police qui arrive façon « deus ex machina » et qui révèle le pot aux roses parce qu’on arrive à la fin de l’album, c’est un peu maladroit. C'est bien dommage, il y avait matière à finir sur une pointe plus originale.
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La Jeunesse de Barbe-Rouge
La jeunesse de Barbe-Rouge est pour moi un pari réussi. De plus, le passionné de marine que je suis a été comblé par une foule de détails très réalistes qui montrent que les auteurs se sont très bien documentés. Je trouve même que cette série a beaucoup plus de relief et de piquant que la série mère, des fois trop aseptisée. C'est normal étant donné que les auteurs Charlier et Hubinon s'adressaient à un public jeune. Mais cette seconde jeunesse me semble plus vivante, plus palpable. D'autant plus que des histoires comme celle-là, il y en a eu plein à cette époque...
Natacha
Cette bd, comme beaucoup de séries franco-belge, a ses bons et ses mauvais côtés. Certains albums sont vraiment sympas (je pense à "Un Trône pour Natacha", "Le treizième apôtre", "Instantanées pour Caltech"/"Machines Incertaines", "Le Grand Pari"/"Culottes de Fer"...). D'autres par contre, sont sans intérêt, comme de petits délires de l'auteur destinés à faire du commercial sans trop se soucier du scénario, avec des fins en hôpital psychiatrique comme dans d'autres séries moins bonnes ("les Nomades du Ciel", "Cauchemirage"...). Et quand on voit à quel point les dernières couvertures d'albums insistent sur le physique de Natacha plutôt que sur son caractère et son intelligence, on se dit que le scénariste ne doit pas non plus trop insister sur le côté intelligent des histoires. Pour faire simple, j'aime beaucoup cette série jusqu'au tome 12. Au-delà, par contre, il y a trop d'albums qui ne m'ont pas plu, voire pas du tout.
Nomad
Des dessins un peu trop classiques mélangeant manga et comics, avec des couleurs trop informatisées à mon goût. Un scénario également complètement influencé par les mangas et comics d'action-SF. L'idée globale est assez bonne, mais je trouve que tout a été un peu trop étiré. Il y a trop d'albums qui partent un peu tous dans différentes directions, pour finalement se résumer à une trame assez simple et à mon goût franchement déjà vue. Bref, une série qui se laisse lire mais qui ne marque pas franchement les esprits.
Passe-moi l'ciel
Humour franco-belge qui me faisait vaguement sourire dans Spirou. Mais retrouver des albums entiers remplis de ces gags assez répétitifs et surtout bourrés de préjugés et d'avis tout faits sur tels ou tels types de personnages, de races, de métiers, ça me fait beaucoup moins rire.
Pépé Malin
Gras, lourd et répétitif. Chaque gag est identique au précédent : c'est toujours un gros lourd qui embobine des femmes à gros nichons super naïves. Aucun besoin de scénario : les femmes y sont dépeintes comme tellement connes (ou consentantes) qu'elles se laissent toujours faire, et voilà, bravo Pépé Malin. Ca valait vraiment super la peine d'en faire des albums entiers, c'est clair...
Le Petit Spirou
Une Bd de qualité assez inégale car l'humour y est très souvent répétitif. On retrouve très souvent les mêmes gags ou bien des thèmes très proches. Le dessin est très bien foutu (et les femmes y sont notamment très jolies) et c'est agréable à lire. Mais les histoires sont un peu simples et comme je le disais si souvent reproduites qu'on rit au départ, puis assez rapidement on se lasse. Néanmoins, les personnages créés dans cette petite série d'humour sont très bons, même si, je le répête, on les retrouve presque toujours dans la même situation comique.
Porte-à-porte-malheur
Oui, bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre scénaristique de Foerster. Les histoires de ce colporteur s'oublient assez vite en fait. Même si on retrouve le côté fantastique et l'humour noir des autres histoires courtes de l'auteur, celles-ci manquent justement de cette acidité grinçante et du côté vraiment noir et original de ses autres nouvelles.
Poupon la peste
Franchement, je préfère les autres oeuvres de Binet. Poupon, ici, est plutôt du genre détestable, et les gags de cette BD ne me font pas vraiment rire. Certes ce Poupon est antipathique et tout le récit est construit là-dessus, mais l'auteur a su le rendre suffisamment détestable et irritant pour que je ne prenne pas plaisir à lire ses gags et qu'ils n'attirent pas chez moi ne serait-ce que le sourire. Ca ne vaut pas le niveau des Bidochons.
Pyrénée
Moui... Le dessin est sympa, l'histoire gentille, le décor joli... Mais le tout est peu trop naïf et l'histoire trop rapide. Je ne vous en déconseille pas l'achat, mais moi personnellement je ne l'achèterais pas car j'aime posséder des BDs au scénario suffisamment conséquent pour avoir l'impression d'avoir une vraie histoire entre les mains, pas un petit conte délayé sur les pages d'un album entier.
Ciao pékin
Ciao Pékin est une bd sympa. Le héros est attachant, surtout grâce à sa manière de décliner la réalité façon "histoire dont vous êtes le héros" (petit A, petit B, Petit C...). L'intrigue est menée tambour battant et le dessin de Pourquié, extrêmement vivant, emporte toute mon adhésion. Malheureusement la résolution du mystère policier est plutôt...convenue. La police qui arrive façon « deus ex machina » et qui révèle le pot aux roses parce qu’on arrive à la fin de l’album, c’est un peu maladroit. C'est bien dommage, il y avait matière à finir sur une pointe plus originale.