Plus adulte que la Rubrique-à-Brac, moins psychanalytique que Rhââ Lovely et surtout plus drôle et plus dense à mes yeux. Beaucoup de bonnes idées et la plupart des gags sont très sympas et bien marrants.
Le combat entre Super Dupont et Bruce Lee en particulier est une histoire culte pour moi qui adore son second degré et son autodérision.
Bon, la Ribambelle vise un public jeune, mais c'est une série vraiment sympa et drôle. On y retrouve la touche de Roba, son humour qui est très bon et ici un peu plus adulte que pour Boule et Bill. Ces histoires d'aventure d'une bande de jeunes me font un peu penser aux livres jeunesse de Hitchcock avec cette bande de jeunes qui se réunissent dans un dépotoir et ont piégé tout leur repaire contre les intrus, ou alors ça ressemble aussi au Club des 5 mais en bien plus marrant.
Une Bd fraiche, sympa, amusante et pas prise de tête.
J'ai lu cette BD alors que je devais être trop jeune, il faut croire. J'en ai gardé une impression de malaise, de violence exagérée et inutile. C'est noir, c'est brutal, les êtres humains n'ont aucune valeur dans cette BD. Alors ça se veut peut-être réaliste, mais je trouve que ce n'était pas fantastique de mettre ça en BD, d'autant que le scénario ne m'a franchement pas intéressé.
Une histoire pas mal, originale et toute en ambiance. On s'imprègne assez facilement de cet univers clos qu'est le cuirassé et de la vie à son bord. La descente dans ses entrailles est prenante.
Mais dans l'ensemble, je n'ai pas franchement accroché à l'idée même du scénario. Je ne comprends pas aisément le but recherché par l'auteur quand il a écrit cette histoire, et autant j'accrochais bien tout du long, autant une fois fini de lire, je suis resté sur une idée de "oui, et après ?... quel interêt à tout ça ?".
J'aime beaucoup cet humour. "Raymond Calbuth est responsable des Affaires Etrangères, tandis que sa femme est responsable des Affaires Intérieures au couple, et plus particulièrement de tout ce qui est ménage, etc..."
Raymond et sa femme sont particulièrement beaufs, et pourtant ils s'aiment. Raymond a de grandes ambitions, des idées de grandeur, de voyage, mais jamais plus loin que le pas de la porte : le globe terrestre permet de voyager suffisamment loin en pensées, non ?
Bref, je lis un album de Raymond Calbuth avec beaucoup de plaisir et je rigole bien souvent.
Mais à l'inverse, ma femme n'aime pas du tout. Elle trouve ça particulièrement phallocrate et son féminisme est heurté par le comportement de Raymond avec sa femme et la soumission de celle-ci. Il est possible alors que ce soit en tant qu'homme que cette BD me fasse rire, même si je vois bien que le message n'y est pas misogyne du tout et qu'au contraire Raymond Calbuth y est le plus ridicule, mais est-ce que pour autant ça peut plaire aux femmes ?
Ce n'est pas vraiment mon genre d'humour mais ça reste divertissant.
Gras, lourd, gore, violent et assez répétitif, je dois dire que je n'ai jamais vraiment ri mais le sourire est souvent présent.
Le public de cette série est pour moi résolument adolescent, ou alors l'adulte qui ne veut surtout pas se prendre la tête et s'amuse de gags trash, un peu bourrins et souvent politiquement incorrects.
Je n'accroche pas vraiment mais je ne crache pas sur une ou deux histoires de la série par-ci par-là.
Cette série me laisse une impression mitigée.
La plupart des histoires ne sont pas trop mal, et je me souviens en avoir lu la majorité avec un certain intérêt. Mais presque à chaque fois, à la fin de chaque tome, la résolution de l'enquête, laisse pour moi à désirer.
Tout du long, on sent l'incohérence : des gens disparaissent comme ça, se retrouvent prisonniers sans raison et sans réagir... On sent en permanence la facilité scénaristique, les Deus Ex Machina. Pour augmenter le suspens, pour augmenter le mystère, on prend des raccourcis, on interdit aux personnages d'approfondir un sujet qui devrait pourtant s'expliquer facilement s'ils prenaient la peine de bien regarder.
Ric Hochet, c'est pour moi un série où le mystère est artificiel, où j'enrage de voir les personnages se laisser bercer par les événements jusqu'à la fin où paf, ils découvrent enfin le pot aux roses.
En outre, en parlant des personnages, ils sont d'un naïf et d'un classique, c'en est énervant.
Bref, une série d'un autre âge qui n'a pas su évoluer à mes yeux.
Bof... Je trouve l'humour répétitif et pas vraiment drôle. C'est un peu le style gag de la tarte à la crême, l'humour franco-belge gros nez sans finesse. Bref, même si j'apprécie assez le dessin et les personnages, je ne considère pas cette série comme vraiment bonne et drôle.
J'aime bien le dessin un peu style art déco de cette BD. Par contre, j'ai beaucoup plus de mal avec les couleurs que je trouve mièvres et plutôt moches en fait.
En ce qui concerne le scénario, je l'ai trouvé fouillis et pas vraiment captivant. D'une part, je n'ai pas été séduit par l'histoire "courante" de cette BD, les personnages et leurs relations, etc... Mais surtout, c'est la fin qui m'a laissé sur le carreau. Je l'ai trouvée confuse, incompréhensible et... inintéressante. Bon, globalement, et si je veux être vraiment objectif, je dois avouer qu'à part la fin, le reste de l'histoire et du scénario est plutôt pas mal, dans le sens où c'est bien fait, et que d'autres que moi peuvent aimer.
Bref, une série que j'ai lue mais que personnellement j'ai assez vite oublié ensuite.
Bellagamba, fondamentalement, c'est un peu le nouveau Ric Hochet, il résout des enquêtes matinées d'étrange, à la lisière du fantastique et de la science-fiction et les résout toujours de manière rationnelle. Heureusement, l'analogie s'arrête là, car Bellagamba, c'est aussi beaucoup plus moderne que Ric Hochet. D'abord il est sexué, et de manière outrancière : sa compagne Véronique, au désir sexuel démesuré, trouve toujours au fil des albums de quoi raviver la sexualité de son couple ("Et dans le sacré coeur, on l'a jamais fait?"), c'est autre chose que la nièce niaise du gros commissaire dans Ric Hochet! Les enquêtes en elles-mêmes partent toujours de thèmes éculés : maison hantée, extra-terrestres... pour les décliner de manière originale.
J'avoue que le premier tome m'a laissé un peu sur ma faim, la résolution de l'intrigue manquait d'éclat. Le deuxième tome m'a en revanche bien amusé.
Le dessin de Cabanes est très beau. On sent une nette évolution entre le tome 1 et la tome 2. Une évolution ni heureuse ni malheureuse en soi, mais on sent que Cabanes est tenté par un trait plus réaliste.
Pour la petite histoire, sachez que sous le nom de Klotz se cache en fait le romancier Patrick Cauvin, l'auteur du célèbre "E= mc² mon amour".
Voilà, j'attends avec impatience la suite de cette série pour statuer définitivement sur son sort.
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Rhâ-Gnagna
Plus adulte que la Rubrique-à-Brac, moins psychanalytique que Rhââ Lovely et surtout plus drôle et plus dense à mes yeux. Beaucoup de bonnes idées et la plupart des gags sont très sympas et bien marrants. Le combat entre Super Dupont et Bruce Lee en particulier est une histoire culte pour moi qui adore son second degré et son autodérision.
La Ribambelle
Bon, la Ribambelle vise un public jeune, mais c'est une série vraiment sympa et drôle. On y retrouve la touche de Roba, son humour qui est très bon et ici un peu plus adulte que pour Boule et Bill. Ces histoires d'aventure d'une bande de jeunes me font un peu penser aux livres jeunesse de Hitchcock avec cette bande de jeunes qui se réunissent dans un dépotoir et ont piégé tout leur repaire contre les intrus, ou alors ça ressemble aussi au Club des 5 mais en bien plus marrant. Une Bd fraiche, sympa, amusante et pas prise de tête.
Le Rêve du requin
J'ai lu cette BD alors que je devais être trop jeune, il faut croire. J'en ai gardé une impression de malaise, de violence exagérée et inutile. C'est noir, c'est brutal, les êtres humains n'ont aucune valeur dans cette BD. Alors ça se veut peut-être réaliste, mais je trouve que ce n'était pas fantastique de mettre ça en BD, d'autant que le scénario ne m'a franchement pas intéressé.
Le réducteur de vitesse
Une histoire pas mal, originale et toute en ambiance. On s'imprègne assez facilement de cet univers clos qu'est le cuirassé et de la vie à son bord. La descente dans ses entrailles est prenante. Mais dans l'ensemble, je n'ai pas franchement accroché à l'idée même du scénario. Je ne comprends pas aisément le but recherché par l'auteur quand il a écrit cette histoire, et autant j'accrochais bien tout du long, autant une fois fini de lire, je suis resté sur une idée de "oui, et après ?... quel interêt à tout ça ?".
Raymond Calbuth
J'aime beaucoup cet humour. "Raymond Calbuth est responsable des Affaires Etrangères, tandis que sa femme est responsable des Affaires Intérieures au couple, et plus particulièrement de tout ce qui est ménage, etc..." Raymond et sa femme sont particulièrement beaufs, et pourtant ils s'aiment. Raymond a de grandes ambitions, des idées de grandeur, de voyage, mais jamais plus loin que le pas de la porte : le globe terrestre permet de voyager suffisamment loin en pensées, non ? Bref, je lis un album de Raymond Calbuth avec beaucoup de plaisir et je rigole bien souvent. Mais à l'inverse, ma femme n'aime pas du tout. Elle trouve ça particulièrement phallocrate et son féminisme est heurté par le comportement de Raymond avec sa femme et la soumission de celle-ci. Il est possible alors que ce soit en tant qu'homme que cette BD me fasse rire, même si je vois bien que le message n'y est pas misogyne du tout et qu'au contraire Raymond Calbuth y est le plus ridicule, mais est-ce que pour autant ça peut plaire aux femmes ?
Radada
Ce n'est pas vraiment mon genre d'humour mais ça reste divertissant. Gras, lourd, gore, violent et assez répétitif, je dois dire que je n'ai jamais vraiment ri mais le sourire est souvent présent. Le public de cette série est pour moi résolument adolescent, ou alors l'adulte qui ne veut surtout pas se prendre la tête et s'amuse de gags trash, un peu bourrins et souvent politiquement incorrects. Je n'accroche pas vraiment mais je ne crache pas sur une ou deux histoires de la série par-ci par-là.
Ric Hochet
Cette série me laisse une impression mitigée. La plupart des histoires ne sont pas trop mal, et je me souviens en avoir lu la majorité avec un certain intérêt. Mais presque à chaque fois, à la fin de chaque tome, la résolution de l'enquête, laisse pour moi à désirer. Tout du long, on sent l'incohérence : des gens disparaissent comme ça, se retrouvent prisonniers sans raison et sans réagir... On sent en permanence la facilité scénaristique, les Deus Ex Machina. Pour augmenter le suspens, pour augmenter le mystère, on prend des raccourcis, on interdit aux personnages d'approfondir un sujet qui devrait pourtant s'expliquer facilement s'ils prenaient la peine de bien regarder. Ric Hochet, c'est pour moi un série où le mystère est artificiel, où j'enrage de voir les personnages se laisser bercer par les événements jusqu'à la fin où paf, ils découvrent enfin le pot aux roses. En outre, en parlant des personnages, ils sont d'un naïf et d'un classique, c'en est énervant. Bref, une série d'un autre âge qui n'a pas su évoluer à mes yeux.
Robin Dubois
Bof... Je trouve l'humour répétitif et pas vraiment drôle. C'est un peu le style gag de la tarte à la crême, l'humour franco-belge gros nez sans finesse. Bref, même si j'apprécie assez le dessin et les personnages, je ne considère pas cette série comme vraiment bonne et drôle.
La Rose de Jéricho
J'aime bien le dessin un peu style art déco de cette BD. Par contre, j'ai beaucoup plus de mal avec les couleurs que je trouve mièvres et plutôt moches en fait. En ce qui concerne le scénario, je l'ai trouvé fouillis et pas vraiment captivant. D'une part, je n'ai pas été séduit par l'histoire "courante" de cette BD, les personnages et leurs relations, etc... Mais surtout, c'est la fin qui m'a laissé sur le carreau. Je l'ai trouvée confuse, incompréhensible et... inintéressante. Bon, globalement, et si je veux être vraiment objectif, je dois avouer qu'à part la fin, le reste de l'histoire et du scénario est plutôt pas mal, dans le sens où c'est bien fait, et que d'autres que moi peuvent aimer. Bref, une série que j'ai lue mais que personnellement j'ai assez vite oublié ensuite.
Bellagamba
Bellagamba, fondamentalement, c'est un peu le nouveau Ric Hochet, il résout des enquêtes matinées d'étrange, à la lisière du fantastique et de la science-fiction et les résout toujours de manière rationnelle. Heureusement, l'analogie s'arrête là, car Bellagamba, c'est aussi beaucoup plus moderne que Ric Hochet. D'abord il est sexué, et de manière outrancière : sa compagne Véronique, au désir sexuel démesuré, trouve toujours au fil des albums de quoi raviver la sexualité de son couple ("Et dans le sacré coeur, on l'a jamais fait?"), c'est autre chose que la nièce niaise du gros commissaire dans Ric Hochet! Les enquêtes en elles-mêmes partent toujours de thèmes éculés : maison hantée, extra-terrestres... pour les décliner de manière originale. J'avoue que le premier tome m'a laissé un peu sur ma faim, la résolution de l'intrigue manquait d'éclat. Le deuxième tome m'a en revanche bien amusé. Le dessin de Cabanes est très beau. On sent une nette évolution entre le tome 1 et la tome 2. Une évolution ni heureuse ni malheureuse en soi, mais on sent que Cabanes est tenté par un trait plus réaliste. Pour la petite histoire, sachez que sous le nom de Klotz se cache en fait le romancier Patrick Cauvin, l'auteur du célèbre "E= mc² mon amour". Voilà, j'attends avec impatience la suite de cette série pour statuer définitivement sur son sort.