C'était un 2 ou un 4 mais pas un 3.
"Agadamgorodok" laisse un parfum d'inachevé, d'entraperçu, de vision fugitive, brève. Les personnages n'ont pas de réelle profondeur, et pourtant on apprend à les connaître, comme ça, juste en voyant leur quotidien.
L'histoire a quelques senteurs politiques, avec quelques allusions, mais à dire vrai cela m'a passé loin au-dessus de la tête.
Le dessin, très clair, limpide, bénéficie d'une mise en couleur... lumineuse. Son graphisme varie pour les scènes de rêves ou de récit, et reste absolument superbe.
L'histoire, donc, est un morceau de la vie de quelques personnes. Jules, personnage un peu simple, qui n'aspire à rien, sinon la tranquillité, et un peu de bonheur sous la forme d'un joli ange blond. Feodor Feodorovitch, son "tuteur", amoureux des livres. Le gros méchant, qui contrôle la ville et s'amuse à liquider les gens qu'il n'aime pas de façon "ludique" (comme le "brise-glace" : mettez les pieds d'une personne dans une bassine de béton, attendez que ça prenne, lâchez le tout depuis un hélicoptère au milieu d'un lac gelé, et regardez la jolie gerbe d'eau...).
L'histoire que créé la rencontre de ces personnages est sombre. D'une noirceur absolue, de celles qu'aucune lueur d'espoir ne vient adoucir. Et malgré cela, ou peut-être bien à cause de cela, "Agadamgorodok" est très beau, et vaut largement la peine d'être lu.
Ouh là là, que c'est mauvais ! Et pourtant on m'en a parlé de "Ghost in the shell". Personnellement, je n'ai pas vu le film (enfin je dois l'avoir par là), mais j'espère que c'est mieux que le manga. En même temps c'est pas trop difficile. Quelle lourdeur, oh mon dieu. Un scénario dont on comprend vaguement ce qui se passe, mais alors le truc ultime : l'auteur peut pas s'empêcher de coller ses petits commentaires en bas de page, en train de se justifier ou de faire le parallèle entre son manga et la réalité. Ca casse le rythme, si bien que j'ai eu du mal à finir le premier tome (ah oui, quand même j'en ai lu un en entier), et que le deuxième m'est tombé des mains, comme diraient certains.
Bref, j'ai pas aimé.
Première chose qu'on remarque : le dessin aux couleurs vives, avec des personnages difformes style enfantin.
Mais après ça on ne comprend pas trop le fil de l'histoire. Un artiste un peu à l'ouest qui cherche une espèce de modèle ultime (une femme coupée en deux) pendant 2 tomes. D'ailleurs il faut arriver à la fin du 2ème pour comprendre les événements du début du premier. Finalement le dessin est enfantin mais certaines scènes sont plutôt limites, genre un mec coupé en 2 dans une baignoire.
Disons 2.5.
Je vais être moins sévère que The Patrick. Je l'ai trouvé pas trop mal ce récit. L'arrivée des kidnappers, une espèce de petite intrigue pas mal menée, même si, il est vrai, c'est pas tout à fait plausible.
Une illustration jolie, une palette de couleurs chaudes comme je les aime.
Une Bd qui ne marquera peut-être pas l'histoire de la Bd, mais qui se laisse gentiment lire...
Pourtant fan de l'oeuvre de Sokal, là j'avoue ne pas avoir accroché à l'histoire légèrement "cousue de fils blancs".
Une impression de déjà lu quelque part qui gâche le plaisir de lecture ...
Malgré une illustration très belle, loin des canardos mais tout aussi expressive ...
Dommage ...
C'est une bande dessinée coup de coeur, qui vous transporte dans le monde d'un vieux briscard qui vit encore à l'africaine ...
Pour moi une bonne histoire qui m'a surtout touchée par le "style graphique" si spécial et des couleurs superbes.
Je l'avoue côté scénario quelques faiblesses dues obligatoirement au format One Shot qui limite le développement de l'histoire, on aurait aimé en savoir plus sur le mystérieux trésor et surtout le passé d'Eugène en Afrique.
ATTENTION, cette BD ne se déroule donc pas en Afrique (du moins très peu) ...
Un achat coup de coeur comme je le dis donc qui satisfera tout les passionnés d'Afrique et de belles histoires...
La couverture, le titre et le petit texte au dos (recopié par le posteur de cette série sur la fiche technique) attirent vraiment le regard.
Malheureusement, cette BD n'est pas à la heuteur de ces promesses. Elle est pas mal, sans plus. La suite relèvera peut-être le niveau ?
Le dessin est pas mal, un peu maladroit mais sympathique, et les couleurs faites à l'ordi vont assez bien.
Le scénar est quant à lui hyper classique, mais on le suit quand même sans trop de problèmes, ne se demandant même pas où tout cela va nous mener, puisque c'est dit en première page. J'ai surtout été déçue à la dernière page, quand je me suis rendue compte qu'il ne s'était toujours (presque) rien passé.
Il y a un peu trop de dialogues "pour ne rien dire" (on a l'impression que les personnages ne savent pas se taire, il faut que toute case ait une bulle, même si ça ne change rien), ce qui ne gache pas le dessin mais donne parfois des scènes qui "ne sonnent pas juste", où on se serait attendu à un peu de silence.
Malgré tout, c'est un album agréable à lire, que je suivrai surement.
Un manga one-shot, voilà qui est assez rare pour le signaler !
Difficile et délicat, le sujet traité le démarque de l'immense majorité de ce qui se fait en manga. Spécial également, le traitement de l'histoire, ou plutôt du thème. Déjà le dessin ne me plaît qu'à moitié : les visages ont tendance à se ressembler, et sont parfois assez laids (personnages féminins surtout)... et l'utilisation occasionnelle de trames de fond flashantes et d'assez mauvais goût ne relève pas forcément cette impression.
L'histoire par contre, laisse la part belle aux réflexions et sentiments du héros, tiraillé entre plusieurs positions, un peu perdu entre son éducation, son amour pour la patrie, sa famille, les sentiments des gens envers lui, fierté, pitié, reconnaissance, tristesse, incompréhension... De ce fait, le découpage en chapitres est un peu artificiel. Le ton globalement mélancolique, par contre, ne l'est pas, et nous imprègne peu à peu au fur et à mesure de la lecture, jusqu'à la fin, assez poignante.
Loin d'être une réflexion approfondie sur le destin de ces jeunes pilotes qui se sont sacrifiés, "Tsubasa" a cependant pour lui de montrer différents points de vue, de montrer qu'ils existaient à l'époque et que ces "kamikazes" qui ont inspiré la peur, le respect, qu'on a pu croire fous, aveugles ou d'un courage extrême, étaient finalement des hommes.
Holalaaa, quel geignard ce super héros !
Je sais que c'est ce que la "plèbe" reproche justement au surfer d'argent, et qu'il faudrait passer outre cela pour justement apprécier ce héros de Stan Lee et Jack Kirby, mais non là, je n'y arrive pas.
J'avais été assez séduit par la version de Moebius du Surfer, même si le personnage en lui-même n'était pas exceptionnel. Mais disons qu'il attisait ma curiosité.
Mais dans ces BDs dessinées par Buscema, on retrouve le pire du Surfer. Il est en permanence en train de prendre des poses de grand tragédien antique, il papote sans arrêt tout haut en alignant à tout bout de champs les "oh, que le monde est cruel", "pourquoi moi ?", "qu'ai-je fait pour mériter cela ?", "je suis un incompris" etc etc etc... Alors, un peu, ça va, mais de ça à chaque case, chaque page, chaque histoire : pffff... A côté de ça, la satire du Surfer d'Argent faite par Gotlib dans un Rhââ Lovely semble en fait ne rien exagérer du tout et montrer exactement le personnage tel qu'il est.
Les scénarios sont complètement naïfs, débordant de messages mielleux et moralisateurs. Les dialogues sont ridicules. L'action est pitoyable (et un coup de rayon cosmique par-ci, un coup de rayon cosmique par-là).
Alors, au départ, on se marre, on se dit que c'est trop ridicule, ce doit être fait exprès. On prend ça au second degré. Mais ça continue, ça empire, ça insiste... Ca devient tellement lourd qu'on ne rigole plus du tout au bout d'un temps.
Et comme le dessin n'est pas exceptionnel, voire parfois vraiment moche (les planètes aux couleurs de boules de Noel en papier peint derrière le surfer, c'est ridicule), il n'y a pas grand chose à tirer de cette BD, même pour quelqu'un comme moi curieux de savoir qui était vraiment le super-héros appelé Surfer d'Argent.
J'ai beaucoup apprécié ce récit, différent de mes lectures habituelles.
L'histoire de cet homme est surpenante, comme sa passion pour les palmiers.
Les dessins sont très beaux, le style est personnel et agréable.
Une lecture vivement conseillée.
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Agadamgorodok
C'était un 2 ou un 4 mais pas un 3. "Agadamgorodok" laisse un parfum d'inachevé, d'entraperçu, de vision fugitive, brève. Les personnages n'ont pas de réelle profondeur, et pourtant on apprend à les connaître, comme ça, juste en voyant leur quotidien. L'histoire a quelques senteurs politiques, avec quelques allusions, mais à dire vrai cela m'a passé loin au-dessus de la tête. Le dessin, très clair, limpide, bénéficie d'une mise en couleur... lumineuse. Son graphisme varie pour les scènes de rêves ou de récit, et reste absolument superbe. L'histoire, donc, est un morceau de la vie de quelques personnes. Jules, personnage un peu simple, qui n'aspire à rien, sinon la tranquillité, et un peu de bonheur sous la forme d'un joli ange blond. Feodor Feodorovitch, son "tuteur", amoureux des livres. Le gros méchant, qui contrôle la ville et s'amuse à liquider les gens qu'il n'aime pas de façon "ludique" (comme le "brise-glace" : mettez les pieds d'une personne dans une bassine de béton, attendez que ça prenne, lâchez le tout depuis un hélicoptère au milieu d'un lac gelé, et regardez la jolie gerbe d'eau...). L'histoire que créé la rencontre de ces personnages est sombre. D'une noirceur absolue, de celles qu'aucune lueur d'espoir ne vient adoucir. Et malgré cela, ou peut-être bien à cause de cela, "Agadamgorodok" est très beau, et vaut largement la peine d'être lu.
The Ghost in the shell
Ouh là là, que c'est mauvais ! Et pourtant on m'en a parlé de "Ghost in the shell". Personnellement, je n'ai pas vu le film (enfin je dois l'avoir par là), mais j'espère que c'est mieux que le manga. En même temps c'est pas trop difficile. Quelle lourdeur, oh mon dieu. Un scénario dont on comprend vaguement ce qui se passe, mais alors le truc ultime : l'auteur peut pas s'empêcher de coller ses petits commentaires en bas de page, en train de se justifier ou de faire le parallèle entre son manga et la réalité. Ca casse le rythme, si bien que j'ai eu du mal à finir le premier tome (ah oui, quand même j'en ai lu un en entier), et que le deuxième m'est tombé des mains, comme diraient certains. Bref, j'ai pas aimé.
La Collection d'anatomies
Première chose qu'on remarque : le dessin aux couleurs vives, avec des personnages difformes style enfantin. Mais après ça on ne comprend pas trop le fil de l'histoire. Un artiste un peu à l'ouest qui cherche une espèce de modèle ultime (une femme coupée en deux) pendant 2 tomes. D'ailleurs il faut arriver à la fin du 2ème pour comprendre les événements du début du premier. Finalement le dessin est enfantin mais certaines scènes sont plutôt limites, genre un mec coupé en 2 dans une baignoire. Disons 2.5.
Coeur Tam-Tam
Je vais être moins sévère que The Patrick. Je l'ai trouvé pas trop mal ce récit. L'arrivée des kidnappers, une espèce de petite intrigue pas mal menée, même si, il est vrai, c'est pas tout à fait plausible. Une illustration jolie, une palette de couleurs chaudes comme je les aime. Une Bd qui ne marquera peut-être pas l'histoire de la Bd, mais qui se laisse gentiment lire...
Le vieil homme qui n’écrivait plus
Pourtant fan de l'oeuvre de Sokal, là j'avoue ne pas avoir accroché à l'histoire légèrement "cousue de fils blancs". Une impression de déjà lu quelque part qui gâche le plaisir de lecture ... Malgré une illustration très belle, loin des canardos mais tout aussi expressive ... Dommage ...
Coeur Tam-Tam
C'est une bande dessinée coup de coeur, qui vous transporte dans le monde d'un vieux briscard qui vit encore à l'africaine ... Pour moi une bonne histoire qui m'a surtout touchée par le "style graphique" si spécial et des couleurs superbes. Je l'avoue côté scénario quelques faiblesses dues obligatoirement au format One Shot qui limite le développement de l'histoire, on aurait aimé en savoir plus sur le mystérieux trésor et surtout le passé d'Eugène en Afrique. ATTENTION, cette BD ne se déroule donc pas en Afrique (du moins très peu) ... Un achat coup de coeur comme je le dis donc qui satisfera tout les passionnés d'Afrique et de belles histoires...
L'Enfant de l'Orage
La couverture, le titre et le petit texte au dos (recopié par le posteur de cette série sur la fiche technique) attirent vraiment le regard. Malheureusement, cette BD n'est pas à la heuteur de ces promesses. Elle est pas mal, sans plus. La suite relèvera peut-être le niveau ? Le dessin est pas mal, un peu maladroit mais sympathique, et les couleurs faites à l'ordi vont assez bien. Le scénar est quant à lui hyper classique, mais on le suit quand même sans trop de problèmes, ne se demandant même pas où tout cela va nous mener, puisque c'est dit en première page. J'ai surtout été déçue à la dernière page, quand je me suis rendue compte qu'il ne s'était toujours (presque) rien passé. Il y a un peu trop de dialogues "pour ne rien dire" (on a l'impression que les personnages ne savent pas se taire, il faut que toute case ait une bulle, même si ça ne change rien), ce qui ne gache pas le dessin mais donne parfois des scènes qui "ne sonnent pas juste", où on se serait attendu à un peu de silence. Malgré tout, c'est un album agréable à lire, que je suivrai surement.
Tsubasa
Un manga one-shot, voilà qui est assez rare pour le signaler ! Difficile et délicat, le sujet traité le démarque de l'immense majorité de ce qui se fait en manga. Spécial également, le traitement de l'histoire, ou plutôt du thème. Déjà le dessin ne me plaît qu'à moitié : les visages ont tendance à se ressembler, et sont parfois assez laids (personnages féminins surtout)... et l'utilisation occasionnelle de trames de fond flashantes et d'assez mauvais goût ne relève pas forcément cette impression. L'histoire par contre, laisse la part belle aux réflexions et sentiments du héros, tiraillé entre plusieurs positions, un peu perdu entre son éducation, son amour pour la patrie, sa famille, les sentiments des gens envers lui, fierté, pitié, reconnaissance, tristesse, incompréhension... De ce fait, le découpage en chapitres est un peu artificiel. Le ton globalement mélancolique, par contre, ne l'est pas, et nous imprègne peu à peu au fur et à mesure de la lecture, jusqu'à la fin, assez poignante. Loin d'être une réflexion approfondie sur le destin de ces jeunes pilotes qui se sont sacrifiés, "Tsubasa" a cependant pour lui de montrer différents points de vue, de montrer qu'ils existaient à l'époque et que ces "kamikazes" qui ont inspiré la peur, le respect, qu'on a pu croire fous, aveugles ou d'un courage extrême, étaient finalement des hommes.
Silver Surfer - L'intégrale (Le Surfer d'Argent)
Holalaaa, quel geignard ce super héros ! Je sais que c'est ce que la "plèbe" reproche justement au surfer d'argent, et qu'il faudrait passer outre cela pour justement apprécier ce héros de Stan Lee et Jack Kirby, mais non là, je n'y arrive pas. J'avais été assez séduit par la version de Moebius du Surfer, même si le personnage en lui-même n'était pas exceptionnel. Mais disons qu'il attisait ma curiosité. Mais dans ces BDs dessinées par Buscema, on retrouve le pire du Surfer. Il est en permanence en train de prendre des poses de grand tragédien antique, il papote sans arrêt tout haut en alignant à tout bout de champs les "oh, que le monde est cruel", "pourquoi moi ?", "qu'ai-je fait pour mériter cela ?", "je suis un incompris" etc etc etc... Alors, un peu, ça va, mais de ça à chaque case, chaque page, chaque histoire : pffff... A côté de ça, la satire du Surfer d'Argent faite par Gotlib dans un Rhââ Lovely semble en fait ne rien exagérer du tout et montrer exactement le personnage tel qu'il est. Les scénarios sont complètement naïfs, débordant de messages mielleux et moralisateurs. Les dialogues sont ridicules. L'action est pitoyable (et un coup de rayon cosmique par-ci, un coup de rayon cosmique par-là). Alors, au départ, on se marre, on se dit que c'est trop ridicule, ce doit être fait exprès. On prend ça au second degré. Mais ça continue, ça empire, ça insiste... Ca devient tellement lourd qu'on ne rigole plus du tout au bout d'un temps. Et comme le dessin n'est pas exceptionnel, voire parfois vraiment moche (les planètes aux couleurs de boules de Noel en papier peint derrière le surfer, c'est ridicule), il n'y a pas grand chose à tirer de cette BD, même pour quelqu'un comme moi curieux de savoir qui était vraiment le super-héros appelé Surfer d'Argent.
Coeur Tam-Tam
J'ai beaucoup apprécié ce récit, différent de mes lectures habituelles. L'histoire de cet homme est surpenante, comme sa passion pour les palmiers. Les dessins sont très beaux, le style est personnel et agréable. Une lecture vivement conseillée.