Pas grand chose à dire de cette bd, ça fait rarement rire et on peut pas se rattraper avec le dessin. A part le roi des raviolis, on peut passer... Je mets pas 1/5 car j'ai réussi à finir sans m'énerver.
Bon je suis étudiant donc je n'ai peut être pas saisi toutes les subtilités de Dilbert... J'ai trouvé ça indigeste, monotone, le dessin n'étant pas la priorité de l'auteur, n'en parlons pas... Bref j'ai été beaucop déçu parce que j'aimais bien la série télé qui passait sur Canal+. Il y a une ou deux bonnes choses, mais les chercher dans cette immensité ne vaut pas le coup, je pense.
Mais comment fait-il pour produire autant et tout gérer comme ça ?? En plus quand c'est tout bon comme cette série, c'est encore plus épatant. On y retrouve l'innocence du dessin, sa simplicité et sa fraîcheur, l'humour si typique de Trondheim, qui est à mon goût la meilleure des donjons ! Un sérieux coup de fouet pour le genre med-fan, mais je ne peux m'empêcher d'être inquiet pour la suite... En tout cas les premiers tomes sont excellents, à lire et à relire. Il a réussi à faire du neuf et de l'original dans de vieux pots, bravo !
Cet album apparaît très sympathique de par son dessin, qui survolé, rappelle par certains aspects les Shadocks. Et puis la couverture est très belle, et l'idée intéressante : une bestiole bizarroïde qui en rencontre une autre, qui font des enfants, qui se reproduisent à leur tour et ainsi de suite, j'avoue que cette idée me paraissait très oubapienne.
Lecture commencée, je me suis demandé où était l'"humour"... et puis un peu après s'il allait y avoir une gradation, une évolution, un fil directeur plus consistant qu'un simple enchaînement de générations, s'il fallait chercher un rapport entre les formes des parents et des enfants... et encore plus tard, si finalement l'intérêt de cet album n'était pas purement (et uniquement) graphique...
De fait, c'est plat. Très plat. Que même la Belgique à côté est un riant paysage de montagnes pas encore érodées... Les générations s'enchaînent, juste comme ça, et le fil directeur, déjà mince, est parfois vraiment très ténu. Au bout de 20 pages on en a marre, mais ça continue dans la même veine, inexorablement pendant 90 planches, sans rien de nouveau.
Et le dessin qui paraît sympa, j'y suis devenu presque allergique. Il me rappelle littéralement les cliparts qu'on peut trouver ça et là pour Word, des dessins sans aucun relief, plats, froids... techniques.
Bref, je ne vois aucun intérêt à cet album, et je regrette lourdement son prix : 16 euros, argl... :(
"Gunnm" est tout simplement magnifique tant sur le plan du scénario que sur le plan graphique, même s'il est vrai que le dernier tome est un peu décevant.
Je conseille ce manga à tous les amateurs de ce format et à ceux qui sont allergiques au manga, car ils pourraient bien changer d'avis et découvrir cet univers.
Du Molière en bd, voila qui change ! Et en plus c'est une véritable réussite ! On retrouve tout : le style théâtral, les alexandrins, l'humour farce, des dialogues jubilatoires, des personnages de la Comedia... Et la sauce prend très très bien ! On retrouve un peu de Voltaire aussi je trouve, et ça donne une bd légère avec un excellent dessin. Les personnages animaux sont bien insérés et leur animalité qui ressort parfois est vraiment bien pensée. Le trait est souple et agile comme nos héros. Le scénario est délicieux en reprenant de vieilles recettes et en les mettant au goût du jour. Tous les personnages sont attachants et on aime les suivre dans leurs aventures comiques.
Une vraie révolution dans la bd, preuve supplémentaire que la bd aussi peut être intelligente. A lire absolument et surtout ne pas s'arrêter à la forme animale de nos héros, au contraire cela accentue le côté farce. Génial, j'adore !!! Et dire qu'au début, n'ayant lu que le tome 2 je trouvais ça chiant... Je ne saurais dire tout le bien que je pense de cette série. Lisez la et relisez la ! Une perle.
Commençons par le dessin (j'allais dire l'essentiel), c'est du Hermann pur jus. Autant dire du tout bon. Cadrage, mouvement, mise en action des personnages, tout est maîtrisé... Bon, après, on peut toujours déplorer les visages Hermannien, qui à la longue finissent tous par se ressembler. Mais, c'est aussi ça la griffe des grands ; créer un style tout de suite identifiable.
Quant à l'histoire, elle tient mal dans un one shot de 50 pages à peine. C'est un argument qui revient souvent dans mes avis concernant ce type de bd, mais les choses arrivent trop vite. L'ambiance n'a pas vraiment le temps de s'installer. Sinon, c'est plaisant comme scénario. Même si le fils Hermann a louché de manière très, trèés, très importante du côté du "True Romance" de Tony scott. Ceux qui connaissent le film et qui ont lu la bd comprendront certainement de quoi je parle.
Au final, le détour par cette plage vaut le coup.
Il arrive qu'au milieu de la surproduction de séries interchangeables et répétitives, Delcourt ose traduire certains auteurs américains qui ont un talent fou. Le talent de faire des histoires originales, pleines de poésie sans être gnan gnan, pleines de tendresse sans être pénibles. Savoir trouver le juste milieu pour intéresser un public tout en parlant d'amitié, de risques, du temps qui passe, des souvenirs d'enfance... Savoir garder un oeil un peu attendri et parfois mélancolique - mais jamais amer - sur ce qu'on a fait, sur le lendemain qu'on devine, sur le surlendemain qu'on espère.
C'est frais, c'est plein de petits bonheurs prêts à l'emploi, sans prise de tête, sans esbrouffe, sans chercher à épater la galerie. C'est vivant, c'est vrai.
Les dessins sont également superbes, un noir et blanc qui apporte juste ce qu'il faut de mélancolie pour pleinement apprécier ce moment de tendresse.
Ca fait du bien. :)
Depuis ma jeunesse, j'ai de nombreuses BDs des Gorilles dans ma bibliothèque. Mais je dois avouer ne jamais les avoir lues avec plaisir. Tout au plus pour passer le temps.
Les scénarios sont quasiment toujours identiques : nos deux compères se retrouvent dans une situation rocambolesque, ça tire à la mitrailleuse à droite à gauche, ça se bastonne, et ça finit presque immanquablement avec tout le monde à l'hôpital psychiatrique ou sous un pont avec les clochards.
Bref, de la BD à la chaine, répétitive, même pas drôle et sans saveur.
Quelques épisodes néanmoins sont assez agréables, mais noyés dans la masse, ça ne rattrape pas grand chose.
J'ai maintenant un avis un peu mitigé sur Serre.
Quand j'étais jeune, je trouvais ça vraiment très bien. C'était drôle, caustique, bien dessiné.
Maintenant, j'en ai relu récemment, et... Finalement, je ne trouve pas ça si drôle que ça. Et surtout, je trouve qu'un album se lit à toute vitesse. Non pas que ce soit vide, mais chaque gag est tellement rapidement assimilé et les pages sont tournées tellement vite (d'autant qu'il n'y en a pas foule), qu'on ferme très vite l'album et comme ça ne s'oublie pas vite, on ne le réouvre pas avant un moment.
Néanmoins, j'aime l'acidité et la justesse de l'humour noir présent dans certaines pages.
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Patacrèpe et Couillalère
Pas grand chose à dire de cette bd, ça fait rarement rire et on peut pas se rattraper avec le dessin. A part le roi des raviolis, on peut passer... Je mets pas 1/5 car j'ai réussi à finir sans m'énerver.
Dilbert
Bon je suis étudiant donc je n'ai peut être pas saisi toutes les subtilités de Dilbert... J'ai trouvé ça indigeste, monotone, le dessin n'étant pas la priorité de l'auteur, n'en parlons pas... Bref j'ai été beaucop déçu parce que j'aimais bien la série télé qui passait sur Canal+. Il y a une ou deux bonnes choses, mais les chercher dans cette immensité ne vaut pas le coup, je pense.
Donjon Zenith
Mais comment fait-il pour produire autant et tout gérer comme ça ?? En plus quand c'est tout bon comme cette série, c'est encore plus épatant. On y retrouve l'innocence du dessin, sa simplicité et sa fraîcheur, l'humour si typique de Trondheim, qui est à mon goût la meilleure des donjons ! Un sérieux coup de fouet pour le genre med-fan, mais je ne peux m'empêcher d'être inquiet pour la suite... En tout cas les premiers tomes sont excellents, à lire et à relire. Il a réussi à faire du neuf et de l'original dans de vieux pots, bravo !
L'Arbre génialogique
Cet album apparaît très sympathique de par son dessin, qui survolé, rappelle par certains aspects les Shadocks. Et puis la couverture est très belle, et l'idée intéressante : une bestiole bizarroïde qui en rencontre une autre, qui font des enfants, qui se reproduisent à leur tour et ainsi de suite, j'avoue que cette idée me paraissait très oubapienne. Lecture commencée, je me suis demandé où était l'"humour"... et puis un peu après s'il allait y avoir une gradation, une évolution, un fil directeur plus consistant qu'un simple enchaînement de générations, s'il fallait chercher un rapport entre les formes des parents et des enfants... et encore plus tard, si finalement l'intérêt de cet album n'était pas purement (et uniquement) graphique... De fait, c'est plat. Très plat. Que même la Belgique à côté est un riant paysage de montagnes pas encore érodées... Les générations s'enchaînent, juste comme ça, et le fil directeur, déjà mince, est parfois vraiment très ténu. Au bout de 20 pages on en a marre, mais ça continue dans la même veine, inexorablement pendant 90 planches, sans rien de nouveau. Et le dessin qui paraît sympa, j'y suis devenu presque allergique. Il me rappelle littéralement les cliparts qu'on peut trouver ça et là pour Word, des dessins sans aucun relief, plats, froids... techniques. Bref, je ne vois aucun intérêt à cet album, et je regrette lourdement son prix : 16 euros, argl... :(
Gunnm
"Gunnm" est tout simplement magnifique tant sur le plan du scénario que sur le plan graphique, même s'il est vrai que le dernier tome est un peu décevant. Je conseille ce manga à tous les amateurs de ce format et à ceux qui sont allergiques au manga, car ils pourraient bien changer d'avis et découvrir cet univers.
De Cape et de Crocs
Du Molière en bd, voila qui change ! Et en plus c'est une véritable réussite ! On retrouve tout : le style théâtral, les alexandrins, l'humour farce, des dialogues jubilatoires, des personnages de la Comedia... Et la sauce prend très très bien ! On retrouve un peu de Voltaire aussi je trouve, et ça donne une bd légère avec un excellent dessin. Les personnages animaux sont bien insérés et leur animalité qui ressort parfois est vraiment bien pensée. Le trait est souple et agile comme nos héros. Le scénario est délicieux en reprenant de vieilles recettes et en les mettant au goût du jour. Tous les personnages sont attachants et on aime les suivre dans leurs aventures comiques. Une vraie révolution dans la bd, preuve supplémentaire que la bd aussi peut être intelligente. A lire absolument et surtout ne pas s'arrêter à la forme animale de nos héros, au contraire cela accentue le côté farce. Génial, j'adore !!! Et dire qu'au début, n'ayant lu que le tome 2 je trouvais ça chiant... Je ne saurais dire tout le bien que je pense de cette série. Lisez la et relisez la ! Une perle.
Manhattan Beach 1957
Commençons par le dessin (j'allais dire l'essentiel), c'est du Hermann pur jus. Autant dire du tout bon. Cadrage, mouvement, mise en action des personnages, tout est maîtrisé... Bon, après, on peut toujours déplorer les visages Hermannien, qui à la longue finissent tous par se ressembler. Mais, c'est aussi ça la griffe des grands ; créer un style tout de suite identifiable. Quant à l'histoire, elle tient mal dans un one shot de 50 pages à peine. C'est un argument qui revient souvent dans mes avis concernant ce type de bd, mais les choses arrivent trop vite. L'ambiance n'a pas vraiment le temps de s'installer. Sinon, c'est plaisant comme scénario. Même si le fils Hermann a louché de manière très, trèés, très importante du côté du "True Romance" de Tony scott. Ceux qui connaissent le film et qui ont lu la bd comprendront certainement de quoi je parle. Au final, le détour par cette plage vaut le coup.
Adieu Chunky Rice
Il arrive qu'au milieu de la surproduction de séries interchangeables et répétitives, Delcourt ose traduire certains auteurs américains qui ont un talent fou. Le talent de faire des histoires originales, pleines de poésie sans être gnan gnan, pleines de tendresse sans être pénibles. Savoir trouver le juste milieu pour intéresser un public tout en parlant d'amitié, de risques, du temps qui passe, des souvenirs d'enfance... Savoir garder un oeil un peu attendri et parfois mélancolique - mais jamais amer - sur ce qu'on a fait, sur le lendemain qu'on devine, sur le surlendemain qu'on espère. C'est frais, c'est plein de petits bonheurs prêts à l'emploi, sans prise de tête, sans esbrouffe, sans chercher à épater la galerie. C'est vivant, c'est vrai. Les dessins sont également superbes, un noir et blanc qui apporte juste ce qu'il faut de mélancolie pour pleinement apprécier ce moment de tendresse. Ca fait du bien. :)
Sammy
Depuis ma jeunesse, j'ai de nombreuses BDs des Gorilles dans ma bibliothèque. Mais je dois avouer ne jamais les avoir lues avec plaisir. Tout au plus pour passer le temps. Les scénarios sont quasiment toujours identiques : nos deux compères se retrouvent dans une situation rocambolesque, ça tire à la mitrailleuse à droite à gauche, ça se bastonne, et ça finit presque immanquablement avec tout le monde à l'hôpital psychiatrique ou sous un pont avec les clochards. Bref, de la BD à la chaine, répétitive, même pas drôle et sans saveur. Quelques épisodes néanmoins sont assez agréables, mais noyés dans la masse, ça ne rattrape pas grand chose.
Serre
J'ai maintenant un avis un peu mitigé sur Serre. Quand j'étais jeune, je trouvais ça vraiment très bien. C'était drôle, caustique, bien dessiné. Maintenant, j'en ai relu récemment, et... Finalement, je ne trouve pas ça si drôle que ça. Et surtout, je trouve qu'un album se lit à toute vitesse. Non pas que ce soit vide, mais chaque gag est tellement rapidement assimilé et les pages sont tournées tellement vite (d'autant qu'il n'y en a pas foule), qu'on ferme très vite l'album et comme ça ne s'oublie pas vite, on ne le réouvre pas avant un moment. Néanmoins, j'aime l'acidité et la justesse de l'humour noir présent dans certaines pages.