Si, comme moi, vous aimez la période du Moyen Age, alors vous apprécierez les nombreuses références aux us et coutumes de l'époque telles que les lois du système féodal, les départs en croisade, comment répudier sa femme, etc.
Ceci étant, c'est une série que j'ai lu, que j'ai appréciée, mais que je n'ai pas du tout envie de relire. Donc, à emprunter à un ami, à la bibliothèque (c'est une BD relativement connue) mais peut être pas à acheter, ou alors au bouquiniste.
Une série d'héroïc fantasy qui n'arrive pas à décoller. Les personnages sont ternes à mon goût, les scénarii un peu réchauffés, notamment les sauts dans le multivers, l'humour est un peu poussif. Pour couronner le tout, les albums sont plutôt chers. Seulement pour les inconditionnels du genre.
Pour moi, je n'irai pas jusqu'à la note BD culte, mais c'est vraiment bon tout de même. Beaucoup de BD de SF tournent autour d’évènements plus ou moins guerriers ou violents, de batailles inter cosmiques, d'extraterrestres plus ou moins humanoïdes etc...Ici, les mondes sont vraiment fouillés, l'innovation est présente à chaque page (un peu trop parfois), les personnages ne sont pas des super héros, mais des gens tout à fait communs. Enfin bref, une série très rafraîchissante et de plus tout à fait abordable d'un point de vue financier
Dans les premiers tomes, le héros débute, et la lecture est plutôt plaisante, puis au 7ème tome, on commence à sauver le monde à la James Bond. Franchement, on se demande ce que nous réserve la suite: une nouvelle série interminable et répétitive à la XIII?
Je ne saurais conseiller l'achat, surtout si vous avez déjà des séries du même genre comme XIII, déjà cité, IRS ou autre.
C'est pas inintéressant, mais bon, ça ressemble à une bonne série américaine dans la construction. Le héros semble traverser une aventure faite pour tenir dans un volume. Un fil conducteur relie les différents tomes. Mais on n'arrive pas à se passionner vraiment pour l'intrigue ou les personnages.
A lire à la bibliothèque
Après avoir vu de nombreux éloges je me suis jeté avidement sur cette série historique se situant à une période que j'apprécie. Mais voilà le courant n'est pas passé, je n'ai pas accroché...
Le fantastique m'a un peu ennuyé dans cette histoire où il y a un cruel manque d'explications : la Mort oui c'est gentil mais elle est pas très costaud, même ses serviteurs sont faibles. Je trouve que tout est un peu trop entremêlé et finalement on ne sait plus vraiment s'il s'agit d'une bd historique ou fantastique ou autre, il y a trop d'hésitations. C'est vrai que la mort a de la classe mais bon je trouve tout ça pas très original, un peu pâlichon. Une grosse déception scénaristique... La fin est peu convaincante : c'est un gros cliché avec un peu de bon ton pour faire bien ("non moi je préfère vivre !!" ouah super ça c'est du dialogue !!). Et puis tous ces personnages historiques qui se croisent me donnent parfois l'impression d'être là pour faire de la figuration, d'être des guest stars (une bd avec la participation amicale de M. Thiers, M. Hugo, du général Galliffet, du Maréchal Mac Mahon...). Pour finir sur le scénario, certes c'est bien documenté mais je préfère la Commune vue par Tardi : ici c'est une toile de fond, Tardi lui nous la fait sentir, elle résonne en nous.
Pour le dessin c'est plutôt pas mal, relativement fin et assez minutieux. On sent un travail de recherches derrière et c'est un plus pour la série. Les personnages principaux n'ont pas trop de "gueule", ils ressemblent à rien. Seules la Mort et ses fidèles ont un style intéressant.
Au final la recette n'a pas marché pour moi pourtant j'aime l'Histoire, et particulièrement la Commune, j'aime bien les séries historiques en général. Et là je n'avais pas plus envie que ça de découvrir la fin que j'avais plus ou moins prévue. Je suis donc déçu mais peut être est-ce parce que je m'attendais à beaucoup trop...
A priori peu fan des dessins de Tezuka (faut dire que 200 pages d'Astro, ça saoule vite), j'ai pourtant tenté de lire cet auteur dont on dit qu'il a inventé le genre, ce qui n'est pas rien. J'ai donc tenté l'aventure avec "Le Cratère".
Surprise, j'ai été entraînée très vite dans les histoires : moi qui aime le genre "nouvelles", j'ai été servie.
Du point de vue des scénarii, les histoires sont souvent très bien construites, c'est rare pour des nouvelles en BD, elles sont parfois brutales, abruptes, elles ont souvent une morale, mais celles qui n'en ont pas sont d'égale qualité.
Peut-être un bon début si l'on souhaite découvrir l'auteur. En effet, une nouvelle a cet avantage : si elle ne nous plaît pas, on peut la zapper et passer à la suivante (essayez un peu de faire ça avec Phénix !).
Album sans aucune prétention, le ton général y est quelque peu mélancolique et très frais. Divers petits souvenirs de l'auteur racontés partiellement et un peu pêle-mêle...
Alors bon, c'est assez plaisant à lire, mais pour ma part je n'y ai pas trouvé un grand intérêt et je ne le relirai pas.
Tiens, on dirait Edika... le dessin est très très proche, les histoires auraient parfois pu être pondues par un Edika en petite forme...
Ah non, pardon, c'est nettement plus mauvais. En fait, ce n'est pas drôle, c'est dégueulasse, trash, bref, je le trouve mauvais pour les mêmes raisons que mon prédécesseur a trouvé que c'était bien.
A vous de juger, quoi...
Larcenet... Un auteur étonnant qui confirme avec ce titre un pouvoir énorme pour une évocation sensible et profonde de la vie.
Plus encore que ses oeuvres récentes, j'ai adoré cet album, une perle autant sur le fond que sur la forme. Le dessin est magistral, sombre à souhait et qui se marie à la perfection avec un propos implacable. Car le ton employé est réellement superbe dans cet album. C'est puissant et angoissant à la fois, comme un cri au sortir d'un cauchemar en pleine nuit.
Profitant des heures du petit matin, lorsqu'on ignore si l'on rêve encore ou non, le narrateur se penche sur son passé, sur ses souvenirs. Les angoisses ressurgissent, à mi-chemin entre l'irréel et le présent.
Il est 7h38 et la cité se réveille peu à peu. La parenthèse se referme, la vie reprend...
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Les Aigles décapitées
Si, comme moi, vous aimez la période du Moyen Age, alors vous apprécierez les nombreuses références aux us et coutumes de l'époque telles que les lois du système féodal, les départs en croisade, comment répudier sa femme, etc. Ceci étant, c'est une série que j'ai lu, que j'ai appréciée, mais que je n'ai pas du tout envie de relire. Donc, à emprunter à un ami, à la bibliothèque (c'est une BD relativement connue) mais peut être pas à acheter, ou alors au bouquiniste.
Les Ailes du Phaéton
Une série d'héroïc fantasy qui n'arrive pas à décoller. Les personnages sont ternes à mon goût, les scénarii un peu réchauffés, notamment les sauts dans le multivers, l'humour est un peu poussif. Pour couronner le tout, les albums sont plutôt chers. Seulement pour les inconditionnels du genre.
Aldébaran
Pour moi, je n'irai pas jusqu'à la note BD culte, mais c'est vraiment bon tout de même. Beaucoup de BD de SF tournent autour d’évènements plus ou moins guerriers ou violents, de batailles inter cosmiques, d'extraterrestres plus ou moins humanoïdes etc...Ici, les mondes sont vraiment fouillés, l'innovation est présente à chaque page (un peu trop parfois), les personnages ne sont pas des super héros, mais des gens tout à fait communs. Enfin bref, une série très rafraîchissante et de plus tout à fait abordable d'un point de vue financier
Alpha
Dans les premiers tomes, le héros débute, et la lecture est plutôt plaisante, puis au 7ème tome, on commence à sauver le monde à la James Bond. Franchement, on se demande ce que nous réserve la suite: une nouvelle série interminable et répétitive à la XIII? Je ne saurais conseiller l'achat, surtout si vous avez déjà des séries du même genre comme XIII, déjà cité, IRS ou autre.
Alvin Norge
C'est pas inintéressant, mais bon, ça ressemble à une bonne série américaine dans la construction. Le héros semble traverser une aventure faite pour tenir dans un volume. Un fil conducteur relie les différents tomes. Mais on n'arrive pas à se passionner vraiment pour l'intrigue ou les personnages. A lire à la bibliothèque
Voleurs d'Empires
Après avoir vu de nombreux éloges je me suis jeté avidement sur cette série historique se situant à une période que j'apprécie. Mais voilà le courant n'est pas passé, je n'ai pas accroché... Le fantastique m'a un peu ennuyé dans cette histoire où il y a un cruel manque d'explications : la Mort oui c'est gentil mais elle est pas très costaud, même ses serviteurs sont faibles. Je trouve que tout est un peu trop entremêlé et finalement on ne sait plus vraiment s'il s'agit d'une bd historique ou fantastique ou autre, il y a trop d'hésitations. C'est vrai que la mort a de la classe mais bon je trouve tout ça pas très original, un peu pâlichon. Une grosse déception scénaristique... La fin est peu convaincante : c'est un gros cliché avec un peu de bon ton pour faire bien ("non moi je préfère vivre !!" ouah super ça c'est du dialogue !!). Et puis tous ces personnages historiques qui se croisent me donnent parfois l'impression d'être là pour faire de la figuration, d'être des guest stars (une bd avec la participation amicale de M. Thiers, M. Hugo, du général Galliffet, du Maréchal Mac Mahon...). Pour finir sur le scénario, certes c'est bien documenté mais je préfère la Commune vue par Tardi : ici c'est une toile de fond, Tardi lui nous la fait sentir, elle résonne en nous. Pour le dessin c'est plutôt pas mal, relativement fin et assez minutieux. On sent un travail de recherches derrière et c'est un plus pour la série. Les personnages principaux n'ont pas trop de "gueule", ils ressemblent à rien. Seules la Mort et ses fidèles ont un style intéressant. Au final la recette n'a pas marché pour moi pourtant j'aime l'Histoire, et particulièrement la Commune, j'aime bien les séries historiques en général. Et là je n'avais pas plus envie que ça de découvrir la fin que j'avais plus ou moins prévue. Je suis donc déçu mais peut être est-ce parce que je m'attendais à beaucoup trop...
Le Cratère
A priori peu fan des dessins de Tezuka (faut dire que 200 pages d'Astro, ça saoule vite), j'ai pourtant tenté de lire cet auteur dont on dit qu'il a inventé le genre, ce qui n'est pas rien. J'ai donc tenté l'aventure avec "Le Cratère". Surprise, j'ai été entraînée très vite dans les histoires : moi qui aime le genre "nouvelles", j'ai été servie. Du point de vue des scénarii, les histoires sont souvent très bien construites, c'est rare pour des nouvelles en BD, elles sont parfois brutales, abruptes, elles ont souvent une morale, mais celles qui n'en ont pas sont d'égale qualité. Peut-être un bon début si l'on souhaite découvrir l'auteur. En effet, une nouvelle a cet avantage : si elle ne nous plaît pas, on peut la zapper et passer à la suivante (essayez un peu de faire ça avec Phénix !).
Sentiers Battus
Album sans aucune prétention, le ton général y est quelque peu mélancolique et très frais. Divers petits souvenirs de l'auteur racontés partiellement et un peu pêle-mêle... Alors bon, c'est assez plaisant à lire, mais pour ma part je n'y ai pas trouvé un grand intérêt et je ne le relirai pas.
Les Crétins sont des abrutis
Tiens, on dirait Edika... le dessin est très très proche, les histoires auraient parfois pu être pondues par un Edika en petite forme... Ah non, pardon, c'est nettement plus mauvais. En fait, ce n'est pas drôle, c'est dégueulasse, trash, bref, je le trouve mauvais pour les mêmes raisons que mon prédécesseur a trouvé que c'était bien. A vous de juger, quoi...
Dallas Cowboy
Larcenet... Un auteur étonnant qui confirme avec ce titre un pouvoir énorme pour une évocation sensible et profonde de la vie. Plus encore que ses oeuvres récentes, j'ai adoré cet album, une perle autant sur le fond que sur la forme. Le dessin est magistral, sombre à souhait et qui se marie à la perfection avec un propos implacable. Car le ton employé est réellement superbe dans cet album. C'est puissant et angoissant à la fois, comme un cri au sortir d'un cauchemar en pleine nuit. Profitant des heures du petit matin, lorsqu'on ignore si l'on rêve encore ou non, le narrateur se penche sur son passé, sur ses souvenirs. Les angoisses ressurgissent, à mi-chemin entre l'irréel et le présent. Il est 7h38 et la cité se réveille peu à peu. La parenthèse se referme, la vie reprend...