Comme on pouvait s'y attendre, David B. s'est bien adapté au format exigeant de la collection "Patte de mouche". Il s'est en effet distingué sur des ouvrages comme Le cheval blême où la structure de son récit se compose de plusieurs histoires se rapprochant de la forme de la nouvelle.
Ici il signe un petit album dans la veine de ses autres productions : original à souhait, quelque part entre le rêve et la réalité, avec dans les rôles principaux la nuit et la mort.
Le scénario est mené sans temps mort, et surtout la chute est parfaitement conduite, intervenant après plusieurs pages au cours desquelles le tempo va crescendo.
Le dessin reconnaissable entre mille est bien du David B. avec cette impression de fausse naïveté en décalage total avec le propos allégorique et symbolique à la fois.
Franchement pour 3€ ce serait dommage de s'en priver !
Tronchet...
C'est grand, c'est très grand. Je n'ai jamais été un grand fan de cet auteur (bien que "Raymond Calbuth" me fasse quand même bien marrer) mais là, respect total. Si certains ne voient avec "Houppeland" qu'une petite comédie satirique sympa sur fond de réveillon enneigé, moi j'y vois plutôt un récit engagé, pertinent et décalé. J'adore notamment les attentat à la biscotte sans sel. Il parodie à merveille la societé actuelle, bourrée de principes et suivant le troupeaux sans réfléchir à ce qu'elle fait. Un régal! Niveau dessin, Tronchet se défonce totalement. Certes il reste un plus grand scénariste que dessinateur, mais lorsqu'on voit son coup de crayon dans "Jean-Claude Thergal" ou dans "Raymond Calbuth", on se dit qu'il s'est surpassé avec "Houppelend". Un vrai conte de Noël intelligent comme on aimerait en voir plus souvent. Bravo!!!
Bon, je l'avoue, il m'a fallu le feuilleter plusieurs fois en magasin avant de me le procurer. En effet, on ne peut pas dire que le dessin soit particulièrement attrayant. Néanmoins, une fois plongé dans l'ambiance du livre, cela ne dérange absolument pas.
Mais toute la puissance de cette Oeuvre réside sans aucun doute dans le fabuleux récit de M.-A. M. Il nous livre ici ce qui est à mon avis son apogée (bien que j'aime beaucoup également "Julius Corentin Acquefacques"). Génial d'un bout à l'autre. Si il n'avait pas eu cette idée saugrenue de ne faire que des pages à 2 cases, cette bd serait sans aucun doute l'une des plus grandes réussites dans le vaste monde du 9ème art.
J'aime bien Frederik Peeters. Il dessine un peu comme Alain Auderset et c'est très plaisant. Il aurait tout de même pu faire une version partiellement colorisée comme il a fait avec "Les Miettes". Le scénario démarre plutôt bien. Décalé à souhait et sur fond de partie de pêche interspatiale.
On attend la suite avec une impatience non dissimulée.
"Lune de guerre" ou la rencontre entre deux maîtres de la bande dessinée francophone, Messeigneurs Van Hamme et Hermann.
Véritable choc dès la première lecture. Sombre, intelligent, cruel...Beau, tout simplement.
Van Hamme surprend par sa capacité de passer de la petite aventure policière sympa à la noirceur d'un récit qui dénonce la bêtise humaine comme aucun n'y était parvenu auparavant. Chapeau maître Jean.
Ensuite, que dire sur le dessin d'Hermann qui se surpasse avec des planches toutes plus merveilleuses les unes que les autres (notament la première case qui est sublime).
Sinon, la petite galerie de personnages qui précède l'histoire à proprement parler est nécessaire afin de comprendre toute la subtilité des personnages. Mais il m'est d'avis que l'on peut très bien apprécier l'album sans y revenir à chaque replique.
Dans l'ensemble, album grandiose bien que la violence décrite ici aille parfois un peu loin peut-être (papy grenade, étonnant non?).
Des auteurs plein d'avenir (si,si).
4/5. Et pourtant si il y a bien une bd qui mérite le qualificatif "culte", c'est Astérix.
C'est vrai qu'en lisant des Astérix légionnaire ou des Astérix chez les bretons, le 5/5 s'impose.
Dessin parfait, scénario idem. Drôle, intelligent, truffé de jeux de mots et de clin d'oeil à l'actualité ainsi qu'à l'Histoire, Astérix, c'est le "must" de la bande dessinée francophone.
Malheureusement un jour, Sir Goscinny décède. Laissant derrière lui des milliers d'orphelins assoiffés par ses prouesses scénaristiques. Si Morris a repris les rennes de Lucky Luke avec brio, ce n'est ma foi pas le cas d'Uderzo qui poursuit maladroitement cette si belle série. Dommage.
Alors moi je dis que le mariage entre le moyen age, le futur et la magie et vraiment très bien réussi, on est absorbé.
Le dessin est proche de celui de Lanfeust, donc pas mal, et le scénario de Cailleteau et vraiment bon, en plus après Aquablue, on est beaucoup plus difficile et là pas de problèmes on est contents de Cailleteau qui reste fidèle à son style que l'on adore.
Donc je recommande cette BD, pleine d'humour, de gaîté, et de finesse.
Surprenant, saisissant, envoûtant,...SIDERANT!!!
Sidérant.
Voilà le terme le plus approprié que je trouve parmi mon vocabulaire. Et encore "Sidérant", "Grandiose", "Magistral", "Epoustouflant",... Rien n'arrive à décrire cette oeuvre comme je l'ai ressentie, ne serait-ce qu'à la première lecture. Un véritable bijou de polar comme je n'en ai jamais lu ni vu auparavant. Scénario solide, texte...sidérant (désolé mais je trouve rien d'autre), dessin...HOUHOU-HOUUUUU!!!!!!! (sidérant puissance 1000!!!), bref, Oeuvre incontournable. Du jamais vu.
Voilà ce qu'on peut dire en refermant le tome 1 des aventures du félin à la cigarette.
Arrive le tome 2 et là...MAMAMIIIIA!!! C'est encore plus jubilatoire que le premier. Tout y est, les dialogues, la mise en page, les expressions (avant-dernière page...comment y fait ça Guarnido?!!), l'humour et en plus, Canales propose avec ce deuxième volet un scénario digne des plus grands maîtres du film noir. Même la page de garde finale s'y met pour nous faire applaudir le talent des deux jeunes auteurs espagnols.
Même le "Making of"(les dessous de l'enquête) est hallucinant de classe et de style. Tout y est. Tout ce qu'on aimerait demander à Guarnido si on le croisait par hasard dans la rue.
Non, franchement: 5/5, 10/10, 100/100, 1000/1000.
Génial... Fabuleux...
A hurler de bonheur!
Je suis assez surpris par la façon dont le dessin de Hübsch est perçu. D'accord, il ne vaut ni un Tarquin, ni un Mourier, mais de là à dire qu'il est moche, non. Les couleurs sont vives, la mise en page plaisante et les personnages ainsi que les diverses créatures magiques ne sont pas mal du tout. Mais c'est vrai que cette série met plus en valeur l'histoire que le dessin.
Parlons-en, tiens, de cette histoire. Merlin qui revient à la vie et qui n'est autre qu'un vieux macho alcoolique, crade et particulièrement obscène. C'est quand même drôle, non? Moi, en tout cas, ça me plaît bien cette version d'"Excalibur". Il y a plein de créatures magiques (surtout dans le tome 2), et moi j'adore ça. J'ai découvert cette série assez dernièrement et n'ai pas encore eu l'occasion de lire le tome trois. Mais je m'en réjouis.
J'espère juste qu'Arleston ne tirera pas à nouveau son aventure sur une dizaine de tomes. S'il pouvait s'arrêter au tome 4 ou 5, ce serait sympa.
Donc, BD sympa (attention, à cent lieues de Lanfeust) et pleine de magie.
Pour amateurs...
Le Chat...
Philosophe au gros nez du 21ème siècle, il s'impose pour moi comme une référence des prises de tête absurdes et des jeux de mots implaçables. Je connais Philippe Gelluck par la télé depuis déjà un certain nombre d'années et c'est simple, JE L'ADORE!!! Que ce soit chez Ruquier, Drucker ou chez n'importe qui d'autre, il a toujours le même esprit survolté d'intello plaisantin.
Quant au dessin, je m'excuse mais je vois mal un "Blacksad" dire que le coup du lapin, ça doit être terrible chez la girafe. Donc, le dessin convient très bien à la BD.
Génial le Chat.
Merci cher Philippe, merci la Belgique.
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Le cercueil de course
Comme on pouvait s'y attendre, David B. s'est bien adapté au format exigeant de la collection "Patte de mouche". Il s'est en effet distingué sur des ouvrages comme Le cheval blême où la structure de son récit se compose de plusieurs histoires se rapprochant de la forme de la nouvelle. Ici il signe un petit album dans la veine de ses autres productions : original à souhait, quelque part entre le rêve et la réalité, avec dans les rôles principaux la nuit et la mort. Le scénario est mené sans temps mort, et surtout la chute est parfaitement conduite, intervenant après plusieurs pages au cours desquelles le tempo va crescendo. Le dessin reconnaissable entre mille est bien du David B. avec cette impression de fausse naïveté en décalage total avec le propos allégorique et symbolique à la fois. Franchement pour 3€ ce serait dommage de s'en priver !
Houppeland
Tronchet... C'est grand, c'est très grand. Je n'ai jamais été un grand fan de cet auteur (bien que "Raymond Calbuth" me fasse quand même bien marrer) mais là, respect total. Si certains ne voient avec "Houppeland" qu'une petite comédie satirique sympa sur fond de réveillon enneigé, moi j'y vois plutôt un récit engagé, pertinent et décalé. J'adore notamment les attentat à la biscotte sans sel. Il parodie à merveille la societé actuelle, bourrée de principes et suivant le troupeaux sans réfléchir à ce qu'elle fait. Un régal! Niveau dessin, Tronchet se défonce totalement. Certes il reste un plus grand scénariste que dessinateur, mais lorsqu'on voit son coup de crayon dans "Jean-Claude Thergal" ou dans "Raymond Calbuth", on se dit qu'il s'est surpassé avec "Houppelend". Un vrai conte de Noël intelligent comme on aimerait en voir plus souvent. Bravo!!!
Le Dessin
Bon, je l'avoue, il m'a fallu le feuilleter plusieurs fois en magasin avant de me le procurer. En effet, on ne peut pas dire que le dessin soit particulièrement attrayant. Néanmoins, une fois plongé dans l'ambiance du livre, cela ne dérange absolument pas. Mais toute la puissance de cette Oeuvre réside sans aucun doute dans le fabuleux récit de M.-A. M. Il nous livre ici ce qui est à mon avis son apogée (bien que j'aime beaucoup également "Julius Corentin Acquefacques"). Génial d'un bout à l'autre. Si il n'avait pas eu cette idée saugrenue de ne faire que des pages à 2 cases, cette bd serait sans aucun doute l'une des plus grandes réussites dans le vaste monde du 9ème art.
Lupus
J'aime bien Frederik Peeters. Il dessine un peu comme Alain Auderset et c'est très plaisant. Il aurait tout de même pu faire une version partiellement colorisée comme il a fait avec "Les Miettes". Le scénario démarre plutôt bien. Décalé à souhait et sur fond de partie de pêche interspatiale. On attend la suite avec une impatience non dissimulée.
Lune de guerre
"Lune de guerre" ou la rencontre entre deux maîtres de la bande dessinée francophone, Messeigneurs Van Hamme et Hermann. Véritable choc dès la première lecture. Sombre, intelligent, cruel...Beau, tout simplement. Van Hamme surprend par sa capacité de passer de la petite aventure policière sympa à la noirceur d'un récit qui dénonce la bêtise humaine comme aucun n'y était parvenu auparavant. Chapeau maître Jean. Ensuite, que dire sur le dessin d'Hermann qui se surpasse avec des planches toutes plus merveilleuses les unes que les autres (notament la première case qui est sublime). Sinon, la petite galerie de personnages qui précède l'histoire à proprement parler est nécessaire afin de comprendre toute la subtilité des personnages. Mais il m'est d'avis que l'on peut très bien apprécier l'album sans y revenir à chaque replique. Dans l'ensemble, album grandiose bien que la violence décrite ici aille parfois un peu loin peut-être (papy grenade, étonnant non?). Des auteurs plein d'avenir (si,si).
Astérix
4/5. Et pourtant si il y a bien une bd qui mérite le qualificatif "culte", c'est Astérix. C'est vrai qu'en lisant des Astérix légionnaire ou des Astérix chez les bretons, le 5/5 s'impose. Dessin parfait, scénario idem. Drôle, intelligent, truffé de jeux de mots et de clin d'oeil à l'actualité ainsi qu'à l'Histoire, Astérix, c'est le "must" de la bande dessinée francophone. Malheureusement un jour, Sir Goscinny décède. Laissant derrière lui des milliers d'orphelins assoiffés par ses prouesses scénaristiques. Si Morris a repris les rennes de Lucky Luke avec brio, ce n'est ma foi pas le cas d'Uderzo qui poursuit maladroitement cette si belle série. Dommage.
Anachron
Alors moi je dis que le mariage entre le moyen age, le futur et la magie et vraiment très bien réussi, on est absorbé. Le dessin est proche de celui de Lanfeust, donc pas mal, et le scénario de Cailleteau et vraiment bon, en plus après Aquablue, on est beaucoup plus difficile et là pas de problèmes on est contents de Cailleteau qui reste fidèle à son style que l'on adore. Donc je recommande cette BD, pleine d'humour, de gaîté, et de finesse.
Blacksad
Surprenant, saisissant, envoûtant,...SIDERANT!!! Sidérant. Voilà le terme le plus approprié que je trouve parmi mon vocabulaire. Et encore "Sidérant", "Grandiose", "Magistral", "Epoustouflant",... Rien n'arrive à décrire cette oeuvre comme je l'ai ressentie, ne serait-ce qu'à la première lecture. Un véritable bijou de polar comme je n'en ai jamais lu ni vu auparavant. Scénario solide, texte...sidérant (désolé mais je trouve rien d'autre), dessin...HOUHOU-HOUUUUU!!!!!!! (sidérant puissance 1000!!!), bref, Oeuvre incontournable. Du jamais vu. Voilà ce qu'on peut dire en refermant le tome 1 des aventures du félin à la cigarette. Arrive le tome 2 et là...MAMAMIIIIA!!! C'est encore plus jubilatoire que le premier. Tout y est, les dialogues, la mise en page, les expressions (avant-dernière page...comment y fait ça Guarnido?!!), l'humour et en plus, Canales propose avec ce deuxième volet un scénario digne des plus grands maîtres du film noir. Même la page de garde finale s'y met pour nous faire applaudir le talent des deux jeunes auteurs espagnols. Même le "Making of"(les dessous de l'enquête) est hallucinant de classe et de style. Tout y est. Tout ce qu'on aimerait demander à Guarnido si on le croisait par hasard dans la rue. Non, franchement: 5/5, 10/10, 100/100, 1000/1000. Génial... Fabuleux... A hurler de bonheur!
Le Chant d'Excalibur
Je suis assez surpris par la façon dont le dessin de Hübsch est perçu. D'accord, il ne vaut ni un Tarquin, ni un Mourier, mais de là à dire qu'il est moche, non. Les couleurs sont vives, la mise en page plaisante et les personnages ainsi que les diverses créatures magiques ne sont pas mal du tout. Mais c'est vrai que cette série met plus en valeur l'histoire que le dessin. Parlons-en, tiens, de cette histoire. Merlin qui revient à la vie et qui n'est autre qu'un vieux macho alcoolique, crade et particulièrement obscène. C'est quand même drôle, non? Moi, en tout cas, ça me plaît bien cette version d'"Excalibur". Il y a plein de créatures magiques (surtout dans le tome 2), et moi j'adore ça. J'ai découvert cette série assez dernièrement et n'ai pas encore eu l'occasion de lire le tome trois. Mais je m'en réjouis. J'espère juste qu'Arleston ne tirera pas à nouveau son aventure sur une dizaine de tomes. S'il pouvait s'arrêter au tome 4 ou 5, ce serait sympa. Donc, BD sympa (attention, à cent lieues de Lanfeust) et pleine de magie. Pour amateurs...
Le Chat
Le Chat... Philosophe au gros nez du 21ème siècle, il s'impose pour moi comme une référence des prises de tête absurdes et des jeux de mots implaçables. Je connais Philippe Gelluck par la télé depuis déjà un certain nombre d'années et c'est simple, JE L'ADORE!!! Que ce soit chez Ruquier, Drucker ou chez n'importe qui d'autre, il a toujours le même esprit survolté d'intello plaisantin. Quant au dessin, je m'excuse mais je vois mal un "Blacksad" dire que le coup du lapin, ça doit être terrible chez la girafe. Donc, le dessin convient très bien à la BD. Génial le Chat. Merci cher Philippe, merci la Belgique.