Remarquable.
Je n'ai pas grand chose à ajouter sur ce qu'a dit Don Lope, si ce n'est que je trouve le dessin diablement efficace et non dénué d'une certaine élégance.
J'ai été touché (entre autre) par les quelques pages ou Spiegelman parle du suicide de sa mère. Avec ses dessins hésitants, noirs,"immatures",... un passage atroce.
Incontournable, magistral, d'une parfaite honnêteté. Le neuvième art a, à son tour, un excellent témoignage de cette atrocité.
Ce roman illustré vous prend aux tripes quand on commence sa lecture !
Je me suis arrêtée à la première série (les 8 premiers tomes), et ne désespère pas de continuer les suivantes. "Ballade au bout du monde" vous transporte effectivement au bout du monde.
Bien que le dessin soit relativement grossier dans les premiers tomes, c'est au troisième opus que le trait s'affirme et s'épanouit pour donner à l'ensemble de la série une très belle profondeur.
Makyo à construit l'histoire sur un terrible fait : l'oubli et l'emprisonnement. Que celui-ci soit physique ou psychique, il est un terrible mal, et mot aussi.
Quand on arrive à la fin, on n'a qu'une hâte, entamer immédiatement les tomes suivants. Il faut avouer que les auteurs ont fait un scénario assez palpitant. J'ai vraiment beaucoup aimé cette série, qui peut paraître inégale mais qui évolue d'une manière assez original quand on y plonge.
Je la conseile vivement, un vrai régal.
Un réel chef d'oeuvre !
Un trait pur et et des couleurs profondes, Gimenez maîtrise excellement son dessin. Voilà un résumé succint de cette caste et de ces barons guerriers bien malgré eux.
J'ai découvert il y a peu de temps cette série, je suis sous le charme de la beauté des personnages et de l'histoire. La violence omniprésente donne une atmosphère apocalyptique envoûtante.
Le dessin de Gimenez s'approprie l'imaginaire sans limite de Jodorowsky. Un duo exceptionnel qui vaut la peine qu'on s'y attarde sans efforts.
Excellent, à lire d'urgence.
C'est vrai qu'il y a un côté "Brazil" évident dans cette série. Le monde imaginé est d'une originalité rarement vue et rien que pour ça cette série vaut le détour. Le dessin est précis sans être fabuleusement beau et j'aime personnellement beaucoup la mise en couleur. Le principal reproche que je ferais à l'auteur c'est d'avoir précipité la fin en une quinzaine de pages alors qu'elle aurait mérité un développement plus conséquent. Les tomes sont également de niveau inégal : autant le tome 2 est absolument génial (la course poursuite à cause des lunettes est un moment d'anthologie), autant le tome 3 par exemple est nettement en dessous. Malgré ces différences qualitatives, cette série est vraiment à conseiller.
Cette série est jouissive!
Je n'ai pour l'instant lu que les trois premiers tomes en noir et blanc et le seul reproche que je puisse faire, c'est que c'est un tantinet répétitif pour une lecture continue. Sinon, y a rien à jeter. Les histoires sont drôles et en même temps terribles et cruelles. Les personnages sont cadrés, fouillés et très élaborés et, sous un manichéisme apparent, la famille Centobucchi cache beaucoup de secrets qu'on ne soupçonnerait même pas.
Le frère ainé, Amérigo, est une véritable ordure qui parvient pourtant à nous attendrir au gré de l'histoire. C'est la vrai force des scénarii de Trillo : il ne se fige pas dans un carcan et fait évoluer les différents membres de la famille de manière inattendue. Vu le thème, la filiation avec Torpedo est évidente, mais je trouve "Spaghetti Brothers" bien plus réussi.
J'ai eu l'occasion de feuilleter les versions couleur; certes, elles n'apportent pas grand chose à l'original, mais je ne trouve pas qu'elles dénaturent outre mesure le dessin de Mandrafina. Et si Vent d'ouest réédite les tomes originaux sous cette forme, c'est que les premières versions n'ont pas très bien marché et qu'ils croient au potentiel de cette série. C'est pas un mauvais argument, même si payer une fois et demi plus cher ne me paraît pas très attractif d'un point de vue marketing. En même temps les tomes en noir et blancs sont difficilement trouvables, j'ai l'impression.
Un monde SF-Fantastique original, déjanté et à la fois totalitaire, des dessins simples et beaux, un design délirant et drôle (les véhicules surtout), une histoire mystérieuse qu'on a envie de suivre de bout en bout pour découvrir la Vérité au final... Bref, tous les ingrédients pour une bonne série dont en plus la fin ne m'a pas déçu.
Une bonne série.
Très bonne BD, bon scénario digne de certaines bonnes productions hollywoodiennes. Mais comme toute les grosses productions cinématographiques, on cherche à faire une suite alors que cela n'est pas nécessaire. Bref on exploite le filon.
L'histoire se passe dans un futur proche où toute les technologies ont fait des progrès immense (biologie, physique...). Les compagnies tiennent le monde entre leurs mains, et disposent de leur propre armée, les pays ont un rôle insignifiant.
Travis est une sorte de Mc Lane (Bruce willis) qui arrive un peu à l'improviste dans une situation qu'il n'a pas cherchée. Et le lecteur sentira très bien tout au long de ces 5 albums, que M. Duval - le scénariste - avait ça en tête dès le départ. Mais à partir de la page 47 du 5ème album, nous apprenons une vérité sur Travis, qui à mon sens gâche toute l'histoire. Et Je reste persuadé que cette dernière double page n'est uniquement là pour presser encore un peu plus le citron avec cette série. Elle aurait très bien pu se terminer en beauté sur ce 5ème album...
En résumé cette BD est excellente quasiment jusqu'à la fin, mais à vous de juger.
Un petit bijou d'humour cette série, avec des phrases qu'on n'oublie pas et qu'on peut resservir à loisir (un peu comme "la Cité de la peur", en somme). Les dialogues sont excellentissimes et les gags souvent imprévus (qui s'attend au retour de Pierre Richard ou aux Barbapapas ?). C'est ça qu'on aime, la surprise désopilante de la fin de l'histoire et la narration vraiment poilante. Le dessin est très agréable, vivant, fluide (sans jeu de mots...). Les 3 premiers tomes sont très bons et le 4e ajoute une petite touche de tendresse supplémentaire assez rare dans ce genre de BD. Une EXCELLENTE série, un des musts de Fluide Glacial. A lire absolument. Dans mon panthéon de la BD.
CULTE DE CHEZ CULTE !!! Si je devais n'en garder qu'une ce serait celle-là !
Le tome 1 est formidable pour son ambiance, et le 2 pour son scénario.
J'ai rarement vu des dessins de figures aussi expressifs, c'est fantastique !
Un chef d'oeuvre autant niveau scénario que dessin ! Fantastique !
Bon les avis sont partagés et le mien est définitif : Larcenet est un excellent artiste avec énormément de capacités.
Il nous donne ici la preuve qu'il sait diversifier ses oeuvres, et qu'il est aussi un humain plein de doutes et de faiblesses. Ce qui le rend à mes yeux beaucoup plus fort que le plus pédant des pseudo-artistico-intellectuel. (on sent le vécu, non ?)
Pour preuve, sa mise à nu est exemplaire, et d'aucuns de lui reconnaître au moins cela, il n'est pas facile d'exposer nos peurs et notre impuissance à la vie à un large public connu ou inconnu.
Ici, précisément, celle d'un artiste plein d'émotions qui se révèle à un public habitué à quelque chose de nettement différent et surtout de beaucoup plus léger.
J'adore cette phrase qu'il dit à un moment (je cite approximativement n'ayant pas la bd sous les yeux) : "Il y a certainement plus de choses sur moi dans une page de "Bill Baroud" que dans l'essai ici présent".
Je trouve intéressant ce genre d'essai justement, bien sûr l'approche de cette lecture est très personnelle et le décalage qu'il y a avec ses autres oeuvres prouve que Larcenet a maintenant atteint une maturité que je trouve prometteuse.
"L'artiste de la famille" est une thérapie, comme le dessin l'est au quotidien pour tout artiste. Et là, le fameux protagoniste règle ses comptes avec lui-même et bien d'autres, et surtout il prend des risques. J'aime par dessus tout les gens qui prennent des risques car à mon sens c'est une preuve de courage.
Même si la lecture semble dure, ne vous y fiez pas, c'est très beau.
alors en conclusion, risquez-vous à lire cet ouvrage original.
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Maus
Remarquable. Je n'ai pas grand chose à ajouter sur ce qu'a dit Don Lope, si ce n'est que je trouve le dessin diablement efficace et non dénué d'une certaine élégance. J'ai été touché (entre autre) par les quelques pages ou Spiegelman parle du suicide de sa mère. Avec ses dessins hésitants, noirs,"immatures",... un passage atroce. Incontournable, magistral, d'une parfaite honnêteté. Le neuvième art a, à son tour, un excellent témoignage de cette atrocité.
Balade au bout du monde
Ce roman illustré vous prend aux tripes quand on commence sa lecture ! Je me suis arrêtée à la première série (les 8 premiers tomes), et ne désespère pas de continuer les suivantes. "Ballade au bout du monde" vous transporte effectivement au bout du monde. Bien que le dessin soit relativement grossier dans les premiers tomes, c'est au troisième opus que le trait s'affirme et s'épanouit pour donner à l'ensemble de la série une très belle profondeur. Makyo à construit l'histoire sur un terrible fait : l'oubli et l'emprisonnement. Que celui-ci soit physique ou psychique, il est un terrible mal, et mot aussi. Quand on arrive à la fin, on n'a qu'une hâte, entamer immédiatement les tomes suivants. Il faut avouer que les auteurs ont fait un scénario assez palpitant. J'ai vraiment beaucoup aimé cette série, qui peut paraître inégale mais qui évolue d'une manière assez original quand on y plonge. Je la conseile vivement, un vrai régal.
La Caste des Méta-barons
Un réel chef d'oeuvre ! Un trait pur et et des couleurs profondes, Gimenez maîtrise excellement son dessin. Voilà un résumé succint de cette caste et de ces barons guerriers bien malgré eux. J'ai découvert il y a peu de temps cette série, je suis sous le charme de la beauté des personnages et de l'histoire. La violence omniprésente donne une atmosphère apocalyptique envoûtante. Le dessin de Gimenez s'approprie l'imaginaire sans limite de Jodorowsky. Un duo exceptionnel qui vaut la peine qu'on s'y attarde sans efforts. Excellent, à lire d'urgence.
Horologiom
C'est vrai qu'il y a un côté "Brazil" évident dans cette série. Le monde imaginé est d'une originalité rarement vue et rien que pour ça cette série vaut le détour. Le dessin est précis sans être fabuleusement beau et j'aime personnellement beaucoup la mise en couleur. Le principal reproche que je ferais à l'auteur c'est d'avoir précipité la fin en une quinzaine de pages alors qu'elle aurait mérité un développement plus conséquent. Les tomes sont également de niveau inégal : autant le tome 2 est absolument génial (la course poursuite à cause des lunettes est un moment d'anthologie), autant le tome 3 par exemple est nettement en dessous. Malgré ces différences qualitatives, cette série est vraiment à conseiller.
Spaghetti Brothers
Cette série est jouissive! Je n'ai pour l'instant lu que les trois premiers tomes en noir et blanc et le seul reproche que je puisse faire, c'est que c'est un tantinet répétitif pour une lecture continue. Sinon, y a rien à jeter. Les histoires sont drôles et en même temps terribles et cruelles. Les personnages sont cadrés, fouillés et très élaborés et, sous un manichéisme apparent, la famille Centobucchi cache beaucoup de secrets qu'on ne soupçonnerait même pas. Le frère ainé, Amérigo, est une véritable ordure qui parvient pourtant à nous attendrir au gré de l'histoire. C'est la vrai force des scénarii de Trillo : il ne se fige pas dans un carcan et fait évoluer les différents membres de la famille de manière inattendue. Vu le thème, la filiation avec Torpedo est évidente, mais je trouve "Spaghetti Brothers" bien plus réussi. J'ai eu l'occasion de feuilleter les versions couleur; certes, elles n'apportent pas grand chose à l'original, mais je ne trouve pas qu'elles dénaturent outre mesure le dessin de Mandrafina. Et si Vent d'ouest réédite les tomes originaux sous cette forme, c'est que les premières versions n'ont pas très bien marché et qu'ils croient au potentiel de cette série. C'est pas un mauvais argument, même si payer une fois et demi plus cher ne me paraît pas très attractif d'un point de vue marketing. En même temps les tomes en noir et blancs sont difficilement trouvables, j'ai l'impression.
Horologiom
Un monde SF-Fantastique original, déjanté et à la fois totalitaire, des dessins simples et beaux, un design délirant et drôle (les véhicules surtout), une histoire mystérieuse qu'on a envie de suivre de bout en bout pour découvrir la Vérité au final... Bref, tous les ingrédients pour une bonne série dont en plus la fin ne m'a pas déçu. Une bonne série.
Travis
Très bonne BD, bon scénario digne de certaines bonnes productions hollywoodiennes. Mais comme toute les grosses productions cinématographiques, on cherche à faire une suite alors que cela n'est pas nécessaire. Bref on exploite le filon. L'histoire se passe dans un futur proche où toute les technologies ont fait des progrès immense (biologie, physique...). Les compagnies tiennent le monde entre leurs mains, et disposent de leur propre armée, les pays ont un rôle insignifiant. Travis est une sorte de Mc Lane (Bruce willis) qui arrive un peu à l'improviste dans une situation qu'il n'a pas cherchée. Et le lecteur sentira très bien tout au long de ces 5 albums, que M. Duval - le scénariste - avait ça en tête dès le départ. Mais à partir de la page 47 du 5ème album, nous apprenons une vérité sur Travis, qui à mon sens gâche toute l'histoire. Et Je reste persuadé que cette dernière double page n'est uniquement là pour presser encore un peu plus le citron avec cette série. Elle aurait très bien pu se terminer en beauté sur ce 5ème album... En résumé cette BD est excellente quasiment jusqu'à la fin, mais à vous de juger.
Bill Baroud
Un petit bijou d'humour cette série, avec des phrases qu'on n'oublie pas et qu'on peut resservir à loisir (un peu comme "la Cité de la peur", en somme). Les dialogues sont excellentissimes et les gags souvent imprévus (qui s'attend au retour de Pierre Richard ou aux Barbapapas ?). C'est ça qu'on aime, la surprise désopilante de la fin de l'histoire et la narration vraiment poilante. Le dessin est très agréable, vivant, fluide (sans jeu de mots...). Les 3 premiers tomes sont très bons et le 4e ajoute une petite touche de tendresse supplémentaire assez rare dans ce genre de BD. Une EXCELLENTE série, un des musts de Fluide Glacial. A lire absolument. Dans mon panthéon de la BD.
Blacksad
CULTE DE CHEZ CULTE !!! Si je devais n'en garder qu'une ce serait celle-là ! Le tome 1 est formidable pour son ambiance, et le 2 pour son scénario. J'ai rarement vu des dessins de figures aussi expressifs, c'est fantastique ! Un chef d'oeuvre autant niveau scénario que dessin ! Fantastique !
L'artiste de la famille
Bon les avis sont partagés et le mien est définitif : Larcenet est un excellent artiste avec énormément de capacités. Il nous donne ici la preuve qu'il sait diversifier ses oeuvres, et qu'il est aussi un humain plein de doutes et de faiblesses. Ce qui le rend à mes yeux beaucoup plus fort que le plus pédant des pseudo-artistico-intellectuel. (on sent le vécu, non ?) Pour preuve, sa mise à nu est exemplaire, et d'aucuns de lui reconnaître au moins cela, il n'est pas facile d'exposer nos peurs et notre impuissance à la vie à un large public connu ou inconnu. Ici, précisément, celle d'un artiste plein d'émotions qui se révèle à un public habitué à quelque chose de nettement différent et surtout de beaucoup plus léger. J'adore cette phrase qu'il dit à un moment (je cite approximativement n'ayant pas la bd sous les yeux) : "Il y a certainement plus de choses sur moi dans une page de "Bill Baroud" que dans l'essai ici présent". Je trouve intéressant ce genre d'essai justement, bien sûr l'approche de cette lecture est très personnelle et le décalage qu'il y a avec ses autres oeuvres prouve que Larcenet a maintenant atteint une maturité que je trouve prometteuse. "L'artiste de la famille" est une thérapie, comme le dessin l'est au quotidien pour tout artiste. Et là, le fameux protagoniste règle ses comptes avec lui-même et bien d'autres, et surtout il prend des risques. J'aime par dessus tout les gens qui prennent des risques car à mon sens c'est une preuve de courage. Même si la lecture semble dure, ne vous y fiez pas, c'est très beau. alors en conclusion, risquez-vous à lire cet ouvrage original.