Aprés avoir découvert Stassen grâce à "Déogratias", j'avais envie de suivre un peu mieux son parcours. Ce bar du vieux français m'en a donné l'occasion. J'ai pu apprécier à nouveau le style vraiment singulier de cet auteur. Trés épuré, précis et riche en détails, son graphisme a vraiment la qualité incroyable de donner vie à la fois aux personnages et aux paysages. Et comme il est au service d'une histoire très humaine, sans sentimentalisme outrancier, il participe à faire de ce bar un très agréable lieu de rencontre. Bref, j'ai beaucoup aimé cet univers. Même si le destin de Célestin et Leila à la fin des deux premiers tomes semble être une histoire qui aurait gagné à être prolongée.
Ayant lu un extrait dans un des derniers Pavillon Rouge, "Archipel" m’avait assez bien plu et j’ai profité d’une séance de dédicace de Barbay pour l’acheter. Résultat : cela m’a vraiment plu. Ce n’est pas LA bd du moment mais le scénario est bien palpitant et arrive a nous tenir en haleine tout au long de l’album. On s’attache bien au héros et a sa petite mascotte et le trait de Barbay est original (son style m’a fait penser a celui de Bonin pour "Fog"). Je ne suis pas un fan des couleurs mais je ne peux pas dire qu’elles soient moches (elles vont assez bien avec l’ambiance). Bref, un bon premier album en espérant que Corbeyran continuera dans cette lignée.
Un vrai régal pour les yeux, et dès les premières pages! J'ai été surpris par la qualité des dessins, toujours très soignés. Il n'y a pas une seule case dessinée à la va-vite comme on le voit dans beaucoup de BDs. Ici c'est trop beau. Ca, c'est graphiquement parlant.
Ensuite il y a l'aspect originalité : un monde d'homme où les personnages sont animalisés. Ce qui m'a touché c'est que chaque animal joue un rôle qui lui va bien, qui est adapté a son physique, par exemple un gorille va être boxeur, le chien va être un flic, le rhino garde du corps et ainsi de suite.
Que du bonheur quoi! Les scénarios sont des histoire policières plutôt bien ficelées, mais ce que je retiens surtout c'est le dessin et le concept! A ne surtout pas manquer !
Très très bonne série qui débute sur les chapeaux de roues et devrait continuer grâce à un scénario de bonne facture de Desberg servi par des dessins splendides d'une jeune venue (?) Smulkowski.
Tout d'abord la planète : Sans état mais seulement des religions qui se partagent les adeptes et prélèvent les impôts. Les religions dont les prédictions ne se réalisent pas sont purement et simplement détruites.
Le héros : Bien de sa personne, suffisamment escroc et jolie coeur pour être attachant mais pas trop pour être méprisable, il n'a qu'une envie s'enrichir sans trop forcer...
Mais, comme tout héros, il doit prouver sa bravoure devant le danger qui le guette par l'intermédiaire de sa femme et surtout d'un complot intergalactique.
Bref l'atmosphère qui s'en dégage fait penser à Dune !
Pour commencer, je voulais dire (contrairement à Spike Spiegel) que ça n'est pas la première BD de Dav mais la 2e en commerce; la première étant Django Renard.
AH AH AH AH AAAHHHHH
Par rapport à Django, il y a un scenar qui suit et donc un humour.... qui fait rire! (c'est un peu le but de l'humour).
Les dessins sont toujours aussi bons, des persos attachants, loufoques, aux mimiques forcées.
Je ne pensais pas pouvoir rire beaucoup avec les 24 pages d'Arleston, du coup je n'étais pas préparé à me faire dessus (excusez l'expression) avec la suite. En effet, on remarque assez le changement de scénariste. On passe d'un humour assez sain, juste un peu osé (tout à fait le style de la collection START de chez Soleil), à un style vraiment gore de chez gore (les dernières pages: il fallait vraiment l'inventer et ça ne pouvait sortir que de l'esprit tordu de Dav).
Bref: les enfants vont adorer.......mais pas les mamans! :D
Du bon temps en perspective avec cet album.
L'histoire de cette série reste très classique et se déroule à la manière d'un film avec de nombreux flashbacks. La lecture est fluide et on ne s'ennuie pas, par contre, on sait toujours à peu près ce que l'on va trouver à la page suivante (ce qui a l'avantage de supprimer les déceptions...).
Le point fort reste incontestablement la qualité des dessins que je trouve vraiment REMARQUABLES! Je me suis surpris à rester plusieurs dizaines de minutes sur de nombreuses planches pour en apprécier tous les détails.
En bref, cette bd m'a apporté ce que j'en attendais en l'achetant: c'est à dire une histoire de vampire sobre (sans effusion de sang!), cohérente et très joliment mise sur papier.
Il ne manquait donc à cette série qu'un petit quelque chose dans le "suspense" ou dans "l'originalité" du scénario pour la faire passer au rang de bd culte.
De toute manière, c'est ce qui se fait de mieux, à mon avis, dans le genre fantastique...
« Chère Julia » s’ouvre sur des planches au découpage régulier et présentées à la façon d’un générique de début de film un peu intimiste… jusqu’à la scène où on découvre le héros, Boyd, debout sur le rebord de la fenêtre, affublé de plumes collées dans son dos. Il se tient près à sauter dans le vide et la lettre adressée à Julia qui est posée sur la table du salon nous invite à retracer les derniers évènements qui ont conduit Boyd dans cette inconfortable position. Le flash back peut commencer…
Et Brian Biggs nous entraîne dans son univers original à souhait et dont l’ambiance se rapproche effectivement de celle qui règne dans les films des frères Coen dont l’auteur admet d’ailleurs l’influence.
Son histoire est un conte doux-amer, rempli de rêves, de névroses existentielles, de menaces imaginaires ou avérées (qui est la véritable menace, ce petit bonhomme qui connaît bien des choses sur la vie de Boyd ? Ou ces gens dans la rue, ou alors cet homme qui a essayé de voler dans le désert...). Son histoire est un condensé d’émotions qui se révèlent lentement, un peu à la manière d’un puzzle qui se met en place morceau par morceau. Pour apprécier « Chère Julia » il faut savoir être patient, contemplatif mais aux aguets pour ne laisser aucun détail nous échapper. Car la lecture de cette BD est un réel moment de poésie et de bonheur, impossible à résumer tant il y aurait quand même des choses à dire… Le triptyque en place (Leo, Boyd et Julia) nous permet d’avoir trois caractères bien différents, par la force des choses (Julia n’est jamais que suggérée, on ne la voit jamais) et c’est là une force de l’album : pas la peine de s’épuiser en vaines et longues explications : c’est au lecteur à travers les ambiances, les cadrages, les présences ou les absences, de saisir l’intensité dramatique et la veine du récit. Et même si le dessin en lui-même est loin d’être maîtrisé (Biggs le reconnaît lui même, lui qui a mis 4 années pour faire cette BD), il y a des détails plein de fraîcheur, de poésie et surtout bigrement efficaces qui s’accordent très bien avec le propos et le scénario. Une lecture coup de cœur !
Héhé, Robin des bois revisité par Larcenet, je dois avouer que ça le fait !
Y a pas, je me suis bidonné pendant ma lecture, certes c'est très très con comme humour, mais ca a vraiment marché sur moi ! (je vous passe les détails comme big bisou tibidum, la comparaison avec cette tafiole de Thierry Lafronde, la forêt de Rambouillet, le pape qui a un nom de biscuit apéro etc etc etc... il y a des dizaines d'exemples de ce type ! :))
Sinon le dessin, bah, c'est du Larcenet, on aime ou on n'aime pas, mais moi je trouve ca approprié, ça colle parfaitement avec cet humour, ça l'illustre même de la meilleure facon possible ! :)
Donc voilà, pour moi, j'avoue, cette bd est drôle ! Très drôle même !
Je la conseille vivement aux fans de Larcenet et aux autres aussi ! :)
Luc Besson avait demandé aux dessinateurs les décors pour le cinquième élément. Et de fait, on retrove bien l'univers de Valérian dans certaines parties du film. Bref, une B.D. qui devient un classique reconnu..Histoires complètement délirantes, bien loin de l'univers mécanique et froidement matériel des S.F; habituelles, ou des univers concentracionnaires souvent représentés. Ici, les personnages ont de l'humour, ne se prennent pas au sérieux, ( l'astronef est souvent en panne faute de crédits !). Et si les derniers albums sont beaucoup plus faibles que les précédents, la série n'en reste pas moins intéressante et amusante.
Edité en 1945, et évidemment introuvable en édition originale (grosse valeur). Rééditée récemment, ainsi que d'autres B.D. de Calvo. Les bulles n'existent pas, mais de petits textes se trouvent sur les images. Nombreux clins d'oeil sur les personnages qui ont marqué cette période(De Gaulle est une cigogne !). C'est de l'Histoire.
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Le Bar du vieux Français
Aprés avoir découvert Stassen grâce à "Déogratias", j'avais envie de suivre un peu mieux son parcours. Ce bar du vieux français m'en a donné l'occasion. J'ai pu apprécier à nouveau le style vraiment singulier de cet auteur. Trés épuré, précis et riche en détails, son graphisme a vraiment la qualité incroyable de donner vie à la fois aux personnages et aux paysages. Et comme il est au service d'une histoire très humaine, sans sentimentalisme outrancier, il participe à faire de ce bar un très agréable lieu de rencontre. Bref, j'ai beaucoup aimé cet univers. Même si le destin de Célestin et Leila à la fin des deux premiers tomes semble être une histoire qui aurait gagné à être prolongée.
Archipel
Ayant lu un extrait dans un des derniers Pavillon Rouge, "Archipel" m’avait assez bien plu et j’ai profité d’une séance de dédicace de Barbay pour l’acheter. Résultat : cela m’a vraiment plu. Ce n’est pas LA bd du moment mais le scénario est bien palpitant et arrive a nous tenir en haleine tout au long de l’album. On s’attache bien au héros et a sa petite mascotte et le trait de Barbay est original (son style m’a fait penser a celui de Bonin pour "Fog"). Je ne suis pas un fan des couleurs mais je ne peux pas dire qu’elles soient moches (elles vont assez bien avec l’ambiance). Bref, un bon premier album en espérant que Corbeyran continuera dans cette lignée.
Blacksad
Un vrai régal pour les yeux, et dès les premières pages! J'ai été surpris par la qualité des dessins, toujours très soignés. Il n'y a pas une seule case dessinée à la va-vite comme on le voit dans beaucoup de BDs. Ici c'est trop beau. Ca, c'est graphiquement parlant. Ensuite il y a l'aspect originalité : un monde d'homme où les personnages sont animalisés. Ce qui m'a touché c'est que chaque animal joue un rôle qui lui va bien, qui est adapté a son physique, par exemple un gorille va être boxeur, le chien va être un flic, le rhino garde du corps et ainsi de suite. Que du bonheur quoi! Les scénarios sont des histoire policières plutôt bien ficelées, mais ce que je retiens surtout c'est le dessin et le concept! A ne surtout pas manquer !
Mayam
Très très bonne série qui débute sur les chapeaux de roues et devrait continuer grâce à un scénario de bonne facture de Desberg servi par des dessins splendides d'une jeune venue (?) Smulkowski. Tout d'abord la planète : Sans état mais seulement des religions qui se partagent les adeptes et prélèvent les impôts. Les religions dont les prédictions ne se réalisent pas sont purement et simplement détruites. Le héros : Bien de sa personne, suffisamment escroc et jolie coeur pour être attachant mais pas trop pour être méprisable, il n'a qu'une envie s'enrichir sans trop forcer... Mais, comme tout héros, il doit prouver sa bravoure devant le danger qui le guette par l'intermédiaire de sa femme et surtout d'un complot intergalactique. Bref l'atmosphère qui s'en dégage fait penser à Dune !
Flibustor
Pour commencer, je voulais dire (contrairement à Spike Spiegel) que ça n'est pas la première BD de Dav mais la 2e en commerce; la première étant Django Renard. AH AH AH AH AAAHHHHH Par rapport à Django, il y a un scenar qui suit et donc un humour.... qui fait rire! (c'est un peu le but de l'humour). Les dessins sont toujours aussi bons, des persos attachants, loufoques, aux mimiques forcées. Je ne pensais pas pouvoir rire beaucoup avec les 24 pages d'Arleston, du coup je n'étais pas préparé à me faire dessus (excusez l'expression) avec la suite. En effet, on remarque assez le changement de scénariste. On passe d'un humour assez sain, juste un peu osé (tout à fait le style de la collection START de chez Soleil), à un style vraiment gore de chez gore (les dernières pages: il fallait vraiment l'inventer et ça ne pouvait sortir que de l'esprit tordu de Dav). Bref: les enfants vont adorer.......mais pas les mamans! :D Du bon temps en perspective avec cet album.
Le Prince de la Nuit
L'histoire de cette série reste très classique et se déroule à la manière d'un film avec de nombreux flashbacks. La lecture est fluide et on ne s'ennuie pas, par contre, on sait toujours à peu près ce que l'on va trouver à la page suivante (ce qui a l'avantage de supprimer les déceptions...). Le point fort reste incontestablement la qualité des dessins que je trouve vraiment REMARQUABLES! Je me suis surpris à rester plusieurs dizaines de minutes sur de nombreuses planches pour en apprécier tous les détails. En bref, cette bd m'a apporté ce que j'en attendais en l'achetant: c'est à dire une histoire de vampire sobre (sans effusion de sang!), cohérente et très joliment mise sur papier. Il ne manquait donc à cette série qu'un petit quelque chose dans le "suspense" ou dans "l'originalité" du scénario pour la faire passer au rang de bd culte. De toute manière, c'est ce qui se fait de mieux, à mon avis, dans le genre fantastique...
Chère Julia
« Chère Julia » s’ouvre sur des planches au découpage régulier et présentées à la façon d’un générique de début de film un peu intimiste… jusqu’à la scène où on découvre le héros, Boyd, debout sur le rebord de la fenêtre, affublé de plumes collées dans son dos. Il se tient près à sauter dans le vide et la lettre adressée à Julia qui est posée sur la table du salon nous invite à retracer les derniers évènements qui ont conduit Boyd dans cette inconfortable position. Le flash back peut commencer… Et Brian Biggs nous entraîne dans son univers original à souhait et dont l’ambiance se rapproche effectivement de celle qui règne dans les films des frères Coen dont l’auteur admet d’ailleurs l’influence. Son histoire est un conte doux-amer, rempli de rêves, de névroses existentielles, de menaces imaginaires ou avérées (qui est la véritable menace, ce petit bonhomme qui connaît bien des choses sur la vie de Boyd ? Ou ces gens dans la rue, ou alors cet homme qui a essayé de voler dans le désert...). Son histoire est un condensé d’émotions qui se révèlent lentement, un peu à la manière d’un puzzle qui se met en place morceau par morceau. Pour apprécier « Chère Julia » il faut savoir être patient, contemplatif mais aux aguets pour ne laisser aucun détail nous échapper. Car la lecture de cette BD est un réel moment de poésie et de bonheur, impossible à résumer tant il y aurait quand même des choses à dire… Le triptyque en place (Leo, Boyd et Julia) nous permet d’avoir trois caractères bien différents, par la force des choses (Julia n’est jamais que suggérée, on ne la voit jamais) et c’est là une force de l’album : pas la peine de s’épuiser en vaines et longues explications : c’est au lecteur à travers les ambiances, les cadrages, les présences ou les absences, de saisir l’intensité dramatique et la veine du récit. Et même si le dessin en lui-même est loin d’être maîtrisé (Biggs le reconnaît lui même, lui qui a mis 4 années pour faire cette BD), il y a des détails plein de fraîcheur, de poésie et surtout bigrement efficaces qui s’accordent très bien avec le propos et le scénario. Une lecture coup de cœur !
La Légende de Robin des Bois
Héhé, Robin des bois revisité par Larcenet, je dois avouer que ça le fait ! Y a pas, je me suis bidonné pendant ma lecture, certes c'est très très con comme humour, mais ca a vraiment marché sur moi ! (je vous passe les détails comme big bisou tibidum, la comparaison avec cette tafiole de Thierry Lafronde, la forêt de Rambouillet, le pape qui a un nom de biscuit apéro etc etc etc... il y a des dizaines d'exemples de ce type ! :)) Sinon le dessin, bah, c'est du Larcenet, on aime ou on n'aime pas, mais moi je trouve ca approprié, ça colle parfaitement avec cet humour, ça l'illustre même de la meilleure facon possible ! :) Donc voilà, pour moi, j'avoue, cette bd est drôle ! Très drôle même ! Je la conseille vivement aux fans de Larcenet et aux autres aussi ! :)
Valérian
Luc Besson avait demandé aux dessinateurs les décors pour le cinquième élément. Et de fait, on retrove bien l'univers de Valérian dans certaines parties du film. Bref, une B.D. qui devient un classique reconnu..Histoires complètement délirantes, bien loin de l'univers mécanique et froidement matériel des S.F; habituelles, ou des univers concentracionnaires souvent représentés. Ici, les personnages ont de l'humour, ne se prennent pas au sérieux, ( l'astronef est souvent en panne faute de crédits !). Et si les derniers albums sont beaucoup plus faibles que les précédents, la série n'en reste pas moins intéressante et amusante.
La bête est morte
Edité en 1945, et évidemment introuvable en édition originale (grosse valeur). Rééditée récemment, ainsi que d'autres B.D. de Calvo. Les bulles n'existent pas, mais de petits textes se trouvent sur les images. Nombreux clins d'oeil sur les personnages qui ont marqué cette période(De Gaulle est une cigogne !). C'est de l'Histoire.