Entièrement d'accord avec les avis précédents: on a là une très bonne série avec un tome d'introduction, pas forcément d'une folle originalité mais dont l'intrigue nous prend tout de suite à la gorge La suite ne déçoit pas le moins du monde et confirme cette très bonne première impression. Callède est vraiment un maître du suspens; il sait ménager ses effets et propose là le début d'un thriller presque social que je trouve personnellement plus réussi que "100 bullets" qui utilisait peu ou prou le même canevas de départ.
Je ne suis pas méga-fan du dessin qui est assez propret mais manque de personnalité, ce qui atténue la tension, à l'inverse de ce que Denis, partenaire habituel du scénariste, est capable de faire au sommet de sa forme (le tome 1 de "Dans la nuit").
L'Horloge est une oeuvre magnifique, construite comme une fable ésotérique.
Le dessin de Roosvelt est fin et expressif, tout à fait en phase avec l'histoire, et ses tableaux sont sublimes. Ils s'intègrent parfaitement dans la BD. Les décors sont très réussis, toujours détaillés. Les couleurs pastels s'accordent particulièrement bien avec l'ambiance et font ressortir les tableaux plus vifs.
L'histoire est complexe et bien menée, elle se déroule comme un mystère que l'on poursuit et non comme une intrigue que l'on éclaircit, chaque chapitre apporte plus de questions.
A la seconde lecture, on découvre que les tableaux et les éléments qui y sont assosciés et/ou évoqués éclairent les chapitres et donnent d'autres clef de compréhension.
Les personnages sont attachants (surtout Juanalberto le canard potier, sympathique, franc, simple et têtu, je l'adore :-) et très réussis tant dans leurs attitudes que leur personnalité.
A lire absolument, tout le monde y trouve son compte, les amateurs d'histoires fantastiques et oniriques, ceux d'intrigues et d'histoire complexes, comme ceux de personnages attachants et tout sauf manichéens.
Même si la base du scénario reste dans le domaine du "classique", l'histoire qui se développe sur ces deux tomes devient la véritable ossature de ce premier cycle.
Sam Lawry est une BD évènement de ces deux dernières années.
Le dessin de Mig est acceptable. Il est vrai qu'il a un certain don dans le dynamisme version manga dans certaines planches. Cependant, j'ai l'impression qu'il ne s'applique pas. Qu'il travaille ce qui lui plaît. Ce qu'il trouve chiant il le bâcle.
Cependant, Richez a signé l'un des meilleurs scénarios que j'ai pu lire cette année. Une pure merveille.
Dans le même genre, je conseille Thomas Silane chez Bamboo également.
La première série qui nous envoie tout droit dans l'univers si particulier imaginé par Jodorowky... Et là c'est, je pense, comme pour ses autres séries, on aime ou on n'aime pas.
Mais je ne connais personne dans mon entourage qui se hasarderait à en dire du mal... Tout d'abord un scénario plein de rebondissements, donc totalement imprévisible, et ça on aime!! Mais le plus remarquable est sans doute le groupe de personnages que l'on suit au fil de l'aventure, difficile de faire plus hétérogène, de John Difoul petit détective minable parfaite incarnation de l'anti-héros type, au Métabaron le super-héros par excellence... Et tous sont aussi intéressants les uns que les autres, on en trouve forcément un qui nous ressemble...
Le combat contre un ennemi omniscient et quasi impalpable donne tout son côté intrigant et prenant à la série. Et en plus le dessin de Moebius est splendide, à la fois simple et complexe et il donne toujours plus envie de lire...
Reste le sujet des couleurs, faites à la main dans les premières éditions puis faites à l'ordinateur dans la dernière. Dans le deux cas la lecture reste très agréable, mais je trouve que les nouvelles couleurs donnent un côté plus réaliste aux personnages et aux décors, mais en contrepartie la BD prend un côté aseptisé comme si elle perdait un peu de son âme...
Voilà une bonne série (du moins, elle en a bien l'air au bout de deux tomes). Des dessins somptueux, un sénario qui tient bien la route, tout comme il faut... Enfin bon, je sais pas trop quoi en dire sinon que j'ai tout simplement adoré!
La première chose que je me suis dit en lisant Le Roi Cyclope, c'est : p'tain c'est beau!
Et oui c'est beau, Isabelle Dethan a vraiment beaucoup de talent ! C'est simple, c'est doux, c'est classe comme style ! Je pense que la couleur est pour beaucoup dans cette réussite graphique ! La palette de tons employés est vraiment très diversifiée, passant de tons pastels à des tons sombres... C'est ultra maîtrisé, c'est la classe !
Côté scénario, j'ai trouvé que l'histoire avait un peu de mal à démarrer mais finalement, tout est plutôt bien mené, il y a une sorte de montée en puissance au cours de ces trois tomes qui font du Roi Cyclope une très bonne histoire bien menée et bien finie ! Oui, trois, c'est suffisant pour raconter une histoire, pas besoin obligatoirement d'une série à rallonges !
Le scénario est génial, même s'il est un peu lent au début (il peut se le permettre vu la longueur finale de la série) il est vite prenant et passionnant... On peut avoir des impressions de déjà vu, comme dans tout manga du genre, mais une fois qu'on s'est attaché au groupe et à chacun de ses personnages (comment ne pas tous les adorer???) on en oublie les clichés de l'amitié avant tout et du "je repousse mes capacités aux limites de la mort, pour quand même gagner" c'est sans doute un des meilleurs mangas que j'ai eu à lire.
Par-dessus tout les dessins sont clairs, comprendre ce qu'on regarde aussi vite et aussi facilement, ce n'est pas le lot de tous les mangas...
Et bien allons-y pour un 5 étoiles ! Le mot culte ne me semble pas trop fort pour qualifier cette série. Le mot envoûtant non plus d'ailleurs, puisqu'à chaque lecture que je fais de cette série, j'en ressors à chaque fois plus émerveillée.
Vous pourrez chercher un bon moment avant de trouver une série de même valeur !
Le genre de série que, soyons honnête, je n'aurai peut-être jamais feuilletée si je l'avais eue entre les mains. En effet, a priori, les dessins sont classiques, et n'attirent pas l'oeil. A y regarder de plus près pourtant, il y a de la finesse, du détail, bref c'est joli finalement. Oui, cette bd m'a donnée une belle leçon, dans le sens où j'ai vu que se fier à une idée préconçue n'est pas une bonne chose. Car ce dessin est réellement doux et beau, c'est très poétique.
En outre, nous avons là un scénario d'une pureté et d'une originalité incroyable! Tout y est jusque dans les dialogues, merveilleusement bien pensés ! Cet univers est fascinant, et je dis vivement le tome 4 ! Les personnages sont étudiés et très riches !
Que dire du merveilleux Soledango, noble dans son apparence et dans sa personnalité, c'est un personnage extrêmement intéressant à mes yeux !
"Candélabres" est une série injustement méconnue, car en réalité c'est un vrai bijou, un moment de bonheur à l'état pur...
Génialissime !!
Gaston est l'anti-héros le plus attachant de la BD. Et je me retrouve parfaitement dans ce personnage sensible, drôle, imaginatif et fainéant. S'il avait vécu à notre époque, je ne doute pas une seconde qu'il passerait ses heures de boulot à glander sur Internet, comme moi en ce moment. ;)
Je ne reviendrai pas sur le dessin de Boucq que je trouve extra, marrant en plus d'être brillant. Pour un album d'humour, c'est visuellement un très bel album.
Et puis concernant les histoires elles-mêmes, je vais commencer par le moins bien : voilà, je n'ai pas trouvé l'histoire de la bonne soeur dans le supermarché très drôle, même si je l'ai trouvée méchamment caustique par moments (j'ai assez aimé le moment où la bonne soeur se penche pour frotter son évêque avec du détachant au niveau de la ceinture... ;)). Mais la plupart des autres histoires, je les ai trouvées vraiment drôles et délirantes. Entre le vieux beauf dans son grenier qui raconte comment il aurait joué le rôle de Tintin si Hergé l'avait choisi comme acteur, et la parodie de Tanguy Laverdure, c'est sans arrêt du délire, de l'humour noir, de l'absurde, du décalé.
Franchement, j'aime beaucoup l'humour de Boucq, alors quand en plus il dessine aussi bien que lui-même... J'aime !
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Entièrement d'accord avec les avis précédents: on a là une très bonne série avec un tome d'introduction, pas forcément d'une folle originalité mais dont l'intrigue nous prend tout de suite à la gorge La suite ne déçoit pas le moins du monde et confirme cette très bonne première impression. Callède est vraiment un maître du suspens; il sait ménager ses effets et propose là le début d'un thriller presque social que je trouve personnellement plus réussi que "100 bullets" qui utilisait peu ou prou le même canevas de départ. Je ne suis pas méga-fan du dessin qui est assez propret mais manque de personnalité, ce qui atténue la tension, à l'inverse de ce que Denis, partenaire habituel du scénariste, est capable de faire au sommet de sa forme (le tome 1 de "Dans la nuit").
L'Horloge
L'Horloge est une oeuvre magnifique, construite comme une fable ésotérique. Le dessin de Roosvelt est fin et expressif, tout à fait en phase avec l'histoire, et ses tableaux sont sublimes. Ils s'intègrent parfaitement dans la BD. Les décors sont très réussis, toujours détaillés. Les couleurs pastels s'accordent particulièrement bien avec l'ambiance et font ressortir les tableaux plus vifs. L'histoire est complexe et bien menée, elle se déroule comme un mystère que l'on poursuit et non comme une intrigue que l'on éclaircit, chaque chapitre apporte plus de questions. A la seconde lecture, on découvre que les tableaux et les éléments qui y sont assosciés et/ou évoqués éclairent les chapitres et donnent d'autres clef de compréhension. Les personnages sont attachants (surtout Juanalberto le canard potier, sympathique, franc, simple et têtu, je l'adore :-) et très réussis tant dans leurs attitudes que leur personnalité. A lire absolument, tout le monde y trouve son compte, les amateurs d'histoires fantastiques et oniriques, ceux d'intrigues et d'histoire complexes, comme ceux de personnages attachants et tout sauf manichéens.
Sam Lawry
Même si la base du scénario reste dans le domaine du "classique", l'histoire qui se développe sur ces deux tomes devient la véritable ossature de ce premier cycle. Sam Lawry est une BD évènement de ces deux dernières années. Le dessin de Mig est acceptable. Il est vrai qu'il a un certain don dans le dynamisme version manga dans certaines planches. Cependant, j'ai l'impression qu'il ne s'applique pas. Qu'il travaille ce qui lui plaît. Ce qu'il trouve chiant il le bâcle. Cependant, Richez a signé l'un des meilleurs scénarios que j'ai pu lire cette année. Une pure merveille. Dans le même genre, je conseille Thomas Silane chez Bamboo également.
l'Incal
La première série qui nous envoie tout droit dans l'univers si particulier imaginé par Jodorowky... Et là c'est, je pense, comme pour ses autres séries, on aime ou on n'aime pas. Mais je ne connais personne dans mon entourage qui se hasarderait à en dire du mal... Tout d'abord un scénario plein de rebondissements, donc totalement imprévisible, et ça on aime!! Mais le plus remarquable est sans doute le groupe de personnages que l'on suit au fil de l'aventure, difficile de faire plus hétérogène, de John Difoul petit détective minable parfaite incarnation de l'anti-héros type, au Métabaron le super-héros par excellence... Et tous sont aussi intéressants les uns que les autres, on en trouve forcément un qui nous ressemble... Le combat contre un ennemi omniscient et quasi impalpable donne tout son côté intrigant et prenant à la série. Et en plus le dessin de Moebius est splendide, à la fois simple et complexe et il donne toujours plus envie de lire... Reste le sujet des couleurs, faites à la main dans les premières éditions puis faites à l'ordinateur dans la dernière. Dans le deux cas la lecture reste très agréable, mais je trouve que les nouvelles couleurs donnent un côté plus réaliste aux personnages et aux décors, mais en contrepartie la BD prend un côté aseptisé comme si elle perdait un peu de son âme...
Shaman
Voilà une bonne série (du moins, elle en a bien l'air au bout de deux tomes). Des dessins somptueux, un sénario qui tient bien la route, tout comme il faut... Enfin bon, je sais pas trop quoi en dire sinon que j'ai tout simplement adoré!
Le Roi Cyclope
La première chose que je me suis dit en lisant Le Roi Cyclope, c'est : p'tain c'est beau! Et oui c'est beau, Isabelle Dethan a vraiment beaucoup de talent ! C'est simple, c'est doux, c'est classe comme style ! Je pense que la couleur est pour beaucoup dans cette réussite graphique ! La palette de tons employés est vraiment très diversifiée, passant de tons pastels à des tons sombres... C'est ultra maîtrisé, c'est la classe ! Côté scénario, j'ai trouvé que l'histoire avait un peu de mal à démarrer mais finalement, tout est plutôt bien mené, il y a une sorte de montée en puissance au cours de ces trois tomes qui font du Roi Cyclope une très bonne histoire bien menée et bien finie ! Oui, trois, c'est suffisant pour raconter une histoire, pas besoin obligatoirement d'une série à rallonges !
Rave
Le scénario est génial, même s'il est un peu lent au début (il peut se le permettre vu la longueur finale de la série) il est vite prenant et passionnant... On peut avoir des impressions de déjà vu, comme dans tout manga du genre, mais une fois qu'on s'est attaché au groupe et à chacun de ses personnages (comment ne pas tous les adorer???) on en oublie les clichés de l'amitié avant tout et du "je repousse mes capacités aux limites de la mort, pour quand même gagner" c'est sans doute un des meilleurs mangas que j'ai eu à lire. Par-dessus tout les dessins sont clairs, comprendre ce qu'on regarde aussi vite et aussi facilement, ce n'est pas le lot de tous les mangas...
Candélabres
Et bien allons-y pour un 5 étoiles ! Le mot culte ne me semble pas trop fort pour qualifier cette série. Le mot envoûtant non plus d'ailleurs, puisqu'à chaque lecture que je fais de cette série, j'en ressors à chaque fois plus émerveillée. Vous pourrez chercher un bon moment avant de trouver une série de même valeur ! Le genre de série que, soyons honnête, je n'aurai peut-être jamais feuilletée si je l'avais eue entre les mains. En effet, a priori, les dessins sont classiques, et n'attirent pas l'oeil. A y regarder de plus près pourtant, il y a de la finesse, du détail, bref c'est joli finalement. Oui, cette bd m'a donnée une belle leçon, dans le sens où j'ai vu que se fier à une idée préconçue n'est pas une bonne chose. Car ce dessin est réellement doux et beau, c'est très poétique. En outre, nous avons là un scénario d'une pureté et d'une originalité incroyable! Tout y est jusque dans les dialogues, merveilleusement bien pensés ! Cet univers est fascinant, et je dis vivement le tome 4 ! Les personnages sont étudiés et très riches ! Que dire du merveilleux Soledango, noble dans son apparence et dans sa personnalité, c'est un personnage extrêmement intéressant à mes yeux ! "Candélabres" est une série injustement méconnue, car en réalité c'est un vrai bijou, un moment de bonheur à l'état pur...
Gaston Lagaffe
Génialissime !! Gaston est l'anti-héros le plus attachant de la BD. Et je me retrouve parfaitement dans ce personnage sensible, drôle, imaginatif et fainéant. S'il avait vécu à notre époque, je ne doute pas une seconde qu'il passerait ses heures de boulot à glander sur Internet, comme moi en ce moment. ;)
La Pédagogie du trottoir
Je ne reviendrai pas sur le dessin de Boucq que je trouve extra, marrant en plus d'être brillant. Pour un album d'humour, c'est visuellement un très bel album. Et puis concernant les histoires elles-mêmes, je vais commencer par le moins bien : voilà, je n'ai pas trouvé l'histoire de la bonne soeur dans le supermarché très drôle, même si je l'ai trouvée méchamment caustique par moments (j'ai assez aimé le moment où la bonne soeur se penche pour frotter son évêque avec du détachant au niveau de la ceinture... ;)). Mais la plupart des autres histoires, je les ai trouvées vraiment drôles et délirantes. Entre le vieux beauf dans son grenier qui raconte comment il aurait joué le rôle de Tintin si Hergé l'avait choisi comme acteur, et la parodie de Tanguy Laverdure, c'est sans arrêt du délire, de l'humour noir, de l'absurde, du décalé. Franchement, j'aime beaucoup l'humour de Boucq, alors quand en plus il dessine aussi bien que lui-même... J'aime !