Un recueil (une scène ou une "histoire" par page) de tout ce que l'on a subi à l'école de la Maternelle à l'université. Tout est décrit avec un humour subversif et désopilant, de l'impact de l'école sur notre cerveau sur "comment se planter en fac comme tout le monde".
Matt Groening nous livre une vision géniale et à peine exagérée de l'école. On s'y retrouve tous à un moment ou un autre (voir les 9 neufs types de prof' de Lycée ou de fac).
C'est parfois un peu chargé au niveau de l'écriture mais c'est jamais trop lourd tant les commentaires acerbes sont de qualité. La description du doctorat frôle la perfection.
Bref, étonné de voir qu'il n'avait pas été référencé, je m'empresse de le faire...vivre c'est partager et là, c'est rien que du bonheur.
Note de la modération : Avis portant à l'époque uniquement sur le tome "l'Ecole c'est l'enfer"
Une merveille !
Ce manga est littéralement renversant.
Qui n'a jamais révé de pouvoir revenir dans le temps et revivre une partie de sa vie afin d'améliorer le cours des événements ?
C'est ce que Taniguchi nous propose en nous faisant découvrir l'histoire de Hiroshi Nakahara qui va revivre l'age de ses 14 ans.
Le dessin est classique pour un manga, simple et efficace en fait. Pas besoin d'en rajouter car tout l'intêret réside dans l'histoire qui nous est racontée.
Les sentiments que l'on ressent en lisant ce manga sont forts et ils nous font forcément réfléchir à notre vie, notre entourage - chose extremement rare dans une bd.
Tout a déjà été dit dans les avis précédents, j'ajouterai simplement que ce manga vaut vraiment la peine d'être lu et qu'il mérite largement le titre de "BD culte" !
C'est prometteur, Mr Giroud ! Le premier tome est d'une toute beauté, autant sur les dessins que dans le déroulement de l'histoire, qui adopte un point de vue très féminin. Le second tome est un peu moins accrocheur dans son scénario.
Les histoires abordées sous différents angles, et par différents personnages (qui ne semblent pas connaître la "vérité") apportent une nouvelle dimension (rappelons-nous Berceuse assassine, un régal !).
Cette série sera à apprécier dans son ensemble, alors attendons la suite pour s'étendre sur la question.
Un bon ouvrage, avec des dessins simples et des bonnes idées. Une esquisse de société, un point de vue "de la capitale", un mélange de sentiments pas toujours partagés.
Après lecture du tome 3, je reviens sur mon avis "pas mal" pour le classer en "franchement bien". Il manquait un petit quelque chose (une trame et un peu plus de sens) que l'auteur nous livre ici sur un plateau.
Les silences des personnages en disent long, leur humour ne faiblit pas et on aime leur petite vie qui sa rapproche parfois un peu la nôtre.
Je trouve que globalement cette BD est réussie, tant pour le scénario que le graphisme. L'expression des animaux est bien rendue...peut-être pourrait-on pousser un peu plus sur la psychologie du héros qui a un lourd potentiel. J'attends quand même (avec impatience néanmoins) le prochain tome pour confirmer ce jugement.
C'est du pur plaisir de voir évoluer ces rats. Le cynisme et l'humour noir sont de qualité. La comparaison avec la société est franchement réussie, un poil pessimiste mais tout l'humour est justement à ce niveau.
J'adore le dessin. J'avoue que la qualité des scénarios est parfois inégale mais à faire pâlir bon nombre d'autres BD. Si l'on doit n'en lire qu'un seul (ce qui serait dommage, mais bon...), je conseille le tome 2 "Jefferson ou le mal de vivre"... là le mot culte prend à mon avis tout son sens.
Pffiou, alors ça, c’est du scénario ! En quelques pages, j’ai quitté mon douillet canapé, et me suis retrouvée jetée sur les routes en compagnie des vagabonds, chômeurs, enfants abandonnés, tous victimes de la grande dépression consécutive à la crise de 1929. On est pris aux tripes, le dessin, un noir et blanc fin et fouillé, ajoute encore au sentiment de désesp-errance (;)), bref, on est scotché.
C’est donc une lecture assez éprouvante, un peu à la manière de Maus ou de Gen d'Hiroshima, mais, également passionnante. En effet, outre l'histoire personnelle du personnage principal, le contexte est remarquablement bien décrit, et permet de se faire une idée assez précise de la terrible situation de ces gens ; il y a même, à la fin de l'album, quelques annexes documentaires. Peut-être plus à emprunter qu’à acheter, parce que ce n’est pas une ambiance dans laquelle il fait bon se replonger régulièrement, à mon avis, mais à lire, très certainement.
Vraiment pas mal. Je n'apprécie que moyennement le dessin, mais on ne peut lui dénier une certaine qualité. Quand à l'histoire, même si elle pioche dans pas-mal de choses déjà vues, elle s'annonce vraiment avec un suspens poignant et surtout une ambiance lugubre très réussie.
J'attends la suite.
J'ai adoré cette histoire. Les raisons tiennent surtout au traitement scénaristique du récit. Dès les premières pages, Makyo nous installe dans une ambiance pesante qui est celle des pêcheurs au long cours. En filigrane on devine le drame et la mort qui guettent... Et du coup, chaque case, chaque regard des personnages que l'on croise, prennent une épaisseur humaine incroyable. J'ai dévoré le récit au sens plein du terme et même si j'ai préféré le tome 1 par le questionnement qu'il installe autour de la paternité, le tome 2 par son ton plus dramatique m'a tenu en haleine.
Côté graphisme, c'est pas transcendant mais pour tout dire, je m'en fous un peu, tant l'histoire est dense et maîtrisée. Et quant à moi, c'est surtout ce que je demande à une bd...
Bref, au risque de me répéter, j'ai fait avec ces pêcheurs d'Islande et le petit Moïse un bien beau voyage.
Un agréable moment de lecture que ce recueil d'histoires policières de l'Angleterre victorienne. Le ton général est, comme il sied si bien au cadre, très flegmatique, et le dessin est sympa. Une BD qui, sans originalité, procédé ou artifice particulier, se laisse tout de même dévorer avec plaisir.
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Un Gros Livre d'Enfer (C'est l'enfer)
Un recueil (une scène ou une "histoire" par page) de tout ce que l'on a subi à l'école de la Maternelle à l'université. Tout est décrit avec un humour subversif et désopilant, de l'impact de l'école sur notre cerveau sur "comment se planter en fac comme tout le monde". Matt Groening nous livre une vision géniale et à peine exagérée de l'école. On s'y retrouve tous à un moment ou un autre (voir les 9 neufs types de prof' de Lycée ou de fac). C'est parfois un peu chargé au niveau de l'écriture mais c'est jamais trop lourd tant les commentaires acerbes sont de qualité. La description du doctorat frôle la perfection. Bref, étonné de voir qu'il n'avait pas été référencé, je m'empresse de le faire...vivre c'est partager et là, c'est rien que du bonheur. Note de la modération : Avis portant à l'époque uniquement sur le tome "l'Ecole c'est l'enfer"
Quartier lointain
Une merveille ! Ce manga est littéralement renversant. Qui n'a jamais révé de pouvoir revenir dans le temps et revivre une partie de sa vie afin d'améliorer le cours des événements ? C'est ce que Taniguchi nous propose en nous faisant découvrir l'histoire de Hiroshi Nakahara qui va revivre l'age de ses 14 ans. Le dessin est classique pour un manga, simple et efficace en fait. Pas besoin d'en rajouter car tout l'intêret réside dans l'histoire qui nous est racontée. Les sentiments que l'on ressent en lisant ce manga sont forts et ils nous font forcément réfléchir à notre vie, notre entourage - chose extremement rare dans une bd. Tout a déjà été dit dans les avis précédents, j'ajouterai simplement que ce manga vaut vraiment la peine d'être lu et qu'il mérite largement le titre de "BD culte" !
Quintett
C'est prometteur, Mr Giroud ! Le premier tome est d'une toute beauté, autant sur les dessins que dans le déroulement de l'histoire, qui adopte un point de vue très féminin. Le second tome est un peu moins accrocheur dans son scénario. Les histoires abordées sous différents angles, et par différents personnages (qui ne semblent pas connaître la "vérité") apportent une nouvelle dimension (rappelons-nous Berceuse assassine, un régal !). Cette série sera à apprécier dans son ensemble, alors attendons la suite pour s'étendre sur la question.
Le combat ordinaire
Un bon ouvrage, avec des dessins simples et des bonnes idées. Une esquisse de société, un point de vue "de la capitale", un mélange de sentiments pas toujours partagés. Après lecture du tome 3, je reviens sur mon avis "pas mal" pour le classer en "franchement bien". Il manquait un petit quelque chose (une trame et un peu plus de sens) que l'auteur nous livre ici sur un plateau. Les silences des personnages en disent long, leur humour ne faiblit pas et on aime leur petite vie qui sa rapproche parfois un peu la nôtre.
Blacksad
Je trouve que globalement cette BD est réussie, tant pour le scénario que le graphisme. L'expression des animaux est bien rendue...peut-être pourrait-on pousser un peu plus sur la psychologie du héros qui a un lourd potentiel. J'attends quand même (avec impatience néanmoins) le prochain tome pour confirmer ce jugement.
Pacush Blues
C'est du pur plaisir de voir évoluer ces rats. Le cynisme et l'humour noir sont de qualité. La comparaison avec la société est franchement réussie, un poil pessimiste mais tout l'humour est justement à ce niveau. J'adore le dessin. J'avoue que la qualité des scénarios est parfois inégale mais à faire pâlir bon nombre d'autres BD. Si l'on doit n'en lire qu'un seul (ce qui serait dommage, mais bon...), je conseille le tome 2 "Jefferson ou le mal de vivre"... là le mot culte prend à mon avis tout son sens.
Les rois vagabonds
Pffiou, alors ça, c’est du scénario ! En quelques pages, j’ai quitté mon douillet canapé, et me suis retrouvée jetée sur les routes en compagnie des vagabonds, chômeurs, enfants abandonnés, tous victimes de la grande dépression consécutive à la crise de 1929. On est pris aux tripes, le dessin, un noir et blanc fin et fouillé, ajoute encore au sentiment de désesp-errance (;)), bref, on est scotché. C’est donc une lecture assez éprouvante, un peu à la manière de Maus ou de Gen d'Hiroshima, mais, également passionnante. En effet, outre l'histoire personnelle du personnage principal, le contexte est remarquablement bien décrit, et permet de se faire une idée assez précise de la terrible situation de ces gens ; il y a même, à la fin de l'album, quelques annexes documentaires. Peut-être plus à emprunter qu’à acheter, parce que ce n’est pas une ambiance dans laquelle il fait bon se replonger régulièrement, à mon avis, mais à lire, très certainement.
Dontar
Vraiment pas mal. Je n'apprécie que moyennement le dessin, mais on ne peut lui dénier une certaine qualité. Quand à l'histoire, même si elle pioche dans pas-mal de choses déjà vues, elle s'annonce vraiment avec un suspens poignant et surtout une ambiance lugubre très réussie. J'attends la suite.
Le Coeur en Islande
J'ai adoré cette histoire. Les raisons tiennent surtout au traitement scénaristique du récit. Dès les premières pages, Makyo nous installe dans une ambiance pesante qui est celle des pêcheurs au long cours. En filigrane on devine le drame et la mort qui guettent... Et du coup, chaque case, chaque regard des personnages que l'on croise, prennent une épaisseur humaine incroyable. J'ai dévoré le récit au sens plein du terme et même si j'ai préféré le tome 1 par le questionnement qu'il installe autour de la paternité, le tome 2 par son ton plus dramatique m'a tenu en haleine. Côté graphisme, c'est pas transcendant mais pour tout dire, je m'en fous un peu, tant l'histoire est dense et maîtrisée. Et quant à moi, c'est surtout ce que je demande à une bd... Bref, au risque de me répéter, j'ai fait avec ces pêcheurs d'Islande et le petit Moïse un bien beau voyage.
Green Manor
Un agréable moment de lecture que ce recueil d'histoires policières de l'Angleterre victorienne. Le ton général est, comme il sied si bien au cadre, très flegmatique, et le dessin est sympa. Une BD qui, sans originalité, procédé ou artifice particulier, se laisse tout de même dévorer avec plaisir.