Lodoss est LE manga d'héroic-fantasy: pûr monde de jeu de rôle avec des elfs, des dragons, de la magie, des dieux,... (c'est rare donc c'a fait plaisir)
C'est une série très complète qui est développée sous divers formats: animés(OAV et série TV), romans et bien sûr mangas (il y a même plusieures séries en manga).
La série dont je vous parle ici raconte le passé: l'histoire des six héros qui ont sauvé Lodoss et qui sont rois aujourd'hui.C'est une superbe épopée dont nous n'avons malheureusement pas la fin car Delcourt n'a jamais édité la suite, dommage...
Côté dessins ils font un peu vieux mais sont quand même superbes et rendent bien l'ambiance des combats (bons effets de mouvements).
En gros, c'est Lodoss et J'ADORE.
PS: La série principale sont les OAV en 13 épisodes et c'est vraiment CULTE!!!!!!!
quand william baroudowski (bill baroud) le super agent du FBI passe à l'action pour sauver la terre et le monde libre (principalement des "rouges"). farouchement anti-communiste et pro US, bill baroud est un empilement volontaire de tous les clichés du cinema américain, que larcenet restituent parfaitement. rien que pour les repliques et la subtilité particuliere du personnage ça vaut le coup("la ruse etait grossiere, la reponse fut du même tonneau").
Culte, culte et encore culte!
Tout ce qu'écrit Larcenet me fait mourir de rire, mais la il s'est surpassé.
La connerie de Bill Baroud n'a d'égale que son patriotisme (cf l'épisode avec Reagan). Et cette idée de prendre des ennemis comme Pierre Richard ou Caliméro.
Et les dessins de Larcenet qui paraissent si simples aux premier abord, peuvent véhiculer tellement d'émotions, d'expressions différentes.
Bref, du bonheur a l'état pur
cette BD ce sont d'abord des dessins sublimes avec une alternance crayonné/encré du meilleur effet. le scenario est egalement excellent: ici pas de temps mort, on va de rebondissements en rebondissements ponctués de superbes combats au sabre, dans un japon médieval trés fouillé. les personnages sont tous ambivalents ce qui rajoute à la densité de l'histoire. une quete dont on attend la suite avec impatience.
dommage que l'edition europpenne ai de nombreux ratés et soit un peu lente à paraitre.
Le manga à posséder absolument! Par contre si vous avez des a priori sur la BD japonaise, je ne pense pas qu'il faille commencer par celui là : le dessin est superbe et le scénario bien ficelé, bien que plutôt simple. C'est plutôt violent (voire même beaucoup parfois). Ca explose dans tous les sens, ça détruit de partout, mais c'est normal pour du post-apocalyptique. Pour résumer : très bon mais spécial, pour amateurs d'action intensive.
Je trouve Raymond Calbuth encore meilleur que Jean-Claude Tergal. La meilleure oeuvre de Tronchet à mon avis. C'est à se pisser dessus tellement Raymond et Monique sont beauf. De la vache qui rit et ses paquets impossibles à la paix dans le monde en passant par le génocide des spermatozoïdes ou la séance photo des radios de Monique, tout y passe! Un patchwork de beaufitude d'une tendresse malgré tout évidente. Allez hop, semaine prochaine scrabble avec les Gaburnot!
A noter que des 7 tomes actuellement disponibles, les 6 premiers sont des rééditions de 4 albums grand format parus précédemment chez Glénat. D'ailleurs je vais déposer une plainte parce que ça fait tout moche sur mon étagère si je les mets à côté donc je sépare et c'est pas logique (sujet trivial penserez-vous mais primordial pour mon bien être).
Jeune historien et bdéphile, je crois que cette tétralogie est à inscrire dans les annales de la bande dessinée. Le scénario a l'art de ne pas tomber dans un anticléricalisme bête et méchant style Triangle secret. L'intrigue est parfaitement construite et tient le lecteur en haleine. Vivement le dernier (ou la fin d'une série). J'avoue que je serai triste de ne pas voir cette bd se terminer: il faut savoir mettre un point final et ne pas faire du XIII.
Beaucoup de gens considèrent Watchmen comme l’ultime chef d’œuvre de Moore. À mon humble avis, sans vouloir nier la force de son histoire de super-héros vieillissants, je crois qu’il n’a rien fait de mieux à ce jour que V for Vendetta. Ici point de super-héros. Le personnage principal, V, est bel et bien masqué, porte la cape et un costume identifiable, mais c’est dans le cadre du « rôle » qu’il joue, comme les comédiens de la Grèce antique ou du Nô oriental (le théâtre traditionnel japonais).
V n’a pas de nom, pas d’identité propre, car V échappe à toute classification, à tout ordre imposé. V n’est plus une personne, mais un concept, une idée.
Dans un monde post-apocalyptique (bien que l’histoire se déroule en 1997-98, à l’instar du New-York 97 de John Carpenter), l’Angleterre est aux mains d’une dictature qui s’appuie sur une organisation très rigide.
La Voix, outil de propagande du régime en place, le Nez, l’équivalent de la police d’investigation, l’Oreille, qui épie les moindres paroles, faits et gestes des citoyens, et la Main, véritable force de frappe et de maintien de l’ordre, sont les différents « organes » du pouvoir. Le tout sous le commandement de la Tête, autrement dit de l’homme qui en concertation avec son super-ordinateur, prend toutes les décisions.
Dans ce contexte, V est comme un chien dans un jeu de quilles. V se rebelle, V se fait le défenseur et le porte-parole de la liberté bafouée.
Alan Moore ne fait pas l’apologie de l’anarchie, comme on pourrait le croire au premier abord. Cette notion l’intéresse et il en profite pour nous livrer ses réflexions à ce sujet. Mais le fond du propos de Moore n’est pas là. Ce qu’il défend, ce dont V est l’étendard (et c’est peut-être également la raison pour laquelle il n’a pas de visage humain), c’est avant tout la liberté de penser.
Et pourtant V est également un terroriste au sens strict du terme. Il fait exploser des monuments, assassine ceux qui représentent le pouvoir et méritent de mourir selon lui. N’oublions pas le « Vendetta » du titre. Par moment, on se demande si c’est l’esprit de vengeance pure qui guide V, ou l’idéal dont il se fait l’icône …
Alan Moore, comme à son habitude, développe un monde complexe et n’a pas peur d’entrer dans les détails. Les personnages sont nombreux, mais tous très justes dans leurs traitements et leurs évolutions.
Certains butteront sur un dessin austère, un trait dur. Il est vrai que le style de Lloyd n’est pas des plus engageants. Je soupçonne même Moore de choisir ses dessinateurs selon ce critère. Ça lui permet de s’assurer de faire passer le scénario avant le dessin, de capturer toute l’attention du lecteur et de la diriger sur l’histoire.
Le revers de la médaille, c’est que cela décourage nombre de lecteurs potentiels, plus attachés à la qualité graphique d’une BD. Et là encore, j’ai ma petite hypothèse. Moore l’a prouvé maintes fois dans ses travaux, il ne laisse rien au hasard. Et il me paraît évident également qu’il fournit à chaque fois un travail énorme, dense, très complet qui doit lui demander beaucoup d’investissement. Il n’est donc pas impossible qu’il exige en retour de ses lecteurs un effort de lecture et de concentration à la hauteur de ses œuvres … ce qui cadredrait aussi avec le côté mégalo du personnage …
Moore est définitivement un phénomène hors-norme.
Un manga très émouvant, bien raconté, dessin superbe.
Pour une fois pas d'histoire de yakusa (rare venant d'ikegami).
J'ai beaucoup aimé, ca s'inscrit dans les mangas qui sortent de l'ordinaire comme le cheminot ou quartier lointain.
Le chef d'oeuvre d'Alan Moore selon moi. Dense, intense, sans compromis. Et V est un des personnages les plus fascinants et mysterieux qui soit. C'est vrai que le dessin déroute, voire rebute au debut (on dirait par moment qu'il n'y a pas d'encrage) mais ensuite!
A ranger a coté de 1984.
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Les Chroniques de la guerre de Lodoss
Lodoss est LE manga d'héroic-fantasy: pûr monde de jeu de rôle avec des elfs, des dragons, de la magie, des dieux,... (c'est rare donc c'a fait plaisir) C'est une série très complète qui est développée sous divers formats: animés(OAV et série TV), romans et bien sûr mangas (il y a même plusieures séries en manga). La série dont je vous parle ici raconte le passé: l'histoire des six héros qui ont sauvé Lodoss et qui sont rois aujourd'hui.C'est une superbe épopée dont nous n'avons malheureusement pas la fin car Delcourt n'a jamais édité la suite, dommage... Côté dessins ils font un peu vieux mais sont quand même superbes et rendent bien l'ambiance des combats (bons effets de mouvements). En gros, c'est Lodoss et J'ADORE. PS: La série principale sont les OAV en 13 épisodes et c'est vraiment CULTE!!!!!!!
Bill Baroud
quand william baroudowski (bill baroud) le super agent du FBI passe à l'action pour sauver la terre et le monde libre (principalement des "rouges"). farouchement anti-communiste et pro US, bill baroud est un empilement volontaire de tous les clichés du cinema américain, que larcenet restituent parfaitement. rien que pour les repliques et la subtilité particuliere du personnage ça vaut le coup("la ruse etait grossiere, la reponse fut du même tonneau").
Bill Baroud
Culte, culte et encore culte! Tout ce qu'écrit Larcenet me fait mourir de rire, mais la il s'est surpassé. La connerie de Bill Baroud n'a d'égale que son patriotisme (cf l'épisode avec Reagan). Et cette idée de prendre des ennemis comme Pierre Richard ou Caliméro. Et les dessins de Larcenet qui paraissent si simples aux premier abord, peuvent véhiculer tellement d'émotions, d'expressions différentes. Bref, du bonheur a l'état pur
L'Habitant de l'infini
cette BD ce sont d'abord des dessins sublimes avec une alternance crayonné/encré du meilleur effet. le scenario est egalement excellent: ici pas de temps mort, on va de rebondissements en rebondissements ponctués de superbes combats au sabre, dans un japon médieval trés fouillé. les personnages sont tous ambivalents ce qui rajoute à la densité de l'histoire. une quete dont on attend la suite avec impatience. dommage que l'edition europpenne ai de nombreux ratés et soit un peu lente à paraitre.
Akira
Le manga à posséder absolument! Par contre si vous avez des a priori sur la BD japonaise, je ne pense pas qu'il faille commencer par celui là : le dessin est superbe et le scénario bien ficelé, bien que plutôt simple. C'est plutôt violent (voire même beaucoup parfois). Ca explose dans tous les sens, ça détruit de partout, mais c'est normal pour du post-apocalyptique. Pour résumer : très bon mais spécial, pour amateurs d'action intensive.
Raymond Calbuth
Je trouve Raymond Calbuth encore meilleur que Jean-Claude Tergal. La meilleure oeuvre de Tronchet à mon avis. C'est à se pisser dessus tellement Raymond et Monique sont beauf. De la vache qui rit et ses paquets impossibles à la paix dans le monde en passant par le génocide des spermatozoïdes ou la séance photo des radios de Monique, tout y passe! Un patchwork de beaufitude d'une tendresse malgré tout évidente. Allez hop, semaine prochaine scrabble avec les Gaburnot! A noter que des 7 tomes actuellement disponibles, les 6 premiers sont des rééditions de 4 albums grand format parus précédemment chez Glénat. D'ailleurs je vais déposer une plainte parce que ça fait tout moche sur mon étagère si je les mets à côté donc je sépare et c'est pas logique (sujet trivial penserez-vous mais primordial pour mon bien être).
Le Troisième Testament
Jeune historien et bdéphile, je crois que cette tétralogie est à inscrire dans les annales de la bande dessinée. Le scénario a l'art de ne pas tomber dans un anticléricalisme bête et méchant style Triangle secret. L'intrigue est parfaitement construite et tient le lecteur en haleine. Vivement le dernier (ou la fin d'une série). J'avoue que je serai triste de ne pas voir cette bd se terminer: il faut savoir mettre un point final et ne pas faire du XIII.
V pour Vendetta
Beaucoup de gens considèrent Watchmen comme l’ultime chef d’œuvre de Moore. À mon humble avis, sans vouloir nier la force de son histoire de super-héros vieillissants, je crois qu’il n’a rien fait de mieux à ce jour que V for Vendetta. Ici point de super-héros. Le personnage principal, V, est bel et bien masqué, porte la cape et un costume identifiable, mais c’est dans le cadre du « rôle » qu’il joue, comme les comédiens de la Grèce antique ou du Nô oriental (le théâtre traditionnel japonais). V n’a pas de nom, pas d’identité propre, car V échappe à toute classification, à tout ordre imposé. V n’est plus une personne, mais un concept, une idée. Dans un monde post-apocalyptique (bien que l’histoire se déroule en 1997-98, à l’instar du New-York 97 de John Carpenter), l’Angleterre est aux mains d’une dictature qui s’appuie sur une organisation très rigide. La Voix, outil de propagande du régime en place, le Nez, l’équivalent de la police d’investigation, l’Oreille, qui épie les moindres paroles, faits et gestes des citoyens, et la Main, véritable force de frappe et de maintien de l’ordre, sont les différents « organes » du pouvoir. Le tout sous le commandement de la Tête, autrement dit de l’homme qui en concertation avec son super-ordinateur, prend toutes les décisions. Dans ce contexte, V est comme un chien dans un jeu de quilles. V se rebelle, V se fait le défenseur et le porte-parole de la liberté bafouée. Alan Moore ne fait pas l’apologie de l’anarchie, comme on pourrait le croire au premier abord. Cette notion l’intéresse et il en profite pour nous livrer ses réflexions à ce sujet. Mais le fond du propos de Moore n’est pas là. Ce qu’il défend, ce dont V est l’étendard (et c’est peut-être également la raison pour laquelle il n’a pas de visage humain), c’est avant tout la liberté de penser. Et pourtant V est également un terroriste au sens strict du terme. Il fait exploser des monuments, assassine ceux qui représentent le pouvoir et méritent de mourir selon lui. N’oublions pas le « Vendetta » du titre. Par moment, on se demande si c’est l’esprit de vengeance pure qui guide V, ou l’idéal dont il se fait l’icône … Alan Moore, comme à son habitude, développe un monde complexe et n’a pas peur d’entrer dans les détails. Les personnages sont nombreux, mais tous très justes dans leurs traitements et leurs évolutions. Certains butteront sur un dessin austère, un trait dur. Il est vrai que le style de Lloyd n’est pas des plus engageants. Je soupçonne même Moore de choisir ses dessinateurs selon ce critère. Ça lui permet de s’assurer de faire passer le scénario avant le dessin, de capturer toute l’attention du lecteur et de la diriger sur l’histoire. Le revers de la médaille, c’est que cela décourage nombre de lecteurs potentiels, plus attachés à la qualité graphique d’une BD. Et là encore, j’ai ma petite hypothèse. Moore l’a prouvé maintes fois dans ses travaux, il ne laisse rien au hasard. Et il me paraît évident également qu’il fournit à chaque fois un travail énorme, dense, très complet qui doit lui demander beaucoup d’investissement. Il n’est donc pas impossible qu’il exige en retour de ses lecteurs un effort de lecture et de concentration à la hauteur de ses œuvres … ce qui cadredrait aussi avec le côté mégalo du personnage … Moore est définitivement un phénomène hors-norme.
Yuko (Nouvelles de littérature japonaise)
Un manga très émouvant, bien raconté, dessin superbe. Pour une fois pas d'histoire de yakusa (rare venant d'ikegami). J'ai beaucoup aimé, ca s'inscrit dans les mangas qui sortent de l'ordinaire comme le cheminot ou quartier lointain.
V pour Vendetta
Le chef d'oeuvre d'Alan Moore selon moi. Dense, intense, sans compromis. Et V est un des personnages les plus fascinants et mysterieux qui soit. C'est vrai que le dessin déroute, voire rebute au debut (on dirait par moment qu'il n'y a pas d'encrage) mais ensuite! A ranger a coté de 1984.