Tout à fait d'accord avec les deux avis précédents : cette série demarre bien.
Le scénario est cohérent, compréhensible et met en place une intrigue intéressante.
Côté dessin, un seul petit bémol : les visages ne sont pas toujours tip-top, mais ça ne gâche pas l'album (même si ça diminue un peu le plaisir de lecture).
Petite note positive pour les peintures du territoire.
A lire donc.
Voilà certainement la meilleure série de Jacques Martin. Débarrassée des scories habituelles inhérentes à son oeuvre (pédophilie, naïveté...), elle propose des intrigues policières nerveuses, souvent très maîtrisées, grâce au trait de Martin enfin mature...
Très bons, ces deux tomes! Tronchet jette un pavé dans la mare avec cette belle satire. C'est peut-être un peu moins caustique que d'autres choses qu'il a pu faire (‘Les damnés de la terre’, par exemple), mais c'est peut-être ce qu’il a fait de plus pertinent.
N'avez-vous jamais ressenti comme une gêne l'obligation sociale de s'amuser le jour du réveillon? Si oui, plongez vous dans cette histoire, elle veut le coup d'oeil... et l'achat.
Tronchet sait mener un long scénario de bout en bout. Et son dessin est toujours égal à lui-même, c’est-à-dire pas beau mais plein de tronches incroyables.
Frais et divertissant.
Mais si les dessins sont de plus en plus sympa au fur et à mesure des albums on voit que les auteurs perdent de leur inspiration (le tome 10 et ce que j'ai lu du 11e sont vraiment décevants...:()
Bon, de toute façon, ce n'est pas du tout une BD qui se prend la tête et ça reste bien marrant;).
Comès est décidément un auteur complet et trés intéressant. Derrière un graphisme dépouillé de toutes fioritures se cache une grande sensibilité et une maitrise graphique lumineuses. Ses planches en noir et blanc sont d'une grande beauté. Ses thèmes de prédilection (difficultés relationnelles, retour vers les valeurs simples et essentielles, attachement aux rythmes de vie authentiques) sont déclinés de manière très lisible et claire. Comès devrait donner des cours à bien des auteurs qui pensent que qualité scénaristique rime avec histoires compliquées et tarabiscotées.
"La belette" résume assez bien ces dernières remarques. L'histoire est simple et belle et en même temps sans concession. Le graphisme possède une vraie force et une lumineuse clarté....
Je vais pas en dire davantage, lisez et appréciez...
J'ai commencé à aimer Sillage dès le 1er album, le graphisme valait déjà le détour et l'idée d'un Space Opéra m'a séduite.
Et la suite ne m'a pas déçue, Nävis est totalement craquante avec sa naïveté et sa foi en l'homme, les auteurs ne lui font pas de cadeau et l'on voit ainsi toute l'évolution du personnage. Au fils des album Nävis gagne en maturité, et nous donne l'impression d'être une amie que l'on apprend à connaître.
Les personnages secondaires son aussi trés fouillés de même que le convoi dans lequelle ils vivent. Les auteurs ont réussi à créer un univers très complet qui va nous surprendre et nous émerveiller encore pour longtemps (j'espère).
Très bel album, des dessins magnifiques pour ne pas changer, je pense que voilà un one-shot qu'il faut avoir lu si on a aimé l'autre série phare de Marc Antoine Mathieu dont on retrouve des éléments.
C'est vrai que la lecture n'est pas facile, le style est très littéraire, et tout n'est pas clair tout de suite. En fait l'auteur nous met en garde sur l'importance des mots et de la langue, ainsi que des souvenirs à travers cette "amnésie".
Voilà un des grands classiques de la bande dessinée des années 60-70. Même si les derniers tomes perdent de leur charme, les premiers sont vraiment incontournables pour se faire une idée de la bd de cette période. Les dessins sont bons, même s'ils sont dans l'air du temps... Lefranc est l'intermédiaire entre Tintin et Blake et Mortimer. Je ne la considère pas comme culte, même si sa lecture me procure une bonne dose de rêve et d'aventure.
AH... Morvan... Morvan...
Où trouves-tu toute cette inspiration.
Encore un scenario différent de tous les autres mais pourtant très interessant!
Et si la mort n'existait plus?
Et si 2 enfants pouvaient la faire revenir?
Mais ces enfants vont ils suivre le même chemin?
...
Le dessin est plutôt sympathique, aucune erreur ne saute aux yeux...
Très agréable à lire et regarder.
J'attends la suite avec grande impatience!
------------------------
edit:
ça y est, la suite est là!
Niveau dessin: toujours dans le meme style, très agréable.
Scenar, l'histoire s'étoffe petit à petit.... on en arrive à se poser certaines questions (notamment sur les parents des 2 enfants??).
Pour ne pas tout dévoiler, je dirais le passage de flash back est très sympa meme si on se doute un peu de la trame.
C'est dommage que Morvan n'ait pas + insisté sur les différences de caractère entre Zorn et Dirna..... le 1 laisait présager comme une sorte de conflit.... enfin bon, il reste encore 2 tomes, on verra bien!
En attendant, Z&D reste à mon avis une très bonne série!
Avec cet album datant de 1990, Frédéric Boilet avait déjà trouvé sa thématique et son univers faits de désirs refoulés et d’aventures sans lendemain. Finalement, c’est un peu à chaque fois la même histoire que nous raconte Boilet, que ce soit avec Peeters dans « Love Hotel » ou en solo dans le fabuleux « L’Epinard de Yukiko ». Mais loin de se répéter, ces différents albums se présentent comme d’intéressantes variations sur les mêmes thèmes : la passion fugitive et la déchirure inéluctable qui s’ensuit.
« 36 15 Alexia », ça commence par une rencontre sur minitel, celle d’une femme mystérieuse et envoûtante, un amour longuement désiré avant d’être concrétisé. Puis c’est la véritable rencontre, la passion puis la séparation… une histoire d’amour comme il en existe plein, mais racontée avec brio.
La fin de l’album frise le génial. Je ne saurais vous en dire plus au risque d’en dévoiler trop, mais d’une certaine manière, Boilet propose deux fins, diamétralement opposées : une fantasque, imaginaire, et une autre plus réaliste, tout cela grâce à un jeu de mise en abîme qui va plus loin que le simple exercice de style. Le genre d’idée qui fait toute la différence entre un album sympa et un très bon album.
Côté dessin, ce n’est pas aussi beau que ce que fait Boilet maintenant. On notera néanmoins une mise en scène souvent habile et des jeux de couleurs particulièrement subtils.
Cet album a beau avoir treize ans, il n'a pas pris une ride. Vivement sa réédition programmée chez Ego comme X, que tout le monde puisse profiter de cet album devenu difficilement trouvable.
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Le Territoire
Tout à fait d'accord avec les deux avis précédents : cette série demarre bien. Le scénario est cohérent, compréhensible et met en place une intrigue intéressante. Côté dessin, un seul petit bémol : les visages ne sont pas toujours tip-top, mais ça ne gâche pas l'album (même si ça diminue un peu le plaisir de lecture). Petite note positive pour les peintures du territoire. A lire donc.
Lefranc
Voilà certainement la meilleure série de Jacques Martin. Débarrassée des scories habituelles inhérentes à son oeuvre (pédophilie, naïveté...), elle propose des intrigues policières nerveuses, souvent très maîtrisées, grâce au trait de Martin enfin mature...
Houppeland
Très bons, ces deux tomes! Tronchet jette un pavé dans la mare avec cette belle satire. C'est peut-être un peu moins caustique que d'autres choses qu'il a pu faire (‘Les damnés de la terre’, par exemple), mais c'est peut-être ce qu’il a fait de plus pertinent. N'avez-vous jamais ressenti comme une gêne l'obligation sociale de s'amuser le jour du réveillon? Si oui, plongez vous dans cette histoire, elle veut le coup d'oeil... et l'achat. Tronchet sait mener un long scénario de bout en bout. Et son dessin est toujours égal à lui-même, c’est-à-dire pas beau mais plein de tronches incroyables.
Le Petit Spirou
Frais et divertissant. Mais si les dessins sont de plus en plus sympa au fur et à mesure des albums on voit que les auteurs perdent de leur inspiration (le tome 10 et ce que j'ai lu du 11e sont vraiment décevants...:() Bon, de toute façon, ce n'est pas du tout une BD qui se prend la tête et ça reste bien marrant;).
La Belette
Comès est décidément un auteur complet et trés intéressant. Derrière un graphisme dépouillé de toutes fioritures se cache une grande sensibilité et une maitrise graphique lumineuses. Ses planches en noir et blanc sont d'une grande beauté. Ses thèmes de prédilection (difficultés relationnelles, retour vers les valeurs simples et essentielles, attachement aux rythmes de vie authentiques) sont déclinés de manière très lisible et claire. Comès devrait donner des cours à bien des auteurs qui pensent que qualité scénaristique rime avec histoires compliquées et tarabiscotées. "La belette" résume assez bien ces dernières remarques. L'histoire est simple et belle et en même temps sans concession. Le graphisme possède une vraie force et une lumineuse clarté.... Je vais pas en dire davantage, lisez et appréciez...
Sillage
J'ai commencé à aimer Sillage dès le 1er album, le graphisme valait déjà le détour et l'idée d'un Space Opéra m'a séduite. Et la suite ne m'a pas déçue, Nävis est totalement craquante avec sa naïveté et sa foi en l'homme, les auteurs ne lui font pas de cadeau et l'on voit ainsi toute l'évolution du personnage. Au fils des album Nävis gagne en maturité, et nous donne l'impression d'être une amie que l'on apprend à connaître. Les personnages secondaires son aussi trés fouillés de même que le convoi dans lequelle ils vivent. Les auteurs ont réussi à créer un univers très complet qui va nous surprendre et nous émerveiller encore pour longtemps (j'espère).
Mémoire morte
Très bel album, des dessins magnifiques pour ne pas changer, je pense que voilà un one-shot qu'il faut avoir lu si on a aimé l'autre série phare de Marc Antoine Mathieu dont on retrouve des éléments. C'est vrai que la lecture n'est pas facile, le style est très littéraire, et tout n'est pas clair tout de suite. En fait l'auteur nous met en garde sur l'importance des mots et de la langue, ainsi que des souvenirs à travers cette "amnésie".
Lefranc
Voilà un des grands classiques de la bande dessinée des années 60-70. Même si les derniers tomes perdent de leur charme, les premiers sont vraiment incontournables pour se faire une idée de la bd de cette période. Les dessins sont bons, même s'ils sont dans l'air du temps... Lefranc est l'intermédiaire entre Tintin et Blake et Mortimer. Je ne la considère pas comme culte, même si sa lecture me procure une bonne dose de rêve et d'aventure.
Zorn & Dirna
AH... Morvan... Morvan... Où trouves-tu toute cette inspiration. Encore un scenario différent de tous les autres mais pourtant très interessant! Et si la mort n'existait plus? Et si 2 enfants pouvaient la faire revenir? Mais ces enfants vont ils suivre le même chemin? ... Le dessin est plutôt sympathique, aucune erreur ne saute aux yeux... Très agréable à lire et regarder. J'attends la suite avec grande impatience! ------------------------ edit: ça y est, la suite est là! Niveau dessin: toujours dans le meme style, très agréable. Scenar, l'histoire s'étoffe petit à petit.... on en arrive à se poser certaines questions (notamment sur les parents des 2 enfants??). Pour ne pas tout dévoiler, je dirais le passage de flash back est très sympa meme si on se doute un peu de la trame. C'est dommage que Morvan n'ait pas + insisté sur les différences de caractère entre Zorn et Dirna..... le 1 laisait présager comme une sorte de conflit.... enfin bon, il reste encore 2 tomes, on verra bien! En attendant, Z&D reste à mon avis une très bonne série!
36 15 Alexia
Avec cet album datant de 1990, Frédéric Boilet avait déjà trouvé sa thématique et son univers faits de désirs refoulés et d’aventures sans lendemain. Finalement, c’est un peu à chaque fois la même histoire que nous raconte Boilet, que ce soit avec Peeters dans « Love Hotel » ou en solo dans le fabuleux « L’Epinard de Yukiko ». Mais loin de se répéter, ces différents albums se présentent comme d’intéressantes variations sur les mêmes thèmes : la passion fugitive et la déchirure inéluctable qui s’ensuit. « 36 15 Alexia », ça commence par une rencontre sur minitel, celle d’une femme mystérieuse et envoûtante, un amour longuement désiré avant d’être concrétisé. Puis c’est la véritable rencontre, la passion puis la séparation… une histoire d’amour comme il en existe plein, mais racontée avec brio. La fin de l’album frise le génial. Je ne saurais vous en dire plus au risque d’en dévoiler trop, mais d’une certaine manière, Boilet propose deux fins, diamétralement opposées : une fantasque, imaginaire, et une autre plus réaliste, tout cela grâce à un jeu de mise en abîme qui va plus loin que le simple exercice de style. Le genre d’idée qui fait toute la différence entre un album sympa et un très bon album. Côté dessin, ce n’est pas aussi beau que ce que fait Boilet maintenant. On notera néanmoins une mise en scène souvent habile et des jeux de couleurs particulièrement subtils. Cet album a beau avoir treize ans, il n'a pas pris une ride. Vivement sa réédition programmée chez Ego comme X, que tout le monde puisse profiter de cet album devenu difficilement trouvable.