3.5
Après Bushido, Koeniguer remets ça -pour notre plus grand plaisir-, cette fois-ci dans les rues des mauvais quartiers de New-York.
Un premier tome franchement réussi, un scénario sympa et bien construit, qui met en place tous les éléments, notamment autour de la morale et l'état d'esprit des 2 flics pourris héros de l'histoire...
Un dessin impec', moderne ; une colorisation claire et "brillante", j'adhère parfaitement :)
L'ensemble est réaliste et crédible, on ne s'ennuie pas, vraiment une très bonne entame de série !
Bonne BD avec un bon scénario et surtout d’excellents dessins appuyés par de jolies couleurs. OK il y a des similitudes avec d’autre BD, mais le tout est consistant.
Cette histoire est un bon moment de détente.
Remarque : Il serait bien que l’auteur mette un poil d’humour supplémentaire dans ces dialogues.
Le canevas de départ de "Black Op" est édifiant et néammoins vrai: la CIA créé ses ennemis de demain pour combattre ses ennemis d'aujourd'hui. Desberg aurait pu s'attaquer aux islamistes formés en Afghanistan, il a préféré s'intéresser au renouveau de la mafia russe; dans les deux cas, le but était le même: éradiquer le communisme. Desberg, très documenté et maître incontestable de la narration, comme le soulignait ArzaK, nous entraine dans l'aventure d'un fils de militaire, première victime officielle des rouges, avec une formidable fluidité qu'on ne peut qu'applaudir. Desberg jongle sur deux époques avec une vraie maitrise et nous propose un thriller politique ancré dans le réel qui s'annonce très alléchant.
Créée en 1959, cette excellente série n'a connu les honneurs de l'édition en albums qu'en 1972 (chez Dupuis, pour 2 albums -le second en 1984 étant une réédition), puis en 1980-81, lorsque les 17 albums suivants sont sortis presque simultanément chez Magic Strip.
Il s'agit là de l'une des meilleurs séries des années 1970-80 chez Dupuis, prépubliée à l'époque dans Spirou.
Lambil, avant d'être le dessinateur stakhanoviste des Tuniques Bleues, avait déjà un sacré abattage avec cette série de qualité, réalisée dans un style plus réaliste, plus adulte.
En effet, on découvre au travers des aventures de cet adolescent et de son kangourou, les grands espaces australiens, les moeurs des aborigènes, les particularités de la faune et de la flore de cet immense continent. Même si quelques passages sont un peu saoûlants (Sandy donnant la tétine à Hoppy), le ton est résolument destiné à des ados évolués, ce qui détonnait un peu dans la production Dupuis.
De l'aventure à l'état pur.
Très imaginatif, Killoffer nous gratifie d’un dessin lisible, proche de l’illustration, et offre une histoire à suivre sans se poser trop de questions, surtout si elles sont rationnelles. Il suffit de se laisser porter par le cheminement étrange de cette fameuse clef qui passe de "main en main". Le final est particulièrement réussi !
Bref, encore un album qui fait mouche dans la collection, un de plus ! :)
Sylvio, originellement publié dans les années 1974 à 1982 dans Pif Gadget, avait ravi le (très) jeune lecteur que j'étais alors. C'est donc avec un grand plaisir que je vois cette série (ré)éditée en album, et dans un beau style. Car Luguy, dessinateur talentueux de Percevan, a pour l'occasion fait appel à un jeune coloriste, Lecocq, qui a su restaurer la série de manière agréable, avec énormément d'aplats cependant. Un vrai ravissement, car le dessin était déjà très vif, portant en germe ce qui fera le succès de la série-phare de Luguy. Quant aux histoires, elles sont basiques : Sylvio (ou un de ses amis) part se balader, il lui arrive une tuile, souvent causée par Jack, et il s'en sort grâce à son ingéniosité. Cela risque de vite lasser les plus de 12 ans, mais l'essentiel -charmer les plus jeunes- est là.
J’entends partout parler de ce "Jazon", et je voulais me faire mon opinion : j'ai donc acheté l'album. Et ma foi j'ai été agréablement surpris ! C’est vrai que les gags sont très inventifs, et le dessin est marrant lui aussi. J'ai ri pas mal. Il y a évidemment des gags qui sont moins bons, mais comme dans toutes les BD d'humour. Bref, Un achat que je conseille sans problème. En attendant le tome 2 !
J'ai vraiment beaucoup aimé cet album. Je l'attendais depuis longtemps, et je n'ai vraiment pas été déçue.
Déjà, il faut dire que les dessins sont vachement bien faits, les différents plans aussi, tout y est, jusqu'aux couleurs ! Très belle ambiance ! Maîtrise totale de l'univers et des personnages, bref, chapeau bas au dessinateur, aussi bien pour les dessins que pour les couleurs, et l'ambiance qu'elles créent.
L'histoire, pareil ! C'est bien foutu, les dialogues et les personnages sont pensés, c'est super intéressant à lire ! C'est pas n'importe quoi, attention. Bon, seul reproche : une fin un peu en queue de poisson, j'aurai aimé une suite, ça c'est clair, mais bon...
Enfin franchement, tout est bon dans cet album, qui m'a littéralement bluffée, et que je conseille parce qu'il vaut le détour !
On rentre très facilement dans ce premier tome de la série qui nous fait découvrir les personnages indépendamment les uns des autres car ils n'évoluent pas, du moins pour l'instant, en groupe ainsi leur seul point commun étant d'être arrivés à Arclan sur le même navire.
Jean-Charles Gaudin le scénariste a visiblement mis l'accent sur la psychologie des personnages et cela est me semble t'il bien réussi même si il est difficile de se faire une opinion sur un premier volume mais cela est très prometteur pour la suite, le découpage est aussi important dans ce premier volume car il nous fait habilement passer de l'histoire d'un personnage à l'autre sans que les coupures ne se fassent ressentir et cela donne envie d'avancer toujours plus vite dans l'histoire !
Sieurac nous gratifie d'un dessin impeccable, fin et travaillé dans le détail. Il a mis l'accent sur les décors et l'architecture de la ville, le résultat est très agréable à regarder !
J’attends le deuxième tome avec impatience, j'ai eu la chance de me faire dédicacer le 1er à la Fnac de Nice par Sieurac et il m'a dit que le 2eme volume était déjà presque terminé donc à priori bientôt disponible !
Cette série est prometteuse, si vous êtes amateur d'aventure avec un soupçon de fantasy !
Un bon premier tome pour cette nouvelle série, j’ai vraiment pas été déçu.
Les décors de style japonais sont vraiment bien représentés, et Hub a réussi à créer un monde riche et des personnages intrigants. C’est un mélange de médiéval, de fantasy, et même de robots même s’il n’y a qu’une courte apparition dans ce premier volet. Pleins de choses se déroulent en un tome, c’est condensé mais fluide.
Comme l’on dit mes prédécesseurs le dessin est vraiment bien maîtrisé, j’aime beaucoup les couleurs aussi, on a l’impression que chaque planche ou chaque passage est dominé par une couleur.
En plus des histoires en 2 tomes c’est sympa, ya pas besoin d’attendre très longtemps la suite.
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Brooklyn 62nd
3.5 Après Bushido, Koeniguer remets ça -pour notre plus grand plaisir-, cette fois-ci dans les rues des mauvais quartiers de New-York. Un premier tome franchement réussi, un scénario sympa et bien construit, qui met en place tous les éléments, notamment autour de la morale et l'état d'esprit des 2 flics pourris héros de l'histoire... Un dessin impec', moderne ; une colorisation claire et "brillante", j'adhère parfaitement :) L'ensemble est réaliste et crédible, on ne s'ennuie pas, vraiment une très bonne entame de série !
Slhoka
Bonne BD avec un bon scénario et surtout d’excellents dessins appuyés par de jolies couleurs. OK il y a des similitudes avec d’autre BD, mais le tout est consistant. Cette histoire est un bon moment de détente. Remarque : Il serait bien que l’auteur mette un poil d’humour supplémentaire dans ces dialogues.
Black Op
Le canevas de départ de "Black Op" est édifiant et néammoins vrai: la CIA créé ses ennemis de demain pour combattre ses ennemis d'aujourd'hui. Desberg aurait pu s'attaquer aux islamistes formés en Afghanistan, il a préféré s'intéresser au renouveau de la mafia russe; dans les deux cas, le but était le même: éradiquer le communisme. Desberg, très documenté et maître incontestable de la narration, comme le soulignait ArzaK, nous entraine dans l'aventure d'un fils de militaire, première victime officielle des rouges, avec une formidable fluidité qu'on ne peut qu'applaudir. Desberg jongle sur deux époques avec une vraie maitrise et nous propose un thriller politique ancré dans le réel qui s'annonce très alléchant.
Sandy et Hoppy
Créée en 1959, cette excellente série n'a connu les honneurs de l'édition en albums qu'en 1972 (chez Dupuis, pour 2 albums -le second en 1984 étant une réédition), puis en 1980-81, lorsque les 17 albums suivants sont sortis presque simultanément chez Magic Strip. Il s'agit là de l'une des meilleurs séries des années 1970-80 chez Dupuis, prépubliée à l'époque dans Spirou. Lambil, avant d'être le dessinateur stakhanoviste des Tuniques Bleues, avait déjà un sacré abattage avec cette série de qualité, réalisée dans un style plus réaliste, plus adulte. En effet, on découvre au travers des aventures de cet adolescent et de son kangourou, les grands espaces australiens, les moeurs des aborigènes, les particularités de la faune et de la flore de cet immense continent. Même si quelques passages sont un peu saoûlants (Sandy donnant la tétine à Hoppy), le ton est résolument destiné à des ados évolués, ce qui détonnait un peu dans la production Dupuis. De l'aventure à l'état pur.
La clef des champs
Très imaginatif, Killoffer nous gratifie d’un dessin lisible, proche de l’illustration, et offre une histoire à suivre sans se poser trop de questions, surtout si elles sont rationnelles. Il suffit de se laisser porter par le cheminement étrange de cette fameuse clef qui passe de "main en main". Le final est particulièrement réussi ! Bref, encore un album qui fait mouche dans la collection, un de plus ! :)
Sylvio
Sylvio, originellement publié dans les années 1974 à 1982 dans Pif Gadget, avait ravi le (très) jeune lecteur que j'étais alors. C'est donc avec un grand plaisir que je vois cette série (ré)éditée en album, et dans un beau style. Car Luguy, dessinateur talentueux de Percevan, a pour l'occasion fait appel à un jeune coloriste, Lecocq, qui a su restaurer la série de manière agréable, avec énormément d'aplats cependant. Un vrai ravissement, car le dessin était déjà très vif, portant en germe ce qui fera le succès de la série-phare de Luguy. Quant aux histoires, elles sont basiques : Sylvio (ou un de ses amis) part se balader, il lui arrive une tuile, souvent causée par Jack, et il s'en sort grâce à son ingéniosité. Cela risque de vite lasser les plus de 12 ans, mais l'essentiel -charmer les plus jeunes- est là.
Jazon
J’entends partout parler de ce "Jazon", et je voulais me faire mon opinion : j'ai donc acheté l'album. Et ma foi j'ai été agréablement surpris ! C’est vrai que les gags sont très inventifs, et le dessin est marrant lui aussi. J'ai ri pas mal. Il y a évidemment des gags qui sont moins bons, mais comme dans toutes les BD d'humour. Bref, Un achat que je conseille sans problème. En attendant le tome 2 !
Maxime Murene
J'ai vraiment beaucoup aimé cet album. Je l'attendais depuis longtemps, et je n'ai vraiment pas été déçue. Déjà, il faut dire que les dessins sont vachement bien faits, les différents plans aussi, tout y est, jusqu'aux couleurs ! Très belle ambiance ! Maîtrise totale de l'univers et des personnages, bref, chapeau bas au dessinateur, aussi bien pour les dessins que pour les couleurs, et l'ambiance qu'elles créent. L'histoire, pareil ! C'est bien foutu, les dialogues et les personnages sont pensés, c'est super intéressant à lire ! C'est pas n'importe quoi, attention. Bon, seul reproche : une fin un peu en queue de poisson, j'aurai aimé une suite, ça c'est clair, mais bon... Enfin franchement, tout est bon dans cet album, qui m'a littéralement bluffée, et que je conseille parce qu'il vaut le détour !
Les Princes d'Arclan
On rentre très facilement dans ce premier tome de la série qui nous fait découvrir les personnages indépendamment les uns des autres car ils n'évoluent pas, du moins pour l'instant, en groupe ainsi leur seul point commun étant d'être arrivés à Arclan sur le même navire. Jean-Charles Gaudin le scénariste a visiblement mis l'accent sur la psychologie des personnages et cela est me semble t'il bien réussi même si il est difficile de se faire une opinion sur un premier volume mais cela est très prometteur pour la suite, le découpage est aussi important dans ce premier volume car il nous fait habilement passer de l'histoire d'un personnage à l'autre sans que les coupures ne se fassent ressentir et cela donne envie d'avancer toujours plus vite dans l'histoire ! Sieurac nous gratifie d'un dessin impeccable, fin et travaillé dans le détail. Il a mis l'accent sur les décors et l'architecture de la ville, le résultat est très agréable à regarder ! J’attends le deuxième tome avec impatience, j'ai eu la chance de me faire dédicacer le 1er à la Fnac de Nice par Sieurac et il m'a dit que le 2eme volume était déjà presque terminé donc à priori bientôt disponible ! Cette série est prometteuse, si vous êtes amateur d'aventure avec un soupçon de fantasy !
Okko
Un bon premier tome pour cette nouvelle série, j’ai vraiment pas été déçu. Les décors de style japonais sont vraiment bien représentés, et Hub a réussi à créer un monde riche et des personnages intrigants. C’est un mélange de médiéval, de fantasy, et même de robots même s’il n’y a qu’une courte apparition dans ce premier volet. Pleins de choses se déroulent en un tome, c’est condensé mais fluide. Comme l’on dit mes prédécesseurs le dessin est vraiment bien maîtrisé, j’aime beaucoup les couleurs aussi, on a l’impression que chaque planche ou chaque passage est dominé par une couleur. En plus des histoires en 2 tomes c’est sympa, ya pas besoin d’attendre très longtemps la suite.