Ce T0 nous ramène dans le passé et nous apprend quelques petites choses mais principalement comment et pourquoi les méchants sont sur Terre.
On n'est pas encore dans la série mais on a quand même une grande idée de ce qui nous attend et je pense que cela va être assez sympathique.
Au niveau des illustrations, alors là, y'a un truc que j'ai vraiment pas aimé : c'est la tête d'une des nanas (Fuyuka) avec ses gros yeux tout pétillants... OK c'est un manga mais quand même, ARGH ! Le pire est que je me suis fixée dessus et j'ai passé ma lecture a stressé sur ça.
Sinon, c'est pas mal fait mais j'ai une petite frayeur pour la série car ce tome a été fait après donc il y a eu une évolution depuis le 1er tome et j'me dis qu'on risque d'avoir un choc quand il sortira.
Ben voilà, c'est le début d'une série qui j'espère sera passionnante à suivre...
Les planches de Clarke sont d’une grande lisibilité grâce à son coup de crayon très « fluide ». De plus, le dessin classique, mais de qualité, est servi par un scénario bien trouvé et qui a peine à s’essouffler avec les derniers tomes (un bon point donc !). Gilson est sans conteste un des meilleurs scénaristes de chez Dupuis, bien meilleur que Cauvin... Mais bon, peut-être qu’après 30 ans dans le métier, il s’essoufflera lui aussi ?
Il s’agit tout simplement d’une des meilleures séries du moment chez Dupuis.
Un album singulier, même pour un album d’Andréas. L’auteur y pratique une mise en scène assez particulière, il utilise de petites cases, souvent répétée et vouées à donner une atmosphère presque hypnotique, cela frise l’exercice de style pur et simple. Malheureusement l’intrigue n’est pas simple à comprendre, ce n’est pas dû à une histoire compliquée, mais à une mise en place qui brouille les pistes. Simple exemple : lorsque l’on se retrouve face à un texte-off, il est difficile au début de comprendre qui parle. On ne le comprend que quelques planches plus loin. Andréas a visiblement voulu brouiller les pistes. On trouvera cela tantôt agaçant, tantôt passionnant. Moi je reste mitigé. C’est un album intéressant mais à réserver néanmoins aux fans d’Andréas.
J'ai trouvé cet album dans le bac des occasions. Intrigué par sa couverture, je l'ouvre, et là, c'est le coup de coeur pour le dessin de cet américain ! Un dessin particulier, inclassable et virtuose. L’album date de 1986, à l’époque, Glénat présentait le dessinateur comme une étoile montante de la bd US, on veut bien le croire, à la lecture de ces splendides planches. Malheureusement l'auteur semble avoir été oublié depuis (dans le marché français, en tout cas).
Côté scénario, c'est moins génial, mais plaisant. Les trois histoires qui composent cet album sont en fait assez simples, trop simples peut-être, mais la tendresse que l'auteur voue à son personnage, la belle absurdité de certaines situations (Mudwog est amoureux d'une femme 10 X plus grande que lui) font le reste. Une curiosité que je suis content d'avoir dans ma bibliothèque.
Cette série, plutôt tristounette, est à mi-chemin entre le conte féerique et le fantastique. Les idées se bouscules aux portes de cet univers qui s’ouvre à nous. La trame, bien que classique pour ce genre de bd s’inspirant de contes et légendes, reste toutefois bien mince. Cependant, le dessin et les couleurs sont plaisants, bien que parfois de qualité inégale. L’ensemble semble donc assez bien travaillé mais il manque le petit quelque chose qui fait d’une série un incontournable du genre (comme c’est la cas avec Garulfo). J’ai cherché cette petite lueur qui fait toute la différence... en vain !
De plus, le deuxième tome ne fait que de conforter ce constat et n’apporte donc rien de plus à ce « monde féerique ».
Lecture agréable mais pas de quoi faire de FOLie non plus !
On retrouve dans cette mini BD le style de M-A Mathieu : un dessin assez statique, et très sombre (ses encrages sont nets et précis, c'est étonnant, mais le rendu est plutôt bon)
L’histoire, bien que très courte (trop ?) est elle aussi assez typique de ce que fait MAM.
Ce que je ne m'explique pas, c'est le format choisi. Il aurait tout à fait pu en faire un véritable album, et non pas ce petit "truc", je crois que la matière était là.
Tant pis.
(Ceci dit, c'est carrément cher pour ce que c'est ! ça se lit en 5 minutes quand on prend bien son temps !)
Je n'ai pas eu le courage de lire le second !
Fol est un mode féérique, enfin c'est comme tel que le présente son auteur, et c'est vrai !
Le petit monde est intéressant, une série de croquis en début d'album explique les personnages et le monde dans lequel on est projeté, l'idée est bonne et le travail est conséquent, Prugne a mis plus de 3 ans pour la conception de son univers. J'ai une dédicace qu'il faudra que je mette en lien dans cet avis.
Le dessin est doux, limite poétique et les détails sont présents. En revanche le scénario est musclé, sans répit jusqu'à la dernière page ou je n'ai rien compris, Gepeto est nommé (c'est l'ogre), le petit homme est Pinocchio mais je n'ai rien compris.
Bref cela reste une histoire qui fait rêver, une évasion de quelques dizaines de minutes, le temps de la lecture. Pour finir je pense que le dessin a malheureusement un peu vieilli, c'est pour cela que je ne recommande pas cet album à la lecture bien que si, un jour, on me prête le second volume je le lirai :).
J'ai tout d'abord été séduit par les dessins de Dumontheuil, mais plus j'avançais dans l'histoire plus je fus deçu...
Ce scénario, dénué de sens, est certe original mais quelques peu fatiguant et lassant à la longue.
Mais il faut reconnaitre le talent de l'auteur.
Comme beaucoup dans cette collection, cette mini bd est un concentré d'habile scénario, de dessin efficace et de textes pertinents. Ici, c'est une réflexion sur la mort que l'on suit avec délice tout au long d'une poursuite et d'une joute verbale que je ne saurais qualifier que par un terme : "trondheimienne". :) A essayer.
Les mésaventures de ce pti bonhomme purement Trondheimien sont bien sympathiques ! Un dessin simpliste au possible, et efficace au possible, pour une anecdote en bd. A tester, donc.
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Silent Möbius
Ce T0 nous ramène dans le passé et nous apprend quelques petites choses mais principalement comment et pourquoi les méchants sont sur Terre. On n'est pas encore dans la série mais on a quand même une grande idée de ce qui nous attend et je pense que cela va être assez sympathique. Au niveau des illustrations, alors là, y'a un truc que j'ai vraiment pas aimé : c'est la tête d'une des nanas (Fuyuka) avec ses gros yeux tout pétillants... OK c'est un manga mais quand même, ARGH ! Le pire est que je me suis fixée dessus et j'ai passé ma lecture a stressé sur ça. Sinon, c'est pas mal fait mais j'ai une petite frayeur pour la série car ce tome a été fait après donc il y a eu une évolution depuis le 1er tome et j'me dis qu'on risque d'avoir un choc quand il sortira. Ben voilà, c'est le début d'une série qui j'espère sera passionnante à suivre...
Mélusine
Les planches de Clarke sont d’une grande lisibilité grâce à son coup de crayon très « fluide ». De plus, le dessin classique, mais de qualité, est servi par un scénario bien trouvé et qui a peine à s’essouffler avec les derniers tomes (un bon point donc !). Gilson est sans conteste un des meilleurs scénaristes de chez Dupuis, bien meilleur que Cauvin... Mais bon, peut-être qu’après 30 ans dans le métier, il s’essoufflera lui aussi ? Il s’agit tout simplement d’une des meilleures séries du moment chez Dupuis.
Coutoo
Un album singulier, même pour un album d’Andréas. L’auteur y pratique une mise en scène assez particulière, il utilise de petites cases, souvent répétée et vouées à donner une atmosphère presque hypnotique, cela frise l’exercice de style pur et simple. Malheureusement l’intrigue n’est pas simple à comprendre, ce n’est pas dû à une histoire compliquée, mais à une mise en place qui brouille les pistes. Simple exemple : lorsque l’on se retrouve face à un texte-off, il est difficile au début de comprendre qui parle. On ne le comprend que quelques planches plus loin. Andréas a visiblement voulu brouiller les pistes. On trouvera cela tantôt agaçant, tantôt passionnant. Moi je reste mitigé. C’est un album intéressant mais à réserver néanmoins aux fans d’Andréas.
Mudwog
J'ai trouvé cet album dans le bac des occasions. Intrigué par sa couverture, je l'ouvre, et là, c'est le coup de coeur pour le dessin de cet américain ! Un dessin particulier, inclassable et virtuose. L’album date de 1986, à l’époque, Glénat présentait le dessinateur comme une étoile montante de la bd US, on veut bien le croire, à la lecture de ces splendides planches. Malheureusement l'auteur semble avoir été oublié depuis (dans le marché français, en tout cas). Côté scénario, c'est moins génial, mais plaisant. Les trois histoires qui composent cet album sont en fait assez simples, trop simples peut-être, mais la tendresse que l'auteur voue à son personnage, la belle absurdité de certaines situations (Mudwog est amoureux d'une femme 10 X plus grande que lui) font le reste. Une curiosité que je suis content d'avoir dans ma bibliothèque.
Fol
Cette série, plutôt tristounette, est à mi-chemin entre le conte féerique et le fantastique. Les idées se bouscules aux portes de cet univers qui s’ouvre à nous. La trame, bien que classique pour ce genre de bd s’inspirant de contes et légendes, reste toutefois bien mince. Cependant, le dessin et les couleurs sont plaisants, bien que parfois de qualité inégale. L’ensemble semble donc assez bien travaillé mais il manque le petit quelque chose qui fait d’une série un incontournable du genre (comme c’est la cas avec Garulfo). J’ai cherché cette petite lueur qui fait toute la différence... en vain ! De plus, le deuxième tome ne fait que de conforter ce constat et n’apporte donc rien de plus à ce « monde féerique ». Lecture agréable mais pas de quoi faire de FOLie non plus !
La mutation
On retrouve dans cette mini BD le style de M-A Mathieu : un dessin assez statique, et très sombre (ses encrages sont nets et précis, c'est étonnant, mais le rendu est plutôt bon) L’histoire, bien que très courte (trop ?) est elle aussi assez typique de ce que fait MAM. Ce que je ne m'explique pas, c'est le format choisi. Il aurait tout à fait pu en faire un véritable album, et non pas ce petit "truc", je crois que la matière était là. Tant pis. (Ceci dit, c'est carrément cher pour ce que c'est ! ça se lit en 5 minutes quand on prend bien son temps !)
Fol
Je n'ai pas eu le courage de lire le second ! Fol est un mode féérique, enfin c'est comme tel que le présente son auteur, et c'est vrai ! Le petit monde est intéressant, une série de croquis en début d'album explique les personnages et le monde dans lequel on est projeté, l'idée est bonne et le travail est conséquent, Prugne a mis plus de 3 ans pour la conception de son univers. J'ai une dédicace qu'il faudra que je mette en lien dans cet avis. Le dessin est doux, limite poétique et les détails sont présents. En revanche le scénario est musclé, sans répit jusqu'à la dernière page ou je n'ai rien compris, Gepeto est nommé (c'est l'ogre), le petit homme est Pinocchio mais je n'ai rien compris. Bref cela reste une histoire qui fait rêver, une évasion de quelques dizaines de minutes, le temps de la lecture. Pour finir je pense que le dessin a malheureusement un peu vieilli, c'est pour cela que je ne recommande pas cet album à la lecture bien que si, un jour, on me prête le second volume je le lirai :).
Qui a tué l'idiot ?
J'ai tout d'abord été séduit par les dessins de Dumontheuil, mais plus j'avançais dans l'histoire plus je fus deçu... Ce scénario, dénué de sens, est certe original mais quelques peu fatiguant et lassant à la longue. Mais il faut reconnaitre le talent de l'auteur.
Nous sommes tous morts
Comme beaucoup dans cette collection, cette mini bd est un concentré d'habile scénario, de dessin efficace et de textes pertinents. Ici, c'est une réflexion sur la mort que l'on suit avec délice tout au long d'une poursuite et d'une joute verbale que je ne saurais qualifier que par un terme : "trondheimienne". :) A essayer.
Non, Non, Non
Les mésaventures de ce pti bonhomme purement Trondheimien sont bien sympathiques ! Un dessin simpliste au possible, et efficace au possible, pour une anecdote en bd. A tester, donc.